Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 21671 à 21680.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(12/01/2007 17:55:15)
Microsoft peaufine la version hébergée de Dynamics CRM
D'ici l'été prochain, Dynamics CRM, le logiciel de gestion de la relation clients (GRC) de Microsoft, sera proposé sous la forme d'une offre en ligne, proposée directement par son éditeur. Cette offre hébergée exploitera la version 4.0 du produit, jusque-là désignée sous le nom de code Titan. Elle portera le nom de Dynamics CRM Live, emboîtant ainsi le pas aux autres outils de Microsoft fournis comme un service : Office Live et Windows Live. Mais Dynamics CRM 4.0 sera également proposé « à la demande » par des hébergeurs indépendants et disponible de façon classique, sous forme de licences. C'est la première version à permettre le lancement de plusieurs instances du logiciel sur le même serveur, ce qui permet de répondre dans de bonnes conditions aux exigences requises par l'hébergement et d'en réduire les coûts d'accès. Microsoft prévoit de donner le produit en test à trois cents de ses partenaires au cours de ce premier trimestre, et d'élargir progressivement cette phase de test à un millier de partenaires au cours du deuxième trimestre. L'éditeur souhaite que les hébergeurs puissent se familiariser avec cette version multi-instance et il espère aussi susciter le développement d'extensions fonctionnelles autour de l'offre. Un programme de prise en main par les clients est également prévu. Il sera mis en route plus tard, un peu avant la livraison effective. Dans un premier temps, l'offre hébergée Dynamics CRM Live sera disponible uniquement sur le continent nord américain. Elle sera diffusée plus largement quand l'éditeur aura pris ses marques. Il est prévu d'inviter les partenaires à venir y proposer des extensions, un peu à la façon dont Salesforce.com a constitué sa plate-forme AppExchange. Dans un mouvement identique à celui engagé par SAP et Oracle, Microsoft cherche donc à diversifier les façons d'utiliser son logiciel de GRC (en ligne depuis un navigateur Web, à partir du client de messagerie MS Office Outlook, ou sur différents types de terminaux mobiles). En proposant à son tour une version hébergée, l'éditeur s'aligne un mode de diffusion popularisé par Salesforce.com depuis plusieurs années. Dynamics CRM 4.0 sera disponible dans vingt-quatre langues et supportera plusieurs langues sur un même déploiement, ce qui n'était pas le cas jusque-là et posait un problème aux entreprises qui l'utilisaient sur plusieurs pays. Pour l'anecdote, Microsoft poursuit par ailleurs la mise en place en interne de Dynamics CRM, en remplacement de Siebel CRM. 3 000 de ses collaborateurs l'utiliseront d'ici fin juin et 10 000 d'ici 2008. (...)
(12/01/2007 17:14:33)La Commission européenne dévoile son rapport à la gloire du logiciel libre
L'Union européenne vient de publier sur son site le rapport sur l'impact des logiciels libres et Open Source (dits Floss : Free Libre Open Source Software) sur l'innovation et la compétitivité du secteur des technologies de l'information et des communications en Europe. Commandée par la Commission européenne, cette somme de 287 pages (dont une soixantaine d'annexes) compile un nombre impressionnant d'études diverses sur la part du « Floss » dans les entreprises, le nombre de contributeurs, etc. ainsi que les résultats de plusieurs études de cas. Au final, le rapport émet plusieurs recommandations afin d'encourager le logiciel libre en Europe, ce qui serait en ligne, souligne le rapport, avec l'objectif de Lisbonne (sur une économie de la connaissance en Europe d'ici à 2010). Menée par un ensemble d'universitaires (ceci expliquant cela, lui reprocheront certainement les anti-logiciels libres) et coordonnée par Unu-Merit, centre de recherches de l'Université de Maastricht, l'étude indique ainsi que « le nombre élevé de développeurs européens de Floss fournit une opportunité unique de créer de nouvelles structures commerciales et de tendre vers le but fixé par Lisbonne de faire de l'Europe l'économie de la connaissance la plus compétitive d'ici à 2010 ». De fait, les chiffres compilés dans ce rapport soulignent tous la prédominance européenne en matière de logiciels libres, qu'il s'agisse de parts de marché sur les serveurs et PC, de pénétration dans les entreprises du secteur public, ou de nombre de contributeurs et surtout de leaders (l'Europe semble en revanche à la traîne pour l'adoption dans les grosses industries). Le rapport s'attache ensuite à démontrer que cela est positif pour les entreprises. La quantité de code source d'une qualité raisonnable, écrivent ainsi les auteurs du rapport, représente l'équivalent de 12 Md€ si les entreprises devaient le produire en interne (en termes de ressources humaines, cela se convertit en 131 000 années/hommes). Or, pour bénéficier de cet immense effort, les entreprises n'auraient dépensé que le dixième de cette somme : 1,2 Md€. L'étude indique que ces économies en matière de R&D pourraient même compenser le faible investissement des entreprises dans le domaine des TIC comparativement aux Etats-Unis. Exonérations fiscales et récompenses aux étudiants L'autre bénéfice concerne le marché de l'emploi, où seraient gagnants tant les développeurs que les TPE-PME. Les compétences engrangées en participant à des projets Libres « aident les développeurs à trouver des emplois et peuvent aider à créer et entretenir des petites entreprises », dit le rapport, qui souligne que cela ne concerne par uniquement les compétences techniques, mais aussi les compétences en termes de gestion de projets et d'équipes ainsi que des connaissances en matière de licences et de droit du logiciel. Plusieurs chapitres soulignent encore les bienfaits de la suite bureautique OpenOffice, « qui a toutes les fonctionnalités dont ont besoin les officines publiques pour créer des documents, des tableaux et des présentations », et est « gratuite, extrêmement stable et supporte le format ISO Open Document ». Parmi les solutions envisagées par l'étude pour encourager le développement du logiciel libre, figurent des mesures fiscales incitant à traiter le don de code comme une donation à une oeuvre de charité, ouvrant droit à des exonérations fiscales, qu'il s'agisse de particuliers ou d'entreprises. Autre recommandation importante : utiliser les logiciels libres au même titre que les logiciels propriétaires dans les établissements éducatifs, encourager les étudiants à modifier du code Open Source, récompenser la production de code Open Source par les étudiants et les professeurs, ceci afin que les étudiants « développent un point de vue critique » et « ne soient pas liés à vie à un éditeur ». (...)
(12/01/2007 16:46:13)Résultats SAP : les objectifs 2006 largement manqués
Moins 10%. Le chiffre claque comme une sanction après l'annonce par SAP de ses pré-résultats 2006. L'éditeur allemand de progiciels a fortement déçu en publiant des chiffres largement en retrait par rapport aux attentes des analystes et à ses propres projections, pourtant effectuées il y seulement trois mois. Ainsi, alors que le groupe d'outre-Rhin prévoyait, au mois d'octobre, des ventes de licences comprises entre 15 et 17% pour l'ensemble de l'exercice 2006, il vient d'annoncer que ce taux n'atteindrait finalement que 11%, soit un chiffre d'affaires de 3,10 Md€. Sur le seul quatrième trimestre, les ventes de licences n'augmentent que de 7%, à 1,26 Md€, bien loin du consensus des analystes, qui s'établissait à 1,35 Md€. C'est donc un véritable double échec pour SAP : non seulement le groupe a failli sur un indicateur d'autant plus important - et suivi par les analystes avec attention - qu'il est révélateur de la santé à court terme de l'entreprise, mais il s'est montré en outre incapable de prévoir, trois mois à l'avance, quel serait l'état de ses revenus. A la décharge de SAP, les résultats des trois premiers trimestres pouvaient laisser augurer une belle fin d'année. C'était sans compter sur une dernière période noire : les ventes de produits n'augmentent que de 8% entre le troisième et le quatrième trimestre ; le chiffre d'affaires total progresse, quant à lui, de 7%. Accident de parcours ou début d'une période noire ? SAP n'a pas fourni d'explication permettant de comprendre ces piètres résultats, d'estimer qu'ils ne constituent qu'un simple accident de parcours ou, au contraire, qu'ils s'inscrivent dans une tendance plus globale touchant le secteur des applications d'entreprises. Rappelons qu'Oracle, un des principaux concurrents de SAP, avait également déçu le mois dernier sur ses ventes de licences. Nuançons cependant ces constatations en soulignant que, si les prévisions ne sont pas atteintes, les éditeurs parviennent tout de même à réaliser une croissance supérieure à 10%. C'est néanmoins insuffisant pour les actionnaires. En réaction, ils se sont ainsi rués vers les places de marché pour échanger leurs titres. De fait, l'action SAP enregistre une vertigineuse chute de plus de 10%, la plus importante enregistrée par l'éditeur en quatre ans. Dans la foulée, et également en conséquence de l'avertissement lancé par AMD sur ses résultats, de nombreux acteurs IT voyaient la valeur de leur titre reculer également. Il en allait ainsi pour Atos, Capgemini, STMicro, Dassault Systèmes, ou Soitec, le fournisseur d'AMD. Pour remonter la pente, SAP devrait pouvoir compter sur son PDG Henning Kagermann. Son contrat expire en décembre 2007 mais devrait être renouvelé pour au moins une année supplémentaire. C'est du moins le souhait du conseil de surveillance qui souhaite faire prolonger le bail de celui qui dirige le groupe depuis 1993 et qui a fêté ses 60 ans en juin 2006. La décision devrait être prise en février. (...)
(12/01/2007 16:12:29)SGI support Windows Compute Cluster sur ses serveurs Altix XE
A partir du mois de mars, les clients de SGI auront le choix entre trois systèmes d'exploitation pour faire tourner leurs grappes de serveurs Altix XE. Aux côtés de Linux et du système maison Altix, SGI propose désormais Windows Compute Cluster Server 2003. Déclinaison de Windows Server 2003 destinée aux calculs hautes performances, Windows Compute Cluster ne fonctionne qu'avec des processeurs x86, tels que les Intel Dual Core et Quad Core Xeon intégrés dans les serveurs Altix XE. Avec un prix de départ à 3 500 $ par noeud de calcul, cette alliance entre SGI et Microsoft cible l'entrée de gamme du calcul haute performance (High Performance Computing ou HPC). Pour Dave Parry, vice président senior de SGI, ce partenariat « a pour but d'étendre l'HPC à une nouvelle gamme d'utilisateurs ». Outre le gouvernement et les centres de recherche, SGI vise certains secteurs industriels comme la santé, l'aéronautique ou le design automobile. Pour Microsoft, il s'agit de convaincre certains de ses utilisateurs de passer des stations de travail à des grappes de serveurs. Une action que l'éditeur a déjà commencée en ayant passé des accords similaires avec HP, Dell ou IBM. Après avoir été en situation de banqueroute en 2005 et en 2006, cet accord semble une opération de la dernière chance pour SGI. Pour Addison Snell, analyste chez IDC et ancien salarié de SGI, « il y a une réelle opportunité de croissance dans cet accord ». Il devrait permettre à la société de toucher des clients cherchant de l'entrée de gamme. « SGI a longtemps été coincé dans le haut de gamme», ajoute-t-il. (...)
(12/01/2007 12:54:03)Appel à synergies de compétences pour les futures utilisations de Galileo
En 2010, la flotte de trente satellites du programme européen Galileo offrira des services de positionnement et de navigation par satellite générateurs d'une multitude d'activités tant pour le secteur spatial que pour les applications sur terre. A l'horizon 2020, quelques trois milliards de récepteurs de navigation devraient être en fonction. Le marché des produits et services est à l'avenant, estimé à 400 milliards d'euros d'ici à 2025. De quoi mobiliser les énergies et les synergies parmi les chercheurs et ingénieurs R&D. A Brest, le 18 janvier, à l'initiative de la Meito (Mission pour l'électronique, l'informatique, et les télécommunications de l'Ouest), les acteurs des pôles de compétitivité concernés, en Bretagne (Images et Réseaux, Mer, Automobile haut de gamme) et Midi-Pyrénées-Aquitaine (Aerospace Valley) feront le point sur les savoir-faire et projets lancés, dans les domaines des télécommunications, du traitement d'image (image de géolocalisation), du transport, de la santé, de la sécurité, de l'agriculture. Une concertation sur fond de conférences et d'ateliers qui, de facto, intervient en écho à la consultation en ligne lancée sur ce sujet par la Commission européenne, depuis décembre 2006, et pour quatre mois via un Livre vert. Destinés à « favoriser un débat entre les parties intéressées et à susciter de nouvelles idées sur les missions que le secteur public pourrait assumer aux fins de soutenir le développement de telles applications », le contenu du Livre vert et la consultation donneront lieu à une synthèse prévue pour septembre 2007, ouvrant la voie à un plan d'action à compter de 2008. (...)
(12/01/2007 12:31:26)CES : Des radios fréquences pour remplacer les batteries
A l'occasion du CES (Consumer Electronic Show) de Las Vegas, la start-up américaine Powercast a présenté une nouvelle technologie pour alimenter en énergie les appareils électroniques qui utilisent des batteries ou des piles. Baptisée Wireless Power Production (WPP), celle-ci permet de charger en continu un appareil électrique. A la place de la batterie ou à côté pour la recharger en continu, un récepteur baptisé Powerharvester ; à la place du câble et du chargeur, une petite boîte sur une prise électrique ou intégrée dans une lampe, le Powercaster. Les deux modules communiquent par radio-fréquence dans la bande des 902 à 908 MHz, et le Powercaster envoie en continu des signaux basses fréquences aux Powerharvesters présents dans un rayon d'une quinzaine de mètres, qui le convertissent en énergie électrique. Pour l'instant, seul Philips a annoncé s'intéresser à cette technologie et les premiers produits rechargeables par ce biais devraient sortir d'ici la fin de l'année. (...)
(12/01/2007 12:22:10)La banque, élue reine de la dépense informatique
9 milliards d'euros: tel est le montant des dépenses informatiques du secteur financier français en 2006, révèle une étude menée par IDC. Ce qui correspond à un accroissement proche du double de la moyenne professionnelle. Les banques, les assurances et la finance ont su rattraper leur retard. Après deux années consécutives de gel des dépenses informatiques dues aux échecs des gros projets de refonte, 2006 marque la reprise des projets informatiques. Parmi les entreprises les plus dépensières dans ce domaine, la palme d'or revient aux banques avec une hausse de 5,9 % par rapport à 2005, suivies des assurances (4 %). Cette dynamique des investissements générés autour des systèmes d'information des établissements financiers est tirée par les logiciels, éléments essentiels pour la mise en conformité réglementaire des systèmes d'information. Aujourd'hui, le marché du logiciel représente 18% de la dépense informatique du secteur financier. Il connaît la plus forte dynamique (+7,6% de croissance) en 2006, alors que la croissance des investissements en matériel tend à stagner, avec une hausse seulement de 3,3 %. Ce sont principalement les évolutions métiers et les échéances de conformité réglementaire (Bâle II, SEPA, MIFID) qui conduisent les établissements financiers à revoir leur informatique. Dans le secteur bancaire, la rapidité et l'internationalisation des flux financiers renforcent les besoins des banques autour des solutions de sécurité. Sur la partie back office, le système de paiement figure au coeur des projets de transformation des systèmes opérationnels, devant les activités de gestion de cash et de titres. Les projets informatiques autour des activités de front office ne sont pas en reste, puisque la relation client devrait constituer en 2007 la première priorité applicative des banques en France, relayée par des projets informatiques visant à renforcer les canaux de distribution des services bancaires. (...)
(12/01/2007 12:16:30)AMD : la guerre des prix avec Intel pèse toujours sur les résultats
Les résultats d'AMD au quatrième trimestre 2006 seront mauvais. Le fabricant vient en effet d'indiquer qu'il n'atteindrait pas les objectifs qu'il s'était fixés, tant en termes de revenus que de bénéfices. Le chiffre d'affaires ne devrait ainsi progresser que de 3% par rapport au troisième trimestre, et s'aligner à 1,37 Md$. Nul doute que les analystes et autres actionnaires voient cette information d'un mauvais oeil, eux qui tablaient sur des revenus atteignant 1,44 Md$. Si AMD n'a pas précisé à quel niveau se situeraient la marge et le bénéfice, il indique toutefois que le résultat opérationnel reste positif mais qu'il s'avère sensiblement inférieur à celui publié au trimestre précédent. Une fois encore, la cause de ces contre-performances n'est guère mystérieuse. A force de se livrer une guerre acharnée sur le terrain des prix pour voir le volume de leurs ventes progresser - une initiative certes couronnée de succès - AMD et Intel sacrifient leur rentabilité trimestre après trimestre. Sur la période précédente, par exemple, la marge brute d'AMD perdait 4 points sur un an. Au cour du même trimestre, Intel déplorait un recul de son chiffre d'affaires de 12,6% et de son bénéfice net de 35% par rapport à 2005. Les résultats définitifs d'AMD seront publiés le 23 janvier. (...)
(12/01/2007 10:06:52)Les bandes LTO doublent leur capacité de stockage
Le LTO Program, dirigé par HP, IBM et Quantum, annonce LTO 4, la quatrième génération de la spécification de bandes LTO (Linear Tape Open). Les équipementiers l'implémenteront dans leurs lecteurs et bandes au cours du premier semestre 2007. Les produits LTO 4 d'HP, IBM et Quantum seront évidemment interopérables. De plus ils liront les données inscrites sur des bandes LTO 2 et LTO 3, et pourront écrire sur du LTO 3. Les performances d'écriture des équipements LTO 4 sont accrues de 50% par rapport au LTO 3, à 120 Mo/s. Surtout la nouvelle spécification inclut un système de cryptage AES 256 bit au niveau du lecteur. La capacité de stockage des bandes LTO 4 est de 800 Go en mode non compressé (l'équivalent de 170 dvd simple couche), ou 1,6 To en mode compressé, soit deux fois plus que les bandes LTO 3. Tout comme le format LTO 3, la spécification LTO 4 propose une fonctionnalité Worm (write once read many), un format non réinscriptible utile pour les exigences de conformité à certaines réglementations. Selon IDC, la technologie LTO représente 82% du marché de la bande de stockage milieu de gamme. Elle a vu le jour en 2000. Les principaux constructeurs de bandes sont Maxell, Imation, TDK, Sony et Fujifilm. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |