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(14/05/2010 10:06:50)
Hervé Uzan devient DG de VMware France
Hervé Uzan rejoint la filiale française de l'éditeur de logiciels de virtualisation au poste de directeur général. Recruté au début de l'année, il succède dans ces fonctions à Christian Chevalier. Ce dernier a quitté l'entreprise qu'il dirigeait depuis 2007 en décembre 2009 pour rejoindre Microsoft France en tant que Directeur de la Solution Team Unit (STU). Désormais aux commandes, Hervé Uzan a logiquement pour mission de développer l'activité de VMware en France.
Il sera aidé en cela par son expérience du marché des PME, des grandes entreprise et des canaux de ventes indirectes. Avant de rejoindre VMware, il était en effet membre du comité de direction de SAP France ainsi que directeur PME et channel de l'éditeur depuis 2009. Auparavant, il fut également directeur du mid-market pour l'Europe de Business Objects. (...)
Trimestriels Osiatis: un retour à une légère croissance
Le premier trimestre de l'année 2010 a mis fin à une période de baisse d'activité qui durait depuis le quatrième trimestre 2008 pour la SSII. Toutefois, il n'y pas matière a susciter un sentiment d'euphorie. En effet, le chiffre d'affaires de 60 M€ enregistré lors des trois premiers mois de l'année ne traduit qu'une hausse de 0,7% des revenus d'Osiatis a période comparée de 2009.
C'est l'activité de la SSII en France qui tire ses résultats vers le bas. Le chiffre d'affaires y a atteint 51,1 M€, soit un retrait de 1,5%. En revanche, ses filiales en Autriche, en Espagne et au Benelux ont toutes enregistré une hausse à deux chiffres de leurs revenus qui, cumulés, représentent un montant de 8,8 M€.
Pris par activité, les revenus d'Osiatis reposent à 87% sur les services aux infrastructures. Dans ce domaine, la SSII a donc réalisé un chiffre d'affaires de 52,2 M€ dont la hausse atteint 2,9% par rapport au premier trimestre 2009. L'activité développement nouvelles technologies se replie en revanche d'1 M€ à 7,8 M€.
(...)
Des enchères modestes pour les licences 4G en Allemagne
(Source EuroTMT)Il aura fallu attendre près d'un mois et le 148ème tour des enchères portant sur les fréquences mobiles mises en ventes par l'Allemagne pour que les offres présentées par les quatre opérateurs en lice (T-Mobile, Vodafone, Telefonica et E-Plus) atteignent un montant qui commence à être significatif.
Elles s'élevaient mercredi 5 mai à 3,015 milliards d'euros. Mais il n'est pas évident qu'elles atteignent les 5 à 6 milliards annoncées par les analystes financiers avant l'ouverture du processus. Depuis plusieurs tours, aucun opérateur n'a surenchéri pour les lots des fréquences en or, c'est-à-dire dans la bande des 800 MHz.
Pour le moment, le prix moyen du lot de 2x5 MHz dans la bande des 800 MHz s'élève à 433 millions d'euros. Un niveau très inférieur aux attentes. Ce qui pourrait faire le bonheur d'E-Plus, la filiale allemande de KPN obtenant pour le moment un lot alors que l'opérateur avait annoncé qu'il ne participerait pas à une surenchère dans cette bande de fréquences, laissant ainsi entendre qu'il pourrait ne pas acquérir de lot dans les 800 MHz.
Crédits photo : T-Mobile (...)
SAP rachète Sybase pour ses technologies mobiles et in-memory
A peine SAP a-t-il relevé la tête, après une difficile année 2009, qu'il remet les gaz. L'éditeur allemand de solutions de gestion vient d'annoncer la deuxième acquisition la plus importante de son histoire. Il jette cette fois son dévolu sur Sybase, éditeur de bases de données qui s'est diversifié avec succès dans les technologies mobiles. La proposition de rachat s'élève à 5,8 milliards de dollars, ce qui valorise l'action de Sybase à 65 dollars, soit un bonus de 44% comparé à sa cotation moyenne des trois derniers mois, souligne SAP. Le Californien Sybase a réalisé en 2009 un chiffre d'affaires de 1,171 milliards de dollars, en progression de 3,4% par rapport à 2008.
Le conseil d'administration de Sybase a approuvé de façon unanime la proposition qui doit maintenant être acceptée par les autorités de régulation. John Chen (photo ci-dessus), l'actuel PDG de Sybase, devrait se voir proposer d'entrer au conseil d'administration de SAP, comme cela fut offert en 2008 à Bernard Liautaud, fondateur de Business Objects. En octobre 2007, l'offre amicale sur Business Objects s'était élevée à 6,8 milliards de dollars (4,8 milliards d'euros). Entre temps, SAP a procédé à plusieurs rachats plus modestes, ciblés sur des domaines lui permettant de compléter son offre fonctionnelle ou de la renforcer(*).
Doper l'analyse décisionnelle avec le "In-memory"
L'intérêt que SAP montre aujourd'hui pour Sybase n'est pas tellement une surprise. Voilà plusieurs mois que l'éditeur de Walldorf multiplie avec le fournisseur américain des partenariats autour des technologies mobiles. Le dernier accord en date remonte à quelques mois et la mobilité constitue un des sujets phares de SAP en ce moment. Mais Sybase est d'abord un éditeur de base de données (cette division représente toujours 70% de ses revenus) avec, là aussi, une particularité qui retient l'attention de SAP. Depuis longtemps, Sybase s'est fait une spécialité des technologies « in-memory » qui permettent d'optimiser les temps de traitement dans les applications décisionnelles. Sa base Sybase IQ qui stocke les données « en colonnes » a largement fait ses preuves dans ce domaine, et l'éditeur vient aussi d'apporter le « in-memory » à sa base traditionnelle ASE (Adaptive Server Enterprise). Or, ces fonctions intéressent au plus haut point SAP qui a réalisé ses propres développements en la matière, les a déjà mis en oeuvre dans son produit Explorer et promet depuis plusieurs mois l'arrivée d'autres avancées remarquables dans le domaine de l'analyse de données en temps réel.
Sybase restera autonome
Sybase va toutefois rester une entité autonome, sous le nom de « Sybase, an SAP Company » et SAP ne modifiera pas sa stratégie en termes de base de données vis-à-vis de ses clients. Il continuera bien évidemment à supporter les grandes bases de données qu'il exploite aujourd'hui, Oracle en tête, mais aussi DB2 et SQL Server.[[page]]« SAP n'attachera pas ses applications aux bases Sybase pour les proposer de façon préférentielle à ses clients, a bien insisté Jim Hagemann Snabe, son co-PDG responsable des développements technologiques. Nous estimons que le client doit avoir le choix ». D'ailleurs, la base ASE de Sybase (qui ne représente que 3,1% du marché mondial des SGBDR, selon Gartner) n'est pas aujourd'hui, loin s'en faut, l'un des choix préférés des clients de SAP. Toutefois, en dépit de sa modeste part de marché, ASE est particulièrement appréciée des acteurs de la finance et de la bourse.
L'Internet mobile, un marché considérable
Commentant l'axe mobilité du rachat, Vishal Sikka, directeur technique de SAP et membre du conseil d'administration de l'éditeur, a souligné que l'Internet mobile représentait un marché dix fois plus important qu'Internet sur le poste de travail. Il considère que les prochaines générations d'utilisateurs professionnels seront entièrement connectées et mobiles. « C'est une tendance qui est particulièrement évidente sur les marchés émergents tels que la Chine ou l'Inde », confirme le directeur technique en insistant sur le fait que l'acquisition de Sybase sert la stratégie de SAP sur ses trois axes principaux que sont les solutions traditionnelles (« on-premise »), les applications à la demande (dans le cloud) et les services mobiles.
Les activités mobiles de Sybase sont réparties entre deux divisions : Sybase iAnywhere et Sybase 365. La première gère les produits d'infrastructure : la base de données mobile SQL Anywhere, la solution d'administration de terminaux Afaria, iAnywhere Mobile Office pour déporter les fonctions de messagerie et Sybase unwired Platform pour déployer les applications sur les mobiles. La deuxième division, Sybase 365, propose des produits et services de messagerie pour la mise en place de services de paiement mobile dans les pays prêts à exploiter ces outils, notamment les économies en plein développement tels que la Chine et l'Inde.
John Lilly, PDG de Mozilla, prépare sa sortie
« What's next for me (but not yet !) » C'est le titre du post que l'on peut lire sur le blog de John Lilly. Après 5 ans de services auprès de la société Mozilla Corp, d'abord comme COO, puis comme CEO depuis janvier 2008, il a décidé de tenter une autre aventure auprès du fonds d'investissement Greylock Partners. Il a estimé qu'il était temps pour lui de retrouver ses premiers amours, impulser de nouvelles idées et aider au développement de jeunes sociétés.
Lors de son activité auprès de Mozilla Corp, il a développé plusieurs produits dont Firefox, navigateur Internet concurrent direct de IE, mais également l'outil de messagerie Thunderbird. Il est aussi connu pour ses prises de position, comme sur Apple dans le cadre du téléchargement par défaut de Safari lors de la mise à jour des logiciels de la marque. Du côté de Microsoft, John Lilly était assez critique sur le « ballot screen », donnant la liberté à l'utilisateur de choisir l'installation de son navigateur sous Windows.
Sur son blog, le dirigeant indique qu'il restera au comité exécutif de la fondation Mozilla. Son retrait de la direction de Mozilla Corp ne sera effectif que lorsqu'un remplaçant sera trouvé.
Selon le CEO d'EMC, Joe Tucci, les clouds publics se compteront par centaines
A l'instar d'Amazon avec EC2 et S3, EMC développe sa propre offre de cloud public baptisée Atmos Online. Depuis mai 2009, cette dernière propose, en libre-service, du stockage et des capacités de serveurs en ligne. Mais EMC concentre la plupart de ses efforts à aider ses clients à construire des clouds privés qui pourront interagir avec des nuages publics. « Nous avons des dizaines de milliers de nuages privés et des centaines de nuages public », a déclaré Joe Tucci. Ce dernier précise que certains observateurs de l'industrie prédisent que le marché des clouds publics sera composé de seulement deux ou trois réseaux de nuages majeurs (Amazon, Google et Microsoft pour ne pas les citer), mais EMC a «une vision très différente du marché ... avec des datacenters internes pour les clouds privées et des centres de calcul externes, via des fournisseurs de services, pour les nuages publics, et ils vont travailler ensemble. "
Atmo Online, le cloud public d'EMC se compose d'un service de stockage aujourd'hui parfaitement fonctionnel et d'une offre de serveurs, encore en phase de test. «Nous avons de vrais clients qui travaillent avec nos solutions, et nous peaufinons à présent nos offres commerciales », précise le dirigeant d'EMC. Ce dernier a fourni ses explications lors d'une séance de questions/réponse avec les journalistes présents à EMC World. Il n'a toutefois pas révélé grand-chose sur les projets d'EMC quant à la technologie Atmos Online, mais a déclaré que la compagnie allait s'appuyer sur des partenaires pour renforcer son offre de serveurs. EMC est évidemment une entreprise de stockage, mais Joe Tucci précise qu'« il y a très peu d'applications où vous avez seulement besoin de stockage. La plupart [des entreprises, ndlr] ont à la fois besoin de capacités de stockage et de calcul ».
Crédits photo : EMC
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Pour la partie serveur poursuit-il, « je préfère le faire avec nos partenaires. Je ne veux pas entrer en concurrence avec ces derniers. Je préfère travailler avec des fournisseurs de services qui possèdent ces ressources. » Joe Tucci explique encore que le groupe et ses partenaires finiront par offrir des services cloud plus complets que ceux d'Amazon car nous « pouvons supporter toutes les charges de travail existantes dans les environnements virtualisés». EMC, rappelons-le, est propriétaire de VMware, qui propose une plate-forme de virtualisation très souvent décrite comme un nouveau type de système d'exploitation pour les réseaux de clouds. Et selon le CEO d'EMC, ces derniers s'appuieront presque exclusivement sur les systèmes x86, qui sont virtualisés par VMware, plutôt que sur les plates-formes Unix ou Mainframe. Avec les derniers processeurs x86 d'Intel pour serveurs, les Xeon 7500, « sur une seule machine, vous pouvez travailler avec un maximum de 1 To de mémoire vive par socket. (...) et avec huit sockets vous obtenez jusqu'à 8 To de mémoire. Ces processeurs sont incroyablement puissants ».
Les serveurs UCS (Unified Computing System) de Cisco, et d'autres technologies seront également essentiels à la construction de clouds privés, poursuit-il. « Si vous cherchez tous les éléments pour construire un cloud privé, EMC ne pourra pas tous vous les fournir. Nous ne fabriquons pas de serveurs. Nous ne construisons pas de solutions réseau ».
Il est par contre resté intraitable sur les questions de sécurité en spécifiant, « nous devons avoir le même niveau d'exigence de protection dans le monde virtuel que dans l'univers physique ».
Sur un autre sujet, Joe Tucci a expliqué comment une évolution vers un stockage centralisé accélérera l'évolution à venir d'un bureau rigide vers une expérience informatique personnelle mobile. Avec des informations stockées de manière centralisées, peut-être dans un service cloud, les utilisateurs seront libres de choisir le dispositif le mieux adapté à leur environnement. Certains voudront un iPad et un smartphone, d'autres pourront choisir un ordinateur portable et un téléphone mobile. « Je pense que le concept d'un ordinateur personnel va radicalement changé. Évidemment, tout va être beaucoup plus mobile. Et il y aura toutes sortes de combinaisons. Je regarde par ici, et il y a un nombre étonnant d'entre vous qui ont des ordinateurs, avec un smartphone juste à côté. »
Viadeo s'agrège à Outlook 2010
Après un premier accord avec LinkedIn en février dernier, Microsoft signe un partenariat avec Viadeo pour intégrer les services du réseau social professionnel à Outlook 2010. Via la passerelle Outlook Social Connector, les utilisateurs de la messagerie de Microsoft pourront échanger des informations avec leurs contacts enregistrés sur la plate-forme Viadeo. Les news de leurs correspondants pourront également s'afficher à côté des courriers électroniques reçus. L'éditeur poursuit le développement d'Outlook 2010 comme agrégateurs de flux. « L'intégration de Viadeo dans Microsoft Outlook, c'est l'alliance de la messagerie électronique la plus utilisée sur la planète et du premier réseau social professionnel en Europe, qui compte par ailleurs plus de 30 millions de membres dans le monde », déclare Dan Serfaty, fondateur et CEO de Viadeo.
Reste à savoir s'il est bien judicieux de concentrer et de partager toutes ses informations sur une plate-forme unique. Les réseaux sociaux sont déjà suffisamment intrusifs pour ne leur ouvrir les portes de sa messagerie principale alors que certains utilitaires permettent d'agréger ses comptes en séparant ses activités professionnelles et personnelles.
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