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Développement
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(23/01/2008 14:43:58)
Apple modifie DTrace pour protéger ses DRM
Lorsqu'Apple a annoncé son intention d'intégrer l'outil d'analyse DTrace, conçu initialement pour OpenSolaris, dans MacOS X, les développeurs du logiciel étaient particulièrement fiers. Maintenant, ils sont furieux. En effet, selon l'un d'entre eux, Adam Leventhal, Apple a dégradé le programme pour l'empêcher d'accéder à certaines applications, dont iTunes. Si Apple s'est refusé à tout commentaire, les développeurs de DTrace y voient une volonté de protéger les systèmes de gestion des droits numériques implantés dans ce logiciel, et d'empêcher ainsi un utilisateur expérimenté de contourner les DRM en utilisant DTrace. (...)
(21/01/2008 12:11:52)Microsoft autorise la lecture du code de .Net
Aider les développeurs à mieux construire les applications. C'est la raison première qui a poussé Microsoft à ouvrir l'accès aux bibliothèques de son framework .Net, dans le cadre de son programme .Net Reference Source Project. Démarré la semaine dernière, ce dernier vise à donner un accès « en lecture seule » au cadre applicatif pour analyser et déboguer le code. Reste que cela est conditionné à la migration vers Visual Studio 2008, sorti en novembre dernier. Sont couverts par le projet : .Net Base Class Libraries, ASP.Net, Windows Forms, WPF (Windows Presentation Foundation) et ADO.Net. D'ici quelques mois, LINQ (Language Integrated Query) et Windows Communications Foundation devraient également intégrer le projet. Notons que l'accès au code devait être ouvert le mois dernier, mais Microsoft a souhaité attendre le retour de davantage de développeurs pour inaugurer son programme. (...)
(21/01/2008 12:11:07)Sun prépare le passage de Spot en Open source
D'après notre confrère Infoworld, Sun devrait passer cette semaine sa plateforme Spot (Small Programmable Object Technology) en Open Source. Cette plateforme de développement expérimentale basée sur Java permet de développer les logiciels nécessaires à l'utilisation de petits appareils comme des capteurs sans fil, ou des outils de communications (webcam, microphones, etc.). SPOT devrait être disponible sous licence GPL v2.0, qui implique que tout le code développé soit redistribué publiquement avec le logiciel. Toutefois, dans le passé, Sun avait intégré la possibilité d'utiliser l'exception ClassPath pour autoriser le mélange de code propriétaire et de code sous GPL, sans avoir à redistribuer publiquement les parties concernant le code propriétaire. Ce qui peut rassurer ceux qui souhaitent utiliser Spot pour réaliser des applications commerciales. (...)
(17/01/2008 13:01:48)BEA-Oracle : Gartner conseille aux clients de différer leurs investissements
« Les clients sont dans une situation classique de 'wait and see'. Pour des entreprises déjà clientes de BEA, sur WebLogic par exemple, il n'y a pas de raison de paniquer. En revanche, ce serait risqué d'investir maintenant sur des produits récents. » Massimo Pezzini, vice-président de Gartner et analyste distingué, estime que l'acquisition de BEA par Oracle conduira à « des décisions difficiles » ; il serait donc risqué, explique l'analyste, d'investir sur des produits de BEA qui ne disposent pas déjà d'une base installée conséquente, les rendant quasiment intouchables. « Beaucoup [de produits] seront mis en mode maintenance, d'autres intégrés au sein de l'offre Oracle. Certains continueront de vivre, des produits comme WebLogic ou Tuxedo qui ont probablement des centaines de milliers de déploiements, ce serait un suicide de les arrêter. D'autres produits sont complémentaires, comme la machine virtuelle Jrockit. Et beaucoup sont en situation de recouvrement. » Dans tous les cas, explique encore Massimo Pezzini, dans un entretien avec LeMondeInformatique.fr, même si Oracle choisit de privilégier certains produits de BEA par rapport aux siens, le projet Fusion aura le dernier mot : Oracle a en effet engagé une vaste réorganisation de son offre progicielle afin de l'appuyer sur son offre middleware. (...)
(16/01/2008 16:03:52)Sun rachète MySQL pour 1 Md$
Contrairement à ce que prédisait une rumeur qui courait depuis le début de 2007, MySQL, éditeur de la base de données Open Source la plus populaire, n'entrera finalement pas en Bourse. MySQL a préféré accepter une offre d'achat de Sun. Qui, pour un milliard de dollars (dont 800 M$ en cash), s'offre une place de choix aux côtés d'Oracle, IBM et Microsoft, sur un segment dont il était absent. Il fut un temps où Sun disait être le point de .com. Aujourd'hui, Jonathan Schwartz, patron de Sun, revendique le M de LAMP, l'acronyme derrière un grand nombre de sites Web : L pour le système d'exploitation Linux, A pour le serveur Web Apache, M pour MySQL et P pour les langages de script PHP/Perl/Python. Dans son blog, Jonathan Schwartz explique : « MySQL est de loin la plateforme la plus populaire sur laquelle les développeurs modernes créent des services en réseau. De Facebook, Google et Sina.com aux entreprises de la finance et des télécoms, les architectes cherchant performance, productivité et innovation se sont tournés vers MySQL. » Sun va étoffer les services de support de MySQL pour séduire les grands comptes Jonathan Schwartz assure que la transition sera extrêmement simple, dans la mesure où « Sun s'est déjà engagé dans le modèle économique qui est au coeur du succès de MySQL : d'abord investir afin de faire croître les communautés d'utilisateurs et de développeurs, puis proposer des services commerciaux qui attirent - sans emprisonner - les clients payants ». Sun s'engage ainsi à proposer des services de support propres à décider des grandes entreprises qui auraient pu, jusque-là, avoir des réticences à contracter avec MySQL pour des projets critiques. Avec des accents lyriques, le patron de Sun estime que cette acquisition marque « le début d'une nouvelle ère de l'Internet ». Pour Jonathan Schwartz, Sun est désormais « positionné au centre du Web ». Si MySQL n'a pas (pas encore ?) délogé les Oracle, IBM ou autres Sybase ou Teradata des départements clés des grandes entreprises, la base a connu une croissance fulgurante, et est extrêmement populaire dans le domaine universitaire. Ce qui convient parfaitement à Jonathan Schwartz. Il est temps, dit-il, d'arroser la racine des arbres. « C'est une chose de dire qu'on est très attaché à l'éducation, c'en est une autre que d'y investir de l'argent. » (...)
(16/01/2008 14:56:10)BEA accepte l'offre d'achat d'Oracle pour 8,5 Md$
Trois mois après avoir rejeté l'offre d'achat d'Oracle, BEA a finalement accepté de se vendre, pour un montant évalué à 8,5 Md$. Hier encore, à la conférence utilisateurs parisienne de l'éditeur, Mike Piech, responsable marketing des offres WebLogic et Tuxedo, assurait que « BEA se voit comme une société indépendante : tous les investissements et les feuilles de route produits sont faits dans cette optique ». De fait, depuis la première offre d'achat d'Oracle le 12 octobre dernier pour 6,7 Md$, BEA n'a eu de cesse d'affirmer vouloir rester indépendant. Un discours toutefois infléchi quelque temps après, suite à la fronde d'un gros actionnaire, estimant que les intérêts des actionnaires n'étaient pas pris suffisamment en compte par la direction de BEA. L'éditeur avait alors laissé entendre qu'à partir de 8,15 Md$, il pourrait accepter une offre. Oracle estimait alors que personne n'irait proposer mieux que ce qu'il avait offert. Comprendre : il faudrait être fou pour dépenser plus que 17 $ l'action. Or, l'accord intervenu aujourd'hui fixe un prix de 19,375 $ par action. (...)
(16/01/2008 11:57:44)Le W3C fait un grand pas en avant pour le Web sémantique
2008 pourrait bien être l'année du décollage du Web sémantique. Le W3C, consortium en charge des standards du Web, vient de publier trois recommandations SPARQL, langage de requête qui permet d'exploiter toute la puissance de l'approche sémantique des données RDF (Ressource Description Framework). Grande marotte de Tim Berners-Lee, pape du Web et patron du W3C, le Web sémantique vise à créer un environnement en ligne dans lequel toutes les données sont reliées entre elles de façon logique pour former une information ultra-pertinente. On ne retient plus alors que le sens des données, et non plus leur place dans un document texte. A l'instar de ce qu'on obtient avec les résultats d'une recherche Google. Place à l'information pure décloisonnée issue de sources multiples et hétérogènes, fi des formats et des méthodes de stockage. Pour l'heure, le Web sémantique n'a pas percé à cause de sa complexité à la mise en oeuvre, mais également par la pauvreté des outils de développement et de la faible implémentation des standards. Parmi les technologies qui encadrent le Web sémantique, on retient RDF - la base du concept -, OWL (Ontology Web Language) qui décrit les ontologies (les liaisons logiques entre les méta-données) et GRDDL (Gleaning Resources Description from Dialects of Languages) qui extrait les micro-formats XML d'un document vers le RDF. Aujourd'hui, le W3C ouvre en grand le requêtage sur RDF en publiant les recommendations SPARQL Query Language for RDF, SPARQL Protocol for RDF et SPARQL Query Results for XML Format, trois spécifications développées par le groupe de travail RDF Data Access Working Group du consortium. Cette publication devrait ainsi doper le nombre d'implémentations de SPARQL au sein de frameworks sémantiques. On en dénombre aujourd'hui 14, dont Jena développé par les laboratoires HP. (...)
(15/01/2008 16:26:17)BEA explique Genesis à ses utilisateurs français
BEA tenait aujourd'hui son « Convergence Day » au Cnit de Paris-La Défense, un événement important dans le calendrier de l'éditeur, qui réunit ainsi chaque année ses principaux utilisateurs, prospects et partenaires. Alfred Chuang, cofondateur et toujours patron de BEA, a fait le déplacement, pour faire la promotion de son nouveau concept Genesis, dans un court discours résumant son 'keynote' de l'édition européenne de BEA World, qui s'est tenue à Barcelone en octobre dernier. Insistant sur la fin des progiciels intégrés et sur l'essor des mashups, ces services composés par les utilisateurs eux-mêmes, Alfred Chuang explique que l'avenir appartient aux « Dynamic business applications », un terme issu des analyses du cabinet Forrester, désignant des applications conçues pour être changées, et non pas simplement personnalisées. Un avenir rendu possible par la généralisation des SOA, les architectures orientées services. La réponse de BEA à ce challenge s'appelle « Genesis », « une initiative qui embrasse et étend tout ce que fait BEA », a sommairement expliqué Alfred Chuang, qui promet un lancement de la première étape de Genesis dès cet été. Dans un entretien avec Lemondeinformatique.fr, Mike Piech, directeur marketing senior pour les familles de produits WebLogic et Tuxedo, a indiqué que chaque nouvelle version d'un produit BEA comporterait désormais des spécificités liées à Genesis, tandis que certaines fonctionnalités seront délivrées en tant que modules autonomes. Dans tous les cas, a insisté Mike Piech, les produits BEA déjà installés dans l'entreprise seront pris en compte par les nouvelles technologies estampillées Genesis au même titre que le reste de l'existant : pas besoin de tout migrer. La première déclinaison de Genesis concernera les éditeurs souhaitant proposer leurs applications en mode Saas (Software as a service, ou application hébergée). « Parmi les exemples de fonctionnalités, il y aura la capacité de gérer plusieurs instances pour des clients différents, et de superviser l'usage du logiciel pour la facturation. » Genesis mêle mashups et Web 2.0 dans un monde post-SOA Mike Piech était monté sur scène pendant le discours d'Alfred Chuang pour effectuer et commenter une démonstration d'une application Genesis : un portail Web pour une marque automobile fictive, proposant plusieurs vues selon les utilisateurs (client, vendeur, concessionnaire, designer...), et privilégiant des techniques ainsi que des façons de travailler très Web 2.0 : collaboration via messagerie ou tableau blanc, glisser-déposer d'éléments applicatifs générant automatiquement des mashups... « La première démonstration live que j'ai vue moi-même de Genesis », a ensuite glissé Laurent Matringe, DG de BEA France, en guise de conclusion. Or, cela n'avait pas grand-chose de live, nous a ensuite avoué Mike Piech. Il s'agissait d'une vidéo retraçant ce que Genesis pourrait, à terme, offrir. Il reste, avant cela, beaucoup de travail à faire. Non seulement pour parvenir à cette création instantanée de mashups, mais aussi pour encadrer ce que pourront et ne pourront pas faire les utilisateurs. « Parmi les challenges à résoudre, indique Mike Piech, à chaque fois que j'effectue un glisser-déposer, j'augmente significativement la charge du service applicatif. D'où l'intérêt de la virtualisation pour ajouter dynamiquement des ressources. » Le DG France de VMware, partenaire de l'événement, avait d'ailleurs eu l'insigne honneur de monter sur scène le matin, BEA ayant multiplié ces derniers temps les annonces en matière de virtualisation. Toutefois, même avec de la virtualisation, les risques restent importants pour l'équipe d'exploitation. « Je ne peux pas prétendre que nous ayons déjà toutes les réponses », répond Mike Piech. (...)
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