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(16/02/2009 18:18:02)

Disparition officielle du portail Lycos Europe

Le portail Lycos Europe a officiellement cessé d'exister depuis hier, dimanche 15 février. La fermeture de l'un des précurseurs du Web avait été annoncée en avril 2008 et la fin des activités en Europe avait été confirmée en novembre 2008. « Comme nous vous en avons déjà informé au cours des dernières semaines par la presse et nos sites Internet, nous avons arrêté une grande partie de l'activité de notre portail le 15 février 2009 », a indiqué Lycos sur son site à ses clients. Cette décision provient du contrôle plus serré de la stratégie du groupe depuis fin avril 2008. Cette analyse a montré qu'une poursuite de la plupart des services de l'activité de portail n'ouvraient pas de perspectives suffisantes. A l'exception de Lycos IQ qui perdurera jusqu'au 25 février et du service de Webhosting jusqu'au 28 février 2009, tous les autres services ont été arrêtés. Le 'chat' Lycos continuera avec un autre fournisseur de même que la messagerie Caramail qui migrera vers le site GMX.fr, propriété du groupe United-Internet. Seul, le service de recherche sur Lycos restera disponible sans aucune restriction. (...)

(16/02/2009 18:02:28)

Techdays'09 : Le développement logiciel peut lui aussi être vert

Oui, il est possible de réduire la consommation électrique en étant plus attentif lors de l'écriture des applications. C'est ainsi qu'Eric Mittelette, responsable du groupe développeurs de la division plateforme d'entreprise chez Microsoft France, a entamé sa session « développement d'applications vertes » aux Techdays'09 de Microsoft qui se sont tenus la semaine dernière à Paris. Tenant davantage du credo que de la méthode, sa déclaration était néanmoins inspirée par plusieurs expériences de développement réalisées wattmètre en main. Plus que de grandes leçons d'algorithmique et de programmation, il a fourni des pistes pour une programmation plus raisonnable. Ainsi le responsable Microsoft donne un premier conseil aux futurs développeurs verts : se munir d'un wattmètre pour mesurer la consommation des différentes versions de logiciel qu'ils écriront. « Sans mesure on ne peut rien faire », assène-t-il. Il suffit de brancher son PC sur l'appareil de mesure et de jauger la consommation des différentes versions de programmes en exécution. Equipé de la sorte, le développeur dispose aussi de plusieurs outils fournis par l'éditeur pour étudier la consommation des logiciels. Ainsi, dans Seven, l'utilitaire Xperf lance, en ligne de commande, un diagnostic de la consommation du système. Une fois arrêté, il génère un fichier d'informations concernant directement le noyau. Il indique par exemple les points chauds au niveau du processeur ou de l'activité du disque, etc. Powercfg, lui, crée un rapport appelé energy-report qui liste tous les problèmes de consommation identifiés au niveau de la machine et de son système. « On voit que le périphérique USB n'est pas entré en veille quand on l'a demandé, par exemple, indique Eric Vernié, chargé de la relation technique avec les développeurs. Ce document peut aussi signaler que la batterie est en mauvais état. » La parallèlisation n'est pas toujours une solution Wattmètre branché sur un portable, les deux responsables Microsoft ont procédé à plusieurs démonstrations de l'impact de certains changements au sein du code sur la consommation énergétique. Ainsi, Vista seul consomme 40 watts. Mais l'affichage d'une fractale de Mandelbrot, image issue d'un algorithme mathématique, fait monter le compteur jusqu'à 51 watts. En parallèlisant le programme pour un fonctionnement sur deux coeurs, la consommation descend à 43 watts en moyenne mais avec un pic à 56. Sur 6 coeurs, le même type de phénomène se produit. Conclusion : il est essentiel d'arbitrer entre exécution rapide et consommation. Moins compliquées, certaines astuces limiteront la gourmandise des programmes. L'utilisation de la fonction P-invoke dans .Net permet, par exemple, lorsqu'on débranche un portable du secteur et qu'il ne fonctionne plus que sur sa batterie, d'arrêter d'éventuelles animations en cours pour économiser l'énergie. On doit aussi préférer un accès direct à la mémoire plutôt qu'une copie d'objets. Enfin, pourquoi faire appel à une fonction mathématique telle que la racine carrée dans une bibliothèque idoine, alors qu'on peut l'écrire simplement en ligne ? Là-encore, la preuve fut faite par le tout puissant wattmètre. Pour économiser, le code doit aussi savoir gérer les diverses fonctions de mise en veille et de reprise ainsi que les transitions entre les deux états. Il doit résister aux défaillances logicielles, pour éviter la surconsommation d'un redémarrage entre autres. Eric Mittelette évoque par exemple la redondance de services ou de modules comme on la voit apparaître dans Live Mesh. Si un élément crashe, l'ensemble du logiciel retrouve néanmoins 'son chemin' au travers des services restants. Une question d'équilibre [[page]] Pour Eric Mittelette, il faut un état d'esprit particulier pour développer plus vert. Dès le départ, on doit comprendre l'impact du logiciel sur la consommation énergétique et limiter l'utilisation des ressources en conséquence. Il faut écrire un code souple, adaptable, pensé, capable de monter en puissance, avec des couches d'abstraction au-dessus des données, etc. Quoique... Encore une fois, pour être manipulées, toutes ces clés requièrent un grand sens de l'équilibre. Ainsi, trop de couches d'abstraction des données vont utiliser un grand nombre de ressources et, au final, nuire à l'efficacité énergétique. La parallélisation du code a, elle aussi, ses limites. La surcharge entraînée par la gestion d'un code réparti sur plusieurs processeurs ou coeurs consomme de la ressource et va finalement nuire aux économies faites en exploitant au mieux la plateforme processeur comme l'expliquait le Gartner dans une de ses études récentes. Enfin, on a souvent le choix entre consommer un peu plus mais moins longtemps ou consommer moins sur une durée plus longue. Un peu de bon sens ? Eric Mittelette énonce quelques vérités qu'il fallait sans doute rappeler. Il faut ainsi utiliser les ressources adaptées à ce que l'on développe et ne pas écrire une calculette sur 24 coeurs... Il faut parfois prendre le relais du système d'exploitation sur la consommation énergétique. Le responsable Microsoft évoque l'exemple des applications kiosques. Installées dans les magasins, elles restent parfois ouvertes sur des images plein écran toute la journée. Dans ce cas, l'OS les alimente en permanence pour ce type de besoin. Il est intéressant d'imaginer un écran d'accueil allégé en cas de non utilisation prolongée. Parmi les conseils plus pointus, Microsoft rappelle que le timer de l'OS, qui lui permet de garder le contrôle, se déclenche entre 15 et 18 ns. Si une application déclenche un timer en dessous de ce délai, l'OS s'adapte et pour ce faire, il utilise les ressources processeurs à plein. Toujours au niveau du système, plutôt que de laisser tourner le « file system watcher » qui observe en permanence ce qui se passe au niveau du gestionnaire de fichier uniquement pour guetter un type d'événement, mieux vaut s'abonner à cet événement. Il s'agit à la fois de limiter les cycles CPU et de maîtriser les entrées/sorties (en jouant avec les caches par exemple). Un appel à la bonne volonté de tous les développeurs, sous Windows ou non Eric Mittelette rappelle qu'avec un portable, 8% de la consommation électrique provient du disque dur. Quant aux disques SSD, réputés moins gourmands puisqu'ils ne 'tournent' pas, Microsoft rappelle néanmoins qu'ils ne s'arrêtent jamais. Limiter les animations, faire attention aux couleurs. Sur les écrans classiques et avec les écrans à Led rétroéclairées, le blanc est plus consommateur que le noir (pour lequel on n'allume pas les pixels). Pour conclure, Eric Mittelette en appelle à la bonne volonté des développeurs qu'il invite à se doter du fameux wattmètre et à se mettre au travail. « Nous allons créer un forum, un blog, un site pour partager les bonnes pratiques du développement vert. Et que vous travailliez sur Windows, sur Linux, ou un autre OS, cela nous est égal. C'est dans l'intérêt global. » (...)

(16/02/2009 17:32:03)

L'université de Berkeley donne sa vision du cloud

Onze chercheurs, membres de l'université de Berkeley (Californie), ont publié un article de fond sur le cloud computing. Membres du RAD Lab (Reliable Adaptive Distributed Systems Laboratory, subventionné par des sociétés comme Google, Microsoft et Sun), ce sont de fervents adeptes de cette évolution inexorable de la structure informatique de notre société de l'information. Ils ont établi une liste de onze obstacles à surmonter pour parvenir à une mutation sans encombre. Ils conseillent aux utilisateurs de ne pas avoir un, mais plusieurs fournisseurs. Ils enjoignent d'ailleurs ces derniers à s'accorder sur des API communes. Ils insistent aussi sur l'impérieuse nécessité de crypter les données. Leurs conseils abondent dans le sens de l'OCC (Open Cloud Consortium), une association née elle aussi dans le monde universitaire américain qui prône l'ouverture des approches en cloud. (...)

(16/02/2009 17:28:07)

IBM et Amazon unis dans le cloud

IBM rallie l'EC2 (Elastic Could Computing) d'Amazon. D'ici quelques mois, bases de données et middlewares de Big Blue seront proposés sur la plateforme la plus sophistiquée d'AWS (Amazon Web Services), acronyme sous lequel sont regroupées les offres d'infrastructures en ligne du libraire numérique. DB2, Informix Dynamic Server, le portail et sMash de WebSphere ainsi que Lotus Web Content Management, viennent rejoindre des logiciels d'Oracle (11g et Fusion), de Sun (OpenSolaris et MySQL), de Red Hat (JBoss), de Microsoft (Windows Server et SQL Server) ainsi que les logiciels en ligne de SalesForce. IBM indique toutefois qu'il compte utiliser son mode de facturation fondé sur des PVU (Process Value Unit). Comme le montre ce schéma sommaire, l'échelle commencera à 50 PVU (l'équivalent d'un serveur X64) pour atteindre 400 PVU. Les clients d'IBM doivent savoir que les licences logicielles dont ils disposent seront valables sur EC2. L'annonce de ce partenariat avec IBM finit de crédibiliser Amazon dans le monde du Cloud. Son offre, une des plus élaborées et des plus abouties, comprend aussi des prestations de stockage (S3 pour Simple Storage Service) et de livraison de contenus (CDS pour Content Delivery Service). Pour IBM, cet accord vient compléter Blue Cloud, sa propre approche d'hébergement d'informatique en cloud qu'il a lancée officiellement la semaine dernière. (...)

(16/02/2009 16:17:22)

Un centre de formation par l'apprentissage pour les métiers de l'informatique

L'école d'ingénieurs Esiea(*) et Euridis, établissement formant aux métiers de la vente dans les hautes technologies, annoncent la création d'un centre de formation par l'apprentissage (CFA) spécialisé dans les métiers de l'informatique. Articulé autour de deux pôles de formations complémentaires (à l'Esiea Paris et chez Euridis), le CFA ITE (Informatique, systèmes d'information, télécommunications, électronique et automatique) sera opérationnel à compter de la rentrée 2009. Cette formule permettra aux apprentis de la région Ile-de-France d'accéder au cursus d'ingénieur délivré par l'Esiea Paris sur trois ans. Les étudiants pourront également être titulaires d'un diplôme de chargé d'affaires en suivant un cycle commercial sur deux ans assuré par Euridis. Le CFA ITE ambitionne d'accueillir plus de 500 nouveaux apprentis par an d'ici à 2012, en proposant des cursus assortis d'un recrutement avant même l'obtention du diplôme. Par leur contribution aux coûts pédagogiques (au travers du versement d'une partie de la taxe d'apprentissage), les entreprises sont désormais en mesure d'ouvrir des cursus de formation à un plus grand nombre d'étudiants. Syntec Informatique a récemment fait un point sur le versement en forte évolution de la taxe d'apprentissage dans le secteur informatique : en 2008, 4 566 dossiers ont ainsi pu être traités, contre 2 923 en 2007 et 548 en 2004. Le montant de la collecte aurait même dépassé les 54 M€ en 2008, contre 45 M€ il y a un an, selon la fédération. (*) Esiea, Ecole supérieure d'informatique électronique automatique. (...)

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