Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 11961 à 11970.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(17/02/2009 17:17:58)
IBM échange licenciements contre expatriations low cost
IBM n'a pas encore levé le voile sur son projet de restructuration. Pourtant, la direction de Big Blue aux Etats-Unis et au Canada réfléchit actuellement à une alternative aux suppressions de postes qui ont déjà eu lieu : ainsi, les salariés américains et canadiens dont le poste a été supprimé ont appris qu'il pourraient sauver leur emploi s'ils acceptent d'aller travailler dans les divisions d'IBM au Brésil, en Inde, en Chine ou dans une douzaine d'autres pays à bas coûts. Cette solution a été proposée aux salariés qui ont perdu leur emploi, dans le cadre d'un programme baptisé Project Match. Ce plan prévoit le versement d'une aide financière qui devrait compenser les frais liés au déménagement et à l'obtention de visas pour faciliter la transition de certains salariés vers l'international. Mais si ces derniers optent pour l'expatriation, ils abandonneront leur salaire actuel au profit de la rémunération locale en vigueur. « Les collaborateurs qui accepteront d'être transférés devront être prêts à travailler selon les termes et les conditions du marché local », a précisé la direction du constructeur. Doug Shelton, l'un des porte-parole d'IBM, a certes reconnu que ce programme ne pouvait pas convenir à tout le monde, mais qu'il pouvait s'agir d'une solution de rechange pour les collaborateurs dont les emplois ont été supprimés. En France, la publication, il y a quelques mois, d'une offre d'emploi ANPE pour un poste d'informaticien à pourvoir à Pondichery, en Inde, assortie d'un contrat de droit local, avait suscité la polémique. (...)
(17/02/2009 16:23:26)Red Hat et Microsoft passent un accord croisé autour de leurs OS et de leurs hyperviseurs
Red Hat et Microsoft ont signé un accord croisé afin que chacun accepte le le système d'exploitation de l'autre sur son hyperviseur. Ainsi, Red Hat va valider Windows Server 2000 SP4, 2003 SP2 et Windows Server 2008 sur la couche de virtualisation de Red Hat Enterprise Linux (RHEL). Microsoft agira de même avec RHEL 5.2 et 5.3 sur Windows Server 2008 Hyper-V et Hyper-V Server 2008. Les deux parties s'empressent de préciser que cet accord ne comporte aucun volet financier et qu'il n'a pas d'implication vis-à-vis de l'open source. Histoire de marquer sa différence avec celui qui lie étroitement Novell et Microsoft depuis novembre 2006. Un des volets du vaste partenariat annoncé à l'époque portait d'ailleurs sur le support des OS Microsoft sur Xen, l'hyperviseur de Novell Suse. En revanche, autant on sait chez Microsoft de quel hyperviseur il est question (Hyper-V), autant le doute demeure chez Red Hat. Le communiqué de l'éditeur ne parle que "des technologies de virtualisation de RHEL" sans préciser si l'accord porte uniquement sur Xen, actuellement l'hyperviseur inséré dans RHEL, ou s'il inclut aussi KVM, son successeur annoncé. (...)
(17/02/2009 15:49:09)Mozilla propose un espace de développement en ligne
Avec leur projet Bespin*, les Mozilla Labs veulent mettre en mode cloud un framework collaboratif de développement. L'éditeur de code, accessible par un navigateur, utilise des fonctions de la version 5 de HTML dont Canvas, pour apporter aux développeurs un environnement de travail comparable à la bureautique avec les Google Apps. Outre les possibilités habituelles, le système intègre aussi une gestion de projets. Objectif : permettre des sessions d'édition de code en temps réel entre plusieurs développeurs. Bespin 0.1 s'appuie aussi sur Ubiquity, interface en langage naturel pour accéder aux ressources du Web. Pour l'instant, cette offre reste en devenir. Il lui manque en particulier l'espace de collaboration. La vidéo explicative sur la page d'accueil du projet donne, en une dizaine de minutes, une bonne idée de l'envergure du projet et de ses effets sur la façon de développer. (*) Bespin est une planète gazeuse évoquée dans la Guerre des étoiles (L'Empire contre attaque), sur laquelle se trouve la "cité des nuages". (...)
(17/02/2009 15:19:25)Flash 10 s'installera sur les téléphones mobiles en 2010
À l'occasion du Mobile World Congress de Barcelone, Adobe a annoncé que la dernière version complète de Flash - Flash 10 - sera compatible avec la majorité des smartphones d'ici à 2010. Les téléphones concernés seront ceux qui utilisent les systèmes d'exploitation Windows Mobile, Android, Symbian S60 et le futur WebOS de Palm. Seul grand absent de cette liste : l'iPhone d'Apple. Contacté par l'agence Reuters, David Wadhwani, responsable plateforme d'Adobe, précise que les deux sociétés travaillent toujours pour une installation complète de Flash sur le smartphone d'Apple, mais rien de concret n'a encore émergé. « Nous n'aurons rien à annoncer durant le congrès à ce sujet. » En 2008, 40% des téléphones portables vendus étaient équipés de la version light de Flash, développée spécialement pour ce type de supports. Adobe compte en distribuer encore 1,5 milliard dans les deux ans à venir, aux côtés de Flash 10. (...)
(17/02/2009 15:11:35)Facebook change ses conditions d'utilisation et inquiète les internautes
Facebook fascine par son fulgurant succès ; Facebook amuse et rend service à ses 150 millions d'utilisateurs ; mais Facebook inquiète par ses conditions d'utilisation faisant, en apparence, peu de cas du respect de la vie privée. Le réseau social a ainsi modifié en début de mois les termes de la licence utilisateur que les internautes souhaitant utiliser le service sont contraints d'accepter. Y figure notamment une disposition précisant que les inscrits accordent à Facebook « le droit irrévocable, perpétuel, non-exclusif, transférable et mondial d'utiliser, copier, publier, diffuser, stocker, conserver, transmettre, scanner, reformater, modifier, éditer, traduire, extraire, adapter et distribuer à des tiers tout contenu » publié par les utilisateurs. Surtout, le réseau social a supprimé une mention qui permettait aux internautes de supprimer les données liées publiées sur leur profil : « Si vous choisissez de retirer votre contenu utilisateur, la licence ci-dessus expirera automatiquement, mais reconnaissez toutefois que la société peut en conserver une archive ». Ces conditions d'utilisation, qui n'avaient pas soulevé de polémique avant que le blog The Consumerist ne s'en fasse l'écho, n'ont pas tardé à susciter l'émoi des utilisateurs, inquiets de constater que le contenu qu'ils choisissent de partager ne leur appartient plus une fois mis en ligne. Selon le blog, « tout ce que vous publiez peut être utilisé par Facebook de n'importe quelle façon, éternellement, et quelles que soient vos décisions ultérieures ». En clair « vous appartenez à Facebook ». Le fondateur de Facebook se montre rassurant Mark Zuckerberg, le fondateur du site communautaire, a rapidement réagi à ces assertions. Dans un billet de blog publié hier, il assure que « sur Facebook, les utilisateurs détiennent et contrôlent leurs informations. » Soucieux de dégonfler la polémique, le jeune entrepreneur justifie la teneur des conditions d'utilisation par un formalisme nécessairement inhérent à ce genre de document. Autrement dit, Facebook se met à l'abri d'éventuelles poursuites intentées par les utilisateurs en se réfugiant derrière un large paravent juridique. Tout en reconnaissant le besoin de simplifier ces dispositions, Mark Zuckerberg explique la notion de conservation éternelle des données : « Quand une personne partage quelque chose comme un message avec un ami, deux copies de cette information sont créées - l'une dans la partie 'messages envoyés' de l'expéditeur, l'autre dans la boîte de réception du destinataire. Même si la personne désactive son compte, son ami conserve une copie de ce message. Nous pensons que c'est une bonne façon de faire [... et c'est aussi] l'une des raisons pour lesquelles nous avons mis à jour nos conditions d'utilisation ». Au vu des nombreuses réactions irritées des internautes, il n'est pas certain que ces derniers aient été convaincus par les arguments de Mark Zuckerberg. (...)
(17/02/2009 12:53:38)Informatica acquiert des solutions de gestion du cycle de vie des données
Avec le rachat d'Applimation qu'il vient de finaliser, l'éditeur Informatica ajoute à sa plateforme d'intégration de données une suite de gestion du cycle de vie des informations applicatives (ILM, information lifecycle management). Cette suite se compose de quatre logiciels. Le premier, Applimation Informia Archive permet à la fois de réduire la taille des bases de production, en identifiant les données inactives, de se conformer aux règlementations légales (accès aux informations, confidentialité) et de gérer la conservation des données. La suite Applimation Informia Enterprise Data Management comprend aussi les solutions Informia Data Subset et Informia Data On Demand, qui permettent de créer des bases représentatives destinées aux tests applicatifs, ou de répliquer les bases de production à des fins de développement, de formation ou d'assurance qualité. Enfin Informia Secure est destinée à la protection des données sensibles dans de multiples contextes. Quoique très utilisée pour les projets décisionnels, la plateforme d'intégration de données d'Informatica répond aux besoins d'un éventail beaucoup plus large de projets : modernisation du système d'information, déploiement d'ERP, synchronisation de données avec des applications hébergées... L'offre Applimation qui vient d'être acquise inclut notamment un éventail de métadonnées destinées à une centaine de modules applicatifs de l'offre de progiciels d'Oracle et de SAP. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |