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(11/10/2011 10:40:52)
Brico Dépôt passe à une solution SaaS pour gérer ses flux critiques en mode SaaS
Pour atteindre ces objectifs, le distributeur a choisi une solution SaaS, TradeXpress de Generix Group. Les équipes internes sont ainsi déchargées de tâches d'industrialisation. Mais le contrat prévoit un niveau de service conforme aux attentes exigeantes du distributeur.
Le coût du projet n'a pas été dévoilé.
Aquitaine Informatique acquiert Option Productique et complète son ERP
C'est un mariage entre bordelais. Aquitaine Informatique, éditeur national spécialiste du BTP rachète Option Productique, autre éditeur spécialiste, lui, de logiciels pour menuiseries et ateliers. Les deux sont basés près de Bordeaux. Racheter Option Productique présente en fait un double avantage. La société est sur un créneau complémentaire à celui d'Aquitaine Informatique, les menuisiers, et elle a développé ses logiciels en mode web, c'est-à-dire en accès par le web, en nomadisme.
Option Productique commercialise plusieurs logiciels : Prox-e-Clac un configurateur de chiffrage (chiffrage en ligne et dessin pour opérations de menuiseries), gestion des temps atelier (l'opérateur est muni d'une puce RFID pour que son activité soit analysée) et d'un logiciel de gestion des stocks. Ces logiciels seront interfacés avec l'ERP d'Aquitaine Informatique, Onaya, qui assure déjà : l'étude de prix, la facturation, le suivi de chantiers, le planning.
Elargir son portefeuille
Ces logiciels issus d'Option Productique pourront intéresser toute sorte d'ateliers (électriciens, serruriers, bureaux d'études), pas seulement ceux des menuisiers, c'est l'un des paris commerciaux d'Aquitaine Informatique.
Aquitaine Informatique est née en 1977. Aujourd'hui, elle compte 40 salariés et a réalisé 3,3 millions d'euros de CA en 2010. Pour 2012, avec le rachat d'Option Productique, elle compte atteindre les 4 millions d'euros. L'éditeur réalise entre 5 et 10% de croissance annuelle par an. La société compte trois agences : Nantes, Ile-de-France (Champs-sur-Marne) et Est (Champagne au Mont d'or près de Lyon). Elle devrait réaliser d'autres opérations de croissance externe.
(...)(06/10/2011 10:19:11)
SAP va promouvoir la co-innovation avec ses clients
Tous les ans, la convention annuelle de l'USF (le club des utilisateurs francophones de SAP) est un moment fort pour toute la communauté des clients de l'éditeur. Les 5 et 6 octobre, la convention 2011 s'est réunie au Palais des Congrès de Strasbourg avec un millier de participants. Ceux-ci ont pu participer à 78 ateliers dont 7 internationaux en Anglais (avec traduction simultanée), animés par les 48 commissions thématiques du club (dont l'ex-club BO), et 8 conférences plénières. Ils ont aussi pu visiter un village de 66 partenaires de l'écosystème SAP. Enfin, SAP et l'USF ont officialisé un partenariat permettant de lancer une véritable co-innovation entre l'éditeur et ses clients, pour un bénéfice mutuel.
La complicité affichée contraste singulièrement avec la pas si ancienne guerre de la maintenance. Comme quoi les clients ont tout intérêt à s'organiser pour se faire entendre, si nécessaire en frappant fort, pour ramener les fournisseurs à des pratiques plus positives. La maturité de la relation USF-SAP et le dynamisme du club ne se retrouvent pas dans les autres communautés autour des grands fournisseurs, comme Oracle ou Microsoft par exemple.
Le risque au coeur de la convention
La thématique générale de cette convention était l'appréhension des risques au delà de la seule sécurité informatique. Alain Juillet a ainsi animé une plénière sous l'aura de son impressionnant CV : fils de Pierre Juillet, ancien patron de la DGSE, ancien haut responsable auprès du Premier Ministre pour l'intelligence économique, président du Club des Directeurs de la Sécurité d'Entreprise (CDSE), président de l'Académie de l'Intelligence Economique... Il a ainsi insisté sur le rôle de prévention (donc d'anticipation des crises) et de protection du directeur de la sécurité. Il a surtout regretté le manque de concentration des entreprises sur le problème de la sécurité, surtout de leur patrimoine immatériel : « les responsables métier n'ont pas toujours conscience de la valeur des informations qu'ils traitent pour des agresseurs. Les rapports de stage se vendent 15 à 50 euros sur Internet et sont de vraies mines d'or ».
L'ère numérique supprime la hiérarchie
Comme, après lui, le sociologue Stéphane Hugon, il a attiré l'attention sur les évolutions culturelles fortes qui ont actuellement lieu en lien avec l'émergence de la société numérique. Jadis, même en cas de grèves dures voire violentes, la règle était la protection de l'outil de travail au sens le plus large. Aujourd'hui, la malveillance interne n'est plus exceptionnelle en lien avec les remises en cause du modèle hiérarchique au profit du modèle participatif. Désormais, l'individu attend une reconnaissance propre et revendique une identité sans lien avec son emploi. Le chef comme l'expert doivent reconnaître une égalité avec les autres participants : il y a échange et non plus parole divine descendante.
Malgré tout, Nicolas Sekkaki, DG de SAP France et Maghreb, a voulu tempérer : « les entreprises doivent faire confiance aux nouvelles générations comme les Anciens nous ont fait confiance. Elles savent comment le numérique, par exemple les réseaux sociaux, ont transformé leur vie et comment les entreprises peuvent en tirer profit. Le monde change rapidement, les cycles de projets doivent donc être plus courts. »
C'est dans cette logique qu'a été définie le nouveau partenariat entre l'éditeur et les clubs utilisateurs à travers le monde. Il s'agit pour SAP de coller au plus vite et avec la plus grande réactivité possible aux besoins de ses clients.
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Les clubs seront ainsi appelés à collaborer à l'évolution des produits de l'éditeur dans un programme à trois étages. Celui-ci a été testé en Allemagne et est aujourd'hui étendu à la France, à la Grande Bretagne et aux Pays-Bas. Le niveau le plus ancien est aussi le plus élevé. Rebaptisé « customer advisory council », il s'agit d'associer les clients aux grandes orientations stratégiques de l'éditeur. La roadmap produits est une source régulière de conflits entre les clients et les éditeurs. La transparence et l'écoute seront désormais, pour SAP, les règles au travers de la « customer engagement initiative ».
Une méthodologie stricte pour gérer les besoins des clients
Enfin, le plus concret des niveaux est aussi le plus original. Le « customer connection » consiste à gérer les mille demandes régulières de petites améliorations fonctionnelles. L'expérience allemande a ainsi généré en un an une centaine d'améliorations.
Les sujets seront ouverts tour à tour, par petits groupes, afin d'éviter un encombrement et un désordre peu compatibles avec l'esprit SAP. Le calendrier des sujets (par exemple : le secteur de la distribution, les modules décisionnels...) sera connu d'avance afin que les clubs d'utilisateurs puissent organiser en amont la collecte des désirs des entreprises. Sur une période de 6 à 8 semaines par sujet, les clubs collecteront les demandes de leurs membres et les déverseront dans une base mondiale. Cette période sera une phase également de discussion pour constituer un consensus au travers de « votes ». Par ailleurs, cinq clients dans le monde (dont un leader) doivent s'engager à être des co-créateurs actifs et notamment à tester les modifications réalisées par SAP.
Une fois la première phase achevée, SAP a quatre semaines pour finaliser l'étude d'impact des modifications demandées. Si la remise en cause est trop profonde, la modification pourra ainsi être renvoyée vers les niveaux supérieurs (roadmap, stratégie). Au terme de cette phase, SAP indique pour chaque demande si oui ou non le développement demandé va être réalisé. Si c'est non, la raison du rejet sera précisée. En cas de réponse positive, le développement sera livré en version de production dans les six mois.
SAP, agent recruteur de l'USF
Les clubs d'utilisateurs devenant de fait les interlocuteurs uniques de SAP dans les demandes d'évolutions des produits, le rôle de ceux-ci se trouve ainsi accru et institutionnalisé. Une telle attitude est une première pour un fournisseur informatique.
Dans les prochains jours, la direction de SAP France va envoyer un courrier postal à tous ses clients pour expliquer la démarche. Ce courrier sera suivi de vagues de courriels. Chacune de ces communications intégreront l'indication d'un contact auprès de l'USF. De la même façon, chaque nouveau client de SAP se verra indiquer un contact de l'USF et décrire la procédure de co-innovation. La maturité et la complicité entre l'USF et SAP ne peut qu'étonner après les épisodes difficiles des dernières années. Les engagements pris par l'éditeur sont particulièrement forts. Il restera donc à juger sur pièce de leur effectivité. (...)
OpenWorld 2011 : Oracle annonce son cloud public et un réseau social
Avec la disponibilité générale des applications Fusion, disponibles en mode licence classique, mais également fournies comme un service en ligne, Larry Ellison, PDG d'Oracle, a officialisé hier à San Francisco l'annonce d'un cloud public. « Puisque nous avons une suite applicative qui fonctionne dans le cloud, je pense qu'il nous en faut un », a-t-il plaisanté après être revenu sur les six années investies dans le redesign de la couche middleware Fusion et la réécriture de la centaine de modules de Fusion Applications (Finance, gestion du capital humain, projets, achats, supply chain management, CRM...).
Il s'agit ici à la fois d'une plateforme PaaS (plateform as a service) et SaaS (software as a service) hébergée et gérée par Oracle. « Tout le monde a un cloud, il nous en faut un », a surenchéri le PDG en mettant les rieurs de son côté. « Mais le nôtre est un peu différent : il est basé sur des standards de l'industrie et supporte une interopérabilité complète avec les autres clouds et avec vos datacenters sur site parce que nous partageons tous les mêmes standards ».
Services de base de données et services Java
Au premier niveau du cloud, on trouve un service de base de données et un service Java. Sur un second niveau, Oracle propose ses applications Fusion. « Vous pourrez prendre n'importe quelle base Oracle existante et la migrer vers le cloud, a assuré Larry Ellison. Vous pouvez aussi la ramener chez vous si vous voulez ou encore, la porter vers le cloud d'Amazon, et faire l'aller-retour autant de fois que vous voulez. Tout est portable parce que tout ce que nous faisons est standard. »
De même pour le service Java proposé. L'entreprise qui souhaite étendre son application par l'ajout de briques développera celles-ci en Java afin de pouvoir les porter dans tous les environnements supportant Java. « Cela peut être Amazon ou le cloud IBM », suggère le PDG d'Oracle.
« Méfiez-vous des faux clouds ! »
« En revanche, n'essayez pas de l'amener sur la plateforme Salesforce.com, cela ne fonctionnera pas. Même avec le rachat d'Heroku qui propose une version dérivée de Java. » Le matin même, Marc Benioff, le PDG de Salesforce.com, avait convié les journalistes dans un café proche du centre de conférences pour se plaindre de l'annulation, par Oracle, du keynote qu'il devait donner sur OpenWorld 2011. L'intervention de Salesforce.com avait été déplacée au lendemain, soit après l'annonce du cloud public d'Oracle, comme on le comprend maintenant. Pour cette fois, l'avantage est donc allé à Larry Ellison qui ne s'est pas privé d'entonner le couplet habituellement réservé à Marc Benioff. 
« Méfiez-vous des faux clouds », a ainsi lancé le PDG d'Oracle, reprenant à son compte le fameux slogan de son ancien collaborateur. « Quelqu'un de très célèbre dans le monde du cloud l'a dit : Méfiez-vous des faux clouds ! Quel bon conseil ! », a lancé Larry Ellison. « De fait, il y a une énorme différence entre les vrais et les faux clouds. » Et de rappeler les standards de l'industrie sur lesquels le sien s'appuie : outre Java, BPEL pour l'intégration, XML et les web services. « Salesforce utilise Apex. Si vous utilisez Apex pour développer une application, vous restez dans Salesforce. Vous pouvez y entrer, mais pas en sortir ». La salle de quelque 10 000 personnes n'a pas boudé son plaisir à cette évocation, Marc Benioff ne perdant pas lui-même une occasion d'aller sur ce terrain.
Oracle cède lui aussi au réseau social
Larry Ellison a aussi évoqué la sécurité et expliqué que les données de chaque client étaient gérées dans une virtuelle machine séparée. « Pas de multi-tenant, mais des bases de données séparées et sécurisées. Le multitenancy était une bonne solution il y a dix ans. Maintenant, vous pouvez disposer de ressources à la demande parce que l'environnement est virtualisé ». Les services communs proposés dans le cloud public d'Oracle incluent la gestion des ressources, l'isolation des données, la sécurité, l'intégration et l'échange de données, la recherche de virus, la gestion des listes blanches, ainsi que des services centralisés de surveillance des applications. Dans son cloud, Oracle va aussi donner accès à des bases d'informations, comme celle de Dun & BradStreet.
Les fonctions de réseau social sont intégrées aux applications Fusion.
Enfin, le PDG a également annoncé l'arrivée d'un réseau social intégré à ses applications Fusion. Une évolution que l'éditeur n'avait originellement pas inclus dans ce projet mais rendue nécessaire par l'adoption de ces modes de communication. L'accueil réservé au réseau social Chatter, de Salesforce.com, n'a peut-être pas non plus été étranger à l'arrivée de ces fonctions dans le cloud d'Oracle. (Mise à jour) Pour l'instant, seules les offres Fusion CRM et Fusion HCM sont disponibles dans le cloud. Le réseau social et les services Java et de base de données ne le sont pas encore, mais on peut s'enregistrer en ligne pour être alerté quand ils le seront. Pour en savoir plus sur les fonctionnalités proposées (Fusion CRM, Fusion HCM, Social Network, service Java, service Database) : http://cloud.oracle.com.
Sur OpenWorld 2011, Larry Ellison a terminé sa conférence en réalisant lui-même, seul sur scène, une démonstration d'une application de CRM dans le cloud, sur tablette et sur PC, en prenant largement appui sur les nouvelles fonctions de réseau social.
La tarification du cloud public d'Oracle sera basée sur un abonnement mensuel et chaque service pourra être acquis indépendamment des autres.
Illustration principale : Larry Ellison, PDG d'Oracle, sur OpenWorld 2011 lors de l'annonce de son cloud public (crédit : MG)
OpenWorld 2011 : La vision stratégique d'Oracle se fait attendre
Dans sa conférence inaugurale, Larry Ellison a présenté une nouvelle appliance baptisée Exalytics et dédiée à l'analyse de données. Un produit fort similaire à l'offre de SAP et de son boîtier HANA. Exalytics est basée sur du matériel Sun et équipé d'un téraoctet de RAM et d'un processeur Intel Xeon E7-4800 à 40 coeurs. S'appuyant sur le traitement des données en mémoire (in-memory) et le parallélisme, elle permet des gains en performance importants (facteur 20) pour l'analyse de données et le reporting par rapport à des serveurs standard. Idéalement employée conjointement avec l'appliance Exadata database machine, Exalytics peut analyser les données d'une base relationnelle, mais aussi des données non structurées (DB2, Netezza, SAP warehouse).
Pour les données non structurées justement, Oracle a poursuivi sur sa lancée lundi en annonçant une Big Data Appliance. Comme les autres systèmes optimisés d'Oracle (Exadata datables machine, Exalogic pour les applications, Exalytics pour la bi), le boîtier combine "les avantages du prix du disque, des IOs de la mémoire flash et la vitesse du DRAM", a souligné Thomas Kurian, Executive VP Product Development d'Oracle. En ce qui concerne plus spécifiquement le traitement de grands volumes de données non structurées (le big data), l'appliance présentée lundi supporte Hadoop, ainsi que des outils Hadoop et un "Hadoop Loader" facilitant l'intégration des données non structurées réduites dans une base Oracle. L'appliance "big data" est également munie d'une base Oracle noSQL.
Mark Hurd promet du "contexte"Suite à la présentation-vedette de Larry Ellison dimanche soir, les commentaires sur la toile étaient plutôt maussades. Vu l'essor du touche-à-tout Oracle et ses attaques contre Google/Android et HP, beaucoup attendaient que la société donne une vision générale de sa stratégie. Des espoirs déçus, Larry Ellison offrant une conférence plutôt technique focalisée sur les produits et les nouveautés. Les échos pour le moins mitigés ont toutefois fait réagir la société, Mark Hurd, Président d'Oracle, ayant promis lundi d'apporter "du contexte". A suivre.
ICTJournal.ch (...)(28/09/2011 10:08:56)MFP Soft et Apsilys donnent naissant à l'ERP Everwin
Sous le joli nom d'Everwin (littéralement, «ever » et « win » : gagner partout), deux éditeurs, MFP Soft et Apsilys ont fusionné. Le dirigeant du 1er, Tony Pénochet, devient celui du nouvel acteur, le PDG du second, Eric Angelier, devenant directeur général. Leur spécialisation est la même : la gestion d'affaires (*) qui est un domaine des ERP s'adressant à tous ceux qui travaillent en mode projet : ingénierie et conseil, architectes et géomètres, réparateurs, installateurs, BTP, mécanique industrielle. Cette gestion plus serrée permet des gains de productivité et une meilleure marge.
Ensemble, les deux acteurs vont peser 7 millions d'euros de CA en 2010, c'est la raison du rapprochement. Face à des généralistes de la gestion qui exercent aussi le métier de la gestion d'affaires, ils seront « le » spécialiste français. Les produits des deux sociétés fusionnés restent, mais sont rebaptisés : Everwin GX (PME moins de 100 collaborateurs) et Everwin SX (pour grosses PME).
Everwin sera sur une tendance forte de croissance en 2011 (avec 8 millions d'euros de CA) et 2012 (10 millions d'euros envisagés). Commercialement, la société opère avec un réseau d'agences, hui au total, et des partenaires en direct, 35, qui réalisent 20 à 25% du CA.
(*) Ces logiciels comprennent la gestion de plusieurs éléments : devis, budget, commandes, factures, trésorerie, transfert en comptabilité, vision graphique du plan de charge du personnel et du plan de charge par affaire, saisie des temps, des notes de frais....
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