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(18/05/2010 14:27:27)

Citrix installe XenApp dans le cloud d'Amazon

«La virtualisation des applications permet aux gestionnaires informatiques de n'avoir à gérer qu'une seule instance de chaque application, qu'elle soit hébergée dans le datacenter ou dans le Cloud (EC2 dans le cas présent) » écrit Simon Crosby, PDG de Citrix, dans un blog. « Les applications sont ensuite rendues directement disponibles via un streaming logiciel à des appareils sous Windows pour une utilisation en mode connecté et déconnecté.» Le pilote permettra aux clients de Citrix de transférer leurs licences XenApp depuis leur propres datacenters vers Amazon EC2 et « d'exécuter leurs applications dans un environnement entièrement compatible » a déclaré l'éditeur. Cependant, cette éligibilité est réservée aux clients de Citrix également adhérents au Windows Server Licence Mobility Pilot d'Amazon, lequel permet la migration des licences Windows Server vers Amazon EC2.

Le pilote XenApp/Amazon ne supporte pas encore le Virtual Private Cloud (VPC) d'Amazon, dont l'objectif est de mettre les ressources informatiques exécutées dans les centres de calcul d'Amazon à un niveau de sécurité équivalent à celui ayant cours en entreprise. «Nous continuons à travailler avec Amazon sur son projet d'incorporer le VPC au sein de notre pilote dans le futur » a déclaré Citrix. Aujourd'hui, ce projet est donc d'une utilité limitée, mais reste potentiellement intéressant pour les entreprises cherchant à déterminer si, à terme, elles pourraient alléger leur infrastructure informatique interne en transférant une partie de l'activité vers un fournisseur de Cloud. L'application XenApp tournant sous EC2 d'Amazon pourrait permettre en effet à une entreprise de réduire considérablement le nombre de serveurs physiques qu'elle a à gérer.

Franchir le rubicond cloud

Simon Crosby admet que les clients actuels se plaignent souvent de ce que les clouds ne sont pas de « classe entreprise », et se disent préoccupés par la disponibilité et la sécurité de leurs données. Mais il affirme que les services clouds sont en train de gagner rapidement en maturité et offrent de nombreux avantages que ne pourraient fournir le datacenters classiques.

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Sur Amazon, « avec une seule requête d'API, vous pouvez créer une base de données SQL de 1 To qui est sauvegardée et disponible en permanence, » écrit le dirigeant. « La seule chose à faire est de payer pour les unités de calcul et de stockage. Alors, pourquoi ne pas développer une application qui sache en profiter ? Si l'application est corrélée à la base de données existante de l'entreprise, c'est impossible. Si ce n'est pas le cas, alors ce serait vraiment trop bête de ne pas le faire.» Simon Crosby ajoute que «l'utilisation extensive de l'automatisation dans le cloud, les rend en général beaucoup moins sensibles aux problèmes qui dominent traditionnellement dans l'entreprise, à savoir les erreurs de configuration dues à l'intervention humaine. »

« Les clients doivent encore évaluer avec soin les clouds de type infrastructure-as-a-service (IaaS) pour s'assurer qu'ils sont capables de prendre en charge une application spécifique » écrit-il. « Le plus important est d'estimer les apports de l'offre d'un vendeur Cloud IaaS particulier, et voir comment elle peut s'adapter aux exigences de vos applications d'entreprise,» a insisté le responsable. « Est-ce que l'ensemble des fonctionnalités de l'IaaS est compatible avec vos applications ? C'est la question à laquelle il faut répondre en priorité. Seulement alors vous pourrez apprécier si la qualité de l'offre est de « classe d'entreprise. »

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(18/05/2010 13:33:00)

Smartphones et PC portent la demande hi-tech

En France, au premier trimestre 2010, les ventes de téléphones mobiles ont progressé de 7% en volume, dopées par celles des smartphones. Selon l'étude GfK TEMAX, ce marché est le seul à montrer une progression aussi net dans le secteur de la high-tech.

Avec la téléphonie mobile et la micro-informatique ; la bureautique et consommables sont les seuls segments à être en hausse au cours du dernier trimestre, selon GfK, respectivement +0,9% et +1%. Le cabinet d'études note que pour une fois les ventes d'ordinateurs portables et de bureau sont en hausse, respectivement de 5% et de 1% en valeur.

Les produits dédiés à la bureautique et les consommables sont portés vers le haut par les consommables d'impression (+3%), les imprimantes multifonctions (+5%) et les vidéoprojecteurs (+16%). L'électronique grand public, dans sa globalité connaît une baisse de ses ventes de 2,6% en valeur, tout comme le marché de la photo numérique, de l'ordre de 2,1%. Parmi les produits phares, GfK note les téléviseurs LCD, la Hi-Fi, les DVD Blu-Ray (qui repartent fortement à la hausse avec +200% par mois), les adaptateurs TNT et les accessoires.

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(18/05/2010 11:59:26)

L'ESIEA développe un système de guidage sur mesure pour les personnes handicapées

Faciliter l'intégration des personnes à mobilité réduite. Tel est  l'objectif du projet Praticarte mené par un groupe d'élèves-ingénieurs de l'ESIEA (École Supérieure d'Informatique Électronique Automatique). L'initiative vient de recevoir le soutien du jury de la Fondation Steria - Institut de France pour sa bourse annuelle liée à l'utilisation des nouvelles technologies au service de projets solidaires et de personnes en difficulté. Le principe :  construire une base de données cartographiques pour aider les personnes handicapées dans leurs déplacements en ville. « Les systèmes de guidage actuels par GPS ne fournissent que des données cadastrales utiles pour des personnes valides », ont observé Loïca Avanthey et Vincent Germain, étudiants de 5e année à l'origine du projet. Ils ont donc eu l'idée d'utiliser les smartphones et d'autres terminaux tactiles, concentrés de capteurs, outils étant, pour la grande majorité d'entre eux, équipés d'inclinomètres, de GPS et d'appareils de capture d'image.

Un outil à vocation communautaire

Ainsi, chaque utilisateur pourra, lors de ses déplacements, mettre à jour une base de données, en temps réel, à l'aide d'une application téléchargeable sur des plateformes (comme App Store ou Android Market). L'inclinomètre renseignera sur l'inclinaison de la chaussée, l'image déterminera l'état du revêtement, le GPS géolocalisera les données, et une interface tactile rendra la contribution plus ergonomique. À partir de ces données collectées, un algorithme, défini en partenariat avec les communautés de personnes à mobilité réduite, établira un indice de praticabilité qui pourra par exemple reprendre le code couleur des pistes de ski (vert - bleu - rouge - noir) établi il y a quelques années par l'association Mobile en Ville. À moyen terme, l'objectif du projet est de pouvoir intégrer cette base de données au sein d'un ou plusieurs SIG (Système d'Information Géographique) communautaires déjà existants.

Réalisé dans le cadre du laboratoire Acquisition et traitement des images et des signaux (ATIS) de l'ESIEA, le projet Praticarte concourrait avec une dizaine d'autres présentés par des grandes écoles d'ingénieurs françaises. Dans le cadre de la bourse de la Fondation Steria - Institut de France, les étudiants travailleront en priorité sur la collecte des informations et leur centralisation à l'aide d'un seul et même programme informatique. Ils présenteront  un premier prototype avancé de leur projet dans neuf mois.







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(18/05/2010 09:28:51)

SapphireNow 2010 : SAP garde le cap sur ByDesign 2.5 et l'analyse en mémoire

L'offre de rachat faite à Sybase braque opportunément les projecteurs sur SAP au moment où s'ouvre Sapphire, la conférence utilisateurs de l'éditeur d'ERP. Cent jours après avoir pris, au pied levé, la succession de Léo Apotheker remercié par le conseil d'administration, le tandem qui assure la direction du groupe se sait attendu sur plusieurs terrains. Les co-PDG Jim Hagemann Snabe et Bill McDermott se sont engagés à restaurer la confiance avec les clients, douchés par le vif contentieux ouvert sur le coût de la maintenance. Ils ont aussi promis de doper l'innovation et seront jugés sur pièces. Il convenait donc de donner à SapphireNow, l'édition 2010 de la conférence utilisateurs, une certaine solennité. L'événement se tient pour la première fois simultanément aux Etats-Unis en en Europe. Hier, les allocutions d'ouverture se sont faites en duplex entre Francfort et Orlando (Floride), avec un direct sur le Web. Au total, du 17 au 19 mai, SAP prévoit de réunir 50 000 participants, entre les rassemblements allemand et américain et le salon virtuel www.sapphirenow.com (où sont retransmis toutes les présentations et ateliers).

Business ByDesign 2.5 à la fin juillet

Il est coutume de convier à ces conférences des personnalités publiques qui viennent « faire le show ». Pour suivre le fil rouge du développement durable auquel il prétend, SAP a fait intervenir Richard Branson, fondateur de Virgin, et Al Gore, ancien vice-président des Etats-Unis, prix Nobel de la paix. Le premier parlait depuis Francfort, le deuxième depuis Orlando. Une heure plus tôt, un autre duplex avait été organisé pour une conférence de presse réunissant les co-PDG, ainsi que le directeur technique, Vishal Sikka. Ce dernier est, depuis les remaniements de février opérés à la direction de la société, le cinquième membre du conseil exécutif de SAP (executive board). Sans surprise, il fut question de mobilité, de bases de données d'un nouveau type et de traitements en mémoire (in-memory). C'est tout l'objet du rachat sur Sybase. Mais les dirigeants ont également insisté sur Business ByDesign, l'offre de gestion intégrée proposée en ligne aux PME et qui ne rassemble toujours qu'une centaine de clients (pour des questions de rentabilité, SAP limite pour l'instant le nombre d'utilisateurs sur sa plateforme).
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La version 2.5 de Business ByDesign, en partie multitenant, sera disponible fin juillet. Elle disposera de fonctions analytiques contextuelles, exploitant la puissance du in-memory, et permettra une personnalisation plus poussée. Les partenaires pourront par ailleurs lui apporter des fonctions complémentaires [autour des outils de reporting]. Il faudra encore attendre plusieurs mois (2011 ?) pour une disponibilité générale de cette application (aujourd'hui disponible sur six pays seulement), mais Jim Hagemann Snabe a réitéré que, loin de se contenter d'être une solution de plus, concurrente des autres, elle va, ni plus ni moins, changer les règles sur le marché du « on demand ».

Sybase continuera à se développer

Revenant sur la transaction avec Sybase, le co-PDG insiste : « Nous n'avons pas acheté Sybase pour acquérir des parts de marché mais pour faire progresser la société. En matière de base de données, nous croyons fermement que l'on va faire évoluer la façon dont les données seront capturées, stockées et analysées, a-t-il indiqué faisant notamment référence au stockage en colonnes utilisé par Sybase pour sa base IQ. De son côté, Bill McDermott a assuré qu'il n'y aurait besoin de réaliser aucune synergie de coûts pour réaliser la fusion entre Sybase et SAP. « Il n'est ici question que de croissance, de satisfaction des clients et d'extension de notre champ d'action. Nous continuerons à fonctionner indépendamment afin que Sybase puisse continuer à se développer dans les solutions analytiques et la mobilité ». SAP, de son côté, restera totalement ouvert aux différentes bases de données, a-t-il réaffirmé. « Chaque société poursuivra sa croissance en tirant parti de ce rachat et on ne verra pas de gens démoralisés comme on a pu le voir dans d'autres cas », a-t-il ajouté en pointant en filigrane les licenciements et départs générés par le rachat de Sun par Oracle.

Le in-memory doit transformer l'usage des applications

Interrogé sur ce qui devrait résulter de concret de ce rachat, Jim Hagemann Snabe a rappelé  que la technologie in-memory permettait d'accéder dix fois plus vite aux données placées en mémoire qu'à celles stockées sur disques durs. « Associée aux bases de données en colonnes, elle va permettre de créer des applications d'un nouveau type, apportant des capacités de simulation et capables d'explorer la totalité des données d'une entreprise sur plusieurs années », a-t-il évoqué. Il rappelle  que SAP travaille depuis longtemps sur sa technologie in-memory d'abord appelée BI Accelerator (en 2008), puis BW Accelerator, mise l'an dernier au service de l'application décisionnelle Explorer (annoncée sur Sapphire 2009). « Nous l'utilisons en interne pour analyser notre pipeline [opportunités commerciales susceptibles de se réaliser] ».
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Une réponse à Oracle Exadata en préparation ?

Interrogé sur le recours à ces technologies pour le datamining, Jim Hagemann Snabe souligne l'exigence de vitesse requise pour ces applications : « Imaginez ce que vous pourriez faire en accédant, sur un terminal mobile, à des fonctions d'analyse prédictive exploitant l'analyse de données en mémoire. C'est ce genre d'applications dont nous voulons tirer pleinement parti. »  Des fonctions in-memory que l'on pourra donc exploiter sur les trois modes de déploiement que SAP promeut désormais avec ardeur : le classique « on-premise » (serveurs internes à l'entreprise), le « on-demand » et les terminaux mobiles.

Intervenant à plusieurs reprises aux côtés des co-PDG, en particulier pour réaffirmer la solidité des technologies Netweaver, le directeur technique Vishal Sikka a ajouté que des appliances (serveurs spécialisés) in-memory permettraient de réduire sensiblement le coût d'exploitation des technologies in-memory. Il indique que SAP travaille dans ce domaine avec HP, notamment, pour concurrencer des solutions comme celles que propose Oracle avec Exadata. Des précisions sur ces produits devraient être données ultérieurement, promet-il.

Pour ce SapphireNow, Jim Hagemann Snabe et Bill McDermott ont aussi prévu de faire des annonces : "raccorder les équipes de direction aux données du terrain", par les outils mobiles et les solutions analytiques, semble être l'un des mots d'ordre du moment.

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(18/05/2010 09:29:25)

CA World'10 : Tout pour le cloud (MAJ)

Après Bill McCracken, le CEO de la compagnie, Ajei Gopal, le vice-président exécutif produits et technologie, a expliqué avec un certain talent comment le cloud allait transformer l'avenir de l'informatique professionnelle. Très pédagogue, ce dernier a particulièrement insisté le fait que l'arrivée du cloud transformait la manière de gérer et de sécuriser les systèmes d'information. « Au lieu d'être un fournisseur de services monolithiques, le pool informatique est appelé à devenir le gérant d'une offre dynamique avec des ressources internes et externes pour fournir des services à des utilisateurs internes et externes », a expliqué Ajei Gopal. « Quand cela se produit, tous les discours rhétoriques sur l'alignement des services informatiques sur le business de l'entreprise deviennent caducs car désormais - pour de nombreuses entreprises - c'est justement le business. On assiste à un changement de paradigme ».

Pour suivre ce mouvement les entreprises doivent bien sûr adopter le cloud, qu'il soit de type IaaS comme chez Amazon, SaaS comme chez Salesforce.com ou PaaS comme avec Azur. Très pragmatique, le dirigeant de CA Technologies ajoute que « bien que nous entrons dans l'ère cloud, chaque innovation en informatique est rentable. Les technologies existantes, y compris les mainframe et les éléments de l'environnement distribué, seront toujours des composants essentiels des datacenters ».

Illustration Ajei Gopal, vice-président exécutif produits et technologie de CA Technologies

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Alors que 60% du chiffre d'affaires de CA Technologies (4,2 milliards de dollars sur le dernier exercice) reste liée à l'activité mainframe, l'entreprise a fait du cloud computing un de ses principaux axes de développement, en insistant notamment sur la sécurité, en proposant une outil de gestion en mode SaaS, a expliqué Tom Kendra, vice président en charge des produits et solutions d'entreprise. « La gestion de la couche de virtualisation et des nouveaux services reposant sur le cloud n'est pas une tâche facile, en partie parce que les technologies ont été installés en plus de - plutôt que en remplacement de - l'infrastructure informatique existante. Ce point nécessite don une approche de gestion hétérogènes, avec des systèmes physiques et virtuelles » poursuit Tom Kendra.

Pour accompagner les entreprises dans leur mutation vers le cloud, l'éditeur met en avant ses solutions avec notamment l'arrivée de Nimsoft On Demand, la déclinaison SaaS de l'outil de monitoring, déjà adopté par Sycom Technologies et American Integration aux Etats-Unis. En complément, Nimsoft présente plusieurs produits dont Unified Monitoring Portal, un outil Web 2.0 très intuitif pour superviser en ligne ses données, et Power Monitor, qui permet aux utilisateurs de cartographier la consommation électrique d'un datacenter et de ses onduleurs dans un seul tableau de bord. Après SMI, l'éditeur a profité de son rendez-vous annuel pour dévoiler sa suite Cloud Connected Management qui vient répondre aux défis posés par les nuages informatiques.

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Cette suite regroupe quatre produits : Cloud Insight pour standardiser les pratiques cloud internes et externes. Cette solution exploitera notamment les données fournies par la toute nouvelle communauté Cloud Commons pour aider les responsables informatiques à prendre les meilleurs décisions; Cloud Compose repose sur un catalogue de composants logiciels pour faciliter la création et le déploiement de services clouds ; Cloud Optimize aidera les utilisateurs à améliorer les services et les infrastructures du nuage ; enfin Cloud Orchestration apportera un contrôle de la production et l'automatisation de certaines procédures. Tous ces outils reposent en grande partie sur des technologies issues des rachats de 3Tera, Oblicore et Cassatt. Les deux premiers composants de cette suite sont disponibles immédiatement les deux autres le seront en juillet et en octobre prochain, a précisé Chris O'Malley, vice-président exécutif en charge du cloud chez l'éditeur. « Vous n'aurez pas besoin d'attendre la fin de l'année pour bénéficier de ce produit, deux briques de base sont déjà disponibles ».

CA a également annoncé trois produits dédiés à la virtualisation, qui sont Virtual Assurance pour surveiller les performances et éventuellement corriger des défaillances dans les environnements virtuels; Virtual Automation, qui déclenche des check-up automatiques de l'infrastructure virtuelle, et enfin Virtual Configuration qui  supervise le développement et les changements de configuration pour répondre aux besoins de conformité réglementaire et d'audit.  Tous ces produits arriveront sur le marché en juin, mais l'éditeur n'a pas encore fournit une date de commercialisation exacte ni d'informations sur les prix.

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(18/05/2010 09:31:05)

Caliséo se sécurise en rachetant Claritis

Caliséo, intégrateur réseaux basé à Lyon, souhaite atteindre une couverture nationale. En 2007, il rachetait TelData, devenue une agence régionale en Ile-de-France, baptisée Caliséo IDF.  Aujourd'hui,  il reprend son homologue lyonnais Claritis, qui évolue également sur la Bourgogne et la Franche Conté, sur des prestations de sécurité.

« Nous sommes très complémentaires, souligne Eric Lefresne, Pdg de Caliséo.  Nous avions déjà une activité sécurité chez Caliséo, mais Claritis nous apporte ses compétences en sécurité des applications et des données et dans le domaine de l'optimisation des flux ».

Caliséo se donne plusieurs mois pour intégrer Claritis. Pour des raisons juridiques, puisque l'exercice annuel de Claritis s'achève au 31 juillet, celui de Caliséo l'étant au 30 juin. Après ces clôtures de comptes, au cours de l'été prochain, l'intégration se concrétisera. Au plan géographique, cette intégration se réalisera dans les locaux de Caliséo. En terme d'organisation, les équipes de Claritis rejoindront  les équipes réseaux et sécurité de Caliséo, qui compte au total une cinquantaine de salariés.

Pour la suite, l'exercice 2010-2011, Eric Lefresne souhaite s'engager sur plusieurs axes de développement. En augmentant l'activité en Ile-de-France qui ne représente encore que 20% des on chiffre d'affaires. En développant ses activités de services, qui représentent 35% du CA et devraient passer à 40% aussi bien en maintenance qu'en analyse et déploiement.  Enfin, Caliséo compte se renforcer dans le grand sud pour devenir vraiment un acteur d'ampleur national.

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(18/05/2010 09:30:26)

Evolution capitalistique de Neyrial informatique

Entreprise familiale depuis sa création voilà plus de 30 ans, Neyrial Informatique restera donc une entreprise familiale. Concrètement, la société, qui était auparavant détenue par le groupe Neyrial Haute Technologie, présidé par Philippe Neyrial, vient d'être rachetée par son frère, Jean-Michel Neyrial.

S'il ne s'agit pas d'un changement radical au niveau de l'actionnariat, cette évolution entérine le recentrage de l'entreprise. En 2007, Neyrial Informatique avait cédé l'entité Neyrial Grand Est pour se focaliser sur son territoire d'origine (l'Auvergne et les départements limitrophes) et s'était progressivement séparée de ses activités de « niche », comme les applications dédiées aux pharmacies. En trois ans, l'effectif de l'entreprise est ainsi passé de 75 à 42 personnes, pour un chiffre d'affaires de 5,5 millions d'euros.

Durant cette phase de réorganisation, l'entreprise a connu deux exercices déficitaires, en 2007/2008 et 2008/2009 (elle clôture au 30 septembre). « Le plan de relance de l'entreprise commence à porter ses fruits mais l'année 2009 a été marquée par de nombreux reports d'achats chez nos clients, explique Jean-Michel Neyrial, son Président. Nous renouerons avec les bénéfices dès le prochain exercice, c'est-à-dire pour la période 2010/2011. »

Dans ce contexte, Neyrial a fixé deux priorités. La première concerne le développement d'une salle blanche, hébergée dans ses locaux de Clermont-Ferrand. « Nous avons récemment triplé sa capacité, ce qui explique qu'elle ne soit pour l'instant utilisée qu'à 30% de son potentiel », précise Jean-Michel Neyrial. La seconde priorité est son activité très haut débit, notamment en tant qu'opérateur de réseaux fibre optique. (...)

(18/05/2010 09:29:54)

Michael Dell, apôtre du VDI et du multi-équipement

Le dirigeant pense plutôt que chaque utilisateur possèdera plusieurs types d'appareils mobiles, chacun destiné à une tâche spécifique. « Certains seront plus pratiques à transporter avec soi, d'autres seront dédiés à la consommation de contenu, d'autres plus appropriés à la création de contenu ». Ses propos vont à l'encontre de l'idée selon laquelle un smartphone ou tout autre appareil mobile deviendra l'outil multifonctions pour le travail, la communication, le réseau social et le divertissement. Depuis 2008, les utilisateurs ont acheté environ 250 millions de smartphones, indique Strategy Analytics. Beaucoup d'entre eux utilisent leur terminal pour effectuer des tâches traditionnellement réalisées sur leur PC, que ce soit pour la rédaction d'un document ou l'envoi de mail. Cela n'empêche pas Michael Dell d'affirmer que l'arrivée de l'iPad vient confirmer son point de vue, à savoir que les utilisateurs veulent plus d'appareils, tout en souhaitant accéder de manière équivalente à leurs données (peut-être, à un même bureau virtuel). « Une infrastructure d'applications est en train de se mettre en place de manière significative autour de dispositifs comme l'iPad. Est-ce que cela créé de nouveaux usages, une nouvelle demande, ou est-ce que ça se substitue à autre chose? Il me semble pour ma part que cela crée de nouveaux usages » a déclaré Michael Dell.

Au milieu des rires de quelques participants, il a montré le prototype du smartphone Streak de Dell sous Android. Grâce au récepteur Citrix équipant le mobile, il a pu choisir entre plusieurs environnements de bureau, comme il a pu exécuter plusieurs applications en mode natif sous Android et utiliser des applications comme Facebook et Twitter. Le Streak, qui sera disponible dès le mois prochain en Europe sur le réseau de l'opérateur Telefónica O2 et à partir de cet été aux États-Unis chez AT & T, a séduit quelques participants, même si pour la plupart, ils ont eu le sentiment que ce terminal, « c'était trop peu et trop tard pour rivaliser avec un iPhone ou un BlackBerry. »

La virtualisation du poste client inéluctable

Certes, le smartphone n'est que le sommet de l'iceberg de la virtualisation mise en avant par Dell qui a également annoncé que la technologie XenClient introduite par Citrix il y a moins d'une semaine, serait bientôt certifiée et disponible pour les ordinateurs portables Dell Latitude et les systèmes client OptiPlex. « Quand nous abordons la question du VDI, certains nous expliquent que cela sera mauvais pour nos affaires » a déclaré Michael Dell. « Mais si quelque chose de très utile survient pour les clients, et si vous décidez de l'accompagner, vous le faites à vos risques et périls. La virtualisation des serveurs et du poste client, nous allons faire les deux ». Cette déclaration peut être considérée comme une référence à peine voilée à Microsoft. Il est vrai que le géant de Redmond et Citrix collaborent étroitement sur la virtualisation, Microsoft ayant même annoncé lors de Synergy que la prochaine version de son System Center, qui doit sortir en 2011, prendra en charge XenServer.

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Pourtant, du côté du VDI, la politique d'octroi de licences choisie par Microsoft a fait grimper le coût de cette technologie sous Windows pour de nombreuses entreprises, comparativement à l'option d'achat de nouvelles machines. Citrix vend des licences par utilisateur ou par poste, si bien qu'un utilisateur disposant de plusieurs périphériques peut accéder au bureau virtuel de l'éditeur à partir de n'importe lequel d'entre eux. Néanmoins, Microsoft a récemment assoupli sa position sur les licences Windows VDI, en permettant aux utilisateurs titulaires d'un contrat Software Assurance de les transférer vers les machines virtualisées.

La société de Redmond rejoint ainsi le point de vue de Dell et de Citrix selon lequel la virtualisation du poste de travail sera de plus en plus attrayante. « De la même manière que les utilisateurs ont adopté Windows 7, un nombre croissant d'entre eux chercheront une certaine forme de virtualisation de bureau, » a déclaré Brad Anderson, directeur général de la division Management et Solutions chez Microsoft. Selon lui, la virtualisation de bureau peut se faire de diverses façons, y compris la VDI totale, la virtualisation des applications et des sessions. Cela rend peut-être aussi les craintes typiques de l'utilisateur - peur de perdre la connectivité via le WAN, questions sur la sécurité, la qualité des performances, les problèmes d'imprimantes et de pilotes - plus faciles à gérer.

Un soutien du stockage

Pour Michael Dell, les technologies récentes de stockage vont permettre d'augmenter le ratio d'utilisateurs-serveurs, ce qui améliorera considérablement le retour sur investissement de la VDI. Aujourd'hui, la plupart des disques durs multi-connexions sont capables de supporter jusqu'à 100 à 150 images VDI. Mais des technologies comme celles des disques iSCSI SSD à semi-conducteurs, utilisés par exemple dans le plus récent des disques EqualLogic Disk Array de Dell, pourront gérer jusqu'à 300 ou 350 images pour 1. « Plus la densité en VDI des serveurs augmente sur les disques, plus le retour sur investissement de la VDI est élevé, » a déclaré Michael Dell. Certains conviennent que la densité d'utilisateurs a été l'un des facteurs qui a fait délaisser cette technologie. Rand Morimoto, président de l'intégrateur Systèmes CCO, a déclaré que « lorsqu'une entreprise sert la même image de bureau à plusieurs machines (ordinateurs de bureau à distance sur la base de connexions par session) via les solutions de Citrix ou de Microsoft, le ratio utilisateur-serveur peut monter jusqu'à 200 pour 1. Mais dès que le gestionnaire informatique tente de livrer un bureau personnalisé et unique à chaque utilisateur, le ratio tombe à 30 ou 40 utilisateurs pour 1. » Selon Rand Morimoto, les vendeurs de serveurs aiment prêcher pour le bien-fondé du tout VDI. Mais, d'après son expérience, une approche hybride est plus rentable, parce que, dans de nombreuses entreprises, la plupart des salariés n'ont pas besoin de disposer d'un bureau virtuel entièrement personnalisable.  « Lorsque les services de bureau à distance ont un sens dans l'organisation du travail, seuls 5% à 10% des utilisateurs (comptables, RH,) de VDI peuvent justifier le besoin de disposer de connexions clients personnalisées, » a t-il expliqué.

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