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(20/04/2009 17:57:56)
Le marché de la « gestion des talents » porteur malgré la crise
La « gestion des talents » couvre aussi bien celle des « compétences » au sens propre (celui de la GPEC, gestion prévisionnelle des emplois et des compétences) que l'évaluation, la formation, la fidélisation et la motivation du personnel, le recrutement, les campagnes de promotion pour susciter des candidatures, etc. Le champ est donc large mais, selon une étude du cabinet Markess, encore peu couvert par des solutions informatiques adéquates et le marché est donc susceptible d'une forte croissance. Ainsi, seules 28% des organisations possèdent déjà une solution informatique et 21% sont en train de s'équiper, 11% le prévoyant d'ici 2011. Malgré la crise, 36% des répondants à l'enquête de Markess International estiment que le budget consacré aux outils informatiques de gestion des talents va croître (dont 6% pour qui la croissance sera supérieure à 20%). 43% estiment que le budget va stagner et seuls 21% qu'il va baisser. Selon Markess, le marché des logiciels et services de gestion des talents sera donc en 2011 de 270 millions d'euros, soit 10% du marché des solutions informatiques de gestion des Ressources Humaines. D'abord retenir les talents internes Le premier objectif d'une gestion des talents est, pour 45% des répondants, de retenir les talents déjà en possession de l'organisation en les fidélisant, en les motivant, en réduisant le turnover... A l'inverse, 19% des répondants souhaitent en premier lieu attirer des talents extérieurs et, enfin, 15% veulent commencer par détecter les talents, notamment les « talents émergents ». Plus de 50% des répondants estiment qu'il y a toujours, malgré la crise, une véritable guerre des talents. Les solutions informatiques visent avant tout à suivre les entretiens annuels, le suivi des objectifs et des performances (49% des répondants le font, 25% le mettent en place en ce moment et 21% l'envisagent d'ici 2011). Le recrutement externe n'est un usage d'une telle solution que pour 43% aujourd'hui (19% déploient actuellement une solution et 21% l'envisagent d'ici 2011). Une fonction très appréciée est la création de portails de « self-service » pour les salariés de l'organisation. En marge du PGI Une des caractéristiques de ce marché, au milieu des logiciels de GRH, est que la majorité des utilisateurs actuels ou potentiels estiment préférable d'utiliser un logiciel propre, spécialisé, en marge du PGI de l'entreprise alors même que la paye, par exemple, est une des fonctions de base de ce même PGI. L'étude « gestion des talents se base sur une enquête en ligne et sur 150 interviews de décideurs (71% de DRH, 21% de DG et 8% de DSI), à raison de 25% dans l'industrie, 13% dans la banque-assurance et 10% dans le secteur public. 53% des répondants appartiennent à des organisations de plus de 2000 salariés et 77% à des organisations rattachées à un groupe. Pour compléter, 16 entretiens auprès de prestataires du domaine ont été réalisées. (...)
(15/04/2009 09:26:08)Pour Oracle aussi, la maintenance constitue un revenu crucial
En période de récession, le chiffre d'affaires lié à la maintenance des logiciels constitue une source de revenu cruciale pour les éditeurs, à un moment où de nombreux clients révisent à la baisse leurs achats de nouvelles licences. Oracle n'échappe pas à la règle. Sur son troisième trimestre fiscal, les mises à jour et le support réalisés sur ses logiciels lui ont permis d'engranger 2,9 Md$ (+11% par rapport à l'année précédente) quand, dans le même temps, le chiffre d'affaires sur ses ventes de logiciels baissaient de 6%, à 1,5 Md$ (*). Les analystes ne sont donc pas surpris que l'éditeur ne modifie pas d'un iota ses tarifs de support sur les nouveaux contrats qu'il finalise pour la fin de son exercice fiscal (qui s'achève le 31 mai prochain). Le taux de maintenance annuel de ses logiciels s'élève à 22% du prix de vente des licences. Un taux sur lequel s'est aligné depuis un an son principal concurrent, SAP, au grand dam d'un certain nombre de ses utilisateurs qui pouvaient jusque-là ne débourser que 17% du coût des licences. Pour Ray Wang, analyste de Forrester, il est possible que des clients d'Oracle bénéficient, ici ou là, de concessions autour du support. Mais il ne s'agit pas à proprement parler de réductions sur le prix de la maintenance. Aux Etats-Unis, les contrats peuvent par exemple comporter une clause permettant de réajuster annuellement la facture de maintenance en fonction de l'indice des prix à la consommation (Consumer Price Index, CPI), pour tenir compte de l'inflation. « Certains utilisateurs demandent à Oracle de lâcher du lest sur ce point », indique Eliot Arlo Colon, président de la société Miro Consulting, qui conseille les clients dans leurs négociations. Un arrangement facilité par le fait que l'indice CPI est plutôt anémique cette année. Un revenu récurrent capital pour les éditeurs français Oracle ne s'empresse pas non plus « à faire des concessions sur le prix des nouvelles licences », remarque Ray Wang. A la place, l'éditeur essaie de fournir des bonus à ses clients : « Il les assiste lors de l'installation, renforce la formation, ajoute certains outils qui peuvent faciliter la mise en place », énumère l'analyste de Forrester en estimant que ces divers éléments peuvent être quelquefois plus intéressants qu'une réduction pure et simple de la facture. Les revenus de la maintenance constituent pour tout éditeur un poste essentiel. Pierre Marty, associé de PricewaterhouseCoopers, le rappelait la semaine dernière à Paris à l'occasion du colloque de l'Afdel (association française des éditeurs de logiciels) : « Il ne faut pas céder sur tous les tableaux chez le client. Il ne faut pas céder, notamment, sur la réduction du contrat de maintenance, ou bien alors, négocier sur sa durée ». A sa suite, Jean-Michel Lorenzi, directeur de ServiceSource, expliquait comment sa société pouvait aider les éditeurs à augmenter la part des revenus récurrents dans leur chiffre d'affaires. (*) une baisse dûe en grande partie aux variations des taux de change, précise Oracle. (...)
(10/04/2009 16:30:48)Un outil gratuit pour réduire les délais de clôture d'exercice avec SAP
Spécialisé dans les outils simplifiant le transfert des données vers l'environnement SAP, Winshuttle a développé pour les départements comptables un utilitaire gratuit qui simplifie les tâches de clôture d'exercice. En pratique, l'outil ClosingExpress proposé au téléchargement fournit un modèle pour répertorier dans Excel toutes les tâches de clôture. Le chargement de celles-ci peut ensuite être automatisé vers le module SAP Financial Closing Cockpit. Par ailleurs, Winshuttle a récemment livré queryShuttle, un logiciel permettant d'extraire des données de l'ERP SAP (versions ECC6 et ECC5) vers des fichiers Microsoft Excel ou Access, à des fins d'analyse et de reporting. (...)
(02/04/2009 17:43:09)Hausse des tarifs SAP : l'USF se trouve mener la rébellion
La hausse du coût de maintenance annuelle des logiciels SAP, de 17 à 22% du prix des licences (pour le contrat Enterprise Support), ne passe toujours pas chez certains clients français. Pas plus que chez de nombreux autres un peu partout dans le monde. Et, cette fois, le club des utilisateurs SAP francophones (USF) semble avoir trouvé des arguments pour ramener l'éditeur allemand à la table des négociations. Après l'annonce d'une conférence de presse fixée à ce matin, jeudi 2 avril, l'USF a soudain suscité beaucoup d'attention dans l'univers SAP et s'est plus ou moins retrouvé propulsé, par la force des choses, en chef de file des clubs résistants. « Est-ce une coïncidence ou l'effet de la conférence de presse », s'interrogeait ce matin, à cette occasion, le président de l'USF Jean Leroux, « ces derniers jours, nous avons été contactés à plusieurs reprises par la direction de SAP France et nous avons bon espoir de pouvoir faire avancer ce dossier, par l'intermédiaire du Sugen [qui réunit la plupart des clubs utilisateurs SAP dans le monde]. Si nous continuons à progresser à ce rythme, nous allons aboutir à un compromis intéressant, sans rester dans l'émotionnel et en se détachant du discours de la valeur » [NDLR : valeur apportée par les nouveaux services de maintenance, argument avancé par SAP pour justifier la hausse de ses tarifs]. Le dirigeant du club ne souhaite pas être plus précis sur les négociations engagées avec l'éditeur tant que celles-ci n'auront pas abouti. Léo Apotheker, co-PDG, a formalisé des propositions Jean Leroux confie néanmoins que Léo Apotheker, co-PDG de SAP [avec Henning Kagermann], qui reprendra bientôt seul les rênes de la société, a lui-même « pris sa plume pour formaliser un certain nombre de propositions ». Un message adressé aux membres du Sugen (une trentaine de personnes) dont fait partie le président de l'USF. « Les utilisateurs français vivent mal la différenciation avec les entreprises d'outre-Rhin, poursuit Jean Leroux [NDLR : des clients allemands et autrichiens ont pu conserver, dans certaines conditions, le taux de 17% pour 2009]. Nous demandons un étalement, un lissage de l'augmentation du tarif de maintenance qui, actuellement, représente officiellement pour certaines entreprises plus de 8% en 2009. » En France, la hausse du tarif de la maintenance SAP est progressive : elle se traduit par une augmentation d'environ 8% par an sur quatre ans. « Et pour les clients dont l'augmentation du tarif est indexée sur l'Indice Syntec, c'est-à-dire la réalité du marché français, cela prendra pratiquement huit ans », rappelait Pascal Rialland, DG de la filiale française, en janvier dernier. Une réunion téléphonique entre membres du Sugen et SAP ce soir [[page]] L'un des problèmes majeurs, c'est que toutes les entreprises françaises ne sont pas logées à même enseigne. Les grandes structures se sont non seulement protégées contractuellement contre une hausse incontrôlée des tarifs mais, de surcroît, elles ont parfois recours à des services de maintenance supplémentaires, comme Max Attention ou Safeguarding, facturés en sus. « Notre combat vise à protéger les moyennes entreprises qui n'ont pas de service juridique et se trouvent défavorisées par rapport aux clients allemands qui peuvent rester à 17%. » Ce sont ces entreprises qui subissent la hausse de plein fouet. Qui plus est pour une maintenance qu'elles estiment souvent ne pas exploiter pleinement. C'est à l'attention de ces adhérents que l'USF a missionné le cabinet d'avocat spécialisé Feral-Schuhl/Sainte-Marie. Par cet intermédiaire, ils disposeront d'une assistance juridique pour comprendre les enjeux liés à la maintenance (formalisation de contrat, rédaction de clause de révision pour insérer un indice) et, s'ils le souhaitent, mener une action individuelle. La négociation de l'USF avec SAP « porte sur un étalement de la hausse du tarif de maintenance au-delà des quatre années actuelles », consent tout de même à révéler Jean Leroux, en maintenant qu'il « ne souhaite pas en dire plus pour l'instant ». Il reconnait que ces discussions lui prennent énormément de temps. L'USF entend continuer à les mener de façon globale, dans le cadre du Sugen. Une réunion téléphonique se tiendra ce soir, à 23 heures, entre une vingtaine de personnes, membres du Sugen. Un porte-parole de SAP y participera. (*) L'indice SYNTEC mesure l'évolution du coût de la main d'oeuvre pour des prestations fournies. (...)
(27/03/2009 17:15:40)Très faible croissance des logiciels et services en 2009, selon PAC
Pour 2009, la croissance du marché des logiciels et services en France est évalué entre 0 et 1% par le cabinet Pierre Audoin Consultants (PAC). Par comparaison, en 2008, cette croissance était de 5% pour les logiciels (applicatifs, outils et infrastructures) et de 6% sur les services informatiques (maintenance, matériel, conseil, intégration et systèmes, infogérance et TMA). L'année en cours devrait donc marquer un net recul de l'activité des logiciels et services. Le « ralentissement s'accélère, mais il n'y a pas de rupture totale », nous explique Frédéric Giron, directeur des études chez PAC. « On observe surtout des "retards à l'allumage" entre les appels d'offres et les contrats signés, mais peu de projets annulés ». Sur les marchés du secteur public et des « utilities », on devrait tirer leur épingle du jeu. Sur des secteurs comme la banque, l'assurance ou les télécoms, la croissance se situerait entre 0 et 2% de croissance. « Il y aura toujours des volumes, mais beaucoup de pression sur les prix, donc un marché qui va baisser en valeur ». Les petites SSII vont souffrir Deux grandes activités seront principalement touchées : la vente de licence pour les éditeurs et la régie pour les SSII. Toutefois, ces deux catégories d'acteurs ne seront pas impactées de la même manière. Les éditeurs d'ERP (progiciels de gestion intégrés), par exemple, le seront sur la vente de licence, mais pas sur celle de services autour de la licence. Les SSII ne verront pas leurs activités d'externalisation se ralentir, que ce soit la tierce maintenance applicative, l'infogérance d'applications ou l'infogérance d'infrastructures. Cela dit, les différents acteurs ne partiront pas sur un pied d'égalité. Les sociétés de taille plus modeste devraient souffrir davantage. Elles seront victimes des phénomènes de sous-traitance. Beaucoup de grandes SSII sous-traitent en effet une partie de leurs contrats à des SSII de taille plus petite ou régionales. Ces dernières se verront et se voient déjà supprimer ces contrats, ce qui affectera leur exercice 2009. PAC se risque également à une prévision pour 2010 en annonçant des chiffres supérieurs à ceux de 2009, mais sans atteindre ceux de 2008 et 2007. (...)
(25/03/2009 11:56:22)Annuels Lefebvre Software : +11,6% sur le chiffre d'affaires sans inclure ASGroupe
L'éditeur français de solutions de gestion Lefebvre Software a réalisé en 2008 un chiffre d'affaires de 23,4 M€, en progression de 11,6% à périmètre constant, sans tenir compte du rachat de l'éditeur ASGroupe, réalisé en novembre dernier. Sur l'année, son résultat opérationnel courant s'élève à 2,6 M€ (11% du chiffre d'affaires) et le résultat net à 2,8 M€. Lefebvre Software s'est engagé dans un plan de développement ambitieux depuis l'arrivée à sa tête, il y a deux ans, de Viviane Ribeiro, précédemment présidente de l'éditeur Geac France où elle avait passé 17 ans. La société compte doubler son chiffre d'affaires d'ici à 2010 et poursuivre sa croissance externe. L'acquisition d'ASGroupe, spécialiste de la consolidation et du reporting, vient compléter sa suite de gestion intégrée (redéveloppée en architecture J2EE) et ses solutions de gestion des ressources humaines, qui s'adressent à des entreprises du mid-market (la base installée conserve une forte proportion d'utilisateurs de l'AS/400 d'IBM). En incluant ASGroupe, Lefebvre Software totalise un chiffre d'affaires de 31,7 M€ en 2008 dont 10% réalisés à l'international (notamment en Italie, Belgique, Espagne, Portugal et au Royaume Uni). Ensemble, les deux éditeurs rassemblent une base installée de 2 500 clients. (...)
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