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(11/02/2009 18:11:14)

Annuels Dassault Systèmes : La prudence est au rendez-vous pour les objectifs 2009

A l'approche de la fin de l'année 2008, Dassault Systèmes a vu plusieurs de ses clients repousser la signature de leurs commandes à 2009. En conséquence, l'éditeur de PLM (Product lifecycle management) et numéro un du logiciel français s'est vu contraint de publier mi-janvier des résultats provisoires décevants. Du fait de ces reports de contrats, le quatrième trimestre de l'éditeur s'est en effet révélé nettement inférieur à ses objectifs avec un CA de seulement 384,4 M€ non Gaap (+3% par rapport à la même période en 2007 à taux de change constant). A l'annonce officielle des résultats le 11 février, Dassault Systèmes a confirmé ce montant ainsi qu'un chiffre d'affaires 2008 annuel (non Gaap) de 1,338 Md€ en croissance de 8% à taux de change constant. Le bénéfice de 198,0 M€ augmente de près de 11% par rapport à 2007 malgré une chute de 6,5% au dernier trimestre. La marge opérationnelle 2008, elle, représente encore 25,6% malgré une chute de 0,6 point. Bernard Charlès, PDG de l'entreprise, admet : « Nous avons surtout été surpris que cette baisse des ventes se produise en fin de quatrième trimestre. Nous sommes au final un peu au-dessous de la fourchette des objectifs que nous nous étions fixés pour 2008. Ce qui s'est passé, c'est que des clients pour qui la décision de signer ne s'imposait pas ont repoussé au delà du 31 décembre. Heureusement, certains d'entre eux ont finalement signé leur commande en début d'année. » Les ventes de nouvelles licences de CAO Catia, par exemple, après avoir fortement augmenté jusqu'au troisième trimestre ont brutalement ralenti en fin d'année, atteignant finalement une croissance de 10%. Et globalement, les ventes de nouvelles licences ont chuté de 22%. Enfin, si l'action a perdu 10% sur l'année, Bernard Charlès rappelle pour se rassurer que c'est deux fois moins que le Nasdaq ou le CAC40. Le patron de Dassault Systèmes estime néanmoins que son offre peut aider ses clients à faire face à la crise et compte sur ce constat pour remonter la pente. « 2009 s'annonce sous des auspices très difficiles, prévient le PDG. L'industrie est en souffrance dans beaucoup de domaines. Nous pensons pouvoir accompagner les entreprises avec des outils appropriés dans les inévitables changements de portefeuilles produits qu'ils vont devoir mener à bien. Nos produits leur donneront aussi la flexibilité pour restructurer leurs réseaux de fournisseurs dans des conditions acceptables. » 15% du CA dans de nouveaux secteurs industriels Pour se développer, l'éditeur veut aussi s'appuyer sur d'autres cibles que ses clientèles traditionnelles de l'automobile et de l'aéronautique. Il estime déjà à 15% de son CA la part prise par des secteurs qu'il ne ciblait que peu précédemment comme l'énergie, les biens de consommations, le high tech, le textile, les sciences de la vie. Autant d'industries qui sont à même, selon l'éditeur, d'utiliser aussi bien sa simulation, sa gestion de données que sa gestion de portefeuille produits. « Il devrait même être possible d'utiliser notre PLM collaboratif Enovia dans le monde de l'assurance. Nous allons beaucoup nous appuyer sur ces secteurs pour compenser l'absence de croissance de nouvelles licences dans nos secteurs traditionnels. » Pour traverser la crise, Dassault Systèmes compte aussi se développer dans les pays émergents (Amérique du Sud, Russie, Inde, Chine). Par ailleurs, les deux tiers du CA 2008 non Gaap de l'éditeur proviennent de l'indirect. Après sa réorganisation commerciale démarrée en 2006, il a augmenté de 10% les capacités de chacun de ses canaux de ventes (vente directe et par le biais d'IBM, vente indirecte spécialisée PLM, vente indirecte ex-Solidworks), autre levier pour endiguer le ralentissement de la croissance. L'éditeur annonce d'ailleurs avoir gagné 15 000 nouveaux clients en 2008. Enfin, Dassault Systèmes n'échappera pas à certaines mesures d'économie telles que la négociation plus serrée avec ses fournisseurs et ses sous-traitants ou la réduction des déplacements. Pour réduire ses dépenses immobilières, l'éditeur avait déjà regroupé, en 2008, certains de ses laboratoires de R&D redondants. (...)

(11/02/2009 17:31:05)

TechDays'09 : Microsoft insiste sur les notions de choix et d'ouverture

« C'est une grande première », a souligné Marc Jalabert, en désignant l'un des transparents de sa présentation : une diapositive n'affichant que des noms de partenaires, qui plus est éditeurs Open Source ou actifs dans le Libre, tels que Novell/Suse, Xandros, Sun, OpenOffice.org... Récemment nommé directeur du marketing et des opérations de Microsoft France, Marc Jalabert entretient depuis longtemps de bons rapports avec les communautés techniques, et a contribué - avant que Sam Ramji n'entre en scène - à une normalisation des rapports entre Microsoft et le monde de l'Open Source. En ouvrant la deuxième journée des Techdays, conférence parisienne accessible gratuitement aux utilisateurs des technologies Microsoft, Marc Jalabert n'a donc pas manqué de rappeler les efforts de Microsoft en faveur de l'interopérabilité et de l'ouverture, et nombre de démonstrations qui ont émaillé le discours d'ouverture - consacré aujourd'hui aux outils systèmes et progiciels - se sont efforcées de l'illustrer. L'édition R2 d'Office Communications Server, par exemple, peut être utilisée pour monter une conférence téléphonique directement depuis Outlook. Mais Microsoft a montré qu'il était possible pour un participant distant de s'y inscrire, pour se faire rappeler, en utilisant Firefox sur un système Suse Linux. Toujours côté Linux, Microsoft a montré comment un serveur Suse peut être administré depuis la console Systems Operations Center. Azure s'ouvrira aux langages dynamiques Plus tard dans la journée, lors d'une session consacrée à Azure, « un système d'exploitation dans le nuage », pour reprendre l'expression de Stève Sfartz, architecte chez Microsoft France, Microsoft a expliqué que la plateforme s'ouvrirait à des langages tiers, PHP, Python, Ruby, Java, tandis que le protocole OpenID permettra d'échanger des informations d'accréditation sur un mode standard. D'ores et déjà, les applications déployées sur Azure peuvent faire appel à des services écrits dans tout langage. Et toujours dans le domaine de l'interopérabilité et de l'ouverture, une session était consacrée aujourd'hui à « l'Agility Center », qui, comme son nom ne l'indique pas, est le fruit d'une initiative conjointe entre les filiales françaises d'IBM et de Microsoft. Ce serveur associe trois lames biprocesseurs dans un châssis BladeCenter S avec la solution de virtualisation de Microsoft, ainsi que les outils d'administration adéquats, pour 55 000 euros environ. L'idée, explique Marc Jalabert, est d'accélérer l'adoption de la virtualisation dans les PME, « sous-informatisées en France ». (...)

(11/02/2009 14:44:35)

Les premiers Core i7 d'Intel pour serveur arriveront en mars

Intel prévoit de livrer d'ici la fin mars le Nehalem EP, son premier processeur Core i7 pour serveur biprocesseur, et d'ici la fin de l'année, le Nehalem XP pour serveur quadriprocesseur. Le quadricoeur Nehalem EP (pour Efficient Platform) sera commercialisé dans la ligne Xeon 5000 pour des machines biprocesseurs dotées du chipset Tylersburg. Ce nouveau jeu de composants, requis par des processeurs à l'architecture entièrement revue, a été intégré par les constructeurs depuis plusieurs mois. Mais seront-ils enclins à consentir un investissement technique et marketing d'envergure dans le contexte de crise actuelle ? Baptisée XP, la deuxième génération de processeurs Nehalem s'adresse à des serveurs quadriprocesseurs. Riches de 2,3 milliards de transistors gravés en 45 nm, ces Nehalem XP renfermeront huit coeurs capables de traiter chacun deux threads. Ainsi, un serveur quadriprocesseur acceuillera un total de 32 coeurs exécutant jusqu'à 64 threads, servis par une mémoire cache de partagée de niveau 3 de 24 Mo. Intel prévoit de livrer les premiers XP vers la fin de l'année. La puissance des systèmes équipés de quatre Nehalem XP devrait permettre au fondeur de rogner sur l'entrée de gamme des serveurs Unix à base de processeurs Power, Sparc et ... Itanium. (...)

(11/02/2009 12:23:20)

La saisine électronique du Conseil d'Etat désormais possible, mais uniquement sur logiciels propriétaires

Le Conseil d'Etat vient d'être autorisé par le ministère de la Justice à être saisi de manière dématérialisée dans certains litiges relatifs aux militaires. Le domaine de cette extension de la e-administration est certes restreint mais marque le progrès des procédures dématérialisées en matière judiciaire. Cependant, deux articles de cet arrêté provoqueront indubitablement l'ire de ceux qui tiennent au respect des standards ouverts pour garantir l'indépendance de l'administration vis-à-vis des fournisseurs, ainsi que des juristes pointilleux. L'article 6 dispose ainsi que l'utilisateur du service doit disposer « d'un navigateur Internet Explorer, version 5.5 ou supérieure, ou bien Netscape, version 7 ou supérieure, ainsi que du logiciel Adobe Reader, version 6 ou ultérieure ». En principe, il est donc interdit d'utiliser Mozilla Firefox, Opera ou un lecteur de fichiers PDF non réalisé par Adobe, alors même que le format PDF est aujourd'hui une norme internationale reconnue par l'ISO. Le plus extraordinaire reste l'article suivant. L'usage du fichier PDF est globalement imposé, ce qui est conforme au principe de respect des standards ouverts non liés à un fournisseur donné. Mais les fichiers produits par Microsoft Word « .doc » sont également, sous réserve de ne pas comporter de macros, acceptés... et transformés en PDF par les services du Conseil d'Etat. Autrement dit : d'un côté les formats OpenXML et OpenDocument des suites bureautiques récentes ne sont pas acceptés, de l'autre le Conseil d'Etat modifie les pièces qui lui sont remises et c'est cette version modifiée qui fera foi. Le moindre bogue dans le processus de conversion risque d'entrainer quelques litiges. Ce genre d'errements techniques aurait été évité par le respect des règles prévues dans le projet de Référentiel Général d'Interopérabilité (RGI), mis au réfrigérateur depuis deux ans. (...)

(11/02/2009 12:17:14)

Les ventes de processeurs vont reculer en 2009

Après un quatrième trimestre 2008 dans le rouge, les ventes mondiales de microprocesseurs pour PC devraient continuer à décroître en 2009. C'est la conclusion d'une étude conduite par le cabinet IDC, selon lequel les livraisons de puces ont reculé de 11,4% sur un an au cours des trois derniers mois de 2008. Une baisse qui devrait atteindre 15% pour l'ensemble de 2009. Sur l'ensemble de l'année 2008, le total des ventes enregistre malgré tout une progression de 10% en volume, mais de seulement 0,9% en valeur. Ces résultats positifs n'éclipsent cependant pas le catastrophique quatrième trimestre, au cours duquel IDC a observé « le pire déclin » depuis la mise en place de son observatoire des processeurs, en 1996. Sans surprise, la crise planétaire est à l'origine de ces contre-performances. La demande de PC s'est en effet tarie, une tendance observée par IDC au quatrième trimestre 2008, où les ventes mondiales d'ordinateurs ont reculé de 0,4% sur un an. « Après des signes d'affaiblissement en septembre, le marché s'est effondré en octobre et novembre », note le cabinet d'études. Le succès des netbooks - 10 millions d'unités écoulées l'année dernière - n'aura pas été suffisant pour contrebalancer le déclin observé sur les segments des laptops et desktops traditionnels. On mesure l'importance des netbooks à la lumière d'un indice communiqué par IDC : sans ces mini-PC, les ventes de processeurs auraient reculé de 21,7% en volume au cours du dernier trimestre 2008. Au palmarès des constructeurs, Intel reste loin devant ses concurrents et voit même sa part de marché augmenter en 2008. Le fondeur a vendu 80,3% des processeurs écoulés l'an passé (+2,9%), contre 19,2% pour AMD (-3,1%) et 0,4% pour VIA. (...)

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