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Haut débit mobile
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(02/06/2006 10:30:33)
Broadcom et Atheros avancent vers la l'interopérabilité pré-802.11n
Broadcom et Atheros ont annoncé hier être parvenu à faire interopérer leurs chipsets pré-standard 802.11n, à des débits supérieurs à 100 Mbit/s et ont dans la foulée annoncé leur intention de démontrer l'interopérabilité à haut débit de leurs nouveaux équipements lors du salon Computex qui s'ouvre la semaine prochaine à Taipei. Dans la pratique, Broadcom et Atheros ont établi l'interopérabilité entre des équipements dotés de leurs chipsets Wi-Fi de nouvelle génération, respectivement l'Intensi-fi et le Xspan -des composants utilisés notamment par D-Link Systems, Netgear, Belkin et la division Linksys de Cisco Systems. Les travaux des deux constructeurs devraient un peu rassurer certains acheteurs de ces équipements, mais ils ne garantissent pas que les équipements pré-standard seront un jour conformes au standard final. Pas plus qu'ils ne garantissent l'interopérabilité avec certains produits concurrents comme ceux d'Airgo, l'un des pionniers du 802.11n. Il est vrai que Broadcom et Atheros contrôlent aujourd'hui près de 90% des ventes de chipsets Wi-Fi et entendent bien conserver cette position. (...)
(01/06/2006 09:50:59)Fujitsu rachète les actifs WiMax de Wi-LAN
Fujitsu vient de reprendre les effectifs de développement WiMAX du canadien Wi-LAN et a acquis ses technologies MAC et PHY WiMAX pour 2 M$. Le constructeur japonais a également acquis une licence de l'ensemble de la propriété intellectuelle de Wi-LAN en matière de technologies WiMAX. Fujitsu est l'un des grands partenaires de WiLAN avec lequel il travaille sur la technologie de boucle locale radio IP depuis près de 5 ans. La cession de ses actifs et de ses équipes de développement permet à W-LAN de se recentrer sur la licence de ses technologies. La firme entend monétiser sa propriété intellectuelle et elle a déjà entamé des poursuites contre D-Link qu'elle accuse de violation de ses brevets. (...)
(19/05/2006 09:53:48)BT veut couvrir douze villes britanniques en WiFi gratuit
British Telecom vient d'annoncer la signature d'un accord avec six villes britanniques en vue de les équiper en Wi-Fi. L'opérateur espère ainsi signer avec les 12 principales agglomérations du Royaume-Uni. En partenariat avec Intel, BT compte couvrir les centres villes afin que les utilisateurs d'appareils nomades puissent profiter de connexions gratuites. Les villes signataires comme Birmingham, Edinbourg, Leeds, Liverpool, Cardiff ou Westminster pourront prochainement délivrer des renseignements pratiques sur le tourisme ou des services urbains. BT espère également que les britanniques seront tentés par le nouveau téléphone mobile de l'opérateur nommé Fusion et qui embarquera une connexion Wi-Fi. Muni de ce mobile, les utilisateurs pourront alors passer d'une communication classique à une connexion en VoIP, dès qu'ils seront à proximité d'une borne. Ce gain financier ne sera pas anodin pour peu que le maillage soit réellement efficace. BT estime que cette implantation du Wi-Fi est un premier pas vers des recherches technologiques appliquées aux utilisateurs finaux. De même l'opérateur espère bien d'autres cités, plus petites, voudront d'un tel équipement. (...)
(14/04/2006 17:18:14)NetGear se lance dans le 802.11n pré-standard
Netgear a commencé les livraisons de ses premiers équipements conformes au brouillon du futur standard 802.11 n. Selon la firme, les appareils de la gamme RangeMax NEXT sont capables de transmettre des données à des débits de l'ordre de 300 Mbit/s (débit à l'interface radio) grâce à l'utilisation de la technologie d'antennes multiples MIMO, un élément clé du standard 802.11n. Dans la pratique, les nouveaux équipements devraient afficher un débit pratique bien supérieur à 100 Mbit/s. Pour ces équipements, NetGear s'appuie sur deux fournisseurs de composants. Marvell fournit son chipset 802.11n "TopDog" pour la gamme RangeMax Next Gigabit qui se compose d'un d'un routeur Wi-Fi intégrant un commutateur Gigabit Ethernet (249 $) et d'une carte PCMCIA (129$). Les débits sans fils annoncés sont de 300 Mbit/s. BroadCom fournit, quant à lui, son chipset InteNsi-fi pour les équipements les plus économiques de la gamme RangeMax Next. Il s'agit d'un routeur Wi-Fi 802.11n avec commutateur 10/100 Ethernet (179$), d'un routeur Wi-Fi équipé d'un port ADSL 2+ et du même commutateur 10/100, d'un point d'accès 802.11n (249$), et de deux cartes réseau sans fil PCMCIA et PCI (129 $). Cette deuxième gamme d'équipements affiche des débits maximum de 270 Mbit/s. Il est à noter que Netgear ne s'engage pas, pour l'instant, à ce que ces équipements puissent être mis à jour vers le standard final 802.11n. Dans un communiqué, le constructeur se borne à indiquer que " avec l'avancée du processus de ratification de 802.11n, Netgear continuera a travailler activement avec les multiples vendeurs de chipset ainsi qu'avec l'IEEE et la Wi-Fi Alliance, pour assurer que les solutions sans-fil provenant de plusieurs vendeurs inter-opéreront aux plus hauts débits possibles tout en maintenant la compatibilité et un fonctionnement transparent avec les clients 802.11b/g". Comprenne qui pourra... (...)
(06/04/2006 20:25:53)Les abonnés à Free bientôt en Wimax
Toujours plus de primes pour les abonnés à Free qui auront sous peu un accès gratuit au réseau Wimax d'IFW, autre filiale d'Iliad, maison mère du FAI. Selon le communiqué, "Concrètement, l'abonné Free Haut Débit, équipé d'un terminal compatible avec le réseau IFW, pourra bénéficier d'un service d'accès à Internet sans fil dans les grandes villes métropolitaines." Iliad avait hérité d'une licence Wimax - permettant l'exploitation de la la bande de fréquences 3,5 GHz - après le rachat d'Altitude Télécom en septembre 2005. A cette occasion, Xavier Niel, le directeur général en charge de la stratégie, expliquait que "Le WiMAX est une option pertinente à horizon 3-5 ans pour le développement du Groupe en complément des activités actuelles de Free". Soutenue par plusieurs géants de l'électronique et des télécoms comme Intel, Alcatel, Nortel ou Motorola, la technologie WiMax (802.16d et 802.16e à l'IEEE) n'a plus grand chose à voir avec la BLR de grand papa. Comme auparavant la technologie permet de couvrir une large zone en haut débit internet sans avoir à tirer de nouvelles lignes. En fait dès qu'une zone est couverte par WiMax, elle devient virtuellement dégroupée, car son opérateur peut se passer des lignes filaires de l'opérateur historique. Mais ce qui explique le nouvel engouement pour WiMax ce sont les nouvelles possibilités de mobilité. Dès maintenant, le standard 802.16d supporte des formes de nomadisme limitées. Par exemple, la connexion est possible depuis tout point disposant d'un émetteur actif. On peut ainsi déplacer un PC portable Wi-Fi de la maison au bureau et y retrouver une connexion, alors que le service ADSL est aujourd'hui lié à la ligne de téléphone. Dans un scénario optimiste, WiMax pourrait tout d'abord s'imposer en zones rurales comme l'alternative à l'ADSL puis, dès le début 2007, cannibaliser une partie des usages du Wi-Fi et de la 3G dans les zones urbaines, grâce au support de la mobilité. Il s'imposerait alors comme une alternative ou un complément aux deux technologies pour les utilisateurs Internet, notamment les nomades. C'est le genre de scénario sur lequel mise Intel en pronostiquant l'intégration dans les prochaines versions de Centrino( à horizon 2007/2008) de cartes radio WiMax en plus des actuelles radios Wi-Fi. Côté FAI c'est également le pari que fait Free en préemptant un marché naissant. Dans son communiqué Iliad explique que, dès lors que son offre sera opérationnelle, "la France deviendra le premier pays européen en terme de couverture Wimax avec plus de 1,6 millions d'utilisateurs concernés". (...)
(28/03/2006 17:54:46)Les utilisateurs de Wi-Fi veulent une sécurité plus simple à mettre en place
Le grand public a besoin de normes de sécurité plus simples pour la mise en place de leurs équipements Wi-Fi, selon l'institut ABI Research. L'étude révèle que les difficultés rencontrés par les utilisateurs pour sécuriser leur accès sans fil sont si nombreuses que beaucoup d'entre eux finissent par considérer comme inéluctable l'ouverture à tous les vents de leur connexion. "Le consommateur moyen a pleinement conscience des exigences de sécurité, explique Sam Lucero, analyste pour ABI Research. La complexité des solutions de sécurisation existantes frustre le plus grand nombre qui considère, par conséquent, ce problème comme insoluble". Pourtant, indique l'institut, des solutions relativement simples existent, à l'image de l'AOSS (AirStation One-touch Secure Set-up) de Buffalo Technology ou de l'outil de Bradcom and Atheros. Et le cabinet d'espérer que l'une ou l'autre de ces technologies rejoigne la Wi-Fi Alliance et devienne un standard ouvert au cours de 2006. "Des solutions de sécurité plus simples n'apporteront pas nécessairement à leur créateur un avantage concurrentiel. Mais une fois que la Wi-Fi Alliance s'arrête sur un standard, la plupart des fabricants - sinon tous - l'adopteront". (...)
(27/03/2006 12:41:07)Wimax, la stratégie de Bolloré
R&T : Pourquoi ce soudain intérêt pour le monde des télécoms ? Jean-Christophe Thiery : Voici bientôt cinq ans que le groupe Bolloré s'est lancé dans la communication et les médias. Ce pôle s'est, depuis, considérablement développé. Nous avons, notamment, investi dans Euro Média et la SFP, qui forment le premier groupe français de prestations techniques pour l'audiovisuel et le cinéma ; puis nous avons lancé, avec succès, Direct 8, une chaîne généraliste gratuite de la TNT, totalement en direct. Dans le secteur de la publicité, le groupe est désormais le premier actionnaire d'Havas, présidé par Vincent Bolloré, et d'Aegis. Poursuivant cette logique de diversification ciblée, nous avons réfléchi à la convergence entre les médias et le monde des télécommunications. L'appel à candidature de l'Arcep sur les licences Wimax nous permet de concrétiser notre intérêt pour le secteur des télécoms. Nous sommes candidats aux licences Wimax parce que nous avons un projet ambitieux et cohérent. Nous avons déployé beaucoup d'efforts pour concevoir un réseau de nouvelle génération et optimiser les déploiements nécessaires à une couverture de chaque région. R&T : Quels sont les atouts de la technologie Wimax ? J.-C. T : Tout d'abord, nous avons la certitude que les besoins des consommateurs en haut débit, fixe ou nomade, vont aller crescendo. C'est évident ! Cette demande est nationale et touche tous les citoyens. La technologie Wimax répond totalement à ces besoins. Elle permet de couvrir de larges territoires à des débits élevés et à moindre coût. Le Wimax est, de plus, riche en promesses, notamment avec les évolutions du 802.16e. R&T : Serez-vous un acteur Wimax exclusivement ? J.-C. T : Notre objectif est de nous positionner sur les débits, les tarifs et le contenu. Nous voulons offrir le meilleur service et les contenus les plus pertinents, à des prix attractifs pour nos abonnés. Nous proposerons des offres spécifiques à des communautés (sportives, étudiantes...), et nous nous attacherons à offrir une facture unique incluant les services voix, data, vidéo et, bien évidemment, les services en nomadisme... Nos offres seront acheminées par la technologie Wimax, mais, si besoin, nous n'excluons pas l'usage d'autres technologies, y compris filaires. Le fil directeur de Bolloré Télécom restera, avant toute chose, l'innovation. Nous avons réuni des compétences très pointues pour que les usages du haut débit se généralisent. R&T : Quelles sont vos expertises métiers déclinables sur le Wimax ? J.-C. T : Le groupe Bolloré est très impliqué dans les secteurs du transport, de la logistique, de la gestion d'infrastructures portuaires, domaines dans lesquels le Wimax peut offrir de multiples services innovants. Dans le secteur de la publicité et dans les médias, on peut imaginer que le Wimax nous permettra de diffuser nos contenus vidéo et audio ou encore de gérer l'affichage urbain à distance, permettant ainsi de fournir l'information géographiquement ciblée, de manière dynamique. R&T : Etes-vous confiant sur l'attribution des licences par l'Arcep ? J.-C. T : L'Arcep a retenu des critères objectifs pour retenir les meilleures candidatures. Sur au moins deux des trois critères de sélection, la candidature de Bolloré Télécom me semble intéressante. Tout d'abord, le groupe Bolloré est, depuis près de deux cents ans, un groupe français, indépendant, avec des capacités financières importantes ; cette position lui permet d'investir dans des projets ambitieux dans une perspective de long terme. Notre implication dans le secteur des télécoms sera bénéfique à la concurrence, ce qui constitue un objectif majeur de l'Arcep, comme elle l'a prouvé sur le marché du dégroupage. Par ailleurs, nous avons pris des engagements très concrets pour réduire la fracture numérique en France. Par exemple, nous nous sommes engagés à déployer nos infrastructures Wimax aussi bien dans les zones denses que les zones blanches, ce qui permettra à 99 % de la population et des entreprises françaises d'accéder au haut débit. Nous couvrirons notamment la moitié des zones rurales françaises avant la fin 2008. Ensuite, nous réservons une cagnotte pour couvrir les éventuels trous et zones d'ombre dans la couverture. R&T: Vous êtes-vous fixés une limite en deçà de laquelle vous jetterez l'éponge ? J.-C. T : Chaque région représente un réel intérêt. Par ailleurs, nous faisons confiance à l'Arcep pour composer un ensemble cohérent. R&T: Resterez-vous seul ? J.-C. T : D'ores et déjà, Bolloré Télécom regroupe les talents et les compétences de trois partenaires, dont Hub Télécom, qui est un opérateur télécoms retenu, et Antalis TV, qui est un diffuseur technique performant. Notre démarche est guidée par le pragmatisme, et nous sommes ouverts à tout autre partenariat, notamment avec toutes les collectivités territoriales qui le souhaiteraient. (...)
(20/03/2006 18:01:04)Au Cebit, Wi-Fi et Bluetooth sont ouverts en grand aux hackers
Le CeBIT, le plus grand salon High-Tech existant a présenté la plus belle faille sécuritaire jamais vue lors d'un salon. Selon Kaspersky Labs, 55% des points d'accès Wifi ouverts sur le salon n'étaient pas cryptés. Non seulement les pirates potentiels pouvaient jouer de sérieux tours aux exposants mais, plus grave, ils pouvaient en tout tranquillité accéder aux réseaux internes de certaines entreprises. En effet, bon nombre d'exposants ont leur réseau local sur le salon avec une connexion au siège. F-Secure ajoute que le même phénomène s'est produit pour les connexions Bluetooth. En scannant près de son stand, F-Secure a relevé pas moins de 12500 appareils qui utilisaient Bluetooth sans aucune sécurité et qui ouvraient grand leurs portes aux intrusions potentielles. Ces défaillances s'expliquent en partie par le manque de temps des exposants qui bâclent ainsi le montage de leurs réseaux, mais aussi pour Bluetooth, par l'inconscience des utilisateurs. L'insouciance des organisateurs du salon, qui n'ont pas mieux prévenu les risques de piratage, devra sans doute être remise en question l'année prochaine. (...)
(14/03/2006 17:50:31)L'ISO rejette WAPI, le protocole de sécurité Wifi chinois
L'ISO - International Organization for Standardization - a rejeté à une forte majorité WAPI, le protocole de sécurité Wi-Fi promu par les industriels et le gouvernement chinois, au profit du IEEE 802.11i. Ce dernier devrait à terme devenir un standard mondial. Seul 8 votes contre 17 ont été en faveur du système chinois. La Chine, qui avait créé un groupe de soutien avec l'aide de 22 entreprises - notamment Lenovo ou encore Huawei Technologies -, se dit fortement déçue et accuse des lobbies occidentaux, Intel en tête d'avoir influencé le vote. L'ISO explique dans un document que les chinois n'ont pas fourni assez de matière pour permettre un jugement approfondi du Wapi. La Chine ne s'avoue pas vaincue pour autant et compte utiliser WAPI pour son marché intérieur. (...)
(10/03/2006 17:56:51)Wimax : des revenus en hausse annuelle de 139 % jusqu'en 2009
Les revenus du marché mondial des équipements Wimax, selon une étude Infonetics, devraient atteindre 1,6 Md$ en 2009. Le marché du Wimax était presque inexistant en 2004. Aussi, c'est sans surprise que le taux de croissance atteint des sommets en 2005, s'alignant à 759 % pour 142,3 M$ de revenus. Infonetics estime que la technologie Wimax devrait conserver un rythme de croissance important au cours de cinq prochaines années : l'institut table ainsi sur une progression annuelle de 139 % jusqu'en 2009. Pour le dernier trimestre 2005, dopés par la certification de produits à la norme Wimax en fin d'année, les revenus ont atteint 46 M$. La région Amérique du nord a généré 42 % de cette somme, contre 30 % en Europe et 24 % en Asie-Pacifique. Infonetics indique que c'est dans cette dernière zone que la croissance devrait être la plus importante au cours des prochaines années. (...)
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