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(04/02/2009 16:56:44)
IBM baisse les revenus fixes de ses commerciaux en France
Les équipes commerciales d'IBM auront beau travailler plus, elles gagneront... moins. Fin décembre, la direction de Big Blue a pris la décision de réduire la part des revenus fixes de ses commerciaux et de relever leur salaire variable. « Jusqu'à l'an dernier, les rapports de rémunération fixe/variable se montaient à 60/40 pour les commerciaux et les technico-commerciaux d'IBM, or, ils sont passés à 55/45, s'indigne Gérard Chameau, délégué CFDT et élu du comité d'entreprise. En clair, la partie fixe du salaire pourra baisser de 6% à 15% (si l'on se réfère au salaire maximum théorique de référence, NDLR), alors que la part variable liée à la réalisation des objectifs augmente, ce qui n'est pas idéal en temps de crise. » Cette mesure concerne l'ensemble des filiales du fournisseur, y compris la division française qui emploie environ 2 000 commerciaux et technico-commerciaux (sur un effectif mondial de 10 000 forces de vente). Elle a été annoncée lors d'un CCE (Comité central d'établissement) le 10 décembre, et une nouvelle grille des salaires est donc entrée en vigueur au 1er janvier. Objectifs revus tous les six mois IBM a également décidé de revoir la fréquence de ses « quotta letters » - les contrats fixant les objectifs de ses commerciaux - à six mois, contre un an auparavant, ce qui pourrait entraîner des diminutions sur la part variable : « Si les objectifs des commerciaux sont relevés tous les semestres, leur réalisation sera de plus en plus difficile, voire impossible à atteindre ! », s'insurge le syndicalise. Même si la direction se dit flexible sur les modalités de cet aménagement, on ne voit pas comment les commerciaux pourront y échapper. C'est pourquoi, suite à cette mesure, une pétition intersyndicale (récoltant plus de 500 signatures à ce jour) a été adressée à la direction d'IBM France. Rappelons que mai et juin 2008 avaient été marqués par la mobilisation résolue de nombre de salariés IBM sur la question des salaires. Au début de l'année 2008, le fournisseur indiquait avoir réduit de 15% la rémunération de 7 600 techniciens de support aux Etats-Unis, soit 6% de ses effectifs Outre-Atlantique Reste que tous les salariés d'IBM, dans le monde comme en France, sont toujours dans l'attente d'une annonce de la direction sur d'éventuelles suppressions de postes : « Aucune déclaration officielle n'a été effectuée à ce jour sur des réductions d'effectifs dans notre zone géographique », assure le représentant syndical Gérard Chameau. (...)
(04/02/2009 16:50:08)XenDesktop 3 de Citrix devrait gérer deux fois plus de clients
Citrix va livrer ce mois-ci la version 3 de XenDesktop, sa solution de virtualisation pour les postes clients. Par rapport à la précédente mouture, elle devrait gérer deux fois plus de clients, dans un environnement comparable. Ce progrès s'explique, selon l'éditeur, par l'exploitation des images systèmes centralisées et dédupliquées qui sont, soit activées sur le serveur, soit envoyées en streaming vers les clients capables de faire tourner en local l'OS et les applications. A cela s'ajoute HDX MediaStream pour l'optimisation de la gestion des fichiers multimédia. D'une part, cette technologie optimise la bande passante réseau pour les fichiers multimédias (HDX Broadcast) et, d'autre part, elle exploite les composants multimédias en local tels que les lecteurs MP3, les appareils photo numériques, les smartphones, les scanners etc. (HDX Plug-and-Play). HDX rappelle les protocoles RDP enhancements et RGS (Remote Graphic Software) que HP a annoncé mi-décembre dans le même but. L'hyperviseur est livré dans l'offre Delivery Center XenDesktop 3 est aussi annoncé avec des outils d'administration du profil des utilisateurs et le support de cartes à puce pour la sécurisation. Il s'intègre dans l'offre globale Delivery Center qui regroupe l'ensemble des briques de l'éditeur pour la virtualisation. Outre Xendesktop, on y trouve XenServer et App Receiver. Citrix fait monter Microsoft au front pour soutenir XenDesktop 3. Confronté à la montée en puissance de la virtualisation des postes clients, l'éditeur de Windows ne peut pas ouvertement prôner des technologies qui le menacent directement. Citrix lui permet d'être présent sur le créneau sans cannibaliser son offre. XenDesktop 3 est annoncé à un prix de départ de 75$ par poste client virtualisé. (...)
(04/02/2009 16:30:42)Stanford franchit la limite de l'atome et stocke 35 bits sur un électron
Des chercheurs de l'Université américaine de Stanford sont parvenus à stocker 35 bits, en trois dimensions et de façon permanente, dans l'espace quantique d'un unique électron (soit 20 bits par nm2). Et ils ont réussi à écrire les deux lettres S et U (Stanford University) en manipulant les électrons à proximité d'un cristal de cuivre et en les positionnant comme ils le souhaitaient. Pas de faux espoirs, cependant. Cette expérience ne promet nullement une technologie miracle pour des périphériques de stockage qui seraient commercialisées dans les années, voire les décennies, à venir. En revanche, la manipulation repousse de façon importante les limites connues de la matière pour le stockage de l'information. Elle était d'un bit pour un atome. (...)
(04/02/2009 16:22:42)Facebook fête son cinquième anniversaire
Rarement, en une demi-décennie, une entreprise sera parvenue à connaître un tel succès, réunissant des dizaines de millions d'utilisateurs dans une grande partie des pays du monde. En fêtant, ce 4 février, son cinquième anniversaire, Facebook rappelle à quel point son ascension s'est révélée fulgurante. Fondé en février 2004 par Mark Zuckerberg, alors étudiant à Harvard, le réseau social ne nourrit alors guère d'autre prétention que celle de relier les élèves du campus. Très rapidement pourtant, d'autres universités se saisissent de l'outil, puis celui-ci cesse de ne se voir que comme un trombinoscope estudiantin. Brusquement convaincus par la bonne idée de Mark Zuckerberg, plusieurs investisseurs abreuvent la jeune société de fonds lui permettant de se développer. Elle compte aujourd'hui plus de 150 millions de membres et 35 versions linguistiques. Le succès fulgurant de l'entreprise attise évidemment les appétits, dont ceux des acteurs incontournables de l'IT. En septembre 2006, Yahoo aurait ainsi proposé de racheter Facebook pour 1 Md$, une somme qu'aurait refusée Mark Zuckerberg. L'année suivante, Microsoft prend une participation dans le réseau social, en investissant 240 M$, soit 1,6% du capital. Le calcul est rapide : Facebook serait valorisé à 15 Md$ ! Tout n'est cependant pas rose dans l'univers Facebook, dont le modèle économique n'a pas tardé à être pointé du doigt par les défenseurs des libertés individuelles. Les détracteurs du réseau social ont notamment vilipendé l'exploitation des données personnelles des utilisateurs à des fins commerciales. On se souvient ainsi de la polémique qui avait entouré Beacon, le système de publicités ciblées pour lequel Facebook avait fini, sous la pression, par instaurer un principe d'opt-in. Ces polémiques n'existeraient évidemment pas sans une certaine naïveté de la part des utilisateurs, qui ne rechignent pas à faire apparaître nombre d'informations personnelles, voire intimes, sur leur profil. C'est ce qu'indique Mark Zuckerberg sur le billet de blog qu'il a rédigé à l'occasion du cinquième anniversaire de sa création : « La culture Internet a considérablement changé au cours des cinq dernières années. Avant, la plupart des gens n'auraient pas envisagé de dévoiler leur identité en ligne. Mais Facebook leur a offert un environnement sûr pour interagir. » (...)
(04/02/2009 14:29:59)Les services informatiques ne sont pas incompatibles avec le développement durable (interview D2-SI)
Quand Laurent Hinault a créé sa société de services en informatique D2-SI en 2006, il a souhaité le faire dans l'esprit du développement durable. Une alliance étonnante pour un milieu, les services informatiques, peu réputé pour son intérêt pour ce type démarche. Encore plus étonnant, la SSII décline le développement durable sous tous ses aspects : environnemental, social, économique et même sociétal. Dans un entretien qu'il a accordé au MondeInformatique.fr, Laurent Hinault raconte sa société d'un nouveau genre. Pour commencer, le jeune dirigeant rappelle que le métier de D2-SI est bel et bien le service informatique. Mais simplement, avec Marc Roudier, co-fondateur, ils ont souhaité lui donner du sens. D'abord en accompagnant les ingénieurs recrutés dans leurs projets professionnels. Comme les deux fondateurs, les employés de la SSII cherchent à la fois à exercer leur métier dans les meilleures conditions et à lui trouver un sens au-delà de la seule compétence technologique ou commerciale. Mais D2-SI réserve aussi une partie de ses revenus et du temps de ses employés pour des projets à vocation sociétale comme l'accompagnement des enfants malades, par exemple. Pour ce qui est de l'environnement, outre que D2-SI le respecte au quotidien, la SSII aide aussi ses employés à le préserver durant leur temps libre. (...)
(04/02/2009 12:56:15)Le plan de relance du gouvernement inclut les grands centres de calcul
Le premier ministre François Fillon a présenté le 2 février à Lyon les 1 000 projets qui bénéficieront du plan de relance de l'économie annoncé en décembre dernier par Nicolas Sarkozy, président de la République Française. Les TIC ne sont pas directement impliquées, en dehors du financement de très grandes infrastructures de recherche (TGIR) et du soutien aux PME innovantes. Sur les 26 Md€ de crédits prévus, 4 Md€ sont destinés à un programme exceptionnel d'investissement public. 1,1% de cette enveloppe, soit 46 M€, sera consacré au financement de très grandes infrastructures de recherche. 1,75% (70 M€) viendra par ailleurs soutenir l'investissement dans les nanotechnologies. Ces financements représentent tout juste 0,18% et 0,27% du total de 26 Md€ de crédits prévus. Des crédits pour le Ganil et le Genci Ainsi, en Basse-Normandie, le Ganil (Grand accélérateur national d'ions lourds) bénéficiera d'un crédit de 4 M€. En Ile-de-France, le financement de TGIR totalise 27,3 M€. Parmi les opérations retenues figurent le Genci -grand équipement national de calcul intensif (2,6 M€), LLB-Orphee -spectromètre à neutrons (1,8 M€), Soleil -rayonnement synchrotron (6 M€), Renater -réseau national de télécommunication scientifique (1 M€), le CCRT et IDRIS -centres de calcul intensif (2 M€ et 1 M€), ou encore Neurospin -neuro-imagerie cérébrale (2 M€). Dans la région PACA (Provence-Alpes-Côtes d'Azur), le plan de relance a retenu l'ITER -installation expérimentale de fusion. Le crédit accordé s'élève à 5 M€. Et en Rhône-Alpes, 4 M€ sont répartis entre l'ESRF -rayonnement synchrotron (1,8 M€) et le centre de calcul intensif IN2P3 (2,2 M€). Dans la liste des opérations retenues figurent aussi Adonis -réseau numérisé de données SHS (1 M€). La capacité d'intervention d'Oseo Garantie étendue à 4 Md€ de plus [[page]] Le plan de relance prévoit aussi un soutien exceptionnel à l'activité économique et à l'emploi qui inclut des actions pour aider les PME et TPE. Ces mesures, qui ont été en partie détaillées le 4 décembre dernier prévoient 700 M€ d'aide à l'embauche dans les très petites entreprises. Parmi les autres apports du plan en faveur des PME innovantes, l'établissement public Oseo voit sa capacité d'intervention augmentée. Il peut garantir 4 Md€ de prêts supplémentaires, en plus des 5 Md€ qu'il pouvait déjà garantir ou réaliser depuis l'annonce, début octobre, du déblocage de 22 Md€ en faveur du financement des PME. Rappelons que les 17 Md€ restant proviennent des livrets de développement durable et d'épargne populaire et qu'un médiateur, René Ricol, a été nommé afin de s'assurer que ces crédits iraient effectivement aux PME et TPE. C'est vers lui que peut se tourner tout chef d'entreprise ou entrepreneur individuel qui rencontrerait des difficultés de financement auprès de sa banque. Un site Web propose des dossiers types pour faciliter les demandes de médiation : www.mediateurducredit.fr Paiement à 60 jours fin de mois depuis le 1er janvier 11,4 Md€ seront remboursés aux entreprises, pour « desserrer les contraintes pesant sur leur trésorerie, dans le cadre des dispositions prises par la loi de finances rectificative pour 2008 » et 11,1 Md€ passeront par des interventions directes de l'Etat comme le remboursement des créances au titre du crédit d'impôt recherche ou encore la mensualisation du remboursement des crédits de TVA. Rappelons par ailleurs que, depuis le 1er janvier, la loi prévoit que toute facture émise en France soit réglée sous 60 jours, et non plus 60 jours « fin de mois ». (...)
(04/02/2009 12:52:51)La Cour d'appel de Paris confirme la fin de l'exclusivité d'Orange sur l'iPhone
Les arguments d'Orange et d'Apple n'auront pas suffi. La Cour d'appel de Paris a confirmé, ce 4 février, le jugement du Conseil de la concurrence : l'accord d'exclusivité passé entre l'opérateur historique et Apple sur la distribution de l'iPhone doit cesser. Les juges ont fondé leur décision sur les dangers que cet accord fait planer sur la concurrence dans le marché de la téléphonie. Ainsi, la moitié des 450 000 acquéreurs d'iPhone auprès d'Orange sont de nouveaux clients de l'opérateur. Un phénomène qui constitue, estime la Cour d'appel, « une captation d'abonnés (...) quasiment irréversible » se faisant « au détriment des autres opérateurs ». Le Conseil de la concurrence avait avancé des arguments similaires, en indiquant que le contrat Orange/Apple était « de nature à introduire un nouveau facteur de rigidité dans un secteur qui souffre déjà d'un déficit de concurrence ». SFR et Bouygues prêts à adopter l'iPhone Cette confirmation de la décision du Conseil de la concurrence ravira évidemment Bouygues Télécom (qui avait initié l'affaire devant les tribunaux) et SFR (qui avait rejoint le banc des plaignants). Les deux opérateurs ont désormais toute latitude pour négocier directement un partenariat avec Apple afin de distribuer, à leur tour, l'iPhone. Les deux concurrents d'Orange n'ont d'ailleurs pas attendu le jugement de la Cour d'appel pour tenter d'attirer les consommateurs avec le smartphone à la pomme. Chez SFR comme chez Bouygues, il était ainsi possible depuis quelques mois de se voir rembourser une partie du prix du téléphone acheté nu (sans abonnement) auprès d'Orange. Et aujourd'hui, les rivaux de l'opérateur historique mettent les bouchées doubles : la page d'accueil du site Web de SFR rappelle que « la Cour d'appel de Paris a confirmé la fin de l'exclusivité de distribution de l'iPhone 3G en France » et lance un « Soyez prêt » aux consommateurs, leur proposant de laisser leurs coordonnées pour être contactés dès que le téléphone sera disponible dans le catalogue SFR. Même son de cloche chez Bouygues Télécom. Là encore, la page d'accueil du site Web ne rate pas le coche : « Nous avons le plaisir de vous informer que la Cour d'appel de Paris confirme la levée des exclusivités de la commercialisation de l'iPhone 3G. Nous poursuivons donc nos négociations avec Apple afin de pouvoir bientôt vous proposer ce mobile. » Orange, de son côté, n'entend pas clore ce dossier si rapidement. L'opérateur historique a en effet indiqué qu'il se pourvoira en cassation. Une démarche non suspensive, qui n'empêchera donc pas ses concurrents de finaliser leur accord avec Apple et de faire apparaître l'iPhone dans leurs offres. (...)
(04/02/2009 11:58:43)Les deux nouvelles baies Sun ne consomment pas plus que les anciens modèles
Sun vient de lancer deux nouvelles baies de stockage de milieu de gamme, les 6580 et 6780. Elles doublent les performances en terme de capacité, de mémoire et d'accès par rapport aux anciennes baies 6540. Pour autant, leur consommation énergétique reste identique aux anciens modèles. La première intègre jusqu'à 256 disques, soit 256 To de stockage, et dispose de huit ports Fibre Channel à 4 Gbit/s, de 8 Go de mémoire cache et de 16 extensions pour mixer disques Sata et Fibre Channel. La deuxième baie, la 6780, monte jusqu'à 448 To de stockage avec 448 disques. Elle peut avoir huit ou seize ports Fibre Channel à 4 Gbit/s, 16 Go de mémoire cache et 28 extensions Sata/Fibre Channel. Les deux baies sont modulaires et peuvent s'installer en rack ou en cabinet. Elles acceptent toutes deux le RAID 6. Elles sont disponibles immédiatement à partir de 53 200 euros pour le modèle 6580 et de 110 900 euros pour le 6780. (...)
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