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(19/05/2010 09:37:19)

Cesames donne les clés de l'architecture des systèmes

L'association Cesames (Centre d'Excellence sur l'Architecture, le Management et l'Economie des Systèmes), créée en Juillet 2009, vient de lancer ses activités. Elle vise à « faire connaître aux décideurs les méthodes de l'Architecture des Systèmes pour leur permettre de mieux maîtriser la vitesse et le risque d'exécution dans leurs programmes technologiques », au premier rang desquels les projets informatiques.

« L'Architecture des Systèmes est une discipline qui permet de construire des solutions en appréhendant la complexité technique et humaine induite par l'intégration de produits et de services interconnectés de plus en plus nombreux » précise l'association.Elle organise des groupes de réflexion, des ateliers, des soirées-débats et une conférence internationale « Complex Systems Design & Management ». Elle publie également une revue quadrimestrielle (« Architecture et complexité »). Enfin, elle contribue à la formation à l'architecture d'entreprise et à l'architecture des systèmes.

Fondée et dirigée par Daniel Krob, professeur de l'Ecole Polytechnique, responsable de la chaire d'enseignement et de recherche Ecole Polytechnique-Thales « Ingénierie des Systèmes Complexes », l'association Cesames bénéficie de l'adhésion et du soutien de spécialistes et d'entreprise de l'industrie (Thalès), du conseil et de l'édition de logiciels (Mega International, Belle Aventure).

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(19/05/2010 09:36:47)

Annuels Overlap : victime des mainframes

« Une année calamiteuse », c'est ainsi qu'Overlap qualifie l'année 2009 et le marché des mainframes sur lequel il est un acteur historique. Toutefois, l'intégrateur avance des arguments pour montrer qu'il a mieux traversé les turbulences que l'ensemble de son secteur et qu'il saura rebondir dans les prochains mois. Le chiffre d'affaires annuel (CA) non audité pour l'exercice clos au 31 mars dernier, se monte à 179,4 millions d'euros contre 210,5 un an auparavant. Pris ainsi, les chiffres montrent une forte baisse, de 14,8%. La société explique cette baisse par deux facteurs, l'un évident, l'autre plus exceptionnel.

Elle a d'abord subi les effets de la crise économique, particulièrement forts sur son marché, celui des mainframes. Un marché en baisse au plan mondial de 25% selon les grands cabinets d'études, Gartner, IDC, PAC. Tout compte fait, Overlap a même mieux résisté que l'ensemble de son marché : -14,8% contre -25%. « Le CA sales-in de nos grands partenaires constructeurs, IBM, HP, Sun, celui qu'ils réalisent avec nous,  n'a pas baissé, alors que plusieurs de nos confrères ont perdu plus de 50%. Notre activité hardware s'est donc bien comportée, dans un marché qui a connu une année calamiteuse »

Réduction de coûts et cession


La société a également subi la perte d'un marché public, au Ministère des finances, qui représentait 25 M€ sur l'exercice précédent (2008-2009). Un marché non renouvelé comme pour d'autres sociétés de services. Sans cela, la société serait à-3 ou -4%. « J'aurai signé des deux mains pour un tel chiffre » nous explique Georges Horoks le Pdg d'Overlap.

Pour le nouvel exercice, le groupe compte d'abord sur cette expérience de la traversée d'une crise majeure et ensuite sur son développement dans les services aux infrastructures.  « Nous n'avons pas de raison de craindre les mois à venir, souligne Georges Horoks , car nous avons montré notre capacité de résistance durant la crise et notre activité services nous rend plus indépendants et plus profitables ».Sur le dernier exercice, la société  a réalisé sur ce secteur 10,5 M€ au 1er trimestre et 18,2 au 4ème. Elle a également fortement réduit ses coûts lors du dernier exercice. 65 collaborateurs ont quitté le groupe, sur un effectif total en début d'exercice de 540 salariés. Dans la même optique, Overlap vient de céder Ovelia, sa filiale SSII, ce qui lui permet de se recentrer encore plus sur son activité de services autour des infrastructures.  Une activité qui la rend plus autonome, moins dépendante de ses partenaires constructeurs.

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(19/05/2010 09:35:54)

Le marché des netbooks dynamisé par les tablettes

Le nombre de netbooks vendus dans le monde en 2010 pourraient atteindre aux alentours de 58 millions cette année, contre 36,3 millions en 2009. Cette estimation publiée par l'analyste ABIresearch, serait en grande partie due à la commercialisation des tablettes numériques, avec comme figure de proue, l'iPad. ABIresearch pense que les tablettes numériques vont littéralement faire exploser le marché des netbooks en 2010, avec une prévision de 10 millions d'exemplaires vendus. Et de rappeler qu'Apple avec son seul iPad a vendu en un mois un million d'exemplaires de sa tablette.

Les netbooks participeront aussi à cette croissance, mais de manière moins soutenue et plus ciblée géographiquement, notamment vers les pays émergent en forte demande d'ordinateur à faible coût.

L'étude intègre aussi bien, les tablettes, les MID (Mobile Internet Device), les UMPC, etc.

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(18/05/2010 17:35:56)

APX lance Solution Datacenter ou le cloud par la pratique

Virtualisation du poste de travail, des solutions de stockages, quelles applications transférer vers le cloud privé, si les offres technologiques apportent des réponses, « les entreprises ont besoin de toucher, comprendre, visualiser les bénéfices apportés par le cloud » souligne Yves Pellemans, directeur technique d'APX. Fort de ce constat, la SSII a choisi d'installer au siège à Saint Cloud, une salle comprenant un datacenter reprenant l'ensemble des configurations existantes. Des blades IBM, HP, des baies de stockage EMC, la couche de virtualisation est assurée par VMware. Si on ajoute dans la partie serveurs Cisco, on retrouve l'alliance VCE (VMware, Cisco, EMC), qui pousse l'architecture unifiée au sein des datacenters à travers l'offre Vblock. Plutôt orienté vers les grands comptes, on notera ainsi, qu'APX propose une offre Vblock à destination des PME.

L'intégrateur va donc proposer différents ateliers de formations auprès de ses clients sur des sujets aussi variés que l'urbanisation du datacenter, la virtualisation du poste de travail, le pilotage des infrastructures, la sauvegarde et la déduplication.

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Les entreprises pourront reproduire leur propre environnement informatique et soumettre ainsi leurs problématiques, qui sont parfois spécifiques.

Un investissement sur l'avenir


Pour Noël Sailles, PDG d'APX, « cette offre est un pari sur l'accompagnement des entreprises dans leur migration vers le cloud privé » et d'ajouter que « l'investissement de la part de sa société pour construire ce service est de l'ordre de 1 million d'euros, sans compter les coûts de formation aux différentes certifications ». Le dirigeant est d'ailleurs fier d'être le premier en France à être certifié VCE. Mais rien n'est exclusif, souligne Noël Sailles, « l'alliance VCE pourra devenir VCN (en référence à Netapp) à terme, et nous serons agnostiques sur d'autres solutions d'architecture unifiée ».

Pour autant, la SSII bénéficiera d'une attention particulière des différents partenaires technologiques, avec des mises à jour et l'apport des dernières évolutions. Yves Pellemans a indiqué par exemple l'arrivée de Vplex d'EMC d'ici la fin de l'année, ainsi que la sortie prochaine de l'hyperviseur client de VMware.

Une première partie du pari est déjà remportée, les premiers ateliers affichent complets.

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(18/05/2010 16:41:32)

Google lance une offre d'achat sur le norvégien GIPS

Le géant de Mountain View a annoncé mardi une offre d'achat de 68,2 millions de dollars, en numéraire, sur le norvégien Global IP Solutions (GIPS), qui développe des codecs voix et vidéo sur IP. Il a également conçu une technologie capable d'effacer les perturbations associées à ce type de communication, comme les échos, les pertes de paquets ou encore les bruits de fond. Google a fourni peu de détails sur la façon dont il compte utiliser le savoir-faire du Norvégien et ce qu'il adviendra de ses produits, affirmant simplement que la vidéo en temps réel et la communication audio sur Internet gagnaient en importance et qu'il avait hâte de travailler avec les équipes de GIPS.

Le portefeuille de produits édités par la société norvégienne se compose de logiciels pouvant être intégrés dans des applications voix et vidéo pour téléphones mobiles, PC et tablettes. En avril dernier, la société avait lancé VideoEngine, qui permet aux développeurs d'intégrer la visioconférence dans des applications fonctionnant avec la version mobile de l'OS Android.

Parmi les clients de GIPS figurent notamment Yahoo, IBM, Motorola et WebEx. L'une des raisons qui pourrait expliquer cette acquisition ? Pour Ben Wood, analyste au sein du cabinet du conseil CCS Insight, cela pourrait aider Google à développer une offre de support pour la vidéo intégrée dans HTML 5,  qui prend de l'ampleur.
GIPS n'est pas la seule entreprise que Google a acquis récemment pour son savoir-faire en matière de vidéo. En août dernier, la firme avait annoncé le rachat de On2 Technologies, un spécialiste de la compression vidéo
Les détails de cette OPA amicale seront fournies aux actionnaires de GIPS le 20 mai. L'offre devrait courir jusqu'au 4 juin.

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(18/05/2010 15:03:31)

Microsoft solde le contentieux VPN pour 200 millions de dollars

Lors du premier procès qui a eu lieu en février 2010, l'entreprise californienne VirnetX plaidait contre Microsoft pour avoir utilisé sa technologie brevetée de réseau privé virtuel (VPN) dans Windows XP, Vista, Server 2003, Live Communications Server, Messenger, Office Communicator et la suite Office depuis l'édition 2003. En mars 2010, VirnetX déposait une nouvelle plainte, ajoutant Windows 7 et Server 2008 à la liste des produits dans lesquels Microsoft aurait utilisé le VPN sans licence.

En mars dernier, un jury fédéral du Texas a statué, demandant à Microsoft de verser 106 millions de dollars à VirnetX pour clôturer la première plainte. À l'époque, l'éditeur avait fait savoir qu'il envisageait de faire appel de ce verdict. Lundi dernier, dans une déclaration conjointe, les deux protagonistes ont annoncé que les différentes actions en justice seraient ajournées suite à un règlement amiable dont le montant a été fixé à 200 millions de dollars. D'autres conditions comprises dans cet accord sont demeurées confidentielles, mais Microsoft a néanmoins fait savoir qu'il s'était également engagé à acheter les licences de la société lésée.  «Nous sommes heureux d'avoir pu trouver un terrain d'entente avec VirnetX pour résoudre cette affaire de manière constructive,» a dit Tom Burt, le conseiller juridique de Microsoft. « L'aboutissement de cette résolution, qui met fin à notre contentieux avec Microsoft, va nous permettre de nous concentrer sur le futur pilote mettant en oeuvre notre technologie automatique de réseau privé virtuel » a déclaré Kendall Larsen, CEO du Holding VirnetX Corp.

D'autres affaires en suspens


Ce n'était pas la première fois que le groupe de Redmond comparaissait devant la cour de Tyler au Texas. En août 2007 en effet, le jury de ce même tribunal avait déjà demandé à Microsoft de payer 300 millions de dollars au développeur canadien i4i pour avoir utilisé illégalement sa technologie XML dans le logiciel de traitement de texte Word. L'affaire avait attiré l'attention parce que le juge Leonard Davis de la US District Court, qui a également suivi le dossier VirnetX, avait décidé de lui interdire de vendre Word à partir du 10 octobre 2009.

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L'injonction du juge avait ensuite été reportée, l'éditeur faisant valoir que l'arrêt des ventes de du traitement de texte aurait eu des conséquences dramatiques, un argument soutenu par plusieurs fabricants d'ordinateurs, dont Hewlett-Packard et Dell. En janvier 2010, pour respecter la décision du juge Davis, Microsoft avait néanmoins extirpé le XML de Word 2007, et la version Word 2010, officiellement livrée la semaine dernière aux clients professionnels, ne comprend plus cette technologie dont la propriété intellectuelle vient d'être par ailleurs confirmée par l'US Patent and Trademark Office à i4i.

Une cour d'appel a refusé de retenir l'interjection de Microsoft, mais la société envisage toujours de porter l'affaire devant la Cour suprême. « Des questions importantes concernant le droit des brevets sont en jeu, et nous réfléchissons aux possibilités mises à notre disposition pour qu'elles soient prises en compte, y compris sous la forme d'une pétition portée devant la Cour suprême, » a déclaré Kevin Kutz, le porte-parole de Microsoft.

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