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(16/06/2010 15:53:43)

Les créateurs d'Amazon EC2 lancent une start-up dédiée au cloud

Basée à Menlo Park, en Californie, et à Cape Town, en Afrique du Sud, celle-ci a été fondée en 2008 par deux vétérans d'Amazon, Chris Pinkham et Willem van Biljon, avec le soutien de la société de capital-risque Sequoia.

« Responsable de l'infrastructure informatique de tous les centres de calcul, des bureaux et des installations d'Amazon.com entre 2001 et 2006, Chris Pinkham est à l'origine d'EC2 dont il a dirigé l'élaboration, » comme l'indique son profil LinkedIn. Willem Van Biljon quant à lui, il a passé à peine un an chez Amazon, et a fait partie de l'équipe qui a construit la première offre Elastic Compute Cloud (EC2) d'Amazon dont il conduit la gestion produits et la stratégie commerciale jusqu'en juillet 2006.

Lancée en version bêta publique en août 2006, Amazon EC2 a depuis joué un rôle majeur, faisant du cloud une alternative viable aux modèles d'infrastructure informatiques existants. EC2, qui s'appuie en grande partie sur la virtualisation, permet aux clients d'acheter des capacités de calcul brutes en fonction de leurs besoins, avec la possibilité d'accroître ou de réduire à volonté leur demande.

Des solutions encore nébuleuses

Les deux responsables n'ont pas révélé grand chose à propos de Benguela, si ce n'est qu'ils prétendent avoir développé « des logiciels pour infrastructure Cloud » qui vont «révolutionner la façon dont les entreprises interagissent avec le nuage informatique. » Girish Kalele, ingénieur chez Benguela, décrit les solutions sur son profil LinkedIn comme étant « la prochaine génération d'outil de virtualisation réseau pour les centres de calcul. »

Benguela a récemment recruté Quinton Hoole, ingénieur informatique et Kuyper Hoffman, ingénieur système, issus d'Amazon également. La jeune structure cherche aussi à recruter un spécialiste logiciel, formée à la conception de code pour des systèmes demandant « un niveau élevé de disponibilité, de sécurité et de performance... » et « ayant la capacité de travailler, ou apprendre à peu près n'importe quelle brique technologique, avec une préférence pour les outils et les méthides open source » en plus de la compréhension de l'informatique virtualisée, du stockage et des environnements réseaux.

Chris Pinkham devrait donner plus de détails sur Benguela la semaine prochaine au cours de la Conférence Structure 2010, où l'entreprise a été nominée pour le prix LaunchPad.

 

 

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(16/06/2010 16:12:37)

Avec BSM 9.0, HP simplifie la gestion des environnements hybrides

Comme les entreprises adoptent progressivement un modèle hybride avec des environnements physiques et virtuels, elles ont aujourd'hui besoin d'outils pour les aider à gérer la performance et la disponibilité de toutes leurs applications, indépendamment du lieu où elles sont exécutées, nous a expliqué, à Issy-les-Moulineaux, Bruno Buffenoir directeur France Software & Solutions chez HP. « On nous demande d'être très créatif pour revoir la façon de gérer les plates-formes et d'accompagner les demandes des solutions métiers. Nous voulons aider les entreprises à simplifier et automatiser le processus de déploiement d'applications dans ce nouveau monde virtuel hybride, cloud, physique, sur périmètre et hors site». Après une phase d'audit des différentes informations présentes dans entreprise, l'éditeur passe aujourd'hui à une seconde étape avec le traitement de ces informations.

Aider les entreprises à se concentrer sur l'innovation

Lors de son événement Software Universe 2010, HP a donc présenté la version 9.0 de Business Service Management (BSM), Test Data Management (TMD) et trois offres de services conçus pour aider les clients à maximiser leurs investissements logiciels. « Avec BSM 9.0, nous proposons tout simplement aux entreprises de se concentrer sur la nouveauté pour laisser la maintenance du quotidien à nos solutions conçues pour simplifier et automatiser la manière dont on gère proactivement les différents événements » souligne Claire Delalande, directrice marketing France Software & Solutions chez HP. Si les équipes informatiques peuvent administrer les applications, les réseaux et les événements de manière plus efficace, tout en respectant la conformité, elles pourront se consacrer à d'autres tâches, où, voir leur effectif réduit, même si HP ne met bien sûr pas ce point en avant.

Industrialisation les systèmes d'informations

« Trop souvent, les informaticiens travaillent dans leur coin et font leur propre choix, mais la tendance est aujourd'hui à l'industrialisation. Avec BSM 9.0, nous contribuons à la mise en place de process industrialisés pour que l'informatique ne soit pas le dernier bastion non industrialisé de l'entreprise », assure Bruno Buffenoir. Quand on voit le nombre d'alertes sur les serveurs, une grande partie n'est pas traitée, car on ne voit pas ce qui est important et de nombreuses alertes sont remontées par les clients faute de moyens de supervision. Pour apporter une solution à ces problèmes, BSM 9.0  maintient une vision actualisée des services et des applications exécutées sur site, hors site, dans un environnement  virtuel ou physique. Pour ce faire, une base de données intégrée baptisée ODB (Operation DataBase), récupère toutes les infos de manières centralisées et facilite le traitement décisionnel. À terme tous les produits de la suite HP convergeront vers ce modèle de données pour fournir une météo des systèmes consolidés. BSM 9.0 s'intègre d'ailleurs automatiquement à l'outil Configuration management System d'HP. Les différents services sont constamment mis à jour pour fournir un état précis aux équipes informatiques. Un point particulièrement important pour la gestion des VM et des Cloud. « Nous avons affaire à un monde mixant Cloud et machines virtuelles où la vitesse et la fréquence de changement sont 10 à 100 fois plus nombreux que dans des environnements physiques traditionnels. Pour ce faire, les entreprises ont besoin d'un système [qui garde la trace de tous ces changements] et capable de suivre en temps réel les évolutions» a expliqué à Washington Paul Mueller,  vice-président marketing de la division HP Software & Solutions.

Crédit illustration : HP Software & Solutions

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Des tableaux de bord personnalisés, une autre nouveauté de BSM 9.0, permettent également de concevoir des  dashboard sur mesure pour répondre aux besoins des différents services : métiers ou techniques. Cela peut contribuer à réduire le temps nécessaire pour résoudre des incidents et analyser plus rapidement les problèmes de service. Des fonctions collaboratives apparaissent également dans BSM 9.0 pour favoriser la circulation des informations entre les membres de l'équipe technique et accélérer les prises de décision quant aux éventuels incidents. « Ainsi, vous avez une explication contextualisée et l'avis de tout le staff IT », explique Paul Muller. 

Plusieurs éléments étoffent encore le portefeuille BSM 9.0 : Business Availability Center 9.0 pour surveiller et diagnostiquer les applications de surveillance et de diagnostic; Operations Manager i9.0, qui détecte et signale automatiquement les changements dans les applications et les infrastructures physiques ; enfin Network Management Center 9.0, qui rassemble dans une fenêtre unique la gestion des pannes, de la disponibilité et du rendement des applications.

Fournir des données gérées pour les tests applicatifs

Second volet de cette annonce, Test Data Management (TDM), en partie concurrent de la plate-forme Rational d'IBM, automatise les processus de test en fournissant des données aux applications cibles. Si les entreprises ont besoin d'informations pertinentes pour tester leurs futures applications, l'extraction et l'utilisation de données sensibles ne sont pas toujours appropriées, notamment avec les juridictions en vigueur dans les banques et les assurances et la multiplication des ressources externalisées. TDM se propose donc de fournir des data gérées dans les applications et de rendre cohérente ces données dans les différents environnements. « Nous apportons la capacité à pouvoir mettre en place des jeux de données (vieillissement, respect des normes de sécurité...), sans enfreindre de règles. Si hier on pouvait donner des data de production sans grandes contraintes, ce n'est plus, le cas aujourd'hui » nous explique, HP. D'autant plus que l'extraction et la préparation des données pour un cycle de test peuvent consommer jusqu'à 50% des ressources globales ajoute, Paul Muller. Avec TDM, les entreprises peuvent utiliser des outils pour extraire automatiquement, gommer, normaliser et, au besoin, masquer les données, avant de les passer aux systèmes qui en ont besoin. Le coût associé aux essais applicatifs peut ainsi baisser et les entreprises s'assuraient que des données sensibles ne sont pas utilisées en infraction des règles de conformité. 

Des services complémentaires

Sur le plan des services, HP met en évidence et élargit trois offres. Sa plate-forme Solution Management Services (SMS) fournit un soutien logiciel et des services de consultation pour aider les entreprises à simplifier et à optimiser leurs déploiements. La compagnie met également en avant son offre Business Availability Center (BAC) Anywhere pour supporter des environnements sélectionnés. Proposé en mode SaaS dans le Cloud de HP, BAC Anywhere permet aux entreprises de contrôler leur parc applicatif web à partir de n'importe quelle console dans le monde, y compris en dehors de la zone protégée par le pare-feu.  Enfin, BSM 9.0 Services aide les clients à concevoir et à déployer leurs logiciels de la suite BSM

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(16/06/2010 15:16:35)

Le monde de l'optique passe à la vitesse supérieure

Du 14 au 17 juin, le salon Optical Networking a été l'occasion de faire un point sur une technologie cruciale pour les opérateurs, les fournisseurs de services et les grandes entreprises, les équipements fibre optique. Pour Jia Ying Wang, ingénieur en chef chez ZTE « la croissance de trafic IP de nos clients est de plus de 100% par an, il est donc nécessaire de leur apporter des équipements qui répondent à ce besoin ». Et pour le fabricant chinois, cette réponse a un nom, la série ZXOne 8000. Elle se décline en trois produits, le 8200 capable de gérer jusqu'à 800 Gbits de flux, le 8300 d'une capacité de 1,6 Tb et enfin le 8500 qui supporte 3,2 Tb. Tous ces équipements s'adressent soit au coeur de réseaux ou à l'agrégation de réseaux métropolitains (8200 et 8300), soit au backbone (grande architecture des opérateurs pour le 8500).

Jia Ying Wang souligne que cette série répond « à des problématiques de réduction de consommation d'énergie estimée à 40%, les clients sont devenus très attentifs sur ces économies ». Intégrant l'ensemble des standards ODU 0/1/2/3 et flex, une commutation intelligente (en gérant toutes les couches du niveau transport à la commutation) pour gérer le multiplexage de plus en plus compliqué, ces différents produits s'adaptent facilement aux montées en charge du trafic.

Passer au 100 Gbit/s et après ?


Face à ces pics inéluctables, renforcés par l'expansion de la data mobile, les différents acteurs de l'optique s'interrogent sur la capacité de transmission des données. Il y a quelques années, le Gbit/s était devenu une étape obligatoire pour répondre à cette demande. Puis est arrivé le 10 Gbit/s qui s'est imposé progressivement. Aujourd'hui, la machine s'emballe comme l'a expliqué John d'Ambrosia, président du groupe de travail sur la norme 802.3ba à l'IEEE (norme en cours de développement et appartenant au groupe de normes 802.3 (Ethernet). Celle-ci spécifie la couche PHY et MAC pour des débits allant jusqu'à 40 Gbits/s sur paires torsadées ou 100 Gbits/s sur fibre optique) « quand nous avons commencé à travailler en 2007 sur le 40 et 100 Gbit/s, il n'y avait pas Facebook et ses 450 millions de personnes qui s'échangent des photos et des vidéos ».

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L'organisme travaille donc pour livrer une standardisation la plus efficace possible (fabrication des modules 4x 25 Gbit/s Ethernet plutôt que 10 x 10 Gbit/s, amélioration de la consommation électrique, augmentation des distances pour le signal en fonction du câblage supporté).

A la question est-ce que la demande est là pour cette connectivité, Jia Ying Wang reste philosophe « aujourd'hui nos clients nous demandent d'aller vers le 40 Gbit/s Ethernet, mais nous sommes prêts à les accompagner vers plus de débit ». Les autres équipementiers interrogés sur le salon partagent sensiblement ce point de vue et propose tous des produits adéquats. Ainsi Alcatel-Lucent montrait son commutateur optique PSS 1830 capable de gérer le 100 Gbit/s sur une seule longueur d'onde. Idem du côté d'Infinera qui vient de démontrer avec l'opérateur nippon NTT une transmission en 100 Gbit/s via une plate-forme DTN de l'équipementier.

John d'Ambrosia a rappelé qu'il fallait se pencher sur la question du futur avec l'arrivée de très haut débit mobile, la 4G, sans toutefois prononcer le terme Terabit/s Ethernet, que d'aucun envisage pour 2015, c'est-à-dire demain.

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(16/06/2010 13:45:54)

IBM lorgne sur un spécialiste des outils d'analyse

Big Blue a les yeux de Chimène pourCoremetrics, un éditeur spécialisé dans les outils d'analyse web. Basée à San Mateo (Californie), cette start-up (230 collaborateurs) développe des outils décisionnels qui aident les entreprises à mieux commercialiser leurs marques. Des fonctions comme le ciblage d'e-mails ou les recommandations personnalisées en temps réel permettent une meilleure interaction avec les clients et les prospects en analysant les données en interne ou en provenance des réseaux sociaux. Parmi les clients de Coremetrics, on peut citer Bank of America, ou encore Holiday Inn.

IBM a par ailleurs indiqué que la technologie de l'éditeur serait intégrée à son serveur d'applications Websphere. Pour Joe Stanhope, analyste chez Forrester, la firme d'Armonk appliquerait certaines des capacités de business intelligence de Coremetrics aux logiciels de la société Cognos, rachetée en 2007 par Big Blue. Actuellement, 5 000 employés de la firme travaillent au développement d'outils décisionnels.

Au cours des cinq dernières années, IBM a investi 11 milliards de dollars pour renforcer ses capacités d'analyse à travers 18 acquisitions. Dernier rachat en date, celui de Sterling Commerce, un spécialiste des solutions d'intégration, effectué il y a tout juste un mois.

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(16/06/2010 11:36:57)

Apec : baisse de 5% des offres IT par rapport à mai 2009

En mai dernier, 7 345 offres d'emploi à destination des informaticiens ont été confiées à l'Apec. C'est ce que montre l'indicateur mensuel publié aujourd'hui par l'Association pour l'emploi des cadres. Cumulés sur douze mois, (c'est à dire sur la période de juin 2009 à mai 2010 par rapport à la période de juin 2008 à mai 2009), le nombre de postes à pourvoir dans la filière IT a encore reculé de 5%, soit un peu plus de 72 000 offres. Les métiers du secteur ayant subi une baisse sont ceux liés à la maîtrise d'ouvrage d'ouvrage et fonctionnel (-27%), l' informatique industrielle (-17%), l'exploitation et la maintenance informatique (-12%), l'informatique de gestion (-9%) et enfin les systèmes réseaux et données (-9%).
Egalement en repli, les études, recherche et développement (-19 %), avec près de 3 600 offres d'emploi diffusées au cours du mois dernier, et 37 432 postes en cumul sur les douze mois glissants. A l'opposé, le volume des annonces dans la catégorie informatique web, sites et portails Internet, (+448% en avril dernier) poursuit son envolée. Dans cette filière, le volume des offres a bondi de 516% par rapport à mai 2009, ce qui correspond à 822 annonces déposées sur le site de l'Apec au cours du mois dernier, et à 5 710 offres cumulées sur douze mois.

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(16/06/2010 09:53:03)

Un badge multifonction RFID chez Bouygues Immobilier

Au début du projet, le système d'information de Bouygues Immobilier (filiale du groupe Bouygues comptant environ 1400 employés) avait beaucoup évolué depuis cinq ans en intégrant de nombreuses nouvelles applications. Cette quantité croissante d'information gérée rendait plus sensibles les identifiants/mots de passe correspondants, que les utilisateurs avaient tendance à noter à droite à gauche. Parallèlement, beaucoup d'impressions et d'opérations de numérisation n'étaient pas sécurisées. À l'occasion de l'emménagement dans le nouveau siège GALEO situé à Issy Les Moulineaux, la décision est donc prise de déployer un badge d'entreprise couplé à une solution de signature unique (SSOX de l'éditeur français Avencis).

Un badge couplé à une solution de SSO

Déjà distribué à quelque 500 employés, ce badge offre en réalité plusieurs fonctions complémentaires. Tout d'abord, parce que le format badge permet d'imprimer le logo de Bouygues Immobilier, il renforce le sentiment d'appartenance à l'entreprise. D'autre part, grâce à sa puce sans contact (RFID), il permet l'accès aux bâtiments - siège et sites distants. Il fait également office de porte-monnaie électronique. Enfin, il unifie les accès aux PC et aux applications tout en sécurisant les impressions et numérisations.
« L'adoption de la solution a été facilitée par l'aspect multifonction et par un accompagnement quasiment personnalisé lors du déploiement qui a simplifié l'acquisition d'un nouveau mode de connexion. La gratuité des boissons chaudes lors d'un paiement avec le badge ajoute à l'image positive de la solution», explique Olivier Radix, RSSI de Bouygues Immobilier.

Illustration puce RFID, crédit photo : D.R.

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De plus, le niveau de sécurité s'en est trouvé renforcé, puisque l'utilisateur a généralement besoin de conserver sur lui son badge lorsqu'il s'éloigne de son poste de travail (ce qui entraîne le verrouillage automatique de la session) et que la plupart des utilisateurs ne connaissent plus leurs mots de passe (ce qui évite de les noter et de les partager).

Pour l'accès unifié à Windows et aux applications, tous les couples identifiants/mots de passe sont chiffrés et stockés sur la puce du badge, et automatiquement joués lors de chaque tentative d'accès, via un agent installé sur le PC. En fonction des applications et des usages, ces mots de passe peuvent être gérés par l'outil de SSO et non choisis par les utilisateurs (c'est le cas notamment pour le mot de passe Windows). D'autre part, l'usage du badge est protégé par un code PIN d'au minimum 4 caractères alphanumériques, avec un blocage après cinq essais infructueux.

Numérisations simplifiées et impressions sécurisées

Parallèlement, des lecteurs ont été connectés sur les ports USB des scanners. Là où l'utilisateur devait auparavant renseigner ses identifiants et mots de passe Windows pour une numérisation vers son répertoire, il suffit désormais de passer le badge devant le lecteur pour associer la numérisation au bon utilisateur. Basés sur le même principe technique, des tests sont en cours pour la sécurisation des impressions : Lorsqu'une impression est envoyée en mode sécurisé, elle est déclenchée sur n'importe qu'elle imprimante équipée, après passage du badge de l'utilisateur devant le lecteur de l'imprimante. Un déploiement est à l'étude sur les sites concernés d'ici à la fin de l'année.

En cas d'oubli du badge, l'utilisateur ne connaissant plus son mot de passe Windows, deux solutions de secours sont prévues. Tout d'abord, l'utilisateur peut débloquer son PC et ses applications en répondant à des questions préétablies, tandis que l'entrée dans le bâtiment s'effectue comme celle d'un visiteur. Deuxième mode,en cas d'oubli des réponses, l'utilisateur peut obtenir auprès du help desk un mot de passe valable pour la journée.

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La suite du projet va maintenant consister à déployer la solution à tous les collaborateurs et à gérer différentes exceptions. Tout d'abord, la synchronisation des mails sur certains smartphones impose encore la connaissance du mot de passe Windows par les utilisateurs concernés. « Nous étudions une solution qui permettrait d'identifier le smartphone via son numéro de série, associé à un mot de passe choisi par l'utilisateur », explique Olivier Radix.
La connexion depuis un PC personnel ou public pourrait pour sa part passer par une version mobile de l'outil de SSO, implémentée sur une clé USB.

Autres cas particuliers à l'étude : Le partage par plusieurs utilisateurs de la même session Windows tout en utilisant leur badge personnel (utilisation ciblée sur quelques postes dédiés à des usages spécifiques tels que scanner applicatif ou accueil) ou, à l'inverse, l'authentification simultanée d'utilisateurs qui accèdent simultanément à plusieurs PC. (...)

(16/06/2010 09:53:00)

2ème rencontres annuelles du SPN, le cluster de Poitou-Charentes

Le cluster SPN réunit le 24 juin, à Poitiers, ses deuxième Rencontres du numérique.  Elles sont axées sur le thème de la mobilité. Des Rencontres qui se déroulent sur une journée. La matinée est consacrée aux Rencontres d'affaires, avec 450 rendez-vous programmés. « L'idée est que les adhérents  s'associent pour développer de nouvelles capacités à l'échelon régional, national ou international », nous explique la directrice de SPN Lisa Harle.

SPN développe par ailleurs ses structures. Un espace de 115 mètres carrés, le nouveau siège,  est disponible près de la gare de Poitiers pour des rendez-vous entre adhérents.  Le SPN organise également des réunions thématiques par exemple sur le sans fil. Le cluster travaille aussi en direction des collectivités locales, par exemple en aidant l'Agglomération de Poitiers à rédiger un guide d'achat TIC.

Ce cluster a été créé en 2001 sous le nom de Seuil du Poitou Numérique. En 2007, il se rebaptise SPN avec quatre pôles : réseaux et télécommunications, développement informatique, conseil et formation, communication multimédia et arts graphiques. Il compte 90 adhérents. SPN participe à France IT, créé dans le cadre de France Cluster avec Loire Numérique, Franche Conté Interactive, RhoneAlley, Peba en Aquitaine.  Ils préparent une charte interne et un Tour de France qui permettra à des adhérents de l'un des cinq clusters de se rendre dans l'autre pour se développer sur d'autres régions ou trouver des partenariats. (...)

(16/06/2010 09:53:21)

Massification des achats publics : la FEB en appel au Tribunal

La Fédération des Entreprises Bureautiques (FEB) vient de franchir une nouvelle étape dans son combat contre la massification des achats publics en lançant une procédure devant le Tribunal Administratif. Cette « procédure en référé précontractuelle » sera examinée le jeudi 17 juin et les résultats seront communiqués à la FEB le 21.
« C'était pour nous le seul moyen de bloquer la mise en place de ce nouveau processus d'achat, qui pourrait détruire plusieurs dizaines de milliers d'emplois dans les PME de la distribution bureautique », explique André Vidal, Président de la FEB. La procédure en question concerne les systèmes d'impression. Deux autres marchés couverts par la FEB pourraient ensuite être concernés : la papeterie et le mobilier de bureau. Et l'informatique ? « Elle n'est pas concernée de la même manière, dans la mesure où les marchés sont renouvelés tous les six mois, alors que l'on peut être écartés pour une durée de quatre ans dans les autres cas », précise André Vidal.

Le soutien des élus

Si le syndicat professionnel s'est lancé dans une procédure juridique, c'est notamment parce qu'il a reçu le soutien de députés, de sénateurs et d'élus des collectivités. 143 questions écrites ont ainsi été posées au gouvernement sur ce sujet. La FEB sait qu'il lui faut maintenant mettre davantage de pression sur les pouvoirs publics si elle veut obtenir des modifications de la massification des achats publics. Mercredi prochain, le 23 juin, elle officialisera le choix d'une agence de relations presse et décidera de la hauteur de ses investissements publicitaires dans la presse nationale. « Nos actions de lobbying auprès des élus ont été efficaces, il faut désormais que l'opinion publique soit plus largement informée des risques que cette supposée mesure d'économie fait peser sur l'emploi. Quelle peut-être l'économie pour la collectivité nationale quand on sait qu'elle doit consacrer 40 000 euros pour permettre à un chômeur de retrouver un emploi ? », conclut André Vidal.


Note de la rédaction : Vous êtes-vous aussi concerné par la massification des achats publics voulue par l'état ? Réagissez sur le forum de LeMondeInformatique.fr

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