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(15/11/2007 17:58:04)

IBM lance une grille sous le nom de Blue Cloud

Avec Blue Cloud, IBM lance un marketing original pour promouvoir la mise à disposition de ressources informatiques. Le modèle est pourtant très proche des grids déjà proposés tant par Sun, Yahoo ou Amazon. Ce dernier venant de signer un accord avec Red Hat en vue de la mise à disposition de RHEL. IBM tente de se différencier en insistant sur la couche applicative. Au dessus de ressources systèmes, qui tirent profit de ses propres serveurs avec des logiciels Open Source (Linux....) et administrés par des outils maison (Tivoli...), le groupe propose son SGBD DB2, son middleware WebSphere et Hadoop de la fondation Apache. Hadoop, qui bénéfice du savoir-faire de Google en la matière, vise à tirer profit d'architectures système massivement parallèles pour faire tourner des applications. C'est en cela que Blue Cloud innove : permettre aux clients intéressés de déployer dans le monde entier la même application à partir d'une grille. A compter du printemps 2008, Blue Cloud reposera sur des machines virtuelles hébergées sur des BladeCenter (les châssis de serveurs lames maison). Lorsque les lames auront des processeurs x64 (x86 64 bits), l'hyperviseur sera Xen et les lames Power utiliseront PowerVM. Le tout étant administré avec Tivoli. IBM prévoit d'insérer rapidement des mainframes System z dans son Blue Cloud. Ces systèmes sont conçus depuis belle lurette pour héberger des machines virtuelles et reconnaissent Linux. A terme, tous les autres environnements systèmes supportés par IBM (AiX, i5/OS, Windows) devraient être éligibles. Faute d'être présent sur les marchés de la micro personnelle et des imprimantes, IBM a été dépassé par HP au rang de numéro un mondial arithmétique de l'informatique. En contrepartie, Big Blue mène en tête la course aux services. Toujours soutenu par sa forte présence dans les domaines réservés de l'informatique d'entreprise, il se devait de proposer une offre de "computing utility" adaptée à un monde informationnel basé sur l'interconnexion des systèmes, l'accès aux données en temps réel, et les architectures orientées vers les données (SOA, Web 2.0). (...)

(15/11/2007 15:58:14)

Microsoft dévoile une bêta du successeur de Windows Compute Cluster Server

Un peu plus d'an après la sortie de Compute Cluster Server, la version de Windows Server 2003 dédiée au calcul hautes performances (HPC, high performance computing), Microsoft lance déjà une version bêta de son successeur : Windows HPC 2008, attendu pour une commercialisation générale fin 2008. Ce système sera, selon Microsoft, 30% plus performant que son prédécesseur. Il s'en distinguera également par une connexion réseau plus rapide, l'ajout de gestion des grappes de calculs, un planificateur de tâche SOA (architecture orientée services) et la possibilité de travailler dans un environnement hétérogène. Plus concrètement, Microsoft s'est rapproché du Global Grid Forum (plutôt pro-Linux jusqu'ici) pour développer un méta-planificateur capable de répartir le travail entre différentes grappes quel que soit le système d'exploitation installé. Microsoft s'est engagé à distribuer gratuitement ce logiciel avec HPC 2008. La gestion de fichiers devient également plus ouverte. Le système sera compatible avec les systèmes de fichier Panasas, Polyserve et GPFS. Kyril Faenov, directeur de l'unité HPC de Microsoft, espère qu'il en sera de même pour Lustre, le système de fichiers Open Source maintenu par Sun. Avec ce système d'exploitation, Microsoft veut devenir l'un des acteurs incontournables du calcul haute-performance. « Nous pensons que nous sommes prêts à nous mesurer à certains des plus grands clusters sur le marché » estime, confiant, Kyril Faenov. Il faut d'ailleurs noter que six systèmes basés sur CCS 2003 ont fait leur entrée dans le Top 500 des supercalculateurs. (...)

(15/11/2007 13:05:01)

OpenWorld : Dell va intégrer et supporter Solaris

Il est d'usage, à OpenWorld, de voir des ténors de l'industrie informatique comme IBM, Intel, AMD, Dell ou Sun profiter de la scène que leur ouvre leur partenaire Oracle (à l'occasion de sa conférence annuelle) pour faire leurs propres annonces. Cette année, à San Francisco (11-15 novembre), Jonathan Schwartz, PDG de Sun, a accueilli lors de son discours sur scène Michael Dell, fondateur et PDG de Dell, pour révéler à deux voix un accord de partenariat autour de Solaris. Le constructeur va intégrer le système d'exploitation Solaris 10 de Sun sur certains de ses serveurs PowerEdge. La coopération entre les deux fournisseurs couvre le développement et la certification des offres communes. Des configurations sur lesquelles Dell assurera également le support aux utilisateurs par l'intermédiaire d'intégrateurs ou directement pour les grands clients. Michael Dell, grand zélateur des technologies vertes, a présenté à Jonathan Schwartz un tee-shirt vantant les mérites du green computing. Le maillot arborait aussi le slogan « I'm listening » illustrant ainsi sa volonté d'être à l'écoute de ses utilisateurs. Par exemple, en élargissant le choix qu'il leur propose avec l'ajout d'un autre système d'exploitation Open Source. Lors de l'édition 2006 d'OpenWorld, Michael Dell avait annoncé ses premiers serveurs à base d'Opteron, les processeurs d'AMD. (...)

(15/11/2007 09:55:42)

OpenWorld : Sun aussi virtualise gratuitement

En réaffirmant l'importance de l'Open Source et des technologies de virtualisation, lors de sa visite parisienne mardi dernier, le co-fondateur de Sun, Scott McNealy, avait invité son auditoire à ne pas manquer les annonces de Jonathan Schwartz, le lendemain sur OpenWorld (grand-messe annuelle d'Oracle, San Francisco, 11-15 novembre). L'intervention californienne du PDG de Sun a effectivement confirmé l'arrivée de xVM, une plateforme gratuite de virtualisation et d'administration de centre de données sur laquelle le fournisseur avait déjà laissé filtré des informations. Pour Jonathan Schwartz, cette annonce capitalise sur des années de recherche en virtualisation autour de la plateforme Java, du système d'exploitation en Open source OpenSolaris et du processeur UltraSparc. Le dirigeant de Sun prévoit d'investir quelque 2 milliards de dollars en recherche et développement sur sa famille xVM. Les premiers produits livrés seront l'hyperviseur xVM Server et xVM Ops Center, une console d'administration unifiée (livrée sous licence GPLv3) qui permettra de gérer à la fois les éléments virtuels et physiques de la plateforme. Une touche de Xen et une pleine mesure de ZFS De même qu'Oracle, qui annonçait deux jours plus tôt sa propre offre de virtualisation de serveurs, Sun exploite dans son hyperviseur une partie du code développé par la communauté Open Source Xen. xVM Server va permettre de virtualiser des environnements mixtes, sous OpenSolaris, Linux et Windows. Ces deux derniers, considérés comme des « instances invitées », bénéficieront alors de la technologie d'auto-dépannage Predictive Self-Healing d'OpenSolaris et de son serveur de fichiers 128 bit ZFS, qui fournit ici ses capacités de virtualisation du stockage. Le tout sur des infrastructures HP, Dell, IBM et Sun. Jonathan Schwartz souligne l'intérêt de prendre en compte l'ensemble des ressources dans la virtualisation, et notamment le stockage. Le dirigeant a évoqué au passage le procès que lui intente en ce moment même NetApp autour de ZFS. Scott McNealy l'expliquait mardi dernier : « En 1984, nous avons mis en Open Source NFS, ce qui est un cadeau énorme. NetApp s'en est emparé, sans un merci [...]. Vingt ans après, nous livrons ZFS, encore une fois en Open Source, et là nous n'avons pas de merci mais un procès ! » C'est pourquoi, comme l'a déjà raconté Jonathan Schwartz dans son blog, Sun s'est senti outragé et a décidé de répliquer en intentant un procès, respectant ainsi son principe de n'utiliser son portefeuille de brevets que « de façon défensive ». Le patron de Sun est revenu par ailleurs sur les atouts de l'Open source qui a permis une rapide adoption d'OpenSolaris et ZFS dans le monde entier, par des utilisateurs qui n'auraient sans doute jamais installé de matériel Sun. openxvm.org, une communauté pour xVM S'il en était encore besoin, le PDG n'a pas manqué de souligner les économies d'énergie générées par la virtualisation, à l'unisson avec les orateurs qui l'avaient précédé en début de semaine sur la scène d'OpenWorld (les dirigeants d'AMD, d'Intel ou de HP). « Le coût de l'énergie dépensée pour exploiter les serveurs finit par dépasser le coût des serveurs eux-mêmes », a-t-il rappelé. Enfin, Sun entend créer une communauté autour de xVM, afin d'assurer à l'offre une large adoption et de conforter son engagement auprès de ses utilisateurs, notamment ceux « qui ne peuvent pas payer le logiciel », affirme Jonathan Schwartz. « C'est un engagement que nous ne prenons pas à la légère. » (...)

(14/11/2007 17:34:51)

Top 500 : Sept millions de milliards d'opérations à la seconde

Les évolutions du top 500 - le classement des 500 plus gros systèmes informatiques au monde - reflètent les grandes tendances de l'industrie. Le secteur HPC (High performance computing) n'est plus l'univers exceptionnel qu'il était jusqu'à il y a peu de temps. Tandis que des composants de machines de tous les jours trouvent leur place dans ces super clusters de calcul scientifique, l'architecture des systèmes d'entreprise s'inspire de plus en plus des modèles élaborés dans les plus grands centres de calcul. Cette "banalisation" s'accompagne d'une course à la performance toujours plus rapide. Le trentième classement semestriel du top 500 montre que la puissance totale de ce parc d'HPC a augmenté de 50% en six mois pour atteindre 6,97 Pétaflops*. Le système le moins puissant produit tout de même 5,9 Téraflops*. Si les États-Unis caracolent en tête, saluons l'apparition du premier système indien dans les dix plus puissants de la planète. L'arrivée des processeurs x86 64 bit (alias x64) multi-coeurs joue un rôle clé dans cette montée en puissance. Plus de 80% des systèmes reposent sur des systèmes x86 32 ou 64 bit. L'IBM Blue Gene/L du laboratoire national Lawrence Livermore est toujours en tête depuis novembre 2004. Sa dernière mise à jour porte sa puissance de calcul à 478,2 Téraflops. IBM reste le premier fournisseur avec 46,4% du parc installé et 45% des Pétaflops disponibles. HP arrive deuxième (32,3% du parc, 23,9% de la puissance). Avec 14 machines présentes, Cray n'est plus que l'ombre de lui-même. Avec SGI (22 systèmes) et Dell (24), cinq sociétés fournissent 458 des 500 systèmes répertoriés. Notons que Windows, absent encore l'an dernier de la liste, est parvenu à glisser six systèmes. Mais ils ne délivrent que 0,7% de la puissance totale. Linux, présent sur 426 systèmes, est, lui, à l'origine de plus de 70% des Pétaflops disponibles. * Téraflops : mille milliards de Flops (Opération à virgule flottante par seconde) * Pétaflops : un million de milliards de Flops (...)

(14/11/2007 12:53:51)

Le 29 novembre, IBM mettra du vert dans ses technologies

IBM a choisi de placer la 3ème édition de ses Journées Technologiques, sous le signe de l'environnement. Jeudi 29 novembre, à l'IBM Forum de Paris La Défense, des experts internationaux, les « IBM Fellows » se déplaceront pour présenter les technologies et services «verts » d'IBM. Les participants à cette journée, organisée à la carte, pourront ainsi découvrir les solutions de consolidation et de virtualisation les plus écologiques développées par Big Blue En matinée, une séance plénière permettra d'échanger sur les offres et solutions "Green Data Center", et la virtualisation. L'après-midi, 16 ateliers au choix seront notamment dédiés à la consolidation, et à la virtualisation, et aux nouveautés technologiques d'IBM. (...)

(13/11/2007 17:30:50)

Scott McNealy, VRP de Sun à Paris

Désormais VRP de luxe pour Sun, Scott McNealy parcourt le monde à la rencontre des grands clients, grands comptes et administrations. A l'issue de son étape parisienne, le cofondateur et président du conseil d'administration de Sun a pris un peu de temps pour rencontrer la presse ce matin avant de partir pour l'Allemagne. Louant le travail « fabuleux » de Jonathan Schwartz à la tête du groupe, Scott McNealy a qualifié de stupides les propos de Larry Singer, un ancien vice-président du groupe qui expliquait récemment qu'il aurait fallu se focaliser sur les produits constituant le coeur de métier de Sun, afin de générer du revenu, plutôt que d'ouvrir du code logiciel et en attendre un retour sur investissement des années après. Pour Scott McNealy, « on ne peut ignorer l'avenir ». Il faut créer une communauté permettant de rester sur le devant de la scène, et préparant ainsi de futurs contrats - « en vendant des serveurs, du stockage, des commutateurs, des services... c'est ainsi que nous monétisons nos efforts ». Faisant référence aux derniers résultats du groupe, le « chairman » de Sun explique d'ailleurs que « les chiffres parlent d'eux-mêmes ». Un autre volet de la stratégie de Sun repose sur la virtualisation. Et pas simplement celle des systèmes d'exploitation sur les serveurs, insiste Scott McNealy, qui explique que Sun exploite déjà ce concept dans de nombreux domaines, dont les réseaux. Néanmoins, il a rappelé l'accord récent entre Sun et Microsoft, afin de faire tourner Solaris sur Windows et Windows sur Solaris « sans avoir besoin d'un VMWare à 10 000 dollars par processeur ». Et il a invité son auditoire à attendre le discours de Jonathan Schwartz sur Oracle OpenWorld (qui se tient en ce moment à San Francisco) demain pour d'autres annonces liées à la virtualisation. Visiblement attiré par le côté matériel de Sun, Scott McNealy a enfin mis en exergue la façon dont le groupe tente d'être 'vert' dans toutes ses démarches. Ainsi, le processeur Sparc consommerait « le moins de watts par thread », et les entreprises désireuses d'investir dans un centre de serveurs auraient tout intérêt à considérer la 'Blackbox' de Sun : un container empli de serveurs en racks, où « la circulation d'air est optimisée », précise Scott McNealy, car le flux d'air frais « va directement sur le processeur ». Résultat : une ventilation « 20% plus efficace », et donc autant d'économies sur la facture d'électricité, et un effort de plus contre le réchauffement climatique. (...)

(12/11/2007 16:35:57)

Dell revoit ses gammes et la philosophie de ses serveurs

La réorganisation de la taxinomie de l'offre serveur de Dell illustre des changements plus profonds que la simple prise en compte des derniers processeurs. Les nouvelles gammes de serveurs de Dell autour de trois facteurs de forme selon la lettre R (pour rack), T (pour tour) et M (pour modulaire). Ces lettres sont suivies par trois chiffres. Le premier, situé entre 1 et 9 indique la puissance (9 pour un quadriprocesseur, 1 pour un monoprocesseur), le second indique sa "génération" (son âge) et le troisième, soit un 0 soit un 5, permet de savoir si la machine est animée par un processeur Intel (0) ou AMD (5). C'est ainsi que le serveur le plus puissant de Dell, qui succède au PowerEdge 6850, et un PowerEdge R900, animé par quatre processeurs Intel Xeon 7350. Dès le lancement de cette taxinomie, Dell s'offre une incartade. Les machines 1950, 2950 et 2900 sortent du rang. Elles sont animées par des Xeon 5400 quadri-coeur de dernière génération. Dell en profite pour annoncer la version 5.3 d'OpenManager. Le constructeur la décrit comme capable de mieux gérer l'énergie et de prendre en compte la virtualisation des systèmes. (...)

(12/11/2007 16:09:00)

Sun revient par le haut dans le monde des supercalculateurs

Le super calculateur Constellation de Sun prend forme. Annoncée en juin dernier, la première installation s'achève au TACC (Texas Advance Computing Center). La bête, qui n'utilise que des éléments standard, à l'exception du switch Infiniband, se compose de 82 serveurs lame insérés dans le châssis haute-densité Sun Fire 6048, de 72 serveurs de stockage X4500 et de deux switches 3456. Connus jusque-là sous le nom de Magnum, ces switches Infiniband Sun Datacenter 3456 peuvent, comme leur nom l'indique, gérer 3456 ports. Ils supportent une bande passante de 110 Tbit/s. Sun souligne que son châssis peut indifféremment accueillir des serveurs lames dotés de processeurs Xeon d'Intel, Opteron d'AMD et Sparc de Sun, le tout avec différents systèmes d'exploitation (Solaris, Linux et Windows). Capable d'atteindre une puissance de traitement en pointe de 521 Teraflops, ce système devrait supplanter l'IBM Blue Gene/L (360 Teraflops) en tête du classement des 500 machines les plus puissantes au monde. Le Constellation du TACC vient s'insérer dans la grille de calcul TeraGrid, dont il double la puissance. Avec cet HPC (High Performance Computing), Sun fait son retour dans le monde des supercalculateurs. Lui qui ne comptait qu'un seul autre système qui apparaît en cinquante-deuxième position et qui se fait distancer par tous les constructeurs, y compris Dell. De là à penser que Sun s'intéresse de nouveau à ce secteur, il n'y a qu'un pas que franchit Steve Conway, analyste chez IDC. Il explique de façon pragmatique ce regain d'intérêt : le marché HPC croît deux à trois fois plus vite que celui des serveurs d'entreprise. De 10 Md$ en 2003, il atteindra 15,5 Md$ en 2011. Une telle croissance sur un secteur qui donne la prime à la performance ne peut qu'intéresser Sun. Rappelons qu'en septembre dernier, Sun a annoncé qu'il rachetait CFS (Cluster File Systems), éditeur spécialisé sur le gestionnaire de fichiers distribués Open Source Lustre. En savoir plus Le site du classement des 500 systèmes les plus puissants du monde . La liste devrait être remise à jour mercredi 13 novembre. (...)

(12/11/2007 13:39:48)

Intel lance ses premiers Penryn sur le marché

Ils sont là. Les nouveaux processeurs Intel Penryn gravé à 45 nanomètre avec le nouvel alliage « high-k gate » sont disponibles depuis hier. Plus exactement 12 processeurs Xeon quadri-coeurs, trois processeurs Xeon bi-coeurs pour le marché des serveurs et un processeur Core 2 Extreme pour les PC haut de gamme sont en vente. Ils seront suivis durant le premier trimestre 2007 par des processeurs pour PC et portables. Ces nouveaux processeurs, plus économes en énergie, seront également de 15 à 20% plus rapides selon Intel. Les processeurs pour serveurs seront commercialisés de 177 à 1279 dollars par lot de mille, le Core 2 Extreme QX9650 sera commercialisé à 999 dollars par lot de mille. (...)

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