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(06/02/2008 16:18:05)

Pour IBM, OpenXML est techniquement inférieur à ODF

Enième réponse du berger à la bergère. Après les commentaires incendiaires de Jean Paoli, gourou XML chez Microsoft, IBM a décidé à son tour de monter au créneau. Une salve supplémentaire dans la bataille qui oppose les deux groupes sur le terrain des formats bureautiques, ODF et Open XML. Si chez Microsoft on estime IBM responsable de l'échec de la normalisation ISO d'Open XML, Big Blue attaque lui sur le terrain même de la qualité du standard Microsoft. Selon Big Blue, point de complot ni de conspiration contre Open XML. Le format XML de l'éditeur de Redmond est tout simplement « techniquement inférieur ». Et ainsi sa sécheresse fonctionnelle serait, en partie, la cause de l'échec de l'approbation d'Open XML lors du processus rapide à l'ISO. La France, par le biais de l'Afnor, s'était elle-même prononcée contre (non, avec commentaires). Relevés par le site Ars Technica, les cinglants propos de Bob Sutor, vice-président des standards et de l'Open Source chez IBM, rappellent en substance que si « faire du business implique d'essayer de refiler au marché IT un semblant de produit comme OOXML réalisé dans la précipitation, techniquement inférieur et spécifique, nous sommes fiers de nous ranger aux côtés des dizaines de pays et des milliers d'individus qui ont la volonté de combattre un tel mauvais comportement ». Un cran supplémentaire dans les tensions qui existaient entre les deux groupes. En février dernier, Jean Paoli et Tom Robertson signaient une lettre ouverte dénonçant les tentatives d'IBM auprès des instances internationales pour enrayer le processus de normalisation d'OOXML à l'ISO. Jean Paoli avait enfoncé le clou le 31 janvier 2008 en racontant que le format serait aujourd'hui une norme si IBM n'avait pas été là. (...)

(04/02/2008 14:12:55)

Google veut faciliter la ré-utilisation des relations existant dans les réseaux sociaux

Comment récupérer et transmettre les nombreuses relations sociales nouées dans Facebook ou MySpace à d'autres applications sociales en ligne ? Une question sur laquelle s'est penchée Google. Et, dans la lignée d'OpenSocial - qui fournit une kyrielle d'API pour développer et croiser les applications de réseau social - , le géant de l'Internet publie Social Graph API. Des interfaces pour faciliter les travaux de développeurs pour relier, partager et intégrer des profils publiques FOAF (Friend of a friend) ou XFN (XHTML Friends Network) entre applications. Ces deux standards Web définissent les relations et les connections passées entre utilisateurs. En clair, Social Graph cartographie l'ensemble du réseau social de l'utilisateur pour l'exporter vers d'autres applications. Dans une vidéo, Brad Fitzpatrick explique comment récupérer les données publiques de MySpace, Twitter et de blogs, pour éviter de démarrer sans contact ni connexion lors de l'inscription dans de nouveaux réseaux sociaux. Une solution également aux nombreuses (re)invitations qu'un utilisateur doit effectuer à son arrivée dans un réseau social. (...)

(01/02/2008 10:45:06)

Premières assises du développement de SI durables

Le Marriott des Champs-Elysées a accueilli hier les premières Assises des systèmes d'information durables. Initiée par Pierre Bonnet, Dominique Vauquier et Jean-Michel Detavernier, auteurs de l'ouvrage « Le système d'information durable », la communauté Sustainable IT Architecture (S-IT-A) vise à réfléchir aux moyens et aux étapes de refondre les systèmes d'information pour les rendre à la fois agiles et pérennes. Plus de deux cents personnes ont répondu à l'appel, décideurs en entreprise, consultants et éditeurs. (LeMondeInformatique.fr avait lui aussi choisi de s'associer à cet événement.) Les membres de S-IT-A ont pu exposer leur vision de l'évolution des SI, vers une architecture orientée services (SOA) étendue. En effet, si les SOA sont explicitement citées comme l'architecture de référence, S-IT-A distingue plusieurs étapes dans l'application de ses concepts (voir l'illustration). De la SOA de surface à la SOA de refonte Le premier niveau serait la SOA de surface, autrement dit l'ajout de technologies estampillées SOA au-dessus de l'existant. Pour Pierre Bonnet, directeur du conseil chez Orchestra Networks, il s'agit d'une étape nécessaire pour une évolution progressive, mais pas durable. Des témoignages utilisateurs ont confirmé cette vision des choses : à plus ou moins long terme, il faut envisager une refonte. Mais pour que cette SOA de refonte ne soit pas chaotique, les promoteurs de S-IT-A préconisent la mise en oeuvre d'« une chaîne d'agilité » (ACMS, Agility chain management system), extériorisant les données de référence dans un MDM (Master data management), les règles métier dans un BRMS (Business rules management system) et les processus dans un BPMS (Business process management system). Plusieurs éditeurs du secteur, sponsors de cette communauté qui prend à rebrousse-poil le discours des éditeurs majeurs du secteur, étaient là pour confirmer cette vision. Ilog, fournisseur d'un outil de BRMS et cofondateur de cette communauté, a expliqué notamment [[page]] qu'il faut identifier les règles susceptibles d'évoluer le plus rapidement, voire d'être gérées directement par les gens du métier, et choisir d'extérioriser celles-ci pour « créer des points de flexibilité ». Mais quelle que soit l'importance des ces technologies, a insisté de son côté Mario Moreno, responsable qualité et méthodes chez Generali Assurances, le plus important est de gérer le changement du sein de l'entreprise, en sensibilisant et en formant les gens. Autre élément essentiel selon lui, il faut mettre en place une gouvernance opérationnelle, et s'appuyer sur un cadre méthodologique rigoureux, « tel que Praxeme ; d'ailleurs je n'en connais pas d'autre à ce niveau ». Pour lui, la modélisation sémantique en amont, préconisée par Praxeme, la méthode publique initiée par Dominique Vauquier, est essentielle. D'abord pour guider les investissements en SOA dans les métiers qui en ont besoin, et ensuite pour éviter de se retrouver avec des systèmes jetables car mal conçus au départ. Obtenir des financements pour refondre l'architecture Les autres témoignages utilisateurs ont aussi mis en évidence des menaces qui guettent les projets SOA, en-dehors des « SOA de surface ». Pour Jean-Pierre Latour, qui travaille sur le portail de la sécurité sociale belge, il faut par exemple faire attention à n'introduire de la flexibilité que là où c'est nécessaire, car ces technologies offrant de l'agilité augmentent les coûts de développement, induisent de la fragilité de par leur complexité, et posent éventuellement des problèmes de performance. Autre question abordée lors de cette conférence, la façon d'obtenir des financements, ou au minimum du soutien, de la part de sa direction générale pour des projets de refonte qui, dans un premier temps pour la plupart, n'apportent rien en termes de fonctionnalités. De la même façon qu'il est impossible de déterminer une stratégie unique pour commencer un projet SOA, ce type de relation avec la direction générale dépend trop du contexte pour qu'on puisse établir une tactique gagnante à tous les coups. Restent quelques exemples. Ainsi, Jean-Michel Detavernier, DSI adjoint de SMABTP, a financé ses nouveaux projets grâce aux économies réalisées avec la suppression des anciens systèmes. Jean-Pierre Latour a lancé un fonds de roulement qui sert à financer des développements réutilisables, et s'alimente en facturant des équipes projet réutilisant des composants existants. (...)

(31/01/2008 12:42:02)

Microsoft rend disponible VS Studio 2008

Microsoft a enfin rendu disponible mardi 29 janvier à l'ensemble des développeurs son environnement de développement (IDE) Visual Studio 2008. Disponible en RTM depuis novembre dernier aux seuls abonnés du réseau MSDN, VS 2008 est désormais accessible aux détenteurs de licences en volume et OEM, selon un blog MSDN. Le très attendu IDE doit notamment embarquer la version 3.5 du framework .Net, lui - même permettant le développement sur WCF (Windows Communications Foundation) et WPF (Windows Presentation Foundation), respectivement les couches services Xeb et présentation incluses dans Vista. Visual Studio 2008 est également l'une des trois composantes Microsoft à ne pas avoir essuyé de retard dans sa date de livraison. A l'inverse de SQL Server 2008 et Windows Server 2008. (...)

(30/01/2008 11:44:54)

Microsoft ouvre un portail d'échange de code et de documentation

Après CodePlex pour les projets Open Source, voici MSDN Code Gallery pour l'échange de code et de documentation liés aux technologies Microsoft. Sivaramakichenane Somasegar, vice-président de Microsoft responsable de la division Développeurs, a annoncé sur son blog l'ouverture de ce portail, expliquant que ce que les développeurs demandent le plus, ce sont des exemples de code et des captures d'écran leur permettant d'avancer plus rapidement avec des nouvelles technologies. Parmi les ressources déjà en ligne, on voit ainsi nombre d'exemples d'utilisation de Linq (Language Integrated Query), langage introduit récemment afin de simplifier l'écriture de requêtes de données en environnement .Net. En revanche, le sujet des licences et de la propriété intellectuelle risque d'être épineux. Les règles du portail impliquent par exemple que la personne soumettant une ressource en soit propriétaire, mais il paraît inconcevable de le vérifier a priori. Quant aux équipes de Microsoft, elles publient du code sous des licences Microsoft pas forcément compatibles avec une réutilisation dans des projets sous d'autres licences. (...)

(30/01/2008 10:10:17)

MySpace s'ouvre aux développeurs tiers

MySpace lancera la semaine prochaine sa plateforme de développement, permettant ainsi à tous de créer des applications utilisables sur le réseau social. Les développeurs intéressés pourront s'inscrire pour recevoir des informations sur cette initiative annoncée en octobre 2007. Le mardi suivant, ils auront accès au site qui leur sera consacré, à la documentation et aux API. Depuis des années MySpace autorisait au cas par cas certains développeurs à intégrer leurs gadgets sur le site. Celui-ci passe donc la vitesse supérieure et permet à tous d'accéder aux API et de tirer des revenus des applications qui auront été développées. En octobre, l'initiative avait été vue comme une réponse à Facebook, qui avait ouvert sa plateforme aux développeurs en mai, ceux-ci créant 14 000 applications et autres gadgets dans la foulée. Une démarche bientôt suivie par d'autres réseaux sociaux puis complétée par le lancement, par Google, d'OpenSocial, un ensemble d'API pour réseaux sociaux visant à l'interopérabilité des sites soutenant l'initiative. C'est notamment le cas de MySpace. Avant même l'ouverture effective de sa plateforme de développement, MySpace tient à montrer qu'il ne tient pas à tomber dans les travers ayant contribué à énerver les utilisateurs de Facebook. En particulier, MySpace s'engage à respecter la vie privée des internautes et à installer des garde-fous pour que les applications qui seront créées soient sécurisées. (...)

(29/01/2008 11:30:10)

Nokia veut s'offrir Trolltech, l'éditeur de Qtopia et Qt

Pour 844 millions de couronnes norvégiennes (soit 104,6 millions d'euros), Nokia a signé un accord pour acheter l'éditeur Trolltech, développeur des logiciels Qtopia, un cadre de développement pour des applications mobiles (comme celles utilisées par Samsung), et Qt pour permettre le portage d'applications d'un système d'exploitation à l'autre (récemment utilisé pour porter KDE sur Windows et sur Mac). Les logiciels de Trolltech sont disponibles en version commerciale, ou en Open Source sous licence GPL 2.0 et 3.0. Nokia compte les utiliser pour renforcer la compétitivité de ses téléphones professionnels S60 et séries 40, notamment en intégrant des applications Web 2.0. Le fabricant de téléphones indique également qu'il compte continuer de travailler en relation étroite "avec la communauté" des utilisateurs de Qt, et distribuer les produits sous licence Open Source. Cet accord doit désormais être validé par 90% des actionnaires de Trolltech et devrait être finalisé au deuxième trimestre 2008. (...)

(28/01/2008 17:47:38)

Progiciels, Saas et SOA en tête des prévisions de dépenses en logiciels en 2008, selon Forrester

Les prévisions de dépenses des entreprises nord-américaines et européennes en matière de logiciels en 2008 montrent un intérêt certain pour le long-terme : progiciels internes ou hébergés (Saas), intégration d'applications et gestion des données de référence (SOA, MDM) font partie des secteurs qui ressortent du sondage effectué par Forrester (voir les détails dans l'encadré ci-dessous). Globalement, les montants de dépenses prévues restent similaires à celles de 2007. De même, les budgets seront toujours autant grevés par les coûts de maintenance : en termes de licences pour les mises à jour et de maintenance du code, l'existant représentera encore un tiers des dépenses. Les budgets seront ensuite répartis ainsi : 28% pour les licences logicielles, 13% pour les logiciels vendus sous forme de souscriptions, et 25% pour les nouveaux projets. La SOA stratégique pour 25% des répondants Du côté des priorités, il s'agira - pour la troisième année consécutive, précise Forrester - d'améliorer l'intégration entre applications (pour 33% des répondants). Les mises à jour de progiciels sont aussi prioritaires : 21% pour les progiciels intégrés, 14% pour les progiciels de GRC (gestion de la relation client) et autant pour les progiciels de gestion des compétences et des carrières (HCM, Human capital management). Le décisionnel [[page]]constitue aussi un domaine d'investissement privilégié, avec 8% prévoyant un achat initial et 14% une mise à jour majeure. Les architectures orientées services (SOA) représentent des projets en cours dans la moitié des entreprises, qu'il s'agisse de résoudre une problématique sans stratégie précise (24%) ou que ce soit lié à une stratégie d'entreprise (25%). Et 16% des répondants indiquent que les projets émergeront au cours de l'année. La sécurité, inquiétude numéro un concernant l'Open Source Le logiciel vendu comme un service (Saas, software as a service) prend aussi peu à peu dans les entreprises, notamment via les progiciels de HCM (45%), les outils de collaboration (38%) et les progiciels de GRC (36%). Toutefois, ces données proviennent d'une base plus restreinte de 74 entreprises ayant déjà déployé ce type d'offre. Concernant les développements internes, les plateformes .Net et Java sont au coude à coude (respectivement 65% et 61%), de même que leurs langages (Java et VB.Net à 65%) qui précèdent les langages de script (53%) et C# (40%). Enfin, Forrester a aussi posé une question sur l'Open Source mais, plutôt que de s'interroger sur l'adoption, le cabinet d'analyse a préféré explorer les principaux sujets d'inquiétude liés à l'Open Source. La sécurité est le sujet jugé le plus important (88%), devant la disponibilité du service et du support (79%) et le coût total d'exploitation (79%). (...)

(24/01/2008 17:15:59)

Le W3C lève un coin du voile sur HTML 5

Le W3C a publié la première ébauche de la prochaine génération de HTML. Une cinquième évolution du langage qui montre à la fois la mesure des travaux entrepris par le groupe de travail dédié, mais également une mise à jour majeure de la spécification. L'objectif premier du groupe a bien sûr été de suivre les évolutions du Web et de ses usages, et adapter ainsi HTML. « L'intéropérabilité est l'avancée majeure de HTML5, commente Karl Dubost, Conformance Manager du W3C et membre du groupe de travail HTML. Pour la première fois, HTML définit précisément comment un document HTML doit être lu par un programme. » On parle alors d'une forte collaboration entre tous les éditeurs de navigateurs, comme Apple, Opera, Microsoft, Mozilla, Access et Nokia qui, chacun, ont « documenté comment les implémentations traitent les documents et comment récupérer de façon cohérente un document dont le balisage contiendrait des erreurs ». Notons au passage que la version 5 est la première mouture à avoir intégré, au départ, les documents publiés par le groupe dissident What WG (Web Hypertext Application Technology Working Group). Techniquement, HTML 5 intègre les caractéristiques multimédia et interactives du Web. « HTML 5 définit des interfaces de programmation pour les graphiques 2D, la gestion des données off/online (Ajax), du DOM », précise Karl Dubost. Et surtout HTML5 se voit paré d'une série de nouvelles balises qui éclairciront le code. Notons par exemple l'apparition d'une balise 'video pour inclure en direct une video - sans avoir recours au lourd code des plug-in dans une page, les balises très sémantiques 'article' et 'section' qui, très inspirées du XML, viennent baliser un article ou un billet de blog, et enfin l'ajout d'un simple attribut pour afficher des fonctions étendues aux formulaires (par exemple un calendrier de saisie de date sera simplement codé dans un attribut de la balise Form, type=date). Certaines fonctionnalités de HTML 5 ont également été fondues à la spécification par défaut, de par leur utilisation massive par les développeurs actuels. C'est notamment le cas de XMLHttpRequest, brique centrale d'Ajax, qui assure la communication entre le navigateur et le serveur en arrière-plan. Côté calendrier, tout reste flou. Si on entend parler d'une finalisation des spécifications en 2010, Karl Dubost reste, quant à lui, beaucoup plus pragmatique. « Une fois que la spécification sera finalisée en tant que norme W3C, cela dépendra de la demande du marché. Les développeurs de navigateurs implémentent ce que le marché demande. » Aux développeurs et designers de se pencher alors sur le sujet. (...)

(24/01/2008 09:41:16)

IBM s'offre la solution de gestion d'événements d'AptSoft

IBM a annoncé l'acquisition d'AptSoft, éditeur d'une solution de gestion des événements en temps réel. La gamme WebSphere se complètera ainsi d'une solution pour surveiller les flux d'informations et corréler les événements, afin d'agir dessus au plus vite. AptSoft est en effet un des pionniers du marché du CEP, ou Complex event processing (aussi appelé ESP, Event streaming processing), aux côtés de Streambase, Aleri ou Apama. Son offre Director for CEP a d'abord été conçue pour détecter les fraudes et optimiser les ventes. Un logiciel de CEP analyse des flux d'informations en temps réel et les compare à une base de règles. Il peut ainsi détecter lorsque des anomalies surviennent, même si elle a lieu au sein d'une multitude d'événements, comme des ordres de Bourse ou des lectures d'étiquettes RFID. Associé à un logiciel de BPM (Business process management, gestion des processus métier), cela permet de déclencher des processus dès qu'un seuil est franchi ou une anomalie détectée. Oracle, Sun ou Tibco communiquent régulièrement sur ce sujet, estimant qu'il s'agit d'une évolution naturelle des SOA (architectures orientées services), tandis qu'IBM ne disposait jusqu'à présent que d'un simple courtier de messages, Wepsphere event broker. (...)

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