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Infrastructure serveur

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(14/04/2009 18:15:24)

Novell soutient les processeurs ARM du bout d'OpenSuse

Ira, ira pas ? Novell affirmait le mois dernier qu'il n'y avait plus de portage en cours de Suse sur processeur ARM pour netbook. Avant d'ajouter, la semaine dernière, un bémol : sa communauté OpenSuse Project supporte le packaging de plusieurs distributions pour processeur ARM. Elle utilise pour cela les outils 5e de l'éditeur allemand Datasoft pour assurer le portage sur différentes architectures, dont ARM, de distributions comme Ubuntu, Debian, Fedora et... OpenSuse. Novell, dont la distribution Suse avait été choisie début 2008 par nombre de fabricants des premiers netbooks, garde donc un fer au feu dans le monde ARM/Linux, malgré les liens qui l'attachent à Microsoft. Même si la première génération de netbooks à base de Linux a été balayée par Microsoft et Intel fin 2008, la guerre n'est pas finie. Faute d'un OS à la fois léger et performant, Microsoft maintient artificiellement en vie Windows XP : Vista épuise déjà un portable équipé d'un processeur Core d'Intel et Windows Mobile 6 manque de fonctions. Un rapport performance/autonomie inégalée Face à ce couple XP/Atom handicapé par la différence d'âge, le dynamisme de celui constitué par ARM/Linux attire toujours. Au coeur de la dernière génération de téléphones mobiles multimédia (iPhone, HTC, Android G1), les processeurs ARM brillent par leur rapport performance/autonomie inégalé. Cadencée jusqu'à 1 GHz, la génération qui arrive promet de meilleures performances. Texas Instruments et Qualcomm, qui fournissent la quasi-totalité des fabricants de téléphones multimédia, mais aussi Marvell (Xscale), Freescale (ex-Motorola) et Nvidia ont entre les mains des puces dont la puissance taquine celle de l'Atom tout en étant beaucoup moins voraces. ARM a conçu les processeurs Cortex A8 et A9 (architecture ARMv7) sur lesquels repose la série OMAP 3xxx de Texas Instruments (tablette multimedia Archos 5, téléphone multimedia Palm Pre), le jeu de composants Tegra APX de Nvidia et le Qualcomm Snapdragon (QSD8250). Ce sont ceux que l'on trouve dans l'étonnant Toshiba TG01. Un téléphone multimédia sous Windows Mobile 6.1. L'architecture ARMv7 d'ARM, qui se concentre sur la conception de ses processeurs et laisse à ses clients OEM le soin de les fabriquer, intègre des évolutions d'envergure, dont le multiprocessing. De plus en plus étroit, le fossé entre téléphone multimédia et tablette Internet / netbook va être franchi d'ici la fin de l'année. Et ce sont les adeptes d'ARM qui sauteront le pas. Archos promet ainsi pour le troisième trimestre sa première tablette Internet basée sur un processeur ARM et l'Android de Google qui utilise un noyau Linux. D'autres prototypes circulent du côté des fabricants asiatiques. Chez Asus, on parle d'un produit à moins de 200$, prix impossible à obtenir en choisissant le duo Windows XP/Atom. La semaine dernière, l'annonce par Intel du transfert de sa communauté Moblin (Mobile Linux - Fedora) au sein de la Linux Foundation indique que sa relation avec Microsoft n'est pas exclusive. Quant à Adobe, très actif sur les logiciels liés à Internet, il optimise Flash pour les processeurs ARM. (...)

(14/04/2009 09:43:09)

Les outils d'administration de HP à l'heure de la virtualisation

HP adapte les outils d'administration de sa suite BSA (Business Service Automation) au goût de la virtualisation. Les évolutions de Storage Essentials et d'Operations Orchestration résultent en grande partie de l'intégration du savoir-faire d'Opsware, acheté 1,6 Md$ en juillet 2007. Storage Essentials trace désormais les machines virtuelles des environnements VMware. L'outil indique aux administrateurs où sont situées les machines virtuelles ainsi qu'une cartographie des éléments de stockage qu'elles utilisent. A partir de là, il est possible de réallouer les ressources non utilisées. Le produit intégrera ensuite Hyper-V de Microsoft, puis XenServer de Citrix. Storage Essentials s'occupe aussi de réserver automatiquement des ressources de stockage. Operations Orchestrator automatise quant à lui l'allocation des environnements virtualisés. A partir de modèles prédéfinis, il guide les administrateurs dans la configuration des éléments de stockage, du réseau et des serveurs virtualisés. HP affirme qu'Operations Manager accélère et standardise ces processus. Operations Orchestrator s'interface avec les consoles d'administration de VMware Virtual Infrastructure, d'Hyper-V et de XenServer. Administrer les environnements virtualisés devient vital La virtualisation des serveurs s'étend à un nombre de plus en plus grand de datacenters et ce marché est présenté par les cabinets d'étude comme le seul promis à une progression cette année. C'est donc en toute logique que HP fait évoluer Storage Essentials et Operations Orchestration pour faciliter la gestion des machines virtuelles. Un point crucial, tant la prolifération de ces dernières et leur difficulté d'administration risquent de transformer des économies potentielles en une explosion incontrôlée des coûts d'exploitation. Une des causes principales de ces problèmes résulte du décalage entre l'état d'avancement de la virtualisation des serveurs et celle des éléments qui s'y rattachent, les entrées/sorties, le réseau et le stockage. (...)

(10/04/2009 17:52:01)

Les bi-Xeon 5570 battent les quadriprocesseurs à plate couture

Inutile d'user de superlatifs éculés pour décrire le niveau de performances des serveurs bi-processeurs animés par les Xeon 5500 (Nehalem) annoncés la semaine dernière par Intel. Les comparaisons parlent d'elles-mêmes. Un bi-Xeon 5570 surpasse une machine quadriprocesseur, qu'il s'agisse d'un serveur 16 coeurs, animé par quatre quadricoeurs AMD Opteron, ou d'un serveur 32 coeurs, animé par quatre octocoeurs Xeon X7460. Les écarts les plus marquants apparaissent sur le test VMmark de VMware. Il utilise des "tiles", qui se composent de six machines virtuelles faisant tourner des applications différentes. Avec 16 tiles, les scores du HP ProLiant DL370 G6 (23,96) et celui du Dell PowerEdge R710 (23,55) sont sans comparaison avec les précédents serveurs biprocesseurs détenteurs du record. Fin 2008, le HP ProLiant 385G5p (bi-Opteron 2384) avait décroché un 11,28 avec seulement 8 tiles. Les bi Xeon 5570 font même mieux que le meilleur quadriprocesseur 16 coeurs. En janvier dernier, avec quatre Opteron 8386SE, le HP ProLiant DL585G5 n'avait obtenu qu'un score de 20,43 avec 14 tiles. Constat identique avec les quadricoeurs - 24 coeurs. La semaine dernière, les quatre Xeon MP X7460 (6 coeurs) permettaient à l'IBM System x3850 M2 de n'obtenir qu'un score de 20,50 avec 14 tiles. L'architecture Nehalem, avec ses contrôleurs mémoire intégrés et sa nouvelle interconnexion entre les coeurs, fait vraiment merveille en environnement virtualisé. Même s'ils sont moins impressionnants, les résultats au banc de mesure transactionnel TPC-C sont du même tonneau. Entièrement équipé en Oracle (Linux et SGBD), le HP Proliant DL370 G6, doté de sa capacité maximale de mémoire (144 Go) atteint 631 766 tpmC. Avec quatre Intel Xeon X7460, le HP Proliant DL580G5 avait atteint en janvier 639 253 TpmC avec la même configuration logicielle. Quant au HP Proliant DL585G5 (quatre AMD 8384), il avait atteint 579 814 TmpC fin 2008. (...)

(10/04/2009 16:33:01)

Cisco rachète Tidal Software pour se renforcer dans les datacenters

Quelques jours après avoir déclaré qu'il n'avait pas l'intention de ralentir le rythme de ses acquisitions pendant la crise, Cisco vient d'annoncer qu'il rachetait Tidal Software pour un montant de 105 M$. Fondé en 1978 et basé à Palo Alto (Californie) et à Houston (Texas), Tidal Software est un éditeur spécialisé dans les solutions de gestion des applications et d'automatisation des processus pour les architectures orientées services (SOA) et les centres de données. Ses logiciels permettent de détecter et localiser les problèmes, d'en analyser la cause et d'y remédier pour améliorer la performance des applications. Ils ont été élaborés en partenariat avec des éditeurs comme Microsoft, Oracle ou encore SAP. Cisco compte tirer parti de ces solutions pour se renforcer dans le monde des datacenters. Au terme de la transaction (prévue pour le quatrième trimestre de l'année), les salariés de Tidal Software rejoindront la branche Advanced Services de Cisco. Il s'agit de la troisième acquisition de Cisco depuis le début de l'année, après Richards-Zeta Building Intelligence (éditeur d'une solution de gestion de la consommation d'énergie et de réduction de l'empreinte carbone des entreprises), en janvier dernier, et Pure Digitale (concepteur de caméras numériques et de solutions vidéo à destination du grand public), en mars. Depuis sa création en 1984, Cisco a procédé à l'acquisition de 133 sociétés (dont cinq en 2008). Le géant des réseaux dispose encore d'un peu plus de 29Md$ de cash pour poursuivre ses emplettes. (...)

(10/04/2009 16:21:02)

Apple et Fujitsu lancent leurs serveurs Nehalem

Les uns après les autres, tous les fabricants de serveurs annoncent leur gamme dédiée aux Xeon 5500 (ex-Nehalem EP) d'Intel. C'est désormais au tour d'Apple et de Fujitsu d'entrer dans la danse. Si Apple a été l'un des premiers à sortir des ordinateurs équipés de Nehalem, il ne s'agissait alors que de stations de travail. Désormais, les serveurs Xserve bénéficient, eux aussi, du nouveau processeur Intel. Selon les configurations, ces machines peuvent être dotées d'un Xeon 5500 à 2,66 GHz, ou de deux puces à 2,66 GHz ou 2,93 GHz. Les serveurs supportent jusqu'à 32 Go de mémoire vive, disposent de trois emplacements de baie SATA ou SAS modulables « à chaud » pour atteindre 3 To de stockage, et abritent un disque SSD de 128 Go en option. Grâce aux processeurs d'Intel, Apple promet de diminuer de 19% la consommation des Xserve par rapport à la génération précédente. Ces serveurs sont disponibles à la vente dès aujourd'hui à partir de 2 899 € pour la version monoprocesseur, et de 3 469 € pour la version biprocesseur. Chez Fujitsu, Nehalem fait son dans avec la gamme de serveurs biprocesseurs Primergy S5 : deux modèles en tour, deux en rack et un serveur lame, tous dotés d'une mémoire vive pouvant atteindre 144 Go. Outre les processeurs Xeon 5500, ces serveurs profitent d'un design « Cool-Safe », qui facilite selon le constructeur la circulation de l'air à l'intérieur de la machine, pour un refroidissement plus efficace. Les deux modèles en rack et l'une des tours sont disponibles dès maintenant à partir de 1 300 €. L'autre modèle de tour et le serveur lame seront commercialisés à partir de juin. (...)

(09/04/2009 14:40:45)

Le patron technologique des processeurs Sun part chez Microsoft

Marc Tremblay, Chief Technology Officer de la division processeur (Microelectronics) de Sun, quitte ses fonctions pour rejoindre Microsoft. Il est remplacé par Rick Hetherington, son adjoint depuis deux ans, et chez Sun depuis huit, après avoir travaillé chez Digital Equipment. Marc Tremblay, depuis 18 ans chez Sun et qui compte à son actif une centaine de brevets, rejoint une entité méconnue de la R&D de Microsoft, chargée de la stratégie des architectures logiciel/processeur et des relations avec les industriels du secteur des semi-conducteurs. Ce départ intervient alors que la sortie du processeur Rock, une puce riche de seize coeurs présentée comme révolutionnaire, a été retardée de plus d'un an. Rock est désormais promis pour cet automne. Il ajoute aussi à la lourde atmosphère qui plane sur Sun à la suite de la rupture des négociations sur un rachat par IBM. Ce départ est le troisième en un an à frapper l'élite technologique de Sun. L'an dernier, presque jour pour jour, c'était David Yen, le directeur de Sun Microelectronics, qui quittait Sun pour Juniper Networks à la suite de l'annonce du retard de Rock. En octobre, Andy Bechtolsheim, un des fondateurs de Sun et père des dernières générations de produits serveurs et stockage, prenait aussi ses distances. (...)

(08/04/2009 17:36:09)

La standardisation des serveurs lames n'est pas pour demain

Soyons optimistes. Un bien maigre espoir de standardisation des serveurs lames se profile à l'horizon. Soutenue par Intel, l'association Server System Infrastructure (SSI) a publié la version 0.9 des caractéristiques de plusieurs sous-ensembles. Cette bonne nouvelle est à prendre avec circonspection. L'objectif de SSI était d'atteindre le stade 1.0 fin 2008. Les utilisateurs qui espèrent l'arrivée de produits conformes à ces spécifications risquent en fait d'attendre longtemps, voire indéfiniment. A moins de changer de fournisseur. HP, dont la part de marché sur les serveurs lames x64 frôlait les 55% fin 2008, joue cavalier seul. IBM, numéro deux en perte de vitesse, avec toutefois plus de 20% de part de marché, s'essaie à l'ouverture de ses châssis, mais seulement sur les spécifications des lames commutateurs. Enfin, ni Dell, ni Sun, ni Fujitsu n'adhèrent à la SSI et à son effort de normalisation. Malgré une progression des livraisons de leurs serveurs lames qui a dépassé les 60% l'an dernier, leur poids sur le marché est négligeable. L'association de standardisation se focalise sur les PME Même comportement chez Cisco. Son annonce de serveurs lames en mars ne change rien à la donne. Présentée à juste titre comme un point fort, l'intégration entre ses lames serveur, ses éléments réseau et stockage et ses outils d'administration ne laisse néanmoins aucune place pour glisser un produit concurrent. Tous les grands fournisseurs ont donc choisi de proposer une offre complète avec les châssis, les lames serveurs et celles destinées à la gestion des entrées sorties réseau et du stockage. Le tout supervisé et administré par des suites logicielles sophistiquées. Cette situation se traduit pour les utilisateurs par la perte de toute liberté de choix et, partant, de mise en concurrence des fournisseurs en vue de faire baisser les prix. L'association SSI a déjà jeté l'éponge pour les grands datacenters. Ses travaux se focalisent désormais sur les spécifications de produits à destination des PME et des TPE, les plus réticentes à opter pour les architectures lames. L'absence de standard est sans doute un des freins à leur adoption par ces entreprises. Mais ce type de serveurs a tout de même été le seul à connaître une croissance en 2008. En plein marasme du quatrième trimestre, leurs ventes ont progressé de 16% à 1,4 Md$, selon IDC. Ce qui représente 10,4% du marché total et 18,5% de celui des serveurs x64. Dans ces conditions, quel intérêt les fournisseurs ont-ils à s'engager dans une démarche les mettrait véritablement en concurrence ? (...)

(07/04/2009 18:11:59)

Les Nehalem huit coeurs pour fin 2009 ou début 2010

« Ce sera entre fin 2009 et début 2010 » a déclaré Shannon Poulin, en charge des processeurs Xeon chez Intel. Le fondeur reste donc imprécis sur la date de lancement des Nehalem EX octocoeurs. Ces processeurs, dotés de deux fois plus de coeurs que les actuels Xeon 5500 (Nehalem EP) pour systèmes biprocesseurs, sont conçus pour équiper des serveurs quadri-processeurs et au-delà. Il était jusque-là admis qu'Intel livrerait ses Nehalem EX à la rentrée de septembre. Ils sont très attendus, car les performances des serveurs Xeon 5500 biprocesseurs sont telles, qu'elles frappent d'obsolescence les autres Xeon d'Intel. Au banc de test Vmark de VMware, les bipro Xeon 5500 dépassent les actuels quadriprocesseurs. Y compris ceux dotés de Xeon MP X7460 (six coeurs). De son côté, AMD a confirmé qu'il prévoyait de livrer un hexacoeur, connu sous le nom de code Istanbul, au second semestre 2009. Le point fort de ce processeur sera sa compatibilité avec les sockets 1207 des derniers Opteron quadricoeurs. De plus, Istanbul est prévu pour fonctionner dans des systèmes quadriprocesseurs. (...)

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