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(25/08/2009 16:31:23)

Annuels Open Text : des ventes trimestrielles freinées par le rachat de Vignette

John Shackleton, PDG de l'éditeur canadien Open Text, a reconnu, lors de l'annonce des résultats annuels de sa société, avoir été déçu par le chiffre d'affaires de son quatrième trimestre (clos fin juin), inférieur aux prévisions établies. Les ventes de licences ont baissé de 8% par rapport au 4e trimestre fiscal 2008, à 63 M$ (sur un chiffre d'affaires de 203,4 M$, exprimés en dollars américains). Le PDG juge que les clients ont attendu d'en savoir plus sur la nouvelle stratégie de gestion de contenus Web (WCM) d'Open Text, à la suite du rachat de l'Américain Vignette, annoncé en mai dernier. Cette acquisition a été entérinée en juillet par l'éditeur canadien, sur le premier trimestre de son exercice fiscal 2010.

Le rapprochement des deux sociétés va entraîner des charges de restructuration. Lors de la conférence de présentation des résultats, Paul McFeeters, le directeur financier d'Open Text, a indiqué qu'elles devraient se situer entre 32 et 40 M$, dont 26 à 31 M$ consacrés aux charges de restructuration de l'effectif.

John Shackleton a précisé qu'au quatrième trimestre, un tiers des 63 M$ de licences vendues concernaient de nouveaux clients, les autres ventes ayant été réalisées avec la base installée d'Open Text. Le chiffre d'affaires se répartit à parts presque égales entre Amérique du Nord et Europe. La zone Asie-Pacifique ne représente que 5%. Le PDG a également confirmé que les ventes d'applications ECM de sa société étaient toujours tirées par les solutions liées aux ERP et par les projets visant à mettre la gestion des contenus en conformité avec les exigences réglementaires (Sarbanes Oxley, Bale II...). Il souligne par ailleurs le succès de ses offres associées aux applications SAP. (...)

(11/08/2009 16:22:54)

Sous Windows, le SP2 de BusinessObjects XI 3.1 peine à s'installer

Inutile d'espérer installer le SP2 de BusinessObjects Enterprise XI 3.1 sur un serveur Windows rapidement. Les premiers à avoir tenté cette installation se plaignent de durées records pour y arriver. Certains évoquent 18 heures d'immobilisation complète du système. Qui plus est, sans avoir atteint le bout de la procédure. Chez SAP, on incrimine l'installer de Microsoft sous Windows. Tim Lang, vice president product management, indique que le SP2 s'installe sans difficulté sur les plateformes Linux et Unix. Il précise que le problème avait été souligné dans la documentation de la version Windows et que la procédure d'installation du SP3 empruntera une approche différente. La question "quand le SP3 sera-t-il disponible ?" est pour l'instant sans réponse. (...)

(10/08/2009 15:38:54)

SAP pourrait racheter Tibco et ses solutions d'intégration

D'après le site d'information financière allemand Euro am Sonntag, l'éditeur d'applications de gestion SAP porte actuellement son attention sur Tibco et ses solutions d'intégration. Un projet de revente de ces middlewares par SAP aurait été évoqué fin 2008 et aurait évolué vers un projet d'acquisition de l'éditeur américain par le fournisseur allemand. Ce dernier n'a pas souhaité commenter la rumeur. SAP possède déjà ses propres outils de middleware, développés au sein de sa plateforme technologique Netweaver. Néanmoins, ceux de Tibco lui permettraient d'élargir ses capacités d'intégration avec un plus grand nombre d'applications externes. Sur le terrain du middleware, Oracle, principal concurrent de SAP, a fait il y a un an et demi l'acquisition de BEA Software et de son offre WebLogic, pour la coquette somme de 8,5 Md$ (un montant supérieur aux 7,4 Md$ récemment que la société de Larry Ellison a récemment proposé pour Sun). SAP veut acheter SAF, éditeur de solutions logistiques Pour SAP, la dernière initiative de croissance externe remonte au 20 juillet et porte sur une offre faite au Suisse SAF, un éditeur de logiciels de planification logistique employant 90 personnes. Toujours selon Euro am Sonntag, SAP manifesterait également un intérêt pour Teradata et ses applications d'entrepôts de données (datawarehouses). En avril, les deux éditeurs ont déjà noué un partenariat pour constituer une offre commune. Dans ce domaine du décisionnel, le mois de juillet a été marqué par le rachat du spécialiste du datamining SPSS par IBM qui renforce ainsi l'offre de business intelligence qu'il s'est constitué avec Cognos. Fin juillet, SAP a présenté sur son deuxième trimestre fiscal un bénéfice net en légère progression (+4%), à 423 M€, en dépit d'un chiffre d'affaires en recul de 10% à 2,58 Md€ et de ventes de licences en baisse de 40% par rapport à l'an dernier. (...)

(13/07/2009 18:59:02)

Annuels Lawson Software : ventes de licences en baisse en Europe

Lawson Software a achevé son année fiscale le 31 mai 2009 sur un chiffre d'affaires de 757,3 M$, en recul de 11% par rapport à l'an dernier (chiffres non audités). L'éditeur américain de progiciels de gestion (ERP) a subi sur son dernier trimestre une baisse de 20% de son chiffre d'affaires. Il dit avoir souffert des variations de taux de change. A taux constant, son chiffre d'affaires annuel aurait reculé de 6% et celui du quatrième trimestre, de 12%. Les revenus générés par les licences ne pèsent que 14,5% du chiffre d'affaires annuel, contre 46,2% pour ceux de la maintenance et 39,2% pour ceux du conseil et des services. Lawson enregistre sur ses ventes de licences une baisse de 17% sur l'année, à 109,68 M$, et de 19% sur le dernier trimestre, à 33,6 M$ (-12% à taux de change constant). Il invoque une baisse des ventes auprès des industries de fabrication sur la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique). Rappelons que l'Américain Lawson a racheté en juin 2005 l'éditeur suédois Intentia et son ERP Movex, rebaptisé ensuite Lawson M3, bien implanté en Europe et en France, en particulier dans l'industrie, l'agro-alimentaire et la mode. Sur ses revenus issus de la maintenance, Lawson fait état d'une baisse de 4% au dernier trimestre, à 85 M$. Ceux du conseil et des services chutent de 34%, à 67,9 M$. Toutefois, Lawson affiche un bénéfice net de 9,8 M$ sur le trimestre, contre 3,7 M$ l'an passé, en raison notamment de la révision à la baisse d'une provision pour dépréciation, d'une réduction de ses dépenses opérationnelles (marketing, administratives, R&D...) et d'une hausse de sa marge brute de 2 points, à 55%. La marge opérationnelle tourne autour de 6%. D'ici fin août, sur le premier trimestre de son nouvel exercice, l'éditeur prévoit un chiffre d'affaires situé entre 160 et 165 M$. L'éditeur a déjà procédé à deux vagues de réductions de postes depuis le début de la crise économique, 200 en novembre 2008 et 150 en mai dernier. (...)

(09/07/2009 17:16:48)

Licences logicielles : Forrester renforce sa charte des droits du client

Forrester vient de mettre à jour la « charte des droits des titulaires de licences logicielles » qu'il a établie en 2006 pour servir de base aux négociations menées par les entreprises avec les éditeurs lors de leurs achats de logiciels (*). Le cabinet d'études a jugé nécessaire d'ajouter onze droits à sa liste pour tenir compte, notamment, des nouveaux modes de commercialisation qui se développent ou s'annoncent, en particulier le mode Software as a service (Saas), les plateformes de développement en ligne (Paas), le cloud computing, les services managés et la virtualisation. La version 2 de la charte comporte au total 47 articles passant en revue les droits de base de l'acquéreur sur une dizaine d'années, depuis la prise de contact avec le fournisseur jusqu'à la fin de vie du produit. Les articles sont répartis en six rubriques : les règles d'engagement générales, la sélection du logiciel, la mise en place, l'utilisation, la maintenance et l'arrêt de la commercialisation. Parmi les dispositions déjà listées figuraient des dispositions aussi évidentes que la courtoisie montrée au client, l'obligation de fournir le contrat de vente dans son intégralité, le choix libre de l'intégrateur, la définition du niveau de service (SLA), le paiement en fonction de l'usage réel ou encore l'accès illimité au support en cas de sinistre. Mode SaaS : des garanties en cas de faillite du vendeur Les onze droits supplémentaires ont été ajoutés par Forrester après un sondage mené auprès d'une centaine d'utilisateurs et de 71 fournisseurs. Il s'en dégage quatre thèmes, constate Ray Wang, l'analyste qui a conduit l'étude : le support des nouvelles options de déploiement, les réductions de coût qu'il sera possible d'obtenir au-delà de l'actuelle récession, une indépendance renforcée vis-à-vis du vendeur et la possibilité pour le client d'intervenir davantage sur les bonnes pratiques. Les acheteurs doivent pouvoir bénéficier, par exemple, des réductions de coûts apportées par les technologies de virtualisation. A l'inverse, les entreprises choisissant le mode Saas doivent légitimement obtenir des garanties pour accéder au logiciel en cas de faillite du vendeur. Parmi les nouveaux droits inclus par Forrester figure aussi la nécessité d'indiquer précisément au client l'ensemble des fonctionnalités standards du logiciel, en renseignant sur celles qui nécessitent une personnalisation. Sur les questions de maintenance enfin, Forrester juge que le client devrait pouvoir choisir de recourir au support uniquement sur certains modules de l'application. En fin de vie du produit, le fournisseur devrait fournir un autre type de support, moins coûteux. Enfin, le cabinet d'études estime indispensable que l'entreprise puisse accéder à des programmes lui permettant de migrer sans douleur vers la nouvelle version. (*) Enterprise Software Licensee's Bill of Right (...)

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