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(05/10/2006 17:41:05)
Gartner prédit que 25% des ventes de logiciels proviendront des services hébergés d'ici 5 ans
Les revenus provenant des services applicatifs hébergés (Software as a Service ou SaaS) devraient représenter 25 % du chiffre d'affaires de l'industrie du logiciel d'entreprise d'ici 2011, contre à peine 5% l'an passé. Ces logiciels à la demande, souvent facturés à l'usage ou selon un modèle d'abonnement devraient de plus en plus séduire les entreprises, mais aussi menacer l'ordre établi entre les utilisateurs et les directions informatiques. Pour Robert DeSisto, vice-président des études de Gartner, les fournisseurs d'applications hébergées ne sont plus des fournisseurs de second rang : "ils ont commencé à améliorer la richesse fonctionnelle de leurs outils et ils cherchent à faciliter la personnalisation de leurs outils par leurs clients afin de s'adapter à leurs spécificités métiers". Pour DeSisto, l'adoption du modèle SaaS varie de façon significative selon le secteur d'activité. Par exemple, le modèle SaaS a représenté 8% du chiffre d'affaires des éditeurs de GRC (gestion de la relation client) en 2005 et il devrait atteindre 12% en 2006. A l'inverse, le modèle hébergé représente moins de 4% du CA des éditeurs de PGI (progiciel de gestion intégré) et d'outils de gestion de la chaîne logistique. En fait, il semble que le modèle rencontre le plus de succès auprès des PME mais aussi auprès des départements de grands comptes, où le pouvoir de décision des utilisateurs est le plus fort. Les responsables de certains départements comme les ressources humaines ou la direction commerciale ont ainsi été l'un des principaux moteurs du succès du modèle hébergé pour les applications de paie et de GRC. Pourtant DeSisto recommande que les DSI et les responsables métiers soient impliqués en commun dans le choix d'une solution hébergée et dans la gestion du contrat. " Le fait d'avoir les deux parties impliquées aboutit à de meilleures décisions et à une gestion plus efficace de la relation avec le fournisseur dans le temps." Après l'externalisation, le modèle hébergé devrait être l'un des chevaux de bataille de Gartner lors du Gartner Symposium/IT Expo qui se tiendra à Cannes du 5 au 9 novembre (...)
(20/09/2006 18:05:05)Oracle fête un bon premier trimestre sur un air d'arrogance
Résultats premier trimestre Chiffre d'affaires : 3,6 Md$ (+30%) Bénéfice net : 670 M$ (+29%) Oracle démarre très fort son exercice fiscal 2007 en rendant une copie pour le premier trimestre qui dépasse à la fois ses propres prévisions et les attentes des analystes. Le bénéfice net atteint 670 M$, soit une progression de 29% sur un an et le bénéfice par action s'aligne à 0,13 $. En laissant de côté les impacts des récentes acquisitions - Oracle a dépensé environ 20 Md$ au cours des trois dernières années en croissance externe en se payant notamment Peoplesoft et Siebel - le bénéfice croît de 26%, à 930 M$. Heureux actionnaires, leur titre leur rapporte 0,18 $ hors exceptionnel, soit davantage que les 0,16 $ escomptés par Oracle et les analystes. Enfin, le chiffre d'affaires du groupe bondit de 30%, à 3,6 Md$. Les observateurs tablaient sur un revenu de 3,47 Md$ et Oracle avait annoncé en juin une progression seulement comprise entre 19 et 20%. Le groupe a su profiter d'une spectaculaire croissance des ventes de nouvelles licences (+80% en valeur), celles-ci représentant 22% du CA global. Les mises à jour et le support ont, pour leur part, généré 54% des revenus du groupe, à 1,9 Md$. Enfin, les services complètent le tableau avec 846 M$. Un bon trimestre qui rend arrogant Forts de ces bons résultats, les dirigeants d'Oracle n'ont pu se contenter de se taper dans le dos en se félicitant. Ils ont également jugé bon de fanfaronner et de faire preuve de ce que d'aucuns qualifieraient d'arrogance à l'égard de leur principal concurrent, SAP. La première salve est tirée par Charles Philippe, le co-président du groupe, qui précise qu'Oracle a remporté 88 contrats au cours du trimestre pour lesquels il était placé en situation de concurrence frontale avec l'éditeur allemand. Le PDG, Larry Ellison, prend le relai en affirmant que la partie middleware de Fusion - la suite d'applications construite à partir des produits Oracle, Siebel et Peoplesoft - est "à des années [devant]" NetWeaver de SAP, un produit qui reste "relativement nouveau et incomplet". Poursuivant sur le même ton, Larry Ellison s'en prend ensuite à la stratégie de SAP et plus particulièrement à la décision de l'Allemand de ne sortir une nouvelle version de son PGI mySAP ERP qu'en 2010. "Ils auront deux années entières de retard sur la sortie de Fusion", explique Ellison. La réaction de SAP ne s'est pas faite attendre. Par la voix du vice-président Bill Wohl, l'éditeur rappelle que si la partie middleware de Fusion est disponible, le développement de l'ensemble de la suite applicative - nommée Project Fusion - doit théoriquement toucher à son terme en 2008. Et que ces futurs développements n'existent à l'heure actuelle "que sur PowerPoint". Pire encore, l'éditeur d'Outre-rhin accuse à demi-mot son concurrent de tromper son monde sur l'état d'avancement de Fusion. "En janvier, Oracle prétendait qu'il avait développé la moitié de Fusion et, il y a deux semaines, il affirmait qu'il n'en avait pas encore terminé la moitié. Oracle doit se fixer sur une version de la vérité et être honnête sur son état d'avancement". (...)
(20/09/2006 12:36:59)Oracle signe un premier trimestre dépassant toutes les prévisions
Résultats premier trimestre Chiffre d'affaires : 3,6 Md$ (+30%) Bénéfice net : 670 M$ (+29%) Oracle démarre très fort son exercice fiscal 2007 en rendant une copie pour le premier trimestre qui dépasse à la fois ses propres prévisions et les attentes des analystes. Le bénéfice net atteint 670 M$, soit une progression de 29% sur un an et le bénéfice par action s'aligne à 0,13 $. En laissant de côté les impacts des récentes acquisitions - Oracle a dépensé environ 20 Md$ au cours des trois dernières années en croissance externe en se payant notamment Peoplesoft et Siebel - le bénéfice croît de 26%, à 930 M$. Heureux actionnaires, leur titre leur rapporte 0,18 $ hors exceptionnel, soit davantage que les 0.16 $ escomptés par Oracle et les analystes. Enfin, le chiffre d'affaires du groupe bondit de 30%, à 3,6 Md$. Les observateurs tablaient sur un revenu de 3,47 Md$ et Oracle avait annoncé en juin une progression seulement comprise entre 19 et 20%. Le groupe a su profiter d'une spectaculaire croissance des ventes de nouvelles licences (+80% en valeur), celles-ci représentant 22% du CA global. Les mises à jour et le support ont, pour leur part, généré 54% des revenus du groupe, à 1,9 Md$. Enfin, les services complètent le tableau avec 846 M$. Pour le deuxième trimestre, Safra Catz, la directrice financière, table sur une croissance du bénéfice net comprise entre 13 et 17% et sur un chiffre d'affaires en hausse de 22 à 24%. (...)
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