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(05/02/2008 17:02:55)

Index Freelance.com : La demande baisse sensiblement sur l'ensemble des spécialités

En cette sixième semaine de l'année, Freelance.com relève une baisse sensible des demandes, pour des missions de courte durée, sur l'ensemble des compétences du top 10, soit un recul de 3 points en moyenne entre la dernière semaine de janvier et aujourd'hui : Java par exemple recule de 14% à 9,47% des demandes. Pourtant, le classement demeure inchangé ou presque : SAP repasse devant Java et DB/2 devant SQL Server. Les spécialités les plus demandées profitent toujours aux développeurs : la demande autour des langages de programmation se consolide pour représenter 28,14%, et gagner 2,5 points. Les professionnels des logiciels de gestion reviennent eux à la seconde place, un rang qu'ils ont longtemps trusté en 2007. En toute logique, la demande pour les professionnels des bases de données recule très légèrement. Les experts des grands logiciels gagnent du terrain, à en juger par le retour de l'AS/400 à la dernière place du classement. Les spécialistes du logiciel d'infographie 3D, 3DFX, arrive en 9e position, détrônant ainsi Javascript et PL/SQL, qui sortent du top 10. Quant à l'index, après plusieurs semaines de hausse continue, il fléchit sensiblement, à 487€. (...)

(05/02/2008 10:54:27)

Industriels et SSII recrutent une nouvelle fois sur Second Life

Le 12 février, de 15 heures à 21 heures, Second Life ouvre un ilot virtuel de recrutement aux ingénieurs et aux techniciens IT. Les candidats auront une journée pour rencontrer, sur le salon virtuel www.neojobmeeting.com, des SSII (Euriware, Teamlog) et des entreprises d'autres secteurs, comme Gaz de France, GE Energy Axa, La Française des jeux, ou le spécialiste en ingénierie électrique Converteam, qui ont, eux aussi, répondu présents. Côté SSII, Teamlog leur propose une vaste palette d'offres, sur l'ensemble de ces implantations. Tandis qu'Euriware, qui compte sur 500 nouveaux collaborateurs cette année, ouvre des postes pour renforcer ses activités de conception et de développement, d'architecture de système d'information, d'intégration de progiciels et de conseil en SI. Des postes à pourvoir dans l'industrie Les candidats qui souhaitent passer « chez le client » pourront également postuler chez Axa, (1500 recrutement prévus en 2008) à des postes de techniciens et de responsables support et de spécialistes des systèmes d'information. Sur l'îlot virtuel, Converteam (1200 recrutements) ouvre des postes de responsables de projet, d'ingénieurs « mise en service », d'ingénieurs en électronique de puissance ou de techniciens d'intervention. Gaz de France, pour sa part, compte recruter en 3D (339 offres) dans les métiers des NTIC et pour ses activités de R&D. GE Energy tente également l'expérience de la 3D pour embaucher des ingénieurs sur son site de Belfort, en ingénierie, management de projet et métiers de l'exploitation et de la production. Enfin, la Française des jeux profite de l'îlot virtuel pour recruter 40 CDI, des chefs de projet, des ingénieurs experts en nouvelles technologies, des spécialistes de la sécurité, des administrateurs d'applications, des ingénieurs réseaux/télécoms et systèmes. Pour participer, les candidats devront impérativement créer leur avatar sur Second Life. Ensuite, ils n'auront plus qu'à remplir les champs du formulaire (dans la rubrique « inscription ») en joignant leur CV et en indiquant les dates et horaires auxquels ils souhaitent s'entretenir avec un recruteur sur le salon. Une fois leur demande confirmée, ils recevront un lien pour se rendre directement sur l'île virtuelle TMPneo dans l'univers Second Life. Une formation sur la manière d'utiliser un avatar leur sera parallèlement délivrée. (...)

(04/02/2008 16:57:07)

Epanouissement et salaire, moteurs de la motivation des informaticiens

Pour avoir une idée de ce que pensent les informaticiens du marché de l'emploi, le site lesjeudis.com a demandé au cabinet d'études Harris Interactive de réaliser une enquête d'opinion sous forme d'un sondage. Chaque trimestre, Lesjeudis.com exploite ces résultats dans un baromètre de l'emploi. Les premières analyses du sondage révèlent que l'épanouissement dans le travail est la première motivation des informaticiens interrogés (pour 58% des réponses). Vient ensuite l'aspect de la rémunération : surtout citée par les employés des SSII, de 36 à 40 ans, la question du salaire est la première raison qui pourrait les amener à changer d'emploi (pour 53% d'entre eux). Il sont également 37% à évoquer en premier lieu le souhait de gagner un meilleur salaire dans les cinq années à venir, et 34% à considérer leur niveau de rémunération comme principale motivation. La moitié des informaticiens interrogés gagnent entre 30 et 50k€ par an, tandis que seuls 15 % d'entre eux perçoivent plus de 50 k€. Des offres d'emploi jugées insuffisantes à 80% Les résultats de l'enquête indiquent par ailleurs que les opportunités du marché de l'emploi sont jugées insuffisantes par la majorité des répondants (80%). Ils montrent également que l'opinion sur le nombre et la qualité des offres d'emploi diffère selon les profils. Ainsi, chez les sondés de moins de 26 ans, 63% pensent que les offres sont nombreuses et intéressantes. Pour 52% des répondants âgés de 31 à 35 ans, les offres sont nombreuses, mais peu intéressantes. Les 41 ans et plus, eux, sont d'un tout autre avis : 35% d'entre eux considèrent que les offres sont peu nombreuses mais intéressantes, et une proportion équivalente estime qu'elles ne sont ni nombreuses, ni même intéressantes ! Le degré de satisfaction est réparti de manière plus homogène entre les différents secteurs d'activité : 38% des répondants travaillant en SSII pensent que les offres sont suffisantes mais inintéressantes. 47% des informaticiens travaillant dans d'autres entreprises partagent cet avis. (...)

(04/02/2008 13:10:02)

Alcatel-Lucent supprime à nouveau 400 postes en France

Ce sont finalement 400 postes qui seront supprimés en France chez Alcatel-Lucent. Ces réductions viendront s'ajouter aux 1 006 suppressions déjà en cours chez l'équipementier. La direction a présenté son second plan de restructuration, vendredi 1er février, lors de la réunion du Comité Central d'Entreprise. Comme pour le précédent plan social annoncé en octobre 2007 (4 000 postes supprimés dans le monde, dont 1 468 en France), ce nouveau plan sera basé sur des départs volontaires, et des solutions de mobilité interne seront proposées aux salariés. Selon l'intersyndicale d'Alcatel-Lucent (CGT, CFTC, CFDT), les services commerciaux et de support aux clients sont les plus touchés par le projet de réorganisation. En revanche, les activités de Recherche et Développement (R&D) subissent un impact moins fort qu'en 2007. Dans ce domaine, les arrêts se trouvent en partie compensés par des créations et des transferts d'activités dans le mobile. 273 postes supprimés en région parisienne En France, c'est la région parisienne (Vélizy + Villarceaux) qui reste la plus frappée, puisqu'elle supporte les deux tiers des suppressions d'emplois à elle seule (soit 273 postes). La fermeture du site de Châteaufort est, par ailleurs, programmée pour 2008. Ses 850 salariés seront « redéployés » sur Villarceaux et Vélizy. Si les suppressions d'emplois dans cet établissement ne sont pas prévues dans le plan présenté par la Direction, l'intersyndicale évoque le risque de départs « hors plan », du fait de possibles refus de mobilité. Les salariés des sites de province, s'ils sont moins touchés, n'en sont pas pour autant rassurés sur leur avenir. En particulier, le site d'Ormes passera sous la barre des 500 salariés. Même constat pour le site de EU, dont les effectifs sont également revus à la baisse. La moitié des départs se feront par des préretraites et l'autre moitié par des projets externes, majoritairement en région parisienne, et ce, dans le cadre d'un projet qui devrait être terminé fin 2008. La procédure de consultation du CCE démarrera à la mi-février. (...)

(01/02/2008 12:26:43)

Modernisation du marché du travail : les représentants du portage salarial ne s'y reconnaissent pas

L'Opps (Observatoire Paritaire du Portage Salarial) ne se reconnaît pas dans la définition du portage salarial donnée par l'accord du 11 janvier 2008 sur la modernisation du travail.. Cette association, qui regroupe à ce jour le Sneps (Syndicat National des Entreprises de Portage Salarial), la CFDT, la CFE-CGC et la CFTC, estime en effet que l'article 19 de l'accord donne une définition du portage salarial qui ne saurait concerner les entreprises du Sneps. Elle considère que, contrairement à ce qui est spécifié par l'accord, le portage salarial ne correspond pas à un objet social spécifique, mais plutôt à une modalité particulière d'organisation d'entreprises relevant du champ conventionnel de leur activité principale. L'Opps insiste également sur le fait que les prestations réalisées doivent être des prestations de services et exclure toute mise à disposition de personnel (pas de transfert du lien de subordination à l'entreprise utilisatrice comme dans l'intérim). Tout en rappelant qu'il n'existe pas de corrélation entre le contrat de travail et le contrat de mission., et qu'il n'y a également pas de logique à limiter dans le temps le contrat de travail, car cela laisserait de nombreux seniors sans solution d'emploi après 3 ans. Rappelons que le portage salarial présente de nombreux avantages pour les informaticiens en phase de recherche d'emploi, de reconversion ou de réflexion quant à la création d'une entreprise ou d'une activité indépendante. Ce dispositif permet en effet de travailler de manière autonome sans perdre les bénéfices du salariat (assurance chômage, couverture maladie, retraite...). (...)

(31/01/2008 16:32:13)

Google et Facebook recrutent à hauts niveaux de salaires à Stanford

Google et Facebook batailleraient ferme pour s'approprier les meilleurs diplômés en informatique. Un billet publié sur le blog TechCrunch rapporte que les deux géants du Net manifestent un intérêt certain pour les étudiants de la prestigieuse université de Stanford, située à Palo Alto (Californie). Quitte à pratiquer des niveaux de salaires démesurés. L'année 2008 vient à peine de démarrer, que déjà, la majorité de la promotion a reçu des propositions d'emploi. Et si l'année dernière, les propositions de salaires annuels à destination des meilleurs étudiants atteignaient communément les 70 000 $, Facebook et Google se disent prêts cette année à surenchérir. Le premier, en offrant 92 000 $, et le second, 95 000 $ de rémunération annuelle aux futurs diplômés de Stanford. La palme revient aux titulaires de Master en informatique. L'un d'eux se serait vu proposer, par Google, pas moins de 130 000 $ de salaire annuel pour un poste de directeur de produit ! Pour TechCrunch, il semblerait que la Facebook Applications class, créée au semestre dernier par l'Université californienne pour former ses étudiants à plus d'une vingtaine d'outils disponibles sur Facebook, suscite bien des convoitises. Ainsi Slide, l'éditeur de widgets et son concurrent RockYou recrutent tout aussi intensivement à Stanford. Pour attirer ses futurs jeunes recrues, RockYou irait même jusqu'à leur annoncer qu'elles seront libres de continuer à développer les applications sur lesquelles elles avaient l'habitude de travailler à Stanford. Même s'il est plus que probable que RockYou risque d'absorber les outils développés en classe, au même titre que les jeunes diplômés. (...)

(29/01/2008 12:20:27)

Index Freelance.com : les spécialistes Unix toujours plébiscités

Depuis le début de l'année, la demande des recruteurs reste essentiellement concentrée sur les systèmes d'exploitation, les bases de données et langages de programmation. Les spécialistes d'Unix, d'Oracle et de Java restent sur des positions stables, tandis que la demande en experts de SAP continue sa progression. Les développeurs et les programmeurs constituent la plus forte demande de cette cinquième semaine de 2008, de même que les professionnels des bases de données, et ce, en dépit d'un léger fléchissement sur cette spécialité. Freelance.com observe en parallèle, une augmentation sensible des besoins des recruteurs sur les logiciels de gestion, en hausse de près de 2,5 points. Même si leur part baisse légèrement, on note en revanche que le couple .Net / SQL Server avance dans le classement, signe que la demande pour des profils maîtrisant les environnements Microsoft demeure soutenue, alors que MVS sort du classement. Quelle que soit la spécialité ou la compétence, les profils demandés restent très qualifiés, avec un index des tarifs prestations qui gagne encore 5 € par rapport à la semaine dernière. (...)

(29/01/2008 12:18:30)

Devoteam recrute et forme 60 spécialistes des réseaux IMS

Soixante collaborateurs vont être recrutés et formés à IMS par la société de conseil Devoteam. Les standards IMS (IP Multimedia Subsystem) définissent les nouvelles architectures des réseaux d'opérateur adaptées au transport convergent de la voix et des données. IMS constituera aussi le coeur commun aux réseaux fixe et mobile. Cette année, plusieurs sessions de formations, ouvertes également à quelques collaborateurs en interne, seront organisées tous les deux mois . La première qui réunit dix personnes a débuté le 21 janvier dernier. La prochaine session aura lieu le 10 mars prochain. D'une durée de deux semaines, ces formations combinent les modules théoriques et pratiques. Elles sont animées par des experts IMS et organisées dans les laboratoires de Devoteam de Massy et de Lannion. Les nouveaux consultants interviendront sur des missions en environnement IMS telles que les tests et la validation, le dimensionnement, l'intégration, ainsi que le déploiement d'équipement et d'architectures réseaux. Les candidats recherchés ont des profils techniques Bac +5, de formation télécoms ou système et réseaux et ayant une première expérience en environnement IP. Ils devront connaitre les protocoles de coeur de réseau (routing, switching, etc.), et avoir des notions en VoIP. (...)

(25/01/2008 13:43:44)

Sage recrute 1 000 collaborateurs dont 600 pour ses partenaires

Sage France annonce un plan de recrutement ambitieux pour 2008. Le spécialiste des logiciels de gestion compte en effet sur 1 000 collaborateurs de plus d'ici à la fin de l'année, pour lui et pour ses partenaires Ce programme intervient après l'intégration des sociétés acquises ces trois dernières années - Adonix, C2G, Elit, Cogestib, Xperts, KDP, XRT - et l'extension de l'éditeur sur de nouveaux marchés, en particulier vers les grosses PME (de 200 à 2 000 salariés et plus) et sur les marchés verticaux. Afin d'accompagner son propre développement, Sage prévoit 400 collaborateurs supplémentaires sur l'ensemble de ses 25 sites en France. Ces embauches concernent des candidats aux profils variés : des techniciens conseil et des ingénieurs support pour étoffer sa hot-line, des consultants techniques et avant-vente, des chargés de projet, des formateurs et des ingénieurs support et fonctionnels. Les postes à pourvoir visent également des analystes-programmeurs, chefs de projet et chefs de produit, pour bâtir de nouvelles offres ou pour suivre l'évolution des offres actuelles de l'éditeur. Sage compte aussi sur des commerciaux et des ingénieurs d'affaires et sur des spécialistes du marketing produits, clients et distribution pour contribuer à l'élaboration de sa stratégie, tant dans le domaine des produits que de la relation clients ou partenaires. Des outils pour aider les partenaires à recruter Dans le même esprit que l'éditeur de solutions de gestion d'infrastructures HP Software et Microsoft, l'éditeur va également aider son réseau de partenaires - revendeurs et intégrateurs - à trouver 600 collaborateurs sur des profils similaires. Pour l'aider à réaliser ces embauches, Sage a décidé d'impliquer ses ressources internes et des professionnels du recrutement et de la formation. «Nos revendeurs et intégrateurs ont besoin d'un accompagnement spécifique pour réaliser leurs embauches, expose Christine Coudert, directeur marketing partenaires et prospects. Ils n'ont pas les moyens d'une démarche qui, par ailleurs, ne s'inscrit pas dans leur coeur de métier. Nous les aidons, d'une part, en mettant à leur disposition des outils pour qu'ils recrutent eux-mêmes, et aussi en intervenant à 100% dans la formation et la recherche des nouveaux talents.» Ces futures compétences viendront renforcer l'écosystème Sage fort aujourd'hui de quelque 10 000 collaborateurs. (...)

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