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(23/11/2006 17:57:25)

Aux Etats-Unis, Vista est conforme aux exigences anti-trust

Lavé de tout soupçon d'abus de position dominante, Vista, le successeur de Windows XP l'est au moins outre-Atlantique. En effet, selon un rapport déposé auprès de la cour de justice de Washington, le gouvernement américain et les états impliqués dans l'accord conclu avec Microsoft en novembre 2002, à la suite de poursuites pour abus de position dominante, ont mené des « tests complets » des différentes pré-versions de Vista et d'Internet Explorer 7 pour s'assurer de leur conformité avec les termes de l'accord. Selon le rapport, Microsoft aurait fait d'importants efforts pour rendre ses documentations techniques plus intelligibles et renforcé sa collaboration avec le comité technique de la cour de justice pour s'assurer de la capacité des éditeurs tiers à interfacer leurs produits avec les siens. Une trentaine d'éditeurs profiterait actuellement de ces efforts. En Europe, Vista est toujours sous le microscope de la Commission européenne. Inflexible, Bruxelles menace actuellement Microsoft d'une nouvelle astreinte. (...)

(23/11/2006 17:57:01)

Cray et IBM retenus par la DARPA pour bâtir les supercalculateurs du futur

IBM et Cray ont été retenus par l'agence des projets de recherches avancées de la défense américaine, la Darpa (Defense Advanced Research Projects Agency), pour élaborer la prochaine génération de supercalculateurs. L'agence a finalement décidé de ne pas retenir la proposition du troisième participant au projet, Sun Microsystems. Les deux contrats ont été conclus dans le cadre du projet HPCS (High Productivity Computing Systems) de la Darpa, un programme initié en 2002. L'objectif du projet, qui verra IBM recevoir 242 M$ de fonds et Cray 250 M$, est de concevoir, d'ici à 2010, des systèmes capables d'afficher des performances de 2 à 4 petaflops par seconde. Le système le plus performant de la planète est actuellement le cluster BlueGene dont la puissance est de 360 teraflops. Au delà de l'élaboration de leurs systèmes IBM et Cray ont aussi pour mission de développer de nouveaux outils logiciels de programmation capables de tirer partie au mieux de leurs nouvelles architectures. L'un des buts est notamment de permettre des gains de productivité d'un facteur de 10 dans le développement d'applications de calcul. Parmi les agences fédérales américaines susceptibles d'utiliser les recherches d'IBM et Cray figurent la NSA, le département de l'énergie et l'agence de sûreté nucléaire américaine. Il est à noter que Sun a indiqué qu'il entend poursuivre ses travaux de recherches qui portent notamment sur une technologie de communication de puce à puce baptisée "Proximity" et sur un langage de programmation parallèle connu sous le nom de code "Fortress" . (...)

(23/11/2006 17:57:49)

IDC confirme la montée en puissance des serveurs x86 Windows et Linux

Le dernier observatoire trimestriel du marché des serveurs d'IDC confirme la montée en puissance des serveurs x86 face aux serveurs Unix. Selon le cabinet d'études, les ventes de serveurs x86 ont progressé de 4,8 % sur un an pour atteindre 6,6 Md$ au cours du troisième trimestre 2006. Dans le même temps, les ventes de serveurs Unix reculaient de 1,7 %, à 3,9 Md$. Sans surprise, ce sont les livraisons de serveurs Linux qui ont progressé le plus vite au cours de l'année écoulée. Entre juillet et septembre, le marché Linux a atteint 1,5 Md$ soit une progression de 5,4% sur un an. Les serveurs Linux représentent désormais 11,8% du marché total des serveurs. Il est toutefois à noter que la progression de l'OS libre a sensiblement ralenti puisque la croissance des ventes avait été six fois supérieure l'an passé. Les ventes de serveurs Windows continuent elles aussi à bien se porter, puisqu'elles ont progressé de 4,6 % sur un an pour atteindre 4,8 Md$. Du côté des constructeurs, la palme de la croissance revient à Sun, dont le chiffre d'affaires serveurs x86 a bondi de 46,5% sur un an, contre 7,7% pour IBM et 6,6% pour HP. Sun, qui a essentiellement misé sur le haut de gamme du marché, confirme ainsi sa bonne santé. D'après nos estimations, ses ventes de serveurs x86 représentent désormais près de 12% de son revenu serveurs. IBM a quant à lui profité d'un pic de ses ventes de mainframes, qu'IDC attribue au lancement des z9 EC (entreprise Class). Ses revenus liés aux grands systèmes auraient ainsi bondi de 25% par rapport à l'an passé. Les serveurs lames progressent, Intel se redresse IDC note également le succès croissant des architectures de serveurs lames. Cette catégorie de serveurs pèse désormais plus de 10% des ventes de serveurs x86 en revenus (738 M$ au cours du 3e trimestre). IBM reste le champion du secteur avec 42,3% du marché devant HP avec 35%. Dell, Fujitsu-Siemens, Sun et des acteurs comme NEC se partagent les restes. Il est à noter que Sun pourrait encore accroître sa percée sur le marché x86, si ses serveurs lames connaissent le même succès que ses serveurs rack Opteron. On signalera pour terminer que le 3e trimestre a été le premier depuis 4 ans au cours duquel Intel a regagné quelques points de marché sur AMD. Certes, les ventes d'Opteron ont crû de 79,7% par rapport à l'an passé, mais cela n'a pas suffi pour contenir le succès des nouvelles puces Xeon 5100 "WoodCrest" d'Intel. Ce dernier est ainsi parvenu à augmenter ses ventes pour contrôler 80,2% du marché. Reste que le répit pourrait être de courte durée avec le lancement par IBM d'une gamme élargie de serveurs Opteron et la montée en puissance des serveurs Opteron de Dell. (...)

(23/11/2006 17:44:46)

Les PC des députés passent aux logiciels libres

Bernard Carayon doit être ravi. Le député du Tarn qui avait, dans un rapport remis au Premier ministre début octobre, préconisé l'usage des standards ouverts dans la création et les échanges de documents administratifs, aura, dès 2007, -et s'il est ré-élu-, la possibilité d'utiliser Linux et OpenOffice sur son poste de travail de l'Assemblée nationale. Le Parlement a décidé d'équiper les 1154 postes de travail Windows (les 577 députés ont le droit de posséder deux postes chacun) d'un OS Linux, du navigateur Firefox, de la suite bureautique OpenOffice et d'une solution de messagerie et d'agenda libre. "Une partie de l'infrastructure serveur composée d'Apache, Linux, Mambo et SQUID reposait déjà sur les logiciels libres, confie Olivier Connan, porte-parole de l'Assemblée. On étend l'utilisation des logiciels libres au delà des serveurs pour la pousser sur les postes de travail. Une petite révolution pour une aussi grande communauté administrative." Pour l'Assemblée, la migration d'un environnement Microsoft vers l'Open Source rime avec économie de coût. "Les solutions libres [..] permettront de réaliser de substantielles économies en dépit de certains coûts de mise en oeuvre et de formation", explique-t-elle dans un communiqué, en s'appuyant sur les résultats d'une étude menée notamment par Atos Origin et commanditée par le président de l'Assemblée et les questeurs. "La décision a également été prise sous l'impulsion de certains députés sensibilisés aux logiciels libres", ajoute Olivier Connan. Peu d'interventions externes Le chantier de migration devra être finalisé rapidement, dès la prochaine législature. "Il faut que l'ensemble soit opérationnel pour la fin juin-début juillet 2007, quelques jours après les élections qui auront lieu les 10 et 17 juin", déclare Olivier Connan. "Aucun prestataire n'a été retenu pour le moment, un appel d'offre devrait rapidement être lancé. Mais l'implantation sera faite pour l'essentiel par le service informatique de l'Assemblée." L'Association pour la promotion et la recherche en informatique libre (April) se félicite d'emblée de cette décision: "La dotation en logiciels libres des postes des députés illustre une nouvelle fois les qualités de ces logiciels, permettant à l'Assemblée nationale d'avoir une meilleure maîtrise sur ses équipements, sans dépendance vis-à-vis d'une entreprise donnée, avec une meilleure utilisation de l'argent public», a déclaré Benoît Sibaud, président de l'April, dans un communiqué. Le Libre se fraye un chemin en France Les standards ouverts ainsi que les logiciels libres ou Open Source s'installent dans l'administration française. En point d'orgue, le chantier de migration des postes de travail de la Mairie de Paris, mais également celui des ministères de l'Intérieur (qui troquent leur messagerie Exchange vers une Open Source) et de l'Equipement (le projet Equilinux qui englobe la migration des serveurs sur MandrakeLinux). Plus globalement, le gigantesque chantier Adele (Administration ELEtronique), interminable projet de refonte, doit prendre en compte les contraintes d'interopérabilité entre les divers systèmes d'informations de l'Administration. Et cela passera probablement par l'adoption du format ouvert OpenDocument, comme le préconisait le député Bernard Carayon, début octobre. (...)

(23/11/2006 16:34:55)

T-Systems anticipe ses réductions d'effectif avec 500 embauches

T-Systems, SSII filiale de Deutsche Telekom, affiche, en France, son ambition de recruter 500 ingénieurs informaticiens d'ici à l'été 2007. Du consultant en assistance à maîtrise d'ouvrage, en intégration SAP ou en informatique décisionnelle jusqu'au jeune scientifique formé au développement, en passant par le chef de projet connaissant les secteurs de la banque, de l'assurance et des caisses de retraite, la palette des profils recherchés est classique. Ce qui l'est moins, c'est que ce plan d'embauche s'insère dans une redistribution des forces, induite notamment par la fusion T-Systems (1200 personnes en France) et Gedas (600 personnes). Fusion qui sera légalement entérinée au 1er janvier 2007. Sachant que Gedas (née en 1983 de l'externalisation de l'informatique de Volkswagen) reste essentiellement positionnée sur les marchés d'infogérance (ingénierie de services, production). Cette fusion déjà bien amorcée n'est pas sans effet de concentration/réduction: des trois sites en région parisienne, les équipes de Saint-Germain (une centaine de personnes dédiées aux activités d'infogérance) sont amenées à se regrouper sur les sites de La Défense et de Villepinte. De source syndicale, et implicite dans l'annonce du plan d'embauche de la DRH, les 500 embauches devraient aboutir à une augmentation d'effectif de 250 salariés, compte tenu des démissions; mais aussi des départs en retraite face auxquels "le plan ambitieux de T-Systems prend les devants" (dixit la DRH France). Sans compter la cession (en voie de régularisation) de certaines activités par transfert (article L122-3) de l'équipe de Strasbourg de T-Systems à Osiatis. (...)

(23/11/2006 16:26:55)

Une faille critique dans Firefox permet le vol de mots de passe

Une faille dans Firefox, cataloguée critique par Mozilla, permettrait à des pirates de récupérer les informations personnelles (identifiant et mot de passe) par le biais de formulaires de publication de contenu en ligne (comme par exemple sur les blogs). Selon Mozilla, le module de gestion de mots de passe intégré au navigateur (Password Manager) serait défaillant et autoriserait le détournement des mots de passe vers un site pirate. Une première attaque exploitant la faille avait été enregistrée chez MySpace fin octobre. Les pirates avaient créé un compte sur le site en utilisant un identifiant login_home_index_htm. Cette page avait alors servi de relais vers un faux formulaire destiné à récupérer les données. "Le problème est que Password Manager n'a pas opéré un contrôle suffisant quand il a décidé d'expédier les données utilisateur, et ainsi ne garantit pas l'acheminement des données au bon serveur", explique Robert Chapin, président de Chapin Information Services, spécialisé dans la sécurité. Mozilla ne précise pas quelles sont les versions de Firefox frappées par le bogue. (...)

(23/11/2006 16:20:41)

Les étudiants préoccupés de « management éthique »

La coïncidence, ce prochain week-end, à Caen, de deux manifestations mettant en exergue l'égalité de l'accès à l'emploi et à la formation supérieure, illustre l'amorce de prise de conscience qui semble se généraliser vis-à-vis de la responsabilité sociale (des entreprises, des écoles et universités) en tant qu'ingrédient essentiel de l'économie. Ainsi, les 24-25 novembre au centre de congrès de Caen, se tient une agora sur l'égalité des chances hommes/femmes, co-organisée et financée par la région Basse-Normandie, l'Etat et le fonds social européen. Ouverte au public, cette rencontre met l'accent sur l'interactivité avec un espace forum, des jeux de rôles et présentations d'actions (articulation des temps de vie). Ces mêmes vendredi 24 et samedi 25, l'Ecole de management de Normandie (Caen et Le Havre) s'associe à l'Aphec (association des professeurs de classes préparatoires économiques et commerciales qui regroupe les enseignants de 144 lycées). Ce groupement d'enseignant place son colloque annuel sous le signe des relations entre "Territoires et enseignement supérieur". Un thème qui couvre aussi bien l'égalité des chances, l'internationalisation des cursus, la mobilité, le regroupement des cursus dans un but de visibilité. Autant d'évolutions qui remettent en cause les rapports traditionnels entre l'enseignement supérieur et les bassins d'emploi (territoires et entreprises). Un constat qui fait, par ailleurs écho à l'attente des étudiants qui plébiscitent l'utilité au sein de leur formation, de faire une place à la préparation au management éthique et à la responsabilité sociale. Ainsi que le relevait une enquête réalisée par l'UGEI (union des grandes écoles indépendantes) auprès de 2000 étudiants (72% d'écoles d'ingénieurs, 28% d'écoles de commerce) présentée lors du congrès de la Conférence des grandes écoles (5-6 octobre à Brest), la "quête du sens" vient en tête des principes moteurs de leur recherche d'emploi. 75% d'entre eux estiment que rentabilité, éthique et responsabilité sociale sont des notions compatibles, alors que, constatent-ils, "le discours des entreprises et leurs actes dans ce sens ne concordent pas". Ils sont autant à considérer que leur préparation sur ce volet doit prendre la forme d'études de cas et peut constituer un atout, un "argument de vente" de leur CV. Rapprocher durablement université et emploi Toujours en Normandie, les 15-17 décembre, l'IAE de Caen fête, au nom de ses 14000 diplômés, ses cinquante ans d'activité, en mettant implicitement l'accent sur le "réseautage" et des liens entretenus avec les milieux professionnels qui fait aussi partie de la responsabilité sociale des futurs cadres et de leurs enseignants. En prélude des débats qui se tiendront à Deauville, un défi original est lancé aux anciens de l'institut normand via un site Web ouvert pour la circonstance, avec l'organisation du "trophée de la promo la plus connectée". Pour rappel: le réseau des IAE (Institut d'administration des entreprises, 29 établissements, 30 000 étudiants) est cité en exemple dans le rapport Hetzel "Université-Emploi" comme la filière "qui affiche les taux d'insertion professionnelle les plus élevés parmi les universités françaises", et qui, par son "marketing", contribue à "rapprocher durablement université et emploi". En témoignent notamment les conditions d'insertion, avec un délai moyen de six mois avant un placement en CDI, une bonne moitié des diplômés embauchés à la suite de leur stage et un salaire moyen d'embauche situé entre 30 400 E et 35 300 E pour un diplômé de master en gestion, management ou administration des affaires. (...)

(23/11/2006 12:47:52)

L'Europe consacrera 12,7 Md d'euros aux entreprises innovantes des TIC d'ici à 2013

L'Europe prévoit d'investir 9,1 Md€ dans les TIC (Technologies de l'information et de la communication) jusqu'en 2013, dans le cadre du 7e programme cadre de recherche et développement (PCRD). En comptant les 3,6 Md€ du programme cadre pour l'innovation et la compétitivité (CIP), lui aussi établi de 2007 à 2013, ce sont donc 12,7 Md€ que l'Union européenne prévoit d'investir pendant les six prochaines années dans les technologies et services innovants. Un montant en forte hausse par rapport aux programmes précédents : le 6e PCRD s'élevait à 3,6 Md€ (il est vrai pour la période 2003-2006). « Les deux programmes sont nettement mieux dotés que leurs prédécesseurs », commente Edith Launey-Heymann, responsable de l'Euro Info Centre d'Ubifrance, l'agence française pour le développement international des entreprises. Explication de cette emphase mise sur les TIC : il s'agit de se conformer à l'agenda de Lisbonne, signé en 2000, qui prévoit de faire de l'Europe « l'économie la plus compétitive et la plus dynamique au monde » à l'horizon 2010. « Ces deux programmes sont faits pour aider les entreprises européennes à relever ce défi », indique Edith Launey-Heymann. Le 7e PCRD sera axé plus particulièrement sur des secteurs où l'Europe dispose d'un avantage concurrentiel tel que les systèmes et architectures logicielles, les solutions de communications électroniques, et autres secteurs de pointe. Il s'appuiera en partie sur les JTI (Joint Technology Initiative) ou initiatives technologiques conjointes. Il s'agit d'entreprises communes financées par des ressources à la fois publiques et privées. D'ores et déjà, on peut mentionner Artemis sur les systèmes embarqués, ISI sur la communication par satellite, Europ sur la robotique ou encore Eniac sur la nanoélectronique. Au nombre de neuf, ces plates-formes technologiques européennes spécialisées dans les TIC auront un double objectif : capter de nouveaux investissements supplémentaires pour la recherche et soutenir le lancement de nouvelles technologies. Une part importante pour les PME et petites structures Une partie des investissements du PCRD sera consacrée aux TIC capables d'améliorer les soins médicaux. « D'ici 2050, 40% de la population de l'UE aura plus de 65 ans », indique dans sa présentation Khalil Rouhana, chef de l'Unité pour la stratégie de la recherche et le développement dans les TIC à la Direction générale de la société de l'information et médias à la Commission européenne. L'objectif de l'UE avec ce PCRD est de voir les TIC pour les dépenses de santé atteindre « jusqu'à 5% du budget total de santé de l'UE » en 2010, contre 1% en 2000. Les objectifs sont notamment de faciliter l'accès aux « quantités énormes d'informations sur la santé », de développer des produits communicants de surveillance de la santé des gens, de modéliser un « homme physiologique virtuel », et d'aider les entreprises européennes à « devenir des opérateurs mondiaux principaux dans les nouvelles TIC pour l'industrie de santé ». Une part du budget PCRD sera également consacrée à l'amélioration de la sécurité physique et énergétique. Par exemple, un des objectifs est de développer des « véhicules intelligents » afin d'éviter les « 40 000 morts sur les routes de l'UE chaque année ». Le CIP, quant à lui, se place en aval, notamment afin d'aider les PME à commercialiser des produits et services innovants. Cet aspect services est important, souligne Edith Launey-Heymann : il n'existait pas dans les versions précédentes de ces programmes, qui ne voyaient que l'aspect technologie. Le CIP viendra aussi en aide à des programmes répondant à la thématique des « éco-technologies », en sus de l'instrument financier dédié à ce secteur, Life+. Cela ouvre de nouvelles perspectives, surtout dans la mesure où les programmes du CIP sont aussi ouverts aux petites structures, qui n'ont pas forcément un statut d'entreprise, indique Edith Launey-Heymann, qui désigne par exemple les artisans ou les associations universitaires. En revanche, la multitude de programmes d'aide peut aussi amener les structures en recherche de financement à se fourvoyer ou à abandonner. « Attention de ne pas se tromper de programme, avertit Edith Launey-Heymann. Il ne faut pas hésiter à frapper à plusieurs portes, avoir toute la panoplie des instruments financiers à l'esprit avant de s'embarquer. » (...)

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