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(28/09/2006 12:24:49)
Semestriels Neurones : la rentabilité en berne
Résultats premier semestre Chiffre d'affaires : 61,4 M€ (+14%) Résultat net : 2,4 M€ (-13%) La SSII Neurones a conclu son premier semestre sur une croissance de son activité mais une rentabilité en recul. Pour les six premiers mois de son exercice fiscal 2006, Neurones voit son chiffre d'affaires atteindre 61,4 M€, soit une progression de 14%, dont 9,6% en organique. Sur les chiffres communiqués par le groupe, seuls les revenus s'affichent en hausse. Le résultat opérationnel perd 17%, à 3,4 M€. Cela représente une marge opérationnelle de 5,5%, contre 7,7% pour la même période de l'année précédente. Neurones explique cette contre-performance par "la forte hausse des effectifs (+132 personnes net)" au cours du semestre. Une campagne de recrutement réalisé "en avance de phase" et qui a donc finalement pesé sur la profitabilité. Le résultat net s'en ressent également : il perd 13%, à 2,4 M€. La suite de l'exercice devrait toutefois être moins douloureuse. Le groupe prévoit en effet que la saisonnalité, traditionnellement favorable à la deuxième moitié de l'année, devrait conduire à une amélioration de la marge opérationnelle. Neurones confirme sa précédente estimation de chiffres d'affaires pour l'ensemble de l'exercice ; les revenus devraient s'établir entre 125 et 130 M€ pour une résultat opérationnel compris entre 6,5 et 7%. La bourse ne semble pas convaincue par l'optimisme de la SSII. Le titre Neurones entame, ce 28 septembre, sa troisième séance de chute consécutive. (...)
(28/09/2006 10:59:02)Les opérateurs mobiles se mettent à la portée des handicapés
Le travail des opérateurs auprès des handicapés avance doucement mais sûrement. Tel était le ton donné hier à l'occasion du premier bilan de la Charte signée en mai 2005 qui stipulait une série d'engagements à suivre pour mettre le mobile à la portée des handicapés. L'Autorité de régulation des télécoms (Arcep), l'Association française des opérateurs mobiles (AFOM) qui réunit les trois grands opérateurs et cinq opérateurs virtuels et le délégué interministériel aux Personnes handicapées Paul Chamsaur ont salué le dialogue instauré entre les professionnels et les associations de personnes handicapées pour cerner les besoins des handicapés. Et si bien du chemin reste à parcourir notamment pour mieux informer les consommateurs des offres et produits adaptés à leurs handicaps, des mesures concrètes ont été appliquées. Des téléphone compatibles avec chaque handicap ont été sélectionnés. On peut les identifier par des pictogrammes sur les sites Web des opérateurs. Un handicapé moteur a par exemple besoin d'un téléphone à dos plat pour tenir sur l'accoudoir de son fauteuil, solide en cas de chute ou avec la fonction décroché depuis n'importe quelle touche. La visiophonie à la place de la voix Des contenus spécifiques ont également été distingués. Sur le principe de la compensation, les opérateurs ont estimé que les malvoyants devaient bénéficier gratuitement d'un logiciel de vocalisation, a expliqué un responsable de l'AFOM lors d'un entretien téléphonique. Cette offre, déjà effective chez SFR, Bouygues Telecom et Orange, ne l'est pas encore chez les opérateurs virtuels, précise ce même responsable. Parmi les offres tarifaires dédiées, les usagers peuvent bénéficier d'un forfait visiophonie au prix de la voix ou de forfaits SMS spéciaux. Enfin, les trois opérateurs fournissent des factures en braille ou en caractères agrandis sur simple demande. Doucement mais sûrement donc, le secteur tente de s'adapter aux handicapés malgré l'absence des constructeurs qui ne se sont pas encore engagés. (...)
(28/09/2006 10:57:13)Virtualisation de SAN : Incipient lance une solution alternative à Invista d'EMC
Après plus de trois ans de développement et quatre levées de fonds successives (84 M$ au total), la société américaine Incipient a profité de la conférence Storage Decision qui s'est ouverte aujourd'hui à New-York pour annoncer la disponibilité de sa solution de virtualisation de stockage SAN. Comme EMC, avec son produit Invista, Incipient a misé l'ensemble de ses développements sur l'adoption par les entreprises des commutateurs Fibre Channel intelligents. Sa solution est ainsi conçue pour fonctionner au c?ur du réseau SAN, contrairement aux solutions telles que le Storage Volume Controler (SVC) d'IBM. Pour l'instant, l'Incipient Network Storage Platform (iNSP) nécessite la présence dans le réseau SAN de commutateurs Cisco MDS 9000. L'iNSP réside sur un module de service (SSM) du switch - en fait une lame serveur. Ce module interopère avec le commutateur grâce au jeu d'interfaces de Cisco et pilote les ASIC (circuits spécialisés) de traitements du commutateur de façon à ce qu'ils modifient à la volée les informations de routage des paquets. Ce faisant, l'iNSP virtualise l'infrastructure de stockage tout en restant en dehors du chemin de données, une approche qui assure des performances optimales. Parmi les fonctions de l'iNSP figurent notamment des fonctions avancées de gestion de volume (volume encapsulé, volume réparti sur plusieurs baies, volume partitionné, volume concaténé), ainsi que des fonctions de snapshot, de copie de volume et de migration de données. L'une des différences entre l'iNSP et l'Invista d'EMC est que la solution d'Incipient répartit ses métadonnées sur les différentes baies virtualisées, alors qu'Invista stocke les métadonnées sur ses propres disques durs. Une autre est que la solution est intégrée au switch alors qu'EMC utilise un cluster de PC externe au switch pour piloter ses tables de routage. L'Incipient Network Storage Platform est commercialisée à partir de 137500 $ pour chaque lame SSM (soit 275 000 $ pour la configuration recommandée avec deux lames). Ce prix inclut les fonctions de gestion de volume et de migration de données mais pas les fonctions de snapshot, facturées séparément 45000 $ par baie de stockage gérée. Il est à noter qu'Incipient, qui a par le passé montré un prototype de sa solution sur les commutateurs de Brocade, devrait proposer une solution iNSP pour les directeurs du constructeur, une fois que ce dernier aura clarifié sa roadmap suite à l'acquisition de McData. (...)
(27/09/2006 18:02:00)GPL v3 : Clash entre la FSF et les partisans de Linus Torvalds
Le chantier de la future version Libre GPL (General Public Licence) - la troisième en date - soulève les passions et dresse, l'un contre l'autre, deux clans dans lesquels les positions semblent se cristalliser. D'un côté, la FSF (Free Software Foundation), emmenée par le dogmatique Richard Stallman, dirige les travaux. De l'autre, le groupe des développeurs du noyau Linux, conduit par Linus Torvalds, enchaîne les objections.Lancée aux dernières heures de 2005, la refonte de la GPL3 a posé problème dès le début des débats. Au coeur des débats, la présence de gestion des droits numériques (DRM) et de protection des brevets logiciels. Linus Torvalds, le créateur du noyau Linux, avait, dès le mois de janvier, indiqué que Linux n'adopterait pas une telle licence. Le 22 septembre, Torvalds et 28 autres développeurs du noyau Linux "les plus actifs" ont publié leur opinion sur la GPL3 sous la forme d'un sondage. Les 29 participants devaient noter, sur une échelle allant de -3 à +3, l'intérêt que présente pour eux le passage de la version 2 à la version 3. Une note de -3 signifie "je m'oppose à la GPL3 ou ma société aurait de sérieux problèmes si elle me laissait l'utiliser", le +3 reprend la même formulation mais pour la GPL2. Sur les 29 développeurs ayant pris part à ce sondage, 28 estiment que la GPL3 sera moins bonne que la GPL2, la note moyenne étant -2. Sans extrapoler la portée de cette trentaine d'opinions, la communauté Linux semble tourner le dos aux travaux de la FSF. Un risque de balkanisation? Ce même 22 septembre, les détracteurs de la GPL3 tiraient une nouvelle salve en publiant un texte intitulé "Dangers et problèmes de la GPL3". Les dix auteurs, par ailleurs développeurs du noyau Linux, y mettent en lumière le risque de balkanisation du Libre induit par la nouvelle licence. Selon eux, outre les problèmes déjà soulevés concernant les restrictions de droits et le respect des brevets logiciels, la coexistence des versions 2 et 3 obligera les revendeurs à diviser leurs produits entre les deux opus. "Cette balkanisation présente un risque majeur de dommage collatéral sur l'ensemble de notre écosystème et peut compromettre l'utilité et la survie de l'Open Source (...) Nous implorons la FSF de réexaminer les conséquences de ses actions et d'abandonner l'examen de la version actuelle de la GPL3 avant qu'il ne soit trop tard". Deux jours plus tard, Linus Torvalds ajoutait son grain de sel dans son "Ode à la GPL2" (voir encadré). Réponse énervée de la FSF Sans traîner, la Free Software Foundation a publié ses réponses à ce qu'elle nomme des informations trompeuses. La FSF écarte en premier lieu toute obligation de passer d'une version à l'autre de la licence :"la FSF n'a pas le pouvoir de forcer quiconque à passer de la GPL2 à la GPL3. La GPL2 a été écrite dans cette optique". En clair, les développeurs auront toujours le droit d'utiliser la GPL2, même lorsque la version suivante sera publiée. L'interprétation de la gestion des DRM avancée par les opposants à la GPL3 est fausse, continue la FSF. Pour rappel, les partisans de Torvalds estiment que la GPL3 s'aventure sur un terrain qui ne devrait pas être le sien en prévoyant la gestion hardware des DRM, et plus seulement logicielle, et qu'elle déroge à son éthique en autorisant des restrictions via la gestion de DRM. Foutaises, répond -en termes plus nuancés- la FSF. Et celle-ci de baser son argumentation sur un des fondements du mouvement Libre (étiqueté "Liberté 0" selon la philosophie GNU), la liberté d'exécuter le programme pour tous les usages. Partant de cette liberté absolue, la FSF affirme qu'une licence GNU ne saurait contenir de restriction. Question de logique. Par conséquent "les discussions en cours ne concernent pas l'implantation de restrictions et la version finale non plus". En revanche, précise la FSF, la GPL3 interdira certaines pratiques qui restreignent la liberté de l'utilisateur de modifier le code source sans que cela s'apparente à la restriction d'usage décriée par les développeurs du noyau Linux. "Nous espérons que cela contrecarrera la façon dont certaines entreprises se servent du label Open Source tout en contrôlant ce que vous faites". (...)
(27/09/2006 18:03:20)Oracle lance la version 4.5 de Berkeley DB
Oracle a publié la première mise à jour du c?ur de la base embarquée Berkeley DB depuis le rachat de son éditeur originel, Sleepycat Software, en janvier dernier. Berkeley DB 4.5 apporte, selon l'éditeur, des améliorations notables en termes de performances, de disponibilité et de simplicité d'utilisation. Apparue pour la première fois en 1991, la base Berkeley DB est au c?ur de la base embarquée Sleepycat. La mise à jour annoncée aujourd'hui fait suite aux mises à jour de la version Java de la base -Berkeley DB Java Edition 3.0- en mai et elle devrait être suivie par une mise à jour de la version XML du moteur, Berkeley DB XML. L'une des améliorations de Berkeley DB 4.5 est la possibilité de mettre à jour une base ou de lui appliquer un correctif sans avoir à arrêter la base. Une autre est la disponibilité d'un framework de réplication pour aider les développeurs à construire des systèmes à haute disponibilité. La base est l'une des multiples offres d'Oracle sur le secteur de l'embarqué, puisque l'éditeur propose aussi sa base TimesTen In-Memory Database ainsi qu'Oracle Database Lite 10g. Avec ces différents produits, Oracle est à même de couvrir l'essentiel des besoins du marché. Il est à noter que la mise à jour de Berkely DB par Oracle intervient alors que MySQL a annoncé cette semaine l'arrêt du support du moteur Berkeley DB dans son logiciel. (...)
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