Flux RSS
Infrastructure serveur

2924 documents trouvés, affichage des résultats 1871 à 1880.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(19/03/2008 09:21:06)
HP rénove son offre pour des datacenters consolidés
« Les entreprises sont confrontées à l'explosion des données, la mobilité croissante des employés et la nécessité d'accéder aux informations en temps réel » déclare Ann Livermore, vice-présidente exécutive, HP Technology Solutions. « HP aide les DSI à modifier en profondeur la façon dont ils développent, gèrent et exploitent leurs datacenters. » Et pour cela, la société propose un nouveau serveur, deux logiciels et quatre services adaptés. Le serveur, l'HP Proliant DL785 G5, sera un serveur 8 sockets basé sur le processeur quadricoeur Barcelona d'AMD, et supportera jusqu'à 256 Go de mémoire vive. Pour HP, c'est l'outil idéal pour consolider une salle de serveurs grâce à la virtualisation. Côté logiciel, HP lance Insight Dynamics -VSE. S'intégrant à l'outil de gestion de plate-forme HP Insight Manager, il analyse et optimise en temps réel les ressources physiques et virtuelles de la salle de serveur et fonctionne avec les principaux hyperviseurs du moment. Le constructeur a également ajouté des outils d'automatisation dans Operations Orchestrations pour gérer les relations entre postes clients, applications, serveurs et périphériques de stockage. Enfin, côté services, HP propose Adaptative Infrastructure as a Service, qui propose la location d'applications à la demande - comme Microsoft Exchange ou SAP - hébergées dans les data centers d'HP, avec un temps d'adaptation se mesurant en heures et non en jours. Critical Facilities, Datacenter Consolidation et Datacenter Virtualization sont eux des services plus classiques de conseil, de conception et d'administration de salles de serveurs. (...)
(18/03/2008 12:53:28)Une unité de recherche pour la programmation multicoeurs
Maintenant que les processeurs multicoeurs s'installent sur tout type d'ordinateur, il faut des applications capables de tirer parti de ces nouvelles puces, grâce à la programmation en parallèle. Depuis le 21 janvier dernier, l'Université de Berkeley a créé le Parallel Computing Laboratory (ou Par Lab) pour explorer de nouvelles pistes de développement pour les processeurs massivement multicoeurs (quadri-, sextu- ou octo-coeurs comme les prochains modèles annoncés par AMD et Intel, voire au-delà). Pour l'instant, le Par Lab regroupe 14 chercheurs de l'Université. Celui-ci sera co-financé par Microsoft et Intel, à hauteur de 2 millions de dollars par an, pendant 5 ans. Les premiers travaux issus du Par Lab sont attendus d'ici à la fin de l'année. (...)
(17/03/2008 12:52:50)Passe d'armes entre Microsoft et VMWare sur le coût de la virtualisation
Microsoft considère que le prix est un élément de différentiation sur le marché de la virtualisation. C'est ce qu'a indiqué Barbara Gordon, vice-présidente de l'éditeur pour les ventes aux entreprises sur la zone EMEA, lors d'une interview accordée à notre confrère CIO UK, à l'occasion de la conférence European CIO Summit récemment organisée par l'éditeur. Une pique destinée à VMWare (et à ses tarifs confortables), qui réplique que là n'est pas le problème. « Je constate que les utilisateurs cherchent à réduire leurs coûts et que la virtualisation constitue une approche crédible, juge Barbara Gordon. Mais on peut aussi se demander si elle fournit aujourd'hui une option financièrement intéressante et si elle justifie l'investissement qu'elle implique. » L'hyperviseur de Microsoft sera là dans quelques mois Et Barbara Gordon d'estimer que les solutions actuellement proposées (sous-entendu par VMWare) sont vraiment chères. « Microsoft peut apporter de la valeur à ce marché », assène-t-elle. Interrogée sur le nombre de versions que proposera Hyper V, la vice-présidente a précisé que l'approche sera de proposer des solutions qui s'adapteront à l'environnement. « Nous aurons une offre très large. » L'éditeur de Redmond a livré en décembre dernier la version bêta de son hyperviseur Hyper V. La disponibilité définitive de l'offre interviendra dans le courant de cette année, mais probablement pas avant six mois. Microsoft a d'ailleurs essuyé des critiques sur l'absence d'Hyper V dans son offre Windows Server 2008 lancée en février. On s'attend à ce que l'arrivée d'Hyper V ait principalement un impact sur le coût des licences et du support. [[page]] L'offre sera commercialisée à la fois sous la forme d'un produit indépendant et dans une version intégrée aux différentes éditions de Windows Server 2008. VMware devra ajuster sa tarification, selon Gartner Pour le cabinet d'études Gartner, le chef de file de la virtualisation, VMware, a opéré sur ce marché sans rencontrer de concurrents pendant six ans. « Nous prévoyons que Microsoft s'octroie une part de marché très significative dans les entreprises de taille moyenne, puisque VMware est déjà très implanté dans les grandes entreprises. La concurrence est une bonne chose et l'arrivée de Microsoft va forcer VMware à ajuster sa tarification pour rester compétitif. » Interrogé sur ces assertions par CIO, Martin Niemer, responsable marketing senior chez VMware, ne voit aucun signe qui permettrait de penser « que les clients ne comprennent pas les enjeux de la virtualisation ». Pour lui, même si l'hyperviseur était fourni gratuitement, ce qui, rappelle-t-il « ne sera pas le cas de Microsoft Hyper V », le problème réside dans le nombre de machines virtuelles qu'il est possible de faire tourner sur un même serveur. « Si vous ne pouvez pas en faire fonctionner autant que vous voulez et que cela vous oblige à installer deux serveurs, indique Martin Niemer, cela multiplie votre coût par deux. C'est là que se situera la décision et cela dépend de ce que veulent faire les utilisateurs. » Il juge que l'intérêt de VMware est d'offrir une palette de solutions répondant à différentes situations. (...)
(14/03/2008 16:44:28)Observer la compression de la lumière pour une gravure plus fine
Pour la première fois, une équipe de chercheurs du CEA, du CNRS et de l'université de Troyes a visualisé des plasmons à la surface de conducteurs de 30 nanomètres. Les plasmons sont des quasiparticules, c'est à dire des ondes lumineuses qui se déplacent en restant collées au métal conducteur. A cette échelle, le plasmon développe un mode lent où il oscille à la fréquence de l'onde lumineuse (de l'ordre de 10 puissance 15 Hz, précisent les chercheurs, soit une fréquence un million de fois plus élevée que le gigahertz couramment rencontré dans les processeurs), mais avec une longueur d'onde bien plus courte. En théorie, il devient donc possible de combiner, dans un processeur à 30 nanomètres, une technologie de gravure standard et - via ces plasmons lents - des hautes fréquences optiques pour transmettre les informations. Cette voie a déjà été envisagée en 2004 par Mark Brongersma, de l'université de Standford, lorsqu'il a créé un modèle théorique de processeurs où des plasmons devaient transmettre l'information d'un transistor à l'autre 100 000 fois plus vite que dans un Pentium de l'époque. Aujourd'hui, la découverte des chercheurs français permet de franchir le premier pas vers la pratique en observant directement des particules qui, jusque-là, n'existaient que sur le papier. (...)
(10/03/2008 16:23:11)Le 'cloud computing' paré pour l'entreprise d'ici un an ou deux, estime Forrester
On n'en est encore qu'au stade de l'expérimentation, mais le 'cloud computing' devrait rapidement devenir une option viable pour les grandes entreprises, juge Forrester, dans un document qui vient de paraître. Le 'cloud computing' constitue l'évolution ultime des offres d'externalisation : l'hébergeur fournit une plateforme technique capable d'accueillir à peu près tout type d'application, et facture en fonction de la consommation des ressources (en règle générale, temps de processeur, espace de stockage et quantité de données transférées). Il suffit au client de posséder un identifiant et une carte bancaire pour ensuite bénéficier de puissance informatique comme il le ferait de puissance électrique. James Staten, analyste de Forrester Research, note dans son rapport que la dizaine d'offres actuelles possède des atouts non négligeables. Ceux qui offrent le 'cloud computing' ont un poids énorme dans les négociations avec les fabricants de serveurs, et bénéficient donc d'économies d'échelle considérables. En outre, ils ont acquis une compétence certaine dans la gestion des centres de serveurs et dans la répartition dynamique de la charge de travail. Chez eux, la mise en place est très rapide, et il n'y a aucun engagement sur la durée. En effet, contrairement aux hébergeurs traditionnels, les fournisseurs de 'cloud computing' ne s'embarrassent pas des pré-requis matériels ou logiciels des clients : ils fournissent une infrastructure transparente pour le client, dans la mesure où tout est géré par des outils de virtualisation et de grid (mise en grille des ressources). L'outil de grid de 3Tera, AppLogic, serait d'ailleurs plébiscité dans la mesure où il ne demande pas de modification de l'application à mettre en grid. Tellement simple que le 'cloud' permet de passer outre la DSI Le 'cloud computing' peut ainsi accepter des demandes de puissance informatique pendant très peu de temps, ce qui le rend idéal pour tester rapidement un prototype, fournir un service informatique pour une opération commerciale de courte durée, ou faire tourner des applications non critiques. Forrester cite ainsi l'hébergeur XCaliber, dont le service FlexiScale serait utilisé par une banque d'investissement française pour tester des modèles financiers. Recourir au 'cloud computing' est tellement simple, note Forrester, que cela peut aussi se faire en-dehors de la DSI. Certaines directions métier dans les entreprises seraient tentées d'y recourir pour passer outre les longueurs qu'elles attribuent au service informatique de leur entreprise. Toutefois, reconnaît le cabinet d'analyse, la majorité des utilisateurs aujourd'hui sont de petites structures qui n'ont pas d'existant. [[page]] Le manque de références est d'ailleurs pour Forrester le problème numéro un des fournisseurs de 'cloud computing'. Parmi les éléments négatifs, Forrester note encore le faible nombre de grands de l'informatique parmi les fournisseurs. Des grands noms de l'Internet comme Amazon, Salesforce et Akamai côtoient sur ce marché des hébergeurs plus classiques ainsi que des start-up, en attendant, écrit l'analyste, que les Microsoft ou Google ouvrent leur propre service. Forrester déplore aussi le manque de considération pour les préoccupations des grandes entreprises. Ainsi, il est la plupart du temps impossible de souscrire un contrat sur le niveau de service, d'utiliser ses propres outils pour la sécurité ou la supervision, ou de faire héberger une application de prise de commande par carte bancaire. « Serez-vous un fournisseur de 'cloud' ou bien un utilisateur de 'cloud' ? » Quoiqu'il en soit, James Staten prévoit que d'ici un an ou deux, le 'cloud computing' deviendra une option incontournable pour l'informatique d'entreprise. Non seulement pour des start-up (« avec le cloud computing, deux gars dans un garage pourraient créer un service et l'amener à un CA de 100M$ sans jamais acheter un seul serveur », écrit-il) mais aussi pour des grandes entreprises qui disposeraient ainsi de cette fameuse flexibilité qu'elles demandent à leurs équipes informatiques. Ou qui pourraient profiter de leur savoir-faire pour devenir elles-mêmes des fournisseurs de service informatique à la demande. Pour Forrester, il faut donc absolument expérimenter cette forme de service dès maintenant, ou au moins identifier des applications qui pourraient s'y prêter, pour ne pas manquer le grand tournant à venir. L'analyste pose en effet la question : « au moment où, pour beaucoup d'entreprises, il n'y aura plus de justification financière à posséder ses propres serveurs, serez-vous un fournisseur de 'cloud' ou bien un utilisateur de 'cloud' ? » (...)
(10/03/2008 12:21:36)Antitrust : Intel doit répondre demain à la Commission européenne
Intel est sous pression à la veille de son audition mardi par la commission antitrust européenne. La société se prépare à défendre quelques-uns de ses accords avec les fabricants de PC lors d'une audition par les régulateurs européens et ses concurrents mardi et mercredi. Les questions au sujet de sa manière de travailler avec les distributeurs devront attendre une autre fois. Des rabais importants s'ils achètent essentiellement du Intel La réunion de cette semaine sera centrée sur les accusations effectuées en juillet dernier par la Commission européenne : Intel distribuerait des « rabais importants » aux fabricants de PC s'ils achètent la plupart de leurs processeurs x86 chez Intel. La commission a aussi accusé la société de payer les fabricants afin qu'ils retardent le lancement de machines munies des puces de son concurrent AMD, et de vendre ses processeurs pour serveurs en dessous du prix à ses grands clients tels que les Etats ou les universités. Ce à quoi Intel a répondu qu'il est en concurrence dure mais juste sur un marché très concurrentiel. Cependant, ces accusations pourraient n'être que la base sur laquelle la Commission entend élaborer une affaire bien plus importante. Des perquisitions suite à une plainte d'AMD Le mois dernier, le régulateur a effectué des perquisitions dans les bureaux d'Intel à Munich (Allemagne) et dans les bureaux des plus gros distributeurs d'équipements électroniques en Europe : Media Markt (Allemagne, Italie, Hongrie, et Pologne), DSG International (Grande Bretagne) et PPR (France). La Commission a expliqué ces perquisitions par le fait qu'elle soupçonne Intel et les distributeurs de violer les lois interdisant les pratiques commerciales restrictives et l'abus de position dominante de la part d'Intel sur le marché des puces. Les préoccupations au sujet des relations entre Intel et les principaux revendeurs d'électronique ne datent pas d'hier, mais la Commission n'a ouvert une enquête qu'en 2006 après avoir reçu une plainte d'AMD, principal concurrent d'Intel. [[page]] Media Markt tout autant sur la sellette La Commission avait déclaré à l'époque qu'elle soupçonnait Intel de mettre Media Markt sous pression afin que le distributeur ne stocke pas de PC munis de puces AMD. Media Markt est une chaîne de magasins allemande avec 460 boutiques dans onze pays de l'Union européenne et est un canal de distribution majeur pour l'industrie des ordinateurs. Les perquisitions en ce début d'année ont porté l'attention sur Media Markt et les autres grands groupes de la distribution. « Media Markt est autant sur la sellette qu'Intel maintenant », a déclaré Jens Drew, le porte-parole d'AMD. Reste que les recherches récentes de preuves effectuées par la Commission sont interprétées par certaines personnes, proches d'Intel, comme le fait d'« aller à la pêche », révélant ainsi la faiblesse des efforts du régulateur lorsqu'il s'agit d'étendre l'affaire d'antitrust au secteur de la distribution. L'amende pourrait aller jusqu'à 3,2 Md$ John Drew, d'AMD, ne voit pas les choses comme ça : « Comme avec Microsoft, la Commission procède avec soin et construit un dossier solide, qu'elle pourra défendre en appel, qui sera inévitable. » Cependant, les auditions de la semaine prochaine seront consacrées uniquement aux pratiques commerciales d'Intel avec les fabricants de PC. Et si cela demeure ainsi, sans s'étendre à inclure l'attitude d'Intel dans le commerce de détail, « le pire des cas est d'écrire un chèque » a déclaré Paul Otellini, directeur général de Intel, dans une interview publiée dans Business Week magazine, en octobre dernier. Si la Commission déclare Intel coupable, elle peut mettre la société à l'amende de 10% de ses ventes internationales, soit environ 3,2 milliards de dollars. Mais, comme dans le cas de Microsoft, Intel s'inquiète plus des changements qu'il devra apporter à son modèle commercial qu'à n'importe quelle amende qui puisse lui être infligée. (...)
(07/03/2008 11:19:10)Les quadri-coeurs d'AMD enfin disponibles
La période noire d'AMD est désormais passée, a affirmé Kevin Knox, en charge des serveurs et des stations de travail chez le fondeur. L'Opteron 1000 (Barcelona) commencera à être produit en volume à compter de ce mois-ci et les premiers systèmes équipés de ce vrai quadri-coeur en 65 nm devraient être livrés dès avril. Cette annonce met un terme à près de neuf mois de déboire pour ce processeur. Par ailleurs, l'Athlon AM3 (quadri-coeur pour système monoprocesseur) sera disponible avant la fin du deuxième trimestre. Un bémol à ces bonnes nouvelles : AMD doit encore monter en puissance au niveau de sa qualité de production (yield). Du coup, les fréquences annoncées, jusqu'à 2,3 GHz, restent encore en deçà des promesses faites. (...)
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |