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ERP
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(30/09/2009 11:20:20)
Oracle achète les logiciels de reporting financier de HyperRoll
Oracle a décidé d'acheter les actifs logiciels de l'éditeur HyperRoll pour renforcer l'offre de gestion financière de sa suite Enterprise Performance Management. La société acquise par le Californien propose des outils d'accélération du reporting financier utilisés par les grands comptes pour agréger les différentes données nécessaires à la clôture de leurs comptes en fin d'exercice. Parmi les outils du catalogue, Data Performance Management System sert à optimiser les performances des requêtes vers les datawarehouses et Livelink produit le reporting pour le logiciel de gestion financière Hyperion d'Oracle. L'offre d'HyperRoll fonctionne bien sûr avec la base de données d'Oracle mais aussi avec DB2 d'IBM, SQL Server de Microsoft, Teradata et Sybase ASE. Son acquéreur n'a cependant pas précisé si il continuerait d'assurer le support pour les SGBD concurrents du sien. Pas plus de commentaire en ce qui concerne certains des logiciels d'HyperRoll destinés aux clients SAP, concurrent d'Oracle dans le monde des ERP. (...)
(24/09/2009 15:08:31)Microsoft achète quatre solutions métiers pour son ERP Dynamics AX
Microsoft pousse un cran plus loin la politique de verticalisation métier qu'il a engagé autour de son ERP Dynamics AX, destiné aux entreprises de 200 à 7 500 salariés. L'éditeur vient de racheter quatre offres développées sur son ERP par des partenaires intégrateurs très bien implantés dans son écosystème. Ces solutions éprouvées sont spécialisées sur trois secteurs d'activités : les industries de fabrication par process, les services professionnels et les points de vente. Certaines faisaient déjà partie du catalogue Dynamics AX de Microsoft depuis un certain temps. C'est le cas de Process Industries, conçue par Fullscope pour les industriels travaillant sur des activités de mélange (typiquement la chimie, la pharmacie, l'agro-alimentaire, l'industrie du papier...). Désormais, le logiciel passe complètement chez Microsoft. « Nous n'achetons pas l'entreprise, mais la solution », précise Crispin Read, directeur général des solutions ERP de la division Dynamics.
De la même façon, Microsoft a racheté une solution de son partenaire Computer Generated Solutions, développée pour les acteurs des services professionnels qui doivent gérer des projets, affecter des ressources et facturer des interventions. Les deux autres produits acquis ont été mis au point par les partenaires LS Retail EHF et To-Increase Denmark A/S (une filiale de Columbus IT Partner A/S) pour le commerce de détail. La volonté de Microsoft de renforcer son ERP Dynamics AX sur certains secteurs d'activités remonte à plusieurs années. Cette stratégie avait en particulier franchi une étape en 2007, à l'occasion de plusieurs annonces faites lors de la conférence utilisateurs Convergence, déjà autour de l'offre de Fullscope. Outre les trois secteurs faisant l'objet des rachats annoncés cette semaine, Microsoft vise aussi le marché de la distribution et le secteur public avec son ERP Dynamics AX.
Les partenaires ont toujours un rôle à jouer
« Il y a cinq ans, on pouvait encore vendre à une entreprise un ERP générique que l'on personnalisait ensuite », évoque Crispin Read. Ce temps est révolu. Le marché demande davantage de profondeur métier dans les fonctionnalités. Le directeur de la division ERP de Microsoft note que Dynamics AX se retrouve souvent en concurrence avec des solutions ERP verticalisées comme SAP All-in-One, sur des projets comptant un millier d'utilisateurs. Avec les quatre acquisitions qu'il vient de réaliser, Microsoft peut désormais proposer sur trois marchés un moteur standard qui apporte toutes les fonctions requises à une typologie métier donnée. L'objectif est d'apporter aux clients une solution plus immédiatement adaptée à leurs besoins.
Pas question pour autant de diminuer l'importance des partenaires. Ils auront toujours un rôle à jouer, affirme l'éditeur, en apportant des personnalisations complémentaires à la solution, en fonction des besoins spécifiques des clients. Ou encore en réadaptant un module pour un autre secteur. Questionné sur l'implication future des éditeurs d'origine dans l'évolution des quatre solutions, Microsoft indique que plusieurs modèles vont être utilisés, du transfert de connaissance au contrat de développement. L'éditeur dit avoir acquis la propriété intellectuelle des produits. L'ERP Dynamics AX compte plus de 11 000 clients dans le monde dont 250 en France. L'autre ERP de Microsoft distribué en France, Dynamics NAV, vise une cible différente, plus large (les PME de 50 à 1 000 salariés). Il rassemble plus de 70 000 clients dans le monde dont 2 000 en France. (...)
Oracle 11g R2 simplifiera les mises à jour de progiciel... ou pas
Deux ans après la sortie de la version 11g de sa base de données, Oracle a officiellement lancé sa mise à jour, la R2 (ou Release 2). L'édition pour Linux est d'ores et déjà disponible, tandis que les éditions pour Unix suivront d'ici à la fin de l'année, et l'édition Windows début 2010. Parmi les principales nouveautés, cette R2 donne la possibilité de procéder à des mises à niveau des progiciels en utilisant deux éditions de la base. Des déclencheurs dits de « cross-edition » propagent les modifications de données d'une édition à l'autre. Cela permet de procéder à la mise à jour des applicatifs sans stopper la base, de tester la nouvelle version en production, et de revenir à l'ancienne version en cas de souci. Toutefois, après cette belle annonce en plénière devant un parterre de clients et partenaires réunis hier à Paris, Mark Townsend, vice-président d'Oracle responsable du SGBD, a reconnu que cette fonction demandait à être supportée par les progiciels. Or, même ceux d'Oracle ne la prennent pas encore en compte. « Ce sera le cas au fur et à mesure des prochaines versions », nous a-t-il assuré. RAC One Node, une option pour ne payer que pour un noeud du cluster Mark Townsend est aussi revenu longuement sur RAC (Real application cluster), la technologie de type grid d'Oracle. RAC est la réponse de l'éditeur aux entreprises cherchant de la haute disponibilité et un accroissement continu des performances (en ajoutant des noeuds au cluster). Toutefois, les clients ont plus d'une base en production, et des besoins différents. 11gR2 inaugure donc un partitionnement dynamique du grid : les entreprises pourront constituer des pools de serveurs correspondant à des besoins précis, ainsi qu'un pool 'libre', dont les ressources pourront être allouées dynamiquement par le logiciel de gestion selon les besoins. A noter aussi l'apparition d'une option tarifaire : RAC One Node. Destinée à des bases trop petites pour nécessiter une distribution sur deux noeuds, l'offre permet de payer pour un seul noeud tout en bénéficiant des capacités de RAC : reprise après panne automatique sur un autre serveur de la grappe, ou bascule pour des opérations de maintenance. La version 2 d'Exadata tire parti des technologies Sun pour les systèmes OLTP Une grande partie de la présentation de Mark Townsend a porté sur Exadata, dont la version 2 avait été dévoilée quelques jours auparavant. Sans grande surprise, alors que la première version de cette « Oracle Database Machine » reposait sur du matériel HP, la v2 d'Exadata est conçue sur du matériel Sun (les processeurs restant des Intel Xeon 5500). Et cette fois, Oracle se sent autant en confiance dans le domaine des datawarehouses, qui était le marché de prédilection d'Exadata v1, que dans celui de la consolidation de bases transactionnelles (OLTP) : l'ajout d'une mémoire cache Flash, basée sur la technologie FlashFire de Sun, a apparemment permis de supprimer le goulet d'étranglement pour les entrées/sorties. [[page]]Oracle explique ainsi que la configuration peut aller jusqu'à 64 coeurs, environ 400 Go de RAM, 336 To de stockage par rack, 5 To de mémoire cache en Flash, et 1 million d'entrées/sorties par seconde. Et pour améliorer encore les performances, certaines requêtes sont traitées directement au niveau des systèmes de stockage, ce qui fait d'Exadata, a indiqué Mark Townsend, un système massivement parallèle. Du stockage vertical pour une compression améliorée dans Exadata Pour le décisionnel, Oracle inaugure une technologie de compression bien connue des éditeurs de SGBD verticaux comme Streambase ou Sybase, mais que l'éditeur californien préfère appeler « hybrid columnar compression ». Oracle affirme pouvoir ainsi atteindre des taux de compression d'un facteur 10 pour les données les plus souvent requêtées, et d'un facteur 15 à 50 pour les données en mode archivage. Le tout pour un prix ridicule, à en croire Mark Townsend, qui a comparé l'achat de deux de ces « appliances », pour 2,3 M$, à celui d'une configuration équivalente chez IBM (serveurs Power 595 et unités de stockage DS8300 Turbo), coûtant d'après lui 10,7 M$. Tout le discours de Mark Townsend s'articulait en effet autour des économies que les entreprises sont censées pouvoir réaliser en passant à 11g R2 ou, mieux, en passant directement à Exadata équipé de sa 11g R2 préconfigurée. Le vice-président d'Oracle a ainsi promis qu'on pouvait diviser par 5 ses coûts en matériel en mettant en oeuvre les technologies de grid offertes par RAC et les nouvelles techniques de compression. Objectif : faire migrer la moitié de la base en un an La migration elle-même d'une ancienne base Oracle vers la 11g R2 est censée ne coûter « qu'un quart du coût de la mise à jour de 9i à 10g ». Des possibilités de captures de transactions ont été ajoutées à 11g, qui permettent de jouer de vraies transactions lors des tests de la nouvelle base. Cela allié à des outils d'analyse et d'optimisation devrait grandement aider les clients, estime Mark Townsend. Qui veut croire que « au moins la moitié des 70 à 75% des clients des SGBD Oracle utilisant aujourd'hui la version 10g devrait migrer dans le courant de l'année suivant la disponibilité ». (...)
(09/09/2009 09:29:46)Les services autour de SAP dominent les services applicatifs
Selon le cabinet PAC, la TMA et l'intégration liées à SAP représentent 27,4 milliards d'euros dans le monde en 2008. Ce montant représente 9% du total des services informatiques (hors hébergement) et constitue ainsi le premier marché autour d'une application. Géographiquement, l'Europe reste en tête avec 50% du marché (Allemagne : 17% ; Grande Bretagne : 7% ; France : 5%; Reste de l'Europe : 21%) tandis que le Continent américain compte pour 38% et la zone Asie-Pacifique pour 12%. Si on excepte certains pays émergents comme le Brésil (+5,3%) et la Chine (14,4%), les ventes de licences sont en chute libre. Mais l'éditeur compense avec les services de maintenance pour continuer sa croissance. Selon PAC, il continue d'exister malgré tout dans les entreprises de grands projets de transformation basés sur SAP et le marché du secteur public (projet Chorus, Noyau Commun de Paye, etc.) est en pleine effervescence. Malgré la forte augmentation du nombre de modules disponibles (la gestion de la relation fournisseur et le contrôle de la conformité ont le vent en poupe), la comptabilité-finance domine toujours les déploiements avec 25% tandis que le décisionnel représente 20%. Face à la complexité grandissante des projets, les entreprises préfèrent découper les implémentations en étapes claires pour limiter les risques et voir le début des retours le plus tôt possible. La TMA sur la pente ascendante La migration vers ECC 6.0 constitue une autre source de ventes de licences comme de services d'intégration. En 2008, entre 10 et 15% des entreprises avaient procédé à cette évolution. Un taux qui devrait atteindre entre 25 et 30% en 2009. Mais il reste à justifier sur le plan économique une telle opération qui, d'ailleurs, pour limiter les risques, est en général purement technique et iso-fonctionnelle. Conseil et intégration dominent encore le marché des services autour de SAP face à la TMA mais cette dernière voit ses parts croitre. En 2008, elle représentait 28% contre 72% pour le conseil et l'intégration. En 2013, selon PAC, ces proportions devraient atteindre respectivement 34% et 66%. « Le problème de la TMA classique est la gestion dans la durée du patrimoine applicatif mais ce sujet est désormais, en général, intégré au contrat, tout comme les déploiements de nouveaux sites » explique Eang Ang Ong, consultant intégrateur SAP chez IBM Global Business Services. Pour lui, « la TMA est même intégrée dans le plan du projet dès l'origine et on passe ainsi directement de la phase projet à celle où la maintenance est externalisée, sans phase de gestion interne de la maintenance ». Une maintenance toujours trop chère [[page]]La TMA coûte en général de 10 à 25% du coût global de mise en oeuvre initiale du projet. Mais il convient de ne pas oublier les 22% de la maintenance directement liée à l'éditeur SAP. Ce taux s'applique sur le seul coût des licences qui représente en moyenne de 20 à 50% du coût total du projet. Mais Eang Ang Ong refuse d'établir un ratio global, même sous forme de fourchette, car les situations sont trop variables. Si on prend les extrêmes cités, il est vrai que le coût récurrent annuel va de 14% (10% du coût total du projet + 22% du cinquième de celui-ci) à 36% (25% + 22% de la moitié) du coût initial du projet, ce qui est très large... « Les PME exigent des solutions pré-configurées, très packagées, qui tirent les leçons des implémentations depuis l'origine de l'éditeur, mais le coût de licence leur semble tellement élevé qu'elles ne comprennent pas le coût élevé de la maintenance, y compris la seule maintenance corrective » admet Eang Ang Ong. (...)
(07/09/2009 16:37:51)SAP étend, avec SAF, son offre adaptée au secteur de la distribution
SAP a annoncé avoir acquis 63,12% du capital de la société SAF (Simulation, Analysis and Forecasting) à laquelle il a fait une offre amicale de rachat fin juillet, à hauteur de 11,50 euros par action. Cet éditeur suisse, qui existe depuis 1996 et compte une centaine de collaborateurs, s'est spécialisé dans les solutions de planification de la chaîne logistique et de réapprovisionnement, principalement destinées au secteur de la distribution. La société a été fondée par Gerhard Arminger et Andreas von Beringe, son actuel PDG. Alors que de nombreux éditeurs ont accusé ces derniers mois une baisse sur leurs revenus, en particulier sur leurs ventes de licences, SAF a vu les siennes grimper de 171% au premier trimestre et de 148% au deuxième trimestre. Sur les six premiers mois de 2009, son chiffre d'affaires global a progressé de 62,4% à 9 M€ (en 2008, il a réalisé un chiffre d'affaires de 13,4 M€). Pour les acteurs de la distribution, SAF édite deux suites logicielles : SAF RetailSuite Store, pour automatiser les processus de réapprovisionnement dans les magasins, et SAF RetailSuite Warehouse, qui couvre la prévision de la demande. Son troisième produit, SuperForecast, est une application de prévision de la demande qui peut être utilisée plus largement par différents secteurs industriels. SAP connaît bien ces offres. L'éditeur allemand précise que les composants de base des applications SAF sont intégrés depuis 2002 à son offre verticale SAP for Retail destinée au secteur de la distribution. Les actionnaires de SAF n'ayant pas encore souscrit à l'offre de SAP à 11,50 euros l'action peuvent le faire jusqu'au 18 septembre. (...)
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