Flux RSS
Infrastructure serveur
2924 documents trouvés, affichage des résultats 1701 à 1710.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(04/09/2008 17:01:20)
HP virtualise tous azimuts, du serveur au client
A deux semaines de l'ouverture de VMworld, manifestation clé dans le monde la virtualisation, HP dévoile d'impressionnantes batteries sur tous les points clés de la virtualisation, de la gestion des applications et des opérations, aux infrastructures, en passant par l'architecture des postes clients. Gestion des applications et des opérations En premier lieu, dans le domaine des applications, les solutions HP Business Service Management (BSM) et IT Service Management (ITSM) s'enrichissent de fonctionnalités pour la supervision et le support de la virtualisation. En particulier, HP Operations Agent, HP Performance Agent et HP SiteScope peuvent désormais gérer les hyperviseurs. HP annonce aussi un partenariat avec Red Hat pour "simplifier la gestion des environnements virtualisés". Enfin, le fournisseur propose en complément une palette de services associés. Des infrastructures adaptées Le serveur lame ProLiant BL495C bi-AMD Opteron a été conçu pour la virtualisation, avec le préchargement d'un hyperviseur (de Citrix, Microsoft ou VMware), la présence de 16 slots mémoire permettant d'atteindre 128 Go, jusqu'à 8 accès réseau (au lieu de 6 habituellement) et de deux disques SSD.[[page]] Au niveau du stockage, HP propose le StorageWorks 4400 Scalable NAS File Services qui intègre la baie 4400 Enterprise Virtual Array. Ce système, d'une capacité de 4,8 To à 96 To, a été conçu pour être partagé entre différents serveurs. HP n'oublie pas non plus HP-UX. La version 11i V3 intègre une version améliorée de Virtual Server Environment. Elle permettrait un gain de performance de l'ordre de 15%. Quatre clients légers pour cet automne Pour octobre, HP promet quatre clients légers à des prix situés autour de 200 $. Deux tourneront avec son OS ThinConnect, un avec Windows CE et le dernier avec Windows XP Embedded. Quant au logiciel Virtual Desktop Infrastructure (VDI), associé à des PC en lame, il supporte désormais XenDesktop de Citrix. VDI fait tourner les systèmes d'exploitation clients sur un serveur, tandis que les lames-PC (1000$) permettent de délivrer plus de ressources à chaque utilisateur. La virtualisation permet économie et réactivité HP adopte un message dans l'air du temps : la virtualisation n'est pas seulement un moyen de réduire les coûts (optimisation, consolidation), mais aussi d'être plus réactifs. Si la mise en place plus rapide de nouveaux services vient tout d'abord à l'esprit, l'exemple le plus parlant est celui du casse-tête informatique engendré par les fusions/acquisitions. Si les systèmes d'information des entreprises concernées sont virtualisés, il est alors plus facile de les reconfigurer au nouveau périmètre de l'entreprise. (...)
(03/09/2008 18:05:10)Le patron de la R&D de VMware retourne chez Oracle
Dix mois après avoir quitté Oracle pour prendre la tête de la section Recherche & Developpement de VMware, Richard Sarwal retourne d'où il vient. Cette décision fait suite au licenciement de Diane Greene, l'ex-PDG et co-fondatrice de l'éditeur d'environnement de virtualisation. C'est elle, en effet, qui avait convaincu ce vétéran d'Oracle, chez lequel Richard Sarwal a travaillé près de 20 ans, de rejoindre sa société. Le directeur technique assure le remplacement L'actuel PDG, Paul Maritz, n'a donc pas su ou pas voulu le convaincre de rester. Tout au plus précise-t-il dans un communiqué de presse laconique : « Nous remercions Richard pour ses services et nous lui souhaitons le meilleur pour l'avenir. Je prévois d'annoncer des changements organisationnels afin de le remplacer prochainement. » En attendant ce remaniement, c'est Stephen Harrod, directeur technique de VMware qui prendra la direction au quotidien de la R&D du groupe. Si Richard Sarwal a quitté Oracle en décembre 2007 en tant que vice-président senior en charge de la division administration système, nul ne sait encore quel poste il occupera désormais, ni à quelle date. (...)
(03/09/2008 12:27:41)IBM lance une lame dédiée aux réseaux
L'IBM BladeCenter PN41 n'est pas un serveur lame de plus dans la gamme d'IBM. Celui-ci a une mission : surveiller en temps réel le réseau pour détecter des menaces de type attaque par déni de service ou virus, et optimiser la disponibilité du réseau (en réduisant la bande passante accordée au peer-to-peer par exemple). Pour réaliser ce serveur, IBM s'est appuyé sur les travaux de l'éditeur spécialiste en sécurité CloudShield Technologies. Et notamment son système d'exploitation dédié, la technologie DPI (Deep Packet Inspection) pour inspecter en profondeur les paquets de données, DNS defender pour éviter les attaques par déni de service ou Subscriber Services Manager qui induit des priorité d'accès applications par applications. Ces lames, à destination en priorité des opérateurs télécoms, s'installeront dans des chassis BladeCenter H et BladeCenter HT. Ils devraient être disponibles en octobre, mais aucun prix de vente n'a encore été avancé. (...)
(01/09/2008 17:29:04)Le nouveau système de refroidissement de Cray réduit la consommation d'énergie globale
Cray a décidé de revenir au bon vieux refroidissement de ses supercalculateurs à base de liquide. Objectif : en augmenter la puissance -en l'occurrence, plusieurs Pflops- tout en réduisant leur consommation énergétique globale. Même si le constructeur utilisait déjà cette méthode de réduction de la température en 1976 pour son Cray 1, c'est une toute nouvelle technique qu'il exploite désormais. Le mode de refroidissement ECOphlex (phase-change liquid exchange) permet d'augmenter la densité du système et de réduire le recours à des dispositifs plus coûteux de refroidissement par air, tout en limitant les besoins en eau froide. Il doit équiper les supercalculateurs XT5 avant la fin de l'année. De l'air, de l'eau ou du liquide R134a en phase gazeuse L'ECOphlex utilise de l'eau froide, mais en faible quantité, selon Cray, ce qui réduit les risques liés à la condensation et aux fuites d'eau qui pourraient endommager les composants. Le constructeur promet aussi un effet neutre sur l'air ambiant puisque l'air sortant du système est à peu près à la même température que celui qui y entre. [[page]]La nouvelle armoire Cray exploitant ECOphlex exploite au choix, le système de refroidissement par air déjà installé dans l'entreprise cliente ou la nouvelle technologie transformant un liquide inerte (R134a) en gaz. Il peut aussi utiliser de l'eau froide à différentes températures, réduisant ainsi la nécessité d'aligner de nombreux CRAC pour absorber la chaleur. Cray rappelle qu'actuellement, la plupart des supercalculateurs expulsent la chaleur dans l'air, celle-ci étant ensuite récupérée par un système d'air conditionné (CRAC, computer room air conditioner). Une méthode que le constructeur juge très peu efficace, puisque le CRAC peut parfois occuper davantage de place que l'ordinateur lui-même, et consommer autant d'électricité. D'autres technologies de refroidissement utilisent des circuits d'eau froide dans chaque armoire d'ordinateur, parfois jusqu'au milieu des serveurs lames. Cray se classe 111ème au Green 500 des supercalculateurs [[page]]La problématique de la maîtrise de l'énergie rencontrée par Cray est comparable à celle qui se pose dans tous les centres de données. Il est à noter que dans le Green 500, le constructeur est à la 111ème place. Ce classement, né du Top 500, organise les 500 supercalculateurs les plus puissants du monde en fonction du rapport performance/consommation énergétique (mesuré en Mflops par Watt). Le premier Cray du Green 500 affiche 126,42 Mflops/W contre 488 Mflops/W pour la machine IBM considérée comme la plus économe. (...)
(29/08/2008 16:52:22)Annuels SGI : -24% sur le chiffre d'affaires, +25% sur les commandes
Le constructeur de systèmes SGI, spécialisés dans le calcul intensif et la visualisation haut de gamme, annonce des résultats annuels en retrait par rapport à l'an dernier (-24% sur le chiffre d'affaires). Pour les contrebalancer, l'Américain brandit un carnet de commandes en progression de 25% par rapport à 2007, à 356 M$. Celui-ci portant tant sur ses systèmes à haute performance que sur ses offres de stockage, ses solutions de visualisation et son activité de service. Sur l'exercice fiscal, son chiffre d'affaires, en recul de 24%, à 354,1 M$, par rapport à 2007, s'accompagne d'une perte opérationnelle de 127,2 M$ (celle de l'an dernier s'établissait à 101,2 M$). Au quatrième trimestre, le chiffre d'affaires accuse une baisse de 23% par rapport à l'an dernier, à 93,9 M$, mais augmente séquentiellement de 19% par rapport au troisième trimestre fiscal. Des résultats qui, néanmoins, correspondent aux objectifs que le fournisseur s'était fixé. Une équipe dirigeante renforcée SGI rappelle qu'il vient de renforcer son équipe dirigeante avec l'embauche de collaborateurs pour prendre la tête des services, des logiciels et du stockage, des ventes mondiales et du marketing. La société a également constitué un groupe focalisé sur la mise en valeur de ses brevets pour le développement de solutions de visualisation. Au premier trimestre 2008, SGI a commencé à livrer en volume son cluster de lames ultra-dense, destiné au calcul intensif. Parmi les produits récents figure aussi SGI Virtu VN200, qui optimise les performances de visualisation sur HPC. (...)
(29/08/2008 13:40:45)Intel n'arrive pas à suivre la forte demande pour ses Atom
Alors que les constructeurs annoncent tous leur ultra-portable, la question se pose de nouveau du choix du processeur. En effet, si l'Atom semblait la réponse idéale, Intel n'arrive plus à en fournir suffisamment pour satisfaire tous ses clients. Le problème ne se situe pas au niveau de la production, mais des contrôles de qualité que le processeur doit subir. Comme l'a avoué la directrice financière d'Intel, Stacy Smith en juillet dernier, le fondeur a sous-estimé l'intérêt des utilisateurs finals pour les netbooks. La pénurie est telle qu'Asus a opté pour un processeur bien plus ancien, le Celeron M353 à 900 MHz, pour deux de ses eeePC, les 904HD et 1000HD. Le goulet d'étranglement des contrôles de qualité n'est pas près d'être levé. Les Atom appartiennent en effet à l'entrée de gamme d'Intel et la société ne peut se permettre de lui réallouer des capacités de production utilisées à l'heure actuelle pour des puces vendues plus cher. Intel attend sa nouvelle usine vietnamienne pour résoudre le problème Autre solution pour Intel : augmenter ses capacités de test. Il devrait y arriver, en particulier, lorsque la construction de sa nouvelle usine d'assemblage et de test au Vietnam sera terminée. Ce qui deviendra la plus grande unité de test du fondeur ne commencera cependant pas à produire avant 2009. Un porte-parole d'Intel a confirmé que les problèmes liés aux tests de l'Atom n'étaient toujours pas résolus, mais n'a avancé aucune date pour un éventuel dénouement. En attendant, les constructeurs d'ultra-portables se laisser tentés par des puces comme les Nano de VIA. (...)
(27/08/2008 16:57:42)Supercalcul en Chine : le petaflop dans deux ans
Un supercalculateur pétaflofique en Chine d'ici à 2010, c'est l'objectif que s'est fixé l'Empire du milieu. Vingt ans après avoir décidé de ne pas investir dans le domaine des processeurs, Pékin a fait machine arrière en 2001 et a multiplié les investissements pour rattraper le retard accumulé. Si la Chine est toujours en retard sur les produits des géants Intel et AMD, elle fait de son mieux pour combler le fossé, explique Zhiwei Xu, directeur technique de l'Institut informatique de l'Académie chinoise des sciences. Le mois prochain, la version 2g du processeur Godson devrait voir le jour. Elle succèdera à la mouture 2f, qui a fait l'objet d'un partenariat avec STMicroelectronics et est, depuis, utilisée par une quarantaine de constructeurs de boîtiers ADSL et de PC. Les puces Godson sont commercialisées sous le nom Loongson. Godson 3, au coeur des supercalculateurs L'étape suivante, prévue pour 2009, consistera à intégrer un circuit graphique sur le processeur principal. La Chine s'attachera également à mettre au point le Godson 3, destiné aux serveurs et basé sur une architecture multi-coeurs. La version censée voir le jour l'année prochaine contiendra quatre coeurs principaux, cadencés à 1 GHz, et quatre dédiés à des tâches spécifiques comme le calcul intensif. C'est à partir de ce Godson 3 que Pékin espère mettre sur pied un supercalculateur capable de fonctionner à 1 Tflops, soit un million de milliards d'opérations par seconde. A l'heure actuelle, seul un supercalculateur dépasse cette barrière : le Roadrunner, mis au point par IBM. Interrogé sur le degré de réalisme de ce projet, Zhiwei Xu confie que « c'est possible, mais ce sera difficile ». Au-delà du seul travail de conception, la Chine devra également parvenir à trouver des marchés pour écouler ses machines. (...)
(27/08/2008 15:04:59)Fujitsu prépare des puces Sparc64 octo-coeurs
Le partenaire de Sun, Fujitsu développe une version octo-coeurs de son Sparc64, qui devrait accélérer les performances des serveurs Sparc Enterprise. Le constructeur a évoqué la puce brièvement à l'occasion de la conférence Hot Chips qui s'est tenue à Palo Alto en Californie du 24 au 26 août. Le constructeur n'a néanmoins donné que peu de détails techniques, et en tous cas, aucune date de sortie. Le nouveau processeur, dont le nom de code est Venus, bénéficiera du processus de fabrication en 45 nm. Son prédécesseur, le quadri-coeurs Sparc64 VII, installé dans les serveurs de Fujitsu et Sun en juillet, est conçu en 65 nm. Venus disposera d'un contrôleur mémoire embarqué et offrira une puissance de pointe de 128 Gflops. Les serveurs Sparc Enterprise concernés par la nouvelle offre, sont développés par Sun et Fujitsu, qui les vendent cependant chacun de leur coté. Ils sont équipés de puces Fujitsu et du système Solaris 10 de Sun. En attendant le Rock de Sun, retardé à fin 2009 La puce devrait aussi être la bienvenue chez Sun. Ce dernier a confirmé, également à l'occasion de la conférence Hot Chips, que son processeur Rock -destiné à ses propres serveurs- ne serait pas disponible avant le second semestre 2009, près d'un an après la date prévue. Rock est un processeur à 16 coeurs, dont la conception serait un important bond en avant, selon Sun. Il sera capable de gérer de très grandes quantités de mémoire et utilisera des techniques innovantes de 'pre-fetch' de données pour un haut niveau de parallélisme. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |