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(13/11/2008 17:57:13)

Syntec Informatique en héraut de l'industrie du logiciel à Bruxelles

Syntec Informatique se hisse d'emblée à l'échelle de l'Europe, en s'associant à huit autres associations IT européennes, pour présenter à Bruxelles ses propositions destinées à développer l'industrie du logiciel. Ensemble, les neuf organisations professionnelles représentent plus de 80% des entreprises du logiciel en Europe. Leur prise de position commune, remise à la Commissaire Viviane Reding le 24 octobre dernier, vient d'être communiquée publiquement aujourd'hui par Pascal Rialland et Gérard Claverie, co-présidents du Comité Editeurs de Syntec Informatique. L'Europe reste très largement importatrice sur le marché du logiciel, alors même que celui-ci est reconnu comme un facteur clé de l'innovation, dans le sillage de la stratégie de Lisbonne visant à faire de l'UE l'économie la plus compétitive du monde à l'horizon 2010. Cette initiative du Comité Editeurs de Syntec Informatique s'inscrit parallèlement à de nombreuses autres démarches en faveur des TIC, des éditeurs et des PME, principalement le plan France Numérique 2012 du Gouvernement. La chambre professionnelle française et ses homologues européens ont pris le parti de centrer leurs propositions sur trois axes majeurs sur lesquels, selon eux, l'intervention de Bruxelles pourrait « faire une vraie différence » pour l'industrie du logiciel. En préambule, les co-signataires rappellent que le secteur est et restera toujours très fragmenté, même s'il se consolide, et qu'il est en passe de modifier sensiblement son modèle avec le développement du logiciel fourni comme un service (mode SaaS). Former des compétences dans tous les domaines Leur première série de propositions vise à relever « le défi des compétences » qui ne concerne pas uniquement les compétences techniques. Il y a bien sûr un déficit d'étudiants attirés par les matières scientifiques et le Syntec Informatique reconnaît que ramener les jeunes vers ces filières est un processus à long terme. Mais il faut aussi développer l'ensemble des talents requis sur la chaîne complète de l'innovation, c'est-à-dire en incluant les profils qui, au-delà de la conception et du développement du logiciel, travaillent à la mise sur le marché des produits. Sur le même axe, Syntec Informatique demande à l'UE de soutenir la création d'un réseau européen d'expertise logicielle par les groupements nationaux existants. Ce qui permettrait aux éditeurs de partager leur expertise tant sur l'ingénierie logicielle que sur la recherche de marchés, notamment transfrontaliers. Les associations professionnelles aimeraient aussi que l'on puisse retenir en Europe et attirer vers le logiciel les talents des nouveaux Etats membres qui, sinon, pourraient être tentés de traverser l'Atlantique. Etendre le crédit d'impôt à l'innovation au sens large [[page]] Etendre le crédit d'impôt à l'innovation au sens large La deuxième série de propositions s'attache à définir un cadre. « La stratégie de Lisbonne prévoit de s'appuyer sur l'innovation mais elle ne la définit pas », remarque Gérard Claverie en invitant à considérer l'innovation au sens large. La prise de position de Syntec Informatique suggère de créer une définition européenne unique des entreprises innovantes qui ne serait pas anglée uniquement sur la R&D. Cette définition pourrait, comme pour les Gazelles en France, prendre en compte la notion de croissance rapide de l'entreprise. Le logiciel demande en effet des capitaux et des aides jusqu'à sa mise sur le marché et pas uniquement dans sa phase R&D. Le cadre qu'appellent de leurs voeux le Syntec Informatique et ses co-signataires devrait conduire à établir des principes directeurs communs pour stimuler l'innovation et la croissance dans les Etats membres, notamment au niveau des mesures fiscales. « Il faut absolument que les crédits d'impôt pour la recherche s'étendent à l'innovation », argumente Pascal Rialland, en comparant, sur une échelle de 1 à 100 l'effort consacré à la création (1) et celui que nécessite la constitution d'un réseau de distribution (100) pour commercialiser les produits. Les associations professionnelles entendent aussi régler le problème du piratage des logiciels. Adapter aux éditeurs les mécanismes de financement de la R&D Enfin, la troisième série de propositions porte sur le financement de l'innovation et des éditeurs. Il s'agit d'identifier et de promouvoir les mécanismes de financement nationaux et d'adapter aux éditeurs de logiciels les mécanismes européens de financement de la R&D. Il est suggéré, aussi, de créer un fonds européen du logiciel afin d'encourager les fonds de capital-risque à investir dans les PME à forte croissance. (...)

(12/11/2008 18:19:32)

Guerre de la maintenance SAP : les utilisateurs se rangent derrière leur éditeur

Du 27 au 29 octobre, les responsables des principaux clubs d'utilisateurs SAP à travers le monde se sont réunis dans le cadre du Sugen (SAP user group executive network) à Palo Alto. L'un des sujets phares abordés a bien sûr été la fameuse évolution du contrat de maintenance de l'éditeur dont le coût annuel devient pour tous les clients de 22% des licences (faisant ainsi disparaître le taux « normal » de 17%). La seule piste abordée, lors de la réunion du Sugen, semble bien avoir été de justifier l'augmentation et non de la combattre. Notamment en promettant des indicateurs pour objectiver le contrôle du retour sur investissement lié à la nouvelle offre de maintenance SAP Enterprise Support. « Nous sommes conscients que le chiffre de 22% n'est pas négociable et nous avons préféré avoir une ligne de conduite réaliste avec, comme objectif, d'en avoir pour notre argent et de baisser le coût total de possession (TCO) des solutions SAP » a concédé Jean Leroux. Selon lui, la licence et la maintenance ne comptent que pour environ 10% de ce TCO. Il en déduit : « si, grâce aux nouveaux outils fournis dans le cadre de SAP Enterprise Support, les migrations sont des non-événements, par exemple, le TCO va chuter bien plus que si nous obtenons une baisse de 1% sur le le taux du contrat de maintenance. » Par exemple, parmi les apports attendus des nouveaux outils fournis par SAP, Jean Leroux cite la capacité à repérer les impacts d'une mise à jour de SAP sur les développements spécifiques afin de limiter les besoins en tests. De la même façon, les outils d'audit de performance peuvent aboutir à une optimisation du paramétrage du progiciel et des ressources informatiques, ce qui peut aboutir à limiter les besoins de nouveaux investissements. Pas de comparaison possible avec le conflit survenu autour de la Software Assurance de Microsoft[[page]] Jean Leroux a refusé d'assimiler l'actuelle crise autour de la maintenance de SAP au conflit surgi lors de la création de la Software Assurance par Microsoft : « la structure de TCO n'est pas du tout comparable entre SAP, où licence et maintenance ne constituent qu'une part limitée, et Microsoft, où la licence (éventuellement avec maintenance) est l'essentiel. La structure des revenus des éditeurs est d'ores et déjà dominée par la maintenance. La vraie question n'est donc pas le taux de celle-ci mais le TCO de l'implémentation d'un PGI. Cette notion de TCO sera au coeur de la réflexion de l'USF en 2009 ». Dans un sondage auprès des adhérents des différents clubs d'utilisateurs SAP, neuf répondants sur dix ne comprenaient pas soit ce que contient l'offre SAP Enterprise Support, soit l'intérêt de cette offre. « Le chiffre de 22% a braqué tout le monde et ça a sans doute occulté ce qu'il y a derrière, le tout dans un contexte de crise des budgets » regrette Jean Leroux. Pour démontrer la pertinence de SAP Enterprise Support, des indicateurs de retour sur investissement et de mesure de l'impact sur le TCO des implémentations de SAP vont être mis au point par les clubs comme l'USF en collaboration avec SAP. « SAP s'est engagé à ajuster son offre en fonction des mesures effectuées autour de ces indicateurs » a souligné Jean Leroux. Le président de l'USF a d'ailleurs rappelé : « il n'y aura pas de passage brutal de 17% à 22%, ce qui facilitera les ajustements en cours de route ». Des indicateurs de ROI définis conjointement par les clubs utilisateurs et SAP [[page]] Si ces indicateurs ne sont pas disponibles aujourd'hui, ils seront définis conjointement par les clubs utilisateurs et l'éditeur d'ici la fin de l'année, c'est à dire avant le début de la nouvelle offre de maintenance de SAP, le 1e janvier prochain. Parmi les indicateurs de qualité de service, Jean Leroux et son homologue japonais plaident pour un « taux de locuteurs d'une langue nationale au centre de support de SAP lorsque les bureaux utilisant cette langue sont ouverts ». D'ici la mise au point de ces mesures, l'USF et SAP communiqueront sur le contenu de l'offre SAP Enterprise Support afin de tenter de rassurer les clients mécontents de l'éditeur. Mais, la structure des revenus de l'éditeur étant de plus en plus dominée par la maintenance, la tendance naturelle du taux du contrat n'est-elle pas à l'augmentation continue ? « Les entreprises peuvent néanmoins se protéger en incluant dans les contrats les liant aux éditeurs des clauses bordant ce genre d'évolution » explique Jean Leroux. Pour le président de l'USF, « l'intérêt des utilisateurs n'est pas d'abattre SAP qui est d'ailleurs condamné à collaborer sans cesse davantage avec les utilisateurs pour que les futurs développements couvrent de réels besoins. » Malgré tout, l'attitude arrogante des éditeurs dominants n'est-elle pas la meilleure promotion de solutions alternatives, notamment open-source ? Pour Jean Leroux, « Les éditeurs auront leurs place tant qu'ils apporteront plus de valeur, plus de stabilité, pour un coût moindre que l'opensource. En matière de PGI, la question ne se pose pas encore aujourd'hui, les solutions libres n'étant pas actuellement au niveau. En revanche, en bureautique, des expériences intéressantes se multiplient... » Le premier bilan de SAP Enterprise Support sera tiré lors du prochain Sapphire en juin 2009, à la lumière des fameux indicateurs. (...)

(12/11/2008 17:11:53)

Open Text commence son année fiscale avec un bénéfice en hausse de 28%

Open Text, spécialiste canadien de la gestion de contenu, s'estime satisfait des ses résultats. Au lendemain de la clôture comptable de ce trimestre il a finalisé l'acquisition pour 131 M$ de Captaris qui édite un logiciel de gestion de flux de documents. A la suite de cette acquisition, l'éditeur, qui compte environ 2000 salariés, annonce un plan de réduction de ses effectifs de 10% ce qui entraînera une charge de 20 M$. Open Text vient d'annoncer la version 2.0 de Employee Information Management (EIM) son logiciel de gestion des informations des salariés. Elle apporte en particulier des améliorations au niveau de l'intégration avec SAP ERP Human Capital Management (SAP ERP HCM). Par ailleurs, Open Text a été un des premiers éditeurs à réagir à la présentation d'Azure, l'environnement 'cloud' de Microsoft, en promettant pour début 2009 l'extension de ses services d'archivage et de gestion des versions à cet environnement. Open Text revendique 46 000 clients et 17 millions d'utilisateurs. (...)

(06/11/2008 16:16:37)

Une version MacOS et le support d'OpenOffice 3.0 bientôt dans IBM Symphony

En attendant d'intégrer le code de la version 3.0 d'OpenOffice dans sa suite bureautique Open Source Symphony, IBM procède à deux annonces mineures. D'une part, le support de la distribution Linux d'Ubuntu (qui s'ajoute donc à celui de Red Hat et de Suse Linux, de Novell) et, d'autre part, la mise à disposition de Symphony sur MacOS X. Quoique officiellement réalisé à "la demande de la communauté des utilisateurs de Symphony", ce portage ne fait qu'emboîter le pas à celui d'OpenOffice dans cet environnement. A peine lancée, la version 3.0 d'OpenOffice connaît un succès notable auquel sa compatibilité avec Microsoft Office 2007 ne doit pas être étrangère. IBM revendique pour Symphony près de trois millions de téléchargements en 28 langues et 100 000 utilisateurs payants depuis son lancement il y a un an environ. Ce chiffre est à rapprocher des 550 millions de licences Office affichées par Microsoft. (...)

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