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(03/11/2008 17:55:30)
30% des entreprises ont accru leurs investissements dans les technologies RH
Malgré la crise financière, les entreprises internationales continuent d'investir dans les technologies susceptibles d'améliorer la gestion de leurs ressources humaines (RH). Selon une étude mondiale menée par le cabinet Towers Perrin auprès de 400 entreprises, elles sont près d'un tiers (30 %) à avoir accru leur investissement dans les technologies RH en 2008 et seulement 15 % à avoir diminué leurs dépenses en la matière. Les 55 % restants ont maintenu leurs budgets au niveau de 2007. 40 % des personnes interrogées indiquent que les systèmes de gestion des talents et de la performance sont au centre de leurs préoccupations pour améliorer le modèle de service de la fonction RH et la manière dont elle fournit ses prestations. Toutefois, si la moitié d'entre elles considèrent que les outils utilisés étaient efficaces ou très efficaces concernant la gestion des rémunérations, la gestion de la performance, le recrutement (interne et externe) et la gestion du personnel, une autre moitié juge neutre ou inefficace leur système de gestion pour l'intégration des nouveaux embauchés, le pilotage de la fonction, la planification des successions et la gestion des carrières. Rationaliser des processus disparates et complexes [[page]] Au moment où les entreprises continuent à chercher des façons de gérer leurs effectifs internationaux, les DRH font face à une demande de solutions technologiques capables de rationaliser des processus locaux souvent disparates et complexes. L'enquête de cette année confirme cette priorité, car de nombreuses personnes interrogées développent une architecture globale standard pour gérer les données RH. Bien que la plupart des personnes interrogées soient encore au début de la mise en place de tels systèmes (environ la moitié des répondants sont à peu près au quart du chemin), celles qui ont achevé la mise en oeuvre d'un système global sont satisfaites des résultats : pour 84 % d'entre elles, leurs attentes ont été atteintes ou dépassées. (...)
(30/10/2008 16:56:37)Spotfire affiche en 3D et révèle les liens entre les données
Déjà reconnue pour ses capacités avancées de visualisation, la plateforme d'analyse de données de l'éditeur Spotfire (racheté par Tibco en 2007) vient d'être livrée dans sa version 2.2, dotée de représentations graphiques en 3D pour explorer plus efficacement les données multidimensionnelles complexes. La possibilité de manipuler les données en profondeur et sous divers angles, à l'aide de zooms et de rotations, conduira à mettre en évidence des informations qui n'apparaissaient pas jusque-là. Lors de la présentation parisienne de cette nouvelle version, Spotfire a notamment illustré ces fonctions 3D dans le domaine de la recherche pétrolière.
Faire apparaître des relations ignorées entre les données
La plateforme Tibco Spotfire 2.2 s'enrichit également d'un add-on, Network Analytics, qui permet d'afficher des relations entre les données afin de faire apparaître des liens jusque-là non détectés. Ces fonctionnalités seront tout particulièrement mises à profit dans le secteur de l'enquête policière (par exemple pour établir des liens entre interlocuteurs dans un flux d'appels téléphoniques), du renseignement ou de la lutte contre le blanchiment d'argent. Mais Spotfire souligne qu'elles peuvent être exploitées dans de nombreux autres domaines, appliquées notamment à l'analyse de réseaux sociaux ou de la gestion de la chaîne logistique. A noter que, outre l'add-on Network Analytics, la plateforme dispose également, avec l'offre complémentaire Spotfire S+, des capacités d'analyse prédictive issues du rachat, en juin dernier, de l'éditeur Insightful, spécialisé dans l'analyse statistique et les solutions de datamining.
Analyse 'en mémoire' et workflow analytique
Rappelons que l'une des caractéristiques principales de l'offre Spotfire est qu'elle fut parmi les premières à proposer des capacités d'analyse « in-memory » permettant à l'utilisateur de manipuler d'importants volumes de données, rapidement, et sur un mode interactif. L'éditeur met également en avant le fait que sa plateforme permet aux utilisateurs de construire des workflows analytiques pour enchaîner différentes actions (des fonctions que l'éditeur a notamment conjuguées, dans sa solution Operation Analytics, à l'offre de gestion des processus métiers de Tibco). La plateforme de Spotfire est particulièrement utilisée par les services financiers, les secteurs de l'énergie, du pétrole, de la pharmacie, mais aussi, de plus en plus dans les secteurs de l'assurance, des télécommunications et de l'industrie.
Un portail Spotfire pour les développeurs
Enfin, l'éditeur annonce également l'ouverture de « Tibco Spotfire Technology Network », un portail destiné aux développeurs. Ces derniers pouvaient déjà recourir à des interfaces de programmation (API) pour constituer des applications composites en tirant parti de la plateforme de Spotfire. Désormais, ils disposent d'un kit de développement complet pour concevoir des applications spécifiques au-dessus de la plateforme d'analyse Tibco Spotfire. (...)
Avec OpusUna, IBM imagine le futur du travail collaboratif en ligne
IBM a présenté lors du salon AjaxWorld RIA de San Jose la semaine dernière ses travaux en matière de solutions de 'webconférence', ou travail collaboratif en ligne. Le projet, baptisé OpusUna, ne sera mis entre les mains des utilisateurs qu'en 2009, mais il donne déjà un aperçu de ce que le groupe de technologies Internet émergentes d'IBM essaie de faire - un « outil de collaboration de nouvelle génération [...] où les gens interagissent d'une façon très différente ». Les outils de travail collaboratif sur Internet existent déjà depuis longtemps et en grand nombre. Mais plutôt que les technologies de type tableau blanc ou 'webinar' (séminaire en ligne) offertes par les solutions professionnelles de type Genesys Conferencing ou WebEx (racheté par Cisco), le projet d'IBM se rapproche plus d'un Google Apps ou d'un Microsoft Sharepoint, avec la possibilité d'agir à plusieurs sur un document et de converser en audio/vidéo. L'idée, explique David Boloker, directeur technique du groupe Emerging Internet Technology Software d'IBM, est « d'étendre le concept Ajax afin de permettre des interactions multiples entre utilisateurs ». Le projet est dérivé de QEDwiki, projet de wiki simple et rapide à mettre en place (qui a cédé depuis la place à IBM Lotus Mashups), auquel IBM a voulu ajouter des fonctions de communication. (...)
(28/10/2008 15:03:53)Trimestriels SAP : un bénéfice net en recul de 5%
Finalement, les ventes de logiciels réalisées par SAP sur son troisième trimestre fiscal (échu le 30 septembre) se situent très légèrement au-dessus des estimations révisées à la baisse que l'éditeur allemand de PGI (progiciels de gestion intégrés) avait communiquées début octobre, à la suite d'une « chute très soudaine et inattendue » de ses ventes, intervenue en fin de trimestre. Mais son bénéfice net recule de 5% sur la période, à 388 M€, par rapport au troisième trimestre 2007, ce qui a contribué à faire chuter le cours du titre SAP de plus de 9% -dernière cotation, 24,36 euros à 14 h 15 (30,22 dollars à la fermeture du New York Stock Exchange hier soir). Le bénéfice par action sur le trimestre s'établit à 41 cents, contre un consensus de 40 cents. La maintenance progresse de 20% sur le trimestre Sur ce troisième trimestre, le fournisseur a réalisé un chiffre d'affaires de 763 M€ (+7%) sur ses ventes de licences (ses prévisions révisées début octobre annonçaient entre 740 et 750 M€, à comparer aux 850 M€ attendus jusque là par les analystes). Sur l'ensemble des ventes de logiciels et services associés, incluant cette fois les revenus de la maintenance, le chiffre d'affaires s'établit à 1,99 Md€ (+15%). A noter que les seuls revenus de la maintenance ont augmenté de 20% sur le trimestre, à 1,17 Md€ (contre 975 M€ sur le 3e trimestre 2007). Quant aux revenus issus des prestations de conseil, ils ont augmenté de 13%, à 617 M€. +4% sur les ventes de licences en zone EMEA A l'image des résultats enregistrés ces derniers trimestres par l'ensemble des acteurs de la IT, c'est dans la région Asie Pacifique que SAP réalise sa meilleure progression sur ses ventes de licences sur les trois mois écoulés : +18% à 139 M€. Sur ce poste, le continent américain ne progresse que de 6%, à 280 M€ et la zone Europe, Afrique et Moyen-Orient de 4%, à 344 M€. Sur le chiffre d'affaires global, la progression est plus équilibrée : +16% sur la zone EMEA, à 1,44 Md€, +11% pour le continent américain, à 954 M€ et + 14% en Asie Pacifique/Japon, à 363 M€. Henning Kagermann veut préserver la marge opérationnelle [[page]] Quelques jours après son avertissement sur chiffre d'affaires, SAP n'avait pas tardé à annoncer un programme de réduction des coûts, notamment le gel de ses embauches. Un programme qui a bien démarré, selon Henning Kagermann, co-PDG de l'éditeur allemand. Le dirigeant se voit néanmoins contraint à revoir à la baisse ses prévisions sur les résultats de l'année 2008. Il prévoit maintenant une marge opérationnelle autour des 28% quand il espérait 29% en juillet. Henning Kagermann souligne toutefois qu'il s'agit pour SAP du 19e trimestre consécutif enregistrant une croissance à deux chiffres sur les ventes de licences et de services associés, que les clients continuent à investir dans leurs produits et que le modèle économique de SAP est flexible : « Nous nous focalisons sur la préservation de notre marge opérationnelle et de nos gains », confirme le dirigeant dans un communiqué. Il affirme que l'approche adoptée a permis à l'éditeur de traverser d'autres cycles économiques difficiles dans le passé et d'en sortir avec un leadership renforcé. Un bénéfice net en recul de 11% sur les neuf premiers mois de l'année Sur les neuf premiers mois de l'année 2008, SAP a réalisé un chiffre d'affaires global de 8,07 Md€ (+15%), suivant les normes US GAAP. Les ventes de logiciels et services ont pesé 5,79 Md€ (+17%) et les strictes ventes de licences, 2,28 Md€ (+15%). Sur la période, le bénéfice net a en revanche reculé de 11%, à 1,03 Md€ par rapport aux neuf premiers mois de 2007 (1,17 Md€). (...)
(28/10/2008 12:55:59)Google s'investit dans les énergies renouvelables
Google s'intéresse de plus en plus aux des énergies renouvelables, qu'il considère comme une « opportunité d'affaires potentielles » comme le rapporte le New York Times. Il faut dire que dans une de ses études, Gartner et le WWF ont épinglé l'Américain comme l'un des plus gros consommateurs d'énergie du secteur IT. Le géant de la recherche en ligne veut apparemment en finir avec cette réputation de pollueur planétaire. Pour soutenir ces efforts, Google a embauché des ingénieurs - dont un ancien astronaute de la Nasa - qui planchent sur les énergies renouvelables. Il souhaite aussi développer des outils pour guider les utilisateurs qui cherchent à diminuer leur consommation d'énergie. A cet effet, Eric Schmidt et Jeffrey R. Immelt, PDG de Google et de General Electric, ont annoncé qu'ils allaient travailler ensemble sur des moyens d'améliorer le réseau de distribution de l'électricité. Avec la crise, les investisseurs pourraient néanmoins freiner les ardeurs « green » de Google [[page]]Il a récemment présenté son plan Clean Energy 2030 dans le cadre de google.org, son unité philanthropique. De la même manière, HP, qui vient de terminer l'installation de 6 526 panneaux solaires pour alimenter 10% des besoins électriques de son usine de San Diego, Google mise aussi sur ce type d'énergie. Il souhaite voir la part de l'électricité produite de cette manière passer à 12%. La récession économique ainsi que la légère baisse du pétrole pourrait toutefois bouleverser le calendrier de bonnes résolutions de Google. Les investisseurs pourraient en effet freiner les ardeurs du mastodonte d'Internet dans sa quête de green et le pousser à se consacrer à des projets plus urgents. (...)
(27/10/2008 17:50:42)Avec CloudView, le moteur d'Exalead se mue en brique technologique
Pour Exalead, éditeur français de moteur de recherche, le développement de la gamme CloudView constitue une évolution majeure de son offre. « Nous changeons de plateforme et nous focalisons sur de nouveaux marchés », décrit le PDG François Bourdoncle, co-fondateur de la société en 2000. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, Cloudview n'a rien à voir avec le cloud computing. Le nom de l'offre fait référence au « nuage de données » qui environne l'utilisateur professionnel, tant dans l'entreprise (bases et applications internes) qu'à l'extérieur du pare-feu (systèmes d'information partenaires et données du Web). L'objectif est de transformer ces informations diffuses et réparties, accessibles dans des environnements hétérogènes et cloisonnés, en informations structurées, directement exploitables par les applications. « On passe d'un monde où le moteur de recherche est une application à un monde où il devient une brique technologique permettant d'étendre la portée et la souplesse des applications métiers », explique François Bourdoncle. Une version OEM pour les éditeurs [[page]]La gamme CloudView se décline en deux versions. La première, CloudView Search, s'adresse au marché traditionnel d'Exalead, les entreprises, « avec des couches basses qui restent dans la lignée de ce que nous proposions, notamment une capacité à indexer énormément de documents », précise le PDG d'Exalead. Il insiste sur les temps réduits de déploiement de l'offre et sur sa capacité à répondre aux contraintes de haute disponibilité. Le produit propose une administration centralisée de grappes de serveurs. L'autre version, CloudView OEM, vise les éditeurs, avec un produit sans interface utilisateur, uniquement accessible par API, permettant d'accéder à 100% des capacités du moteur. Une version qui sera directement commercialisée aux Etats-Unis. 25% des entreprises utilisent Exalead pour des applications en ligne Actuellement, 75% des clients d'Exalead utilisent le moteur de recherche sur leurs données internes, à l'intérieur de leur pare-feu. Les 25% restants exploitent le produit pour des applications en ligne (ViaMichelin, notamment). François Bourdoncle souligne l'intérêt d'intégrer les données propriétaires avec les informations du Web pour offrir un meilleur service au client. L'éditeur français réalise aujourd'hui la moitié de son chiffre d'affaires dans l'Hexagone et le reste en Europe et aux Etats-Unis. Il compte 170 clients. (...)
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