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(12/10/2009 10:42:13)

Le LTE entrera en service fin 2010 à 20 Mbit/s

Lors du salon Télécom de Genève, tenu du 5 au 9 octobre, l'industrie se montre précautionneuse en matière des vrais débits des réseaux LTE, selon Motorola. Quand les premiers réseaux et terminaux LTE (Long Term Evolution) seront lancés en 2010, on ne peut s'attendre qu'à des débits d'environ 20 Mbit/s lors du téléchargement de données, selon Motorola et ZTE. Sur leurs stands, ZTE et Fujitsu montrent des modems LTE à venir qui selon leurs spécifications techniques devraient atteindre 100 Mbit/s dans le sens descendant et 50 Mbit/s dans le sens montant. Mais dans la réalité, on devrait être plus près des 20 Mbit/s dans le sens descendant et 5 Mbit/s dans le sens montant selon Xiaodong Zhu, patron technique de ZTE pour l'Europe de l'Ouest. Des chiffres qui sont confiirmés par Stephane Daeuble, senior manager chez Motorola LTE Global Marketing. Si l'on veut mettre les chiffres en perspective, les abonnés suédois qui sur le papier bénéficient actuellement d'un abonnement à 7,2 Mbit/s, atteignaient en moyenne et en réalité un débit de 2,3 Mbit/s en septembre, selon des chiffres du site Bredbandskollen, ou selon The Broadband Check. Cette fois-ci l'industrie est nettement plus conservatrice. Il y a eu tant de promesses par le passé. « Il y a trop souvent eu un marketing exagéré autour des capacités des réseaux mobiles » admet Stephane Daeuble. LTE n'est pas même encore sur le terrain, et il faudra attendre de disposer de 20 à 30 équipements différents utilisés dans plusieurs pays sur différentes fréquences, afin de savoir ce qu'il en est réellement, ajoute-t-il. On estime que 14 réseaux LTE seront en service à la fin de 2010, aux Etats Unis, Canada, Japon, Norvège, Corée du Sud et Suède, selon la Global mobile Suppliers Association. (...)

(09/09/2009 13:00:12)

Le trafic Internet depuis les mobiles multiplié par 6 en un an

Cet été, les visites de sites Internet en provenance de terminaux mobiles (téléphones mobiles, smartphones, baladeurs Wi-Fi, etc.) ont été multipliées par 6 (+493%) par rapport à août 2008, selon les dernières mesures CybereStat du trafic Internet publiées par l'institut Médiamétrie. Les vacances loin de tout PC aidant, le trafic des accès mobiles a représenté en août 2009 1,3% des visites globales contre seulement 0,3% il y a un an. Dans le même temps, le trafic Internet global, quel que soit le système d'exploitation utilisé (accès PC, mobiles, consoles, etc.), a enregistré une progression de 36% par rapport à août 2008. A noter que plus de 6 visites sur 10, 63% des accès mobiles exactement, proviennent de l'iPhone ou de l'iPod Touch d'Apple. Parmi les sites les plus visités au mois d'août, on retrouve en tête Skyrock.com avec près de 161 millions de visites, devant L'Equipe.fr et 60,3 millions de connexions, et Lo.st avec 58,4 millions de visites. (...)

(04/08/2009 16:38:28)

L'appel d'offres pour la 4e licence 3G publié au Journal Officiel

La publication samedi 1er août, au Journal officiel, de l'appel à candidatures pour une 4e licence 3G aurait pu être un signe d'une avancée dans un dossier trop longtemps retardé. Enfin, depuis plusieurs années que se discute le dossier, l'arrivée d'un nouvel entrant sur le marché de la téléphonie mobile devient tangible : les postulants ont jusqu'au 29 octobre pour déposer leur dossier, le fameux sésame devant être attribué au plus tard le 29 juin 2010. Mais ce calendrier pourrait bien encore évoluer puisque France Télécom veut contester la procédure auprès de la Commission européenne pour « aide d'Etat, c'est-à-dire avantage accordé au quatrième entrant par rapport aux trois autres détenteurs de fréquences mobiles ». Le montant demandé pour la 4e licence 3G (240 M€) est en effet loin des 619 M€ déboursés par Orange, Bouygues Telecom et SFR en 2001. Sans préjuger du résultat de ce recours, on peut toutefois souligner que le 4e opérateur disposera d'un nombre inférieur de fréquences par rapport à ces trois concurrents. Côté candidats éventuels, Free a fait savoir qu'il se réjouissait du lancement de l'appel d'offres et proposera à nouveau sa candidature. L'opérateur virtuel Kertel semble également être intéressé tandis qu'un attelage Numéricable-Virgin Mobile est toujours à l'étude. (...)

(22/06/2009 16:49:43)

Un jury de Parisiens plaide pour abaisser le seuil d'exposition aux ondes électromagnétiques

Un panel de Parisiens mandaté par la municipalité pour apporter un point de vue indépendant sur les questions relatives aux ondes électromagnétiques plaide pour une application large du principe de précaution. Imaginée en mars, cette conférence participative a réuni treize habitants de la capitale qui, après avoir été formés, ont remis leurs conclusions dans un rapport « ondes, santé, société ». Outre des remarques de bon sens sur une utilisation citoyenne des téléphones portables (limiter l'usage dans les transports en commun pour développer le « savoir-vivre ensemble », par exemple), c'est sur le terrain de l'émission des ondes que les réflexions des membres du « jury citoyen » sont les plus intéressantes. Ils préconisent ainsi, comme plusieurs associations l'avaient fait à l'occasion du Grenelle des antennes, « d'optimiser le réseau (technologie et implantation) pour atteindre un seuil de 0,6 volt/mètre », contre 2 V/m comme l'autorise la charte « antennes-relais » signée en 2005 par la Ville de Paris et les opérateurs. Soulignons que l'abaissement de ce seuil est d'ores et déjà expérimenté par plusieurs villes de l'Hexagone (dont Courbevoie et Pau), comme les conclusions du Grenelle des antennes les y ont autorisées. Les treize Parisiens consultés reconnaissent, certes, qu'il « n'y a pas de certitude au niveau de la santé » et que « le risque zéro n'existe pas ». Mais leur recommandation, qui se calque sur le seuil adopté par d'autres villes, « permettrait de réconcilier opérateurs, citoyens et associations ». Interrogée sur cette proposition par nos confrères du Parisien, Anne Hidalgo, première adjointe de Bertrand Delanoë, indique que des tests seront mis en place prochainement pour juger de la pertinence de ce niveau d'exposition. Le WiFi dans les bibliothèques à nouveau montré du doigt Dans un souci de faire de Paris « une ville numérique responsable », les Parisiens suggèrent, plus généralement, de modérer l'émission d'ondes, qu'elles émanent des équipements de téléphonie mobile ou de ceux liés à l'Internet sans fil. Ainsi, ils recommandent de substituer au WiFi une liaison filaire dans tous les bâtiments publics (administrations, bibliothèques, écoles, hôpitaux) ou, lorsque cela est impossible (par exemple dans les jardins publics), d'éloigner les sources des espaces destinés à accueillir les enfants. L'idée de remiser le WiFi au placard séduira à n'en pas douter certains employés municipaux, qui s'étaient battus pendant plusieurs mois pour que soient débranchés les points d'accès dans les bibliothèques. En arguant de troubles sanitaires, ils avaient obtenu le débranchement des installations en 2007 avant que la Ville ne décide, en octobre 2008, de les remettre en service. Sur ce sujet, Anne Hidalgo fait montre de moins d'enthousiasme qu'en ce qui concerne l'abaissement du seuil d'exposition à 0,6 V/m. « C'est une recommandation de bon sens. Nous examinerons les situations au cas par cas. Les discussions avec les opérateurs reprendront à la rentrée pour mettre au point une nouvelle charte d'ici à la fin de l'année », élude-t-elle. Enfin, le jury citoyen plaide pour une non implantation d'antennes relais près des établissements scolaires et la proscription de l'utilisation de téléphones mobiles dans ces mêmes établissements par les enfants (jusqu'au collège). Des mesures proches de celles avancées par la ministre de la Santé lors de l'ouverture du Grenelle des antennes, au mois d'avril. (...)

(17/06/2009 16:19:06)

Le prix de la 4eme licence de téléphonie mobile monte à 240 millions d'euros

La procédure d'attribution de la quatrième licence de téléphonie mobile semble s'engluer. Le gouvernement a relevé le prix du lot des 5 MHz tout en retardant de facto l'échéance. Parallèlement, d'aucuns prêtent à Bouygues Telecom l'intention de retarder le processus par la voie judiciaire. Surtout ne pas répondre aux questions sur la 4e licence de téléphonie mobile ! Tel semble la consigne passée et appliquée par les responsables gouvernementaux en charge des télécoms en ce moment. Au lendemain de l'annonce en catimini -via un entretien rapide de Luc Chatel, secrétaire d'Etat à l'Industrie, avec l'AFP- il parait impossible de comprendre les raisons qui ont motivé l'avis consultatif de la Commission des participations et des transferts de relever le prix du lot des 5 MHz réservé à un nouvel entrant, un avis que le gouvernement compte suivre. Au lieu des 206 millions d'euros annoncés par le gouvernement devant la représentation nationale lors du débat organisé au Parlement en début d'année sur la quatrième licence, le prix est désormais fixé à 240 millions d'euros. Pour autant, si le tarif est désormais connu, le gouvernement paraît toujours aussi peu pressé de donner le coup d'envoi du processus d'attribution. Dans son entretien avec l'AFP, Luc Chatel a en effet précisé qu'il allait saisir pour consultation les instances concernées (l'Arcep), avant de publier, d'ici la fin juillet, le décret fixant les modalités d'attribution. Le sujet des consultations est d'autant plus mystérieux que le gouvernement a déjà tous les éléments à sa disposition, l'Arcep lui ayant transmis depuis longtemps son avis sur le dossier. Des opérateurs tentés de faire traîner le dossier De plus, lors de la nomination de Jean-Claude Mallet à la tête de l'Arcep début janvier (remplacé depuis par Jean-Ludovic Silicani), le gouvernement avait promis de lancer la procédure avant la fin du mois de février, puis avait finalement évoqué la fin mars. L'attribution de la licence prend donc encore une fois quelques semaines de retard supplémentaires, sans que l'on puisse avoir la certitude que cette nouvelle échéance sera respectée. Les opérateurs mobiles en place ont en effet tout intérêt à retarder le plus longtemps possible l'arrivée d'un nouvel acteur. Comme le relevait récemment le magazine Challenges sur son site, la clause permettant à un quatrième acteur de récupérer 5 MHz dans la bande 900 MHz tombe dans un an (en juin 2010). Autrement dit, si le dossier traîne suffisamment les opérateurs en place n'auraient pas à rétrocéder une partie des fréquences qu'ils utilisent, tout en compliquant la tâche du nouvel entrant qui avec 5 MHz seulement verrait sa capacité de développer son réseau sur l'ensemble du territoire significativement réduite. D'où l'intention prêtée notamment à Bouygues Telecom de poursuivre le combat contre la quatrième licence en attaquant le décret devant la justice. Une hypothèse que n'exclut pas non plus France Télécom pour faire constater que « le principe d'équité n'a pas été respecté ». Iliad, dernier candidat en lice ? [[page]]Si tel devait être le cas, il serait difficile pour le gouvernement de lancer la procédure d'attribution, compte tenu de l'incertitude juridique qu'une telle plainte ferait peser sur le dossier. Un environnement qui ne va pas faciliter la tâche des candidats potentiels. Alors que de nombreux noms circulaient en début d'année, la liste semble d'ailleurs s'être réduite. KPN, qui avait pris contact avec Alcatel-Lucent, a affirmé depuis n'être pas intéressé par la licence, alors que Virgin Mobile France, qui regarde le dossier, indique aussi ne pas avoir besoin de la licence pour poursuivre son développement. Geoffroy Roux de Bézieux, PDG du MVNO, s'inquiète de la capacité du nouvel entrant à déployer les points hauts, compte tenu de la polémique sur la nocivité des antennes-relais. Sauf coup de théâtre, Iliad pourrait donc bien être le seul candidat à tenter l'aventure. La fuite du gouvernement face à ces questions La quatrième licence de téléphonie mobile, et plus généralement l'ensemble des sujets télécoms, sont manifestement des épines dans le pied du gouvernement. Pour s'en convaincre, il suffit de rappeler que sur une question aussi importante, il n'a pas cru bon de rédiger un communiqué ou d'organiser une conférence de presse pour expliquer et motiver son choix sur le prix de la licence, et s'est contenté d'un rapide entretien de Luc Chatel avec l'AFP. Depuis deux ans que ce dossier est sur la table, le gouvernement s'est d'ailleurs fait remarquer par sa capacité à fuir les questions. D'où les rumeurs récurrentes portant sur le chantage à l'emploi que pourraient exercer certains des opérateurs en place, peu pressés de faire de la place à un quatrième acteur, et qui amènerait l'Elysée à repousser, sans cesse, les décisions. (...)

(18/05/2009 17:52:28)

SFR récompense les développeurs Android

En six semaines, SFR a reçu plus d'une centaine de dossiers pour son concours « Jeunes talents développeurs », et finalement récompensé 5 projets d'applications pour la plateforme Android. Les quatre projets distingués par un jury de professionnels se sont ainsi partagé 50 000 euros. Surtout, note Didier Girard, directeur des opérations et de l'innovation de la SSII Sfeir et membre du jury, « cela a permis aux développeurs de se connaître ». Autrement dit, de créer une émulation, une communauté de développeurs avides d'utiliser la liberté donnée par le système d'exploitation mobile de Google. Le grand gagnant, DidUnozat, permet tant aux concepteurs d'applications qu'aux utilisateurs de créer des fiches de type 'trucs et astuces'. L'idée est de faciliter la prise en main des applications, mais aussi d'inciter à partager ses trucs - et partant d'accélérer la diffusion des applications. Il y a donc à la fois un aspect collaboratif et un aspect viral, ce qui a séduit le jury. En 2e place, SOS a aussi une double approche : il s'agit d'avoir sur soi une sorte de carte de santé, avec liste des proches à contacter, mais aussi de pouvoir avertir les secours en cas d'accident, et d'aider à porter secours. En 3e place, DroidTracker permet d'interroger un mobile sous Android à l'aide d'un SMS (écrit depuis n'importe quel mobile). L'inventeur de l'applicatif cite par exemple le patron d'une société de livraison qui pourra ainsi savoir à tout instant où sont ses chauffeurs. « Il s'agit d'une application, explique Didier Girard, qu'on ne pourrait pas trouver sur l'iPhone, qui interdit l'exécution de programmes en tâche de fond. » En 4e position, le jury a distingué AndroPan, qui donne la possibilité d'assembler les photos prises avec un appareil sous Android pour créer des panoramas et les diffuser automatiquement sur le Web. Des applications bientôt mises en avant sur un « appli store » accessible aux mobiles Android [[page]] Le cinquième gagnant, qui se voit lui récompensé par un HTC Magic sous Android, a de son côté été désigné par le public. Avec une note de 3,4 sur 5 (et 152 votes), Hi-Hiker est une sorte de boîte à outils pour le randonneur qui, là aussi, exploite des possibilités non présentes sur l'iPhone (du moins dans sa v2), comme l'exécution d'applications en tâche de fond, ou la boussole. Le jury a également décerné trois mentions spéciales, à Wikitude, qui ajoute des informations aux images vues dans le capteur photo (principe de la réalité augmentée) et à deux applications diffusées en Open Source, Restlet, qui permet d'échanger les carnets d'adresse de téléphone à téléphone, et Shelves, pour gérer sa bibliothèque. D'ici quelques jours, toutes les applications gagnantes seront mises en avant, explique Raphaël Marbeck, responsable des applications sur OS ouverts chez SFR, sur le site SFR Android accessible depuis le Magic. Les autres participants devraient aussi probablement être référencés sur les sites de téléchargement de SFR. Impossible en revanche pour l'instant de connaître les chiffres de diffusion ou les projections de vente des mobiles sous Android. (...)

(16/03/2009 12:04:00)

Le Grenelle des antennes se tiendra finalement en avril

Repoussé une première fois du 19 au 26 mars pour cause de mouvements sociaux, le Grenelle des antennes, proposé par Nathalie Kosciusko-Morizet, n'aura finalement lieu que le 23 avril prochain (mise à jour). La secrétaire d'Etat au Développement de l'économie numérique a en effet proposé de réunir autour du thème de la dangerosité potentielle des émissions d'ondes électro-magnétiques de la téléphonie mobile (téléphones et antennes), les opérateurs télécoms, les associations idoines de défense de l'environnement, les collectivités territoriales, etc. Le projet est finalement confié par le Premier ministre, François Fillon, à trois ministres : Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la Santé et des Sports, Chantal Jouanno, secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie et Nathalie Kosciusko-Morizet. La table ronde prend le nom officiel de « Radiofréquence, santé et environnement » et doit permettre de « faire le point sur les connaissances scientifiques, ainsi que sur la réglementation en vigueur. L'objectif est d'identifier d'éventuelles mesures complémentaires en matière de recherche, d'expertise scientifique, d'information du public, de réglementation ou d'engagements volontaires. » Y sont conviés l'Etat et les organismes publics, les élus et représentants des collectivités territoriales, les opérateurs, les associations, les scientifiques et personnalités qualifiées. Les opérateurs reçus, les associations laissées dans l'ignorance Selon l'AFP, Chantal Jouanno devrait recevoir les opérateurs télécoms sur le sujet, dès le 26 mars. De leur côté, les associations Priartem et Agir pour l'environnement s'indignent dans un communiqué commun de ne pas avoir été prévenues du nouveau report de la réunion. Elles « demandent à être reçues par les ministres organisatrices de ce Grenelle de la téléphonie mobile » et « appellent l'Etat à organiser un débat multi-acteurs, sans exclusive, sans a priori et sans tabou. » Selon elles, « cette façon de procéder semble laisser entendre qu'il y aurait des acteurs plus légitimes que d'autres. » (...)

(26/02/2009 17:57:52)

Trois associations de défense des citoyens invitées au Grenelle des antennes

Selon l'AFP, trois associations de défense des citoyens seront conviées au Grenelle des antennes lancé à l'initiative de la secrétaire d'Etat au Développement de l'économie numérique, Nathalie Kosciusko-Morizet. A leur demande, Agir pour l'Environnement qui défend la protection de l'environnement de façon globale, Priartem et Robin des Toits qui luttent « pour la sécurité sanitaire des populations exposées aux nouvelles technologies de télécommunications sans fil » ont toutes trois été reçues mardi dernier. Pour ce Grenelle où sera discutée la potentielle dangerosité des ondes électro-magnétiques pour la santé, la ministre avait effectivement promis de réunir les « opérateurs de téléphonie, radiodiffuseurs, associations d'élus et de consommateurs, scientifiques ». Les associations se sont bien évidemment félicitées de l'invitation. Pour Stéphen Kerckhove, délégué général d'Agir pour l'Environnement, cité par l'AFP, « le patient travail de sensibilisation menée par les associations depuis plusieurs années visant à obtenir une réglementation contraignante encadrant le développement de la téléphonie mobile est en train de porter ses fruits. » Prévu initialement le 19 mars, le rendez-vous est finalement repoussé à une date ultérieure, qui n'a pas encore été communiquée. (...)

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