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(06/01/2010 12:15:17)
10 services web à suivre en 2010
En 2010, 10 sites et services Web devraient connaître une forte croissance. Certains d'entre eux sont déjà célèbres, comme Android Market de Google ou Bing de Microsoft. Tandis que d'autres, dont le périmètre est pour l'instant restreint aux États-Unis, sont moins connus mais préfigurent peut-être les prochains phénomènes du Web. 1 - Bing sur les traces de Google Quand Bing est apparu en 2009, il a suscité le scepticisme, Google étant considéré comme l'indéboulonnable standard de fait. Comment un challenger pourrait-il prendre une part de marché significative ? Mais Microsoft a su innover en offrant la possibilité de rechercher des images et des « tweets » ou encore en intégrant les résultats de recherches provenant du moteur sémantique Wolfram. Bien que Google reste largement leader, Bing a déjà pris plus de 10 % de part et continue à progresser. En 2010, Microsoft devrait appuyer sur l'accélérateur, notamment en profitant du fait que la version Web d'Office 2010 devrait ramener des utilisateurs vers Bing. 2 - Android Market : Google sur les traces d'Apple Aujourd'hui, le système Android de Google est présent dans seulement 3,5 % des smartphones dans le monde. Mais d'ici 2012, selon Gartner, il arrivera en deuxième position, juste derrière l'iPhone. En 2009, seulement 10 modèles en étaient équipés mais cette année, ce nombre devrait monter à 50. A en juger par l'enthousiasme des constructeurs et des développeurs d'applications, ces projections pourraient même s'avérer pessimistes. L'Android Market propose déjà près de 20 000 applications (contre 90 000 pour l'App Store dédié à l'iPhone) mais fin 2010, l'écart se sera considérablement réduit. 3 - Google Voice : vers la téléphonie mobile gratuite Google Voice a créé la polémique en 2009, lorsqu'Apple, probablement sous la pression de son partenaire AT&T, l'a exclu de l'App Store. AT&T craignait en effet que ce service de VoIP qui permet d'unifier plusieurs numéros et services téléphonique, ne vienne bouleverser le paysage des services de téléphonie traditionnels. Mais la gratuité de Google Voice sur les appels longue distance pourrait finalement lui permettre de s'imposer. De plus, Google vient de racheter Gizmo5, un autre service de VoIP, complémentaire de Google Voice dans la mesure où il cible les appels courte distance gratuits (ou peu coûteux) à partir de portables. On parle depuis quelques semaines d'un Google Phone signé Google, qui intégrerait ces deux services de VoIP et qui serait déverrouillé, afin de fonctionner avec n'importe quel opérateur. Il serait paramétré pour passer le plus souvent possible par Google Voice ou Gizmo5 plutôt que par les réseaux GSM. 4 - Grooveshark : le site musical qui monte Le site Grooveshark a connu une croissance phénoménale en 2009, qui devrait se poursuivre cette année. Ses atouts : il permet d'écouter gratuitement et immédiatement, avec une qualité tout à fait correcte, n'importe quel morceau de musique. Outre la gestion de playlists, Grooveshark permet de constituer des réseaux avec les autres utilisateurs, et d'être informé de la sortie de nouveau morceau, par des personnes dont on considère qu'ils ont les mêmes goûts. 5 - Justin.tv : la vidéo (vraiment) en direct Le prochain phénomène du Web pourrait être la vidéo en direct. Non pas les bonnes vieilles séquences que l'on trouve sur Youtube mais des vidéos filmées en temps réel. C'est ce créneau qu'occupe déjà le site Justin.tv, alimenté par ses membres grâce à des caméras vidéos. D'autres sites, comme UStream Qik, permettent de diffuser des flux via des smartphones. [[page]] 6 - Clicker : un moteur de recherche orienté vidéo Ne nous voilons pas la face, la vidéo à la demande sur Internet n'a pas encore pris son envol. Les programmes sont bel et bien diffusés sur le Web mais ils sont disséminés sur des milliers de sites et il est souvent très difficile de les trouver. Il manque un annuaire centralisé facile à utiliser, qui permettrait de débusquer n'importe quelle vidéo. Clicker est probablement ce qui se rapproche le plus d'un tel service. Sa fonction de recherche est particulièrement impressionnante. L'année 2010 pourrait voir son audience exploser. 7 - Yammer : un Twitter pour travailler Dédié au travail collaboratif, Yammer fonctionne sur le principe du microblogging démocratisé par Twitter, à ceci près qu'au lieu de vous demander « ce qui se passe ? », il vous pose la question : « sur quoi travaillez-vous ? » Autrement dit, il porte l'esprit Twitter dans la sphère professionnelle. Et cela, en conservant le principe de la gratuité. 8 - Wikitravel.org : le Wikipedia des voyageurs Lorsque l'on travaille, on veut avoir le maximum d'informations sur notre destination, avant même de partir. Inspiré par Wikipedia, Wikitravel concentre des masses d'informations sur des milliers d'endroits à travers le monde. Tout le contenu est rédigé par des voyageurs, qui savent donc de quoi ils parlent. Comme dans le cas de Wikipedia, la fiabilité des informations est en principe garantie par une autorégulation synonyme de suppression rapide des informations erronées. 9 - Postabon : un réseau social pour les acheteurs Postabon gère des communautés de consommateurs à la recherche de bons plans et de prix attractifs. Dans le vocabulaire Postabon, un post est un « Bons » et un chasseur de bons plans qui postent beaucoup de Bons est un « Karma ». Que ce soit sur le navigateur d'un PC ou sur l'iPhone, les Bons apparaissent automatiquement sur une carte correspondant à la géolocalisation de l'utilisateur (effectuée approximativement via le réseau). Ce service n'est pour l'instant disponible qu'à New York mais il devrait être rapidement étendu à d'autres villes. 10 - Fancast Xfinity TV : la TV à la demande sort des limbes Après en avoir parlé pendant un an, le câblo-opérateur américain Comcast a enfin mis en ligne une version Web de ses services de télévision. Il est donc désormais possible de regarder quelque 2000 heures de programmes et autres films, sur un PC, en mode « on demand ». Les premiers tests montrent une certaine pauvreté des contenus, due au fait que Comcast a éprouvé des difficultés à trouver un terrain d'entente avec certains fournisseurs mais cela ne devrait pas durer. (...)
(06/01/2010 12:13:49)Calendrier 2010 chargé pour l'Arcep
( Source EuroTMT ) L'année qui débute s'annonce, encore, très chargée pour l'autorité de régulation même si celle-ci a réussi à boucler avant la fin de 2009 deux dossiers structurants. Elle a ainsi traité l'attribution de la quatrième licence mobile 3G et le cadre de déploiement du très haut débit en zones très denses. Durant le deuxième semestre 2009, l'Arcep a donc soumis à consultation plusieurs documents importants. Ces consultations doivent déboucher sur des décisions cette année tant pour ce qui concerne la téléphonie mobile, que pour le très haut débit et l'accès aux infrastructures de France Télécom. Sans oublier la poursuite de l'attribution des deux blocs de fréquences 3G encore disponibles, puis l'organisation de l'attribution des fréquences du dividende numérique et de la bande des 2,6 GHz. 1. Fréquences 3G restantes : Après l'attribution du lot de fréquences réservé au nouvel entrant, l'Arcep doit maintenant distribuer les deux lots restants. En annonçant fin décembre qu'Iliad obtenait la quatrième licence, l'autorité indiquait que la procédure pour les deux lots n'était pas encore connue. Selon des analystes, la solution retenue pourrait être un mélange entre des enchères et des critères d'attribution (essentiellement l'ouverture aux opérateurs mobiles virtuels MVNO). La Tribune indique aussi que le gouvernement pourrait fixer un prix de réserve de 120 millions d'euros, les trois opérateurs en place militant pour un prix plus élevé (200 millions) alors qu'Iliad veut un prix plus faible (50 millions), lui permettant alors de participer à la procédure sans alourdir significativement le coût de son entrée dans la téléphonie mobile. 2. Coûts de la téléphonie mobile : En novembre puis en décembre, l'Arcep a lancé deux importantes consultations : la première concerne son analyse de marché sur la terminaison d'appel SMS (TA SMS) et la seconde sur les coûts des opérateurs mobiles. Ces deux consultations sont complémentaires. La seconde doit lui permettre d'affiner sa connaissance des coûts des opérateurs, ce qui lui permettra de valider ses modèles déterminant les tarifs des TA mobile et SMS. Concernant le SMS, des décisions devraient être prises rapidement. Pour la TA mobile, si les opérateurs connaissent déjà l'évolution des tarifs qui s'appliqueront entre le 1er juillet et 31 décembre, l'Arcep doit donc décider comment évolueront les tarifs à partir de 2011. En sachant que la Commission européenne recommande d'utiliser un modèle de coûts incrémentaux, permettant de fixer un TA mobile autour de 1,5 centime d'euro. Photo : Jean Ludovic Silicani, président de l'autorité de régulation des télécoms (D.R.) [[page]] 3. Haut débit : Autre décision très attendue, cette fois par les collectivités locales et les opérateurs alternatifs : la définition d'un cadre par l'Arcep organisant la montée en débit de la boucle locale en cuivre de France Télécom. La mise en oeuvre de cette disposition a deux objectifs : élargir le marché du DSL aux zones qui en sont encore privées et améliorer l'offre de débit dans les zones couvertes par le DSL mais dont les débits sont inférieurs à 1 ou 2 Mbit/s. L'Arcep a donc lancé au cours du deuxième semestre une consultation publique et doit publier très rapidement ses conclusions. 4. Très haut débit : Après les zones très denses, le cadre du déploiement des réseaux optiques FTTH dans les autres zones doit maintenant être éclairci. Et dans ces zones, l'accès aux infrastructures de génie civil de France Télécom est essentiel. D'où la consultation lancée par l'Arcep fin décembre sur les conditions économiques de l'accès aux fourreaux de l'opérateur historique. Si les opérateurs alternatifs ont déjà accès à cette infrastructure, ils en contestent les tarifs. La consultation devrait donc permettre à l'autorité d'apprécier la réalité des coûts de France Télécom et de faire évoluer, si cela se révèle nécessaire, ses tarifs. (...)
(05/01/2010 11:16:51)Hadopi 2, les premiers décrets d'application publiés au Journal officiel
Les décrets relatifs à la Haute Autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet ("Hadopi 2") ont été publiés au Journal officiel (édition du 31 décembre 2009). Comme prévu, cet organisme sera chargé de mettre en oeuvre la loi contre le téléchargement illégal via un dispositif de riposte graduée. Même si d'autres décrets viendront définir les modalités d'action d'Hadopi 2, ces décrets intronisent de manière officielle l'autorité chargée d'appliquer un texte controversé qui fut adopté par le Parlement le 22 septembre 2009 après la censure d'une première mouture devant le Conseil constitutionnel, le 10 juin dernier. Cette Haute Autorité comprend une commission de protection des droits qui aura notamment pour mission d'avertir les internautes identifiés comme ayant téléchargé de manière illégale des contenus en ligne (musique, films, etc.). Encore un petit répit avant la répression Mais avant de poursuivre les internautes, Hadopi 2 devra cependant attendre la publication de décrets supplémentaires. Le dispositif de "riposte graduée", qui demeure la mesure phare de la loi contre le téléchargement illégal, prévoit deux niveaux d'avertissement. Dans un premier temps, l'internaute identifié recevra un avertissement par e-mail, puis, en cas de récidive, un second par lettre recommandée. En cas de troisième infraction, une suspension de son abonnement Internet pour une durée maximale d'un an pourra être prononcée par le juge, mais aussi une amende, voire une peine de prison. Le texte prévoit pour les contrevenants une amende de 1.500 euros, qui sera doublée en cas de récidive. Les plus gros pirates poursuivis pour contrefaçon pourront se voir infliger une amende de 300.000 euros et une peine de trois années de prison ! (...)
(04/01/2010 17:06:20)Adobe sera plus visé que MS Office en 2010 par les pirates, selon McAfee
Flash et Reader d'Adobe seront davantage visés par les pirates en 2010 que Microsoft Office, prédisent les chercheurs de McAfee. L'éditeur d'antivirus a publié ses prédictions sur les menaces que nous devons attendre cette année. Au vu du taux de déploiement des technologies clientes d'Adobe, McAfee conclut qu'elles subiront plus d'attaques qu'Office, les auteurs de 'malvares' (logiciels malveillants) privilégiant le meilleur retour sur investissement. De même, note le rapport, l'arrivée progressive de la version 5 de HTML, qui « brouille la distinction entre applications en ligne et applications installées sur le PC », et cela pour toutes les plateformes, accélérera ce glissement du logiciel lourd au Web. Une tendance renforcée par le succès des outils de réseaux sociaux, Facebook avec ses 350 000 applications pas forcément toutes dénuées d'arrière-pensée, ou encore Twitter qui a popularisé les raccourcisseurs d'adresses comme bit.ly ou tinyurl.com, aux URL non explicites, et donc potentiellement plus dangereuses. Google Wave et Chrome OS, pains bénits pour les auteurs de 'malwares' Ce mélange de Web, d'applications clientes, et d'applications « recommandées par des amis » constitue un cocktail explosif, note McAfee, qui pointe déjà les bénéfices que les pirates pourront retirer du grand brassage de technologies opéré par Google, avec son service collaboratif Wave et son futur système d'exploitation connecté, Chrome OS. Toutefois, en-dehors de la prédiction concernant Adobe, les chercheurs de McAfee ne se risquent pas à émettre de suppositions trop précises. Les exemples évoqués de vol d'informations confidentielles, voire de détournement d'argent, décrivent des méthodes qui font peur, mais ne sont pas associées à des éléments qualitatifs (moyens prophylactiques) et quantitatifs (occurrences de ces attaques) permettant de juger de leur importance. Si en conclusion McAfee souligne les efforts des services de police pour endiguer le crime informatique, le lecteur comprend, en creux, qu'il reste essentiel en 2010 et pour les années à venir de se prémunir, avec force antivirus, analyseurs d'URL, antispam, etc. (...)
(30/12/2009 11:01:10)Twitter publie une liste de 386 mots de passe à bannir
Fans de George Lucas, ne vous inscrivez pas sur des sites publics avec des mots de passe comme starwars ou THX1138, ils sont trop simples à deviner. Plutôt que de se contenter d'inviter ses nouveaux utilisateurs à choisir des mots de passe compliqués, Twitter en a carrément banni 386 (à l'heure où nous publions ces lignes), inscrits en dur dans le code source de sa page d'adhésion au service. De même que les programmeurs reproduisent fréquemment des erreurs toutes bêtes compromettant la sécurité de leur code, les internautes ont tendance à utiliser et réutiliser des mots de passe trop simples ou trop largement répandus, compromettant la sécurité de leur compte. Dans un effort louable, quoique évidemment incomplet, le service de micro-blogging a donc pris les devants, afin d'empêcher l'utilisation de ces mots de passe peu sûrs. Pour que chacun - internaute comme créateur de site - puisse s'en inspirer, et l'adapter à un usage en France, nous reproduisons ci-dessous la liste. (...)
(28/12/2009 17:55:41)10 services Google pour les entreprises
Les milliards de dollars de chiffre d'affaires de Google proviennent aujourd'hui essentiellement de la publicité. Mais le géant nourrit désormais l'ambition de proposer une plate-forme de cloud computing universelle. Le système d'exploitation Chrome OS, destiné à équiper des terminaux dédiés à l'accès à Internet, est le dernier pion avancé dans cette direction. Voici un aperçu des services en développement ou déjà proposées aux entreprises et aux développeurs. On remarquera que la collaboration est un thème récurrent. 1- Gmail pour les entreprises Pendant longtemps, Gmail n'était qu'une messagerie en mode webmail, concurrente de Hotmail ou Yahoo Mail. Mais elle est désormais déclinée en version entreprise, ciblant ceux qui ne souhaitent plus consacrer des ressources à gérer un serveur Exchange ou Lotus Notes. Gmail s'intègre en outre dans la suite bureautique en ligne Google Apps. La ville de Los Angeles vient de franchir le pas, après avoir évalué ce service au niveau de la sécurité, du contrôle de la vie privée et de la qualité de service. En France, Total étudie, par exemple, la solution de messagerie du géant américain même si aucune décision n'a encore été prise. 2 - Postini : un service de sécurité multi-messageries En 2007, Google a racheté Postini, un service destiné à sécuriser les messageries existantes, notamment via un antivirus en ligne. Google est actuellement en train de greffer ses fonctions sur ses propres applications - Google Apps et Gmail - afin de lever certaines des réticences des entreprises vis-à-vis du Cloud Computing. 3 - Calendar : partager un agenda avec des partenaires Dans les entreprises, de nombreuses entités utilisent Google Apps, parallèlement aux outils bureautiques officiellement déployés. L'un de ses modules, Google Calendar, est ainsi très souvent mis à profit pour partager rapidement un agenda au sein d'un groupe d'utilisateurs internes ou avec des partenaires et des clients. 4 - Google Docs : une suite bureautique basique orientée collaboration Toujours très basique , la suite Google Docs ne peut certes pas rivaliser avec la richesse de Word, Excel ou PowerPoint. Elle fournit toutefois les fonctions essentielles, dés lors que l'on dispose d'une connexion Internet. De plus, il est bien adapté à la réalisation d'un même document par plusieurs personnes géographiquement dispersées. 5 - Google Sites : un outil de création de site Web Issu du rachat de JotSpot en 2007, Google Sites est un outil de création de sites Web certes basique mais qui pourrait intéresser de nombreuses PME. Il se distingue par la possibilité de partager la gestion du site entre plusieurs personnes. La fonction de Wiki va également dans le sens de cette orientation collaborative. [[page]] 6 - Google Wave pour s'attaquer très bientôt à SharePoint Pour l'instant disponible en version bêta limitée, Google Wave veut concurrencer Microsoft SharePoint. Il fournit, en mode Saas, des fonctions de gestion collaborative de projets comparables mais se démarque par sa messagerie instantanée, omniprésente. 7 - Android, la plateforme mobile associée aux services Google Avec Android, Google est parvenu à proposer une alternative Open Source aux systèmes propriétaires d'Apple, Palm ou Nokia. Comme on pouvait s'y entendre, il est optimisé pour exploiter les services Gmail et Google Apps. Mais cette spécialisation pourrait être mal perçue par certaines entreprises, qui regretteront également la pauvreté des fonctions d'administration. 8 - Chrome OS, un système d'exploitation 100% web Destiné à équiper des terminaux nomades de type netbook qui devraient être commercialisés fin 2010, ChromeOS se présente comme une fine couche système entre le navigateur Chrome et le matériel. Son objectif : offrir un accès universel à toute application Web, éventuellement déployée par l'entreprise. 9 - Google Gears : le cloud computing sans Internet L'un des problèmes majeurs du Cloud Computing et du Saas, c'est que l'accès aux applications requiert une connexion Internet. Apparu en 2007, Google Gears apporte une solution en conférant au navigateur des capacités de traitement en local. Il offre une architecture à base de plug-in ciblant les différents navigateurs. Concrètement, elle donne au développeur le moyen de réaliser un plug-in unique, offrant accès à une application, que l'on soit en mode connecté ou déconnecté. Même si Google Reader et Zoho Office utilisent déjà Gears, cette technologie reste confidentielle. Signalons toutefois qu'avec l'arrivée de HTML 5, Google devrait progressivement abandonné Gears. 10 - Google App Engine : un environnement de développement en ligne Google App Engine est un environnement de développement et de déploiement d'applications construit sur un modèle proche de celui de Saleforce, l'éditeur de suivi de relations commerciales et de fichiers clients. Pour l'instant, on ne peut pas dire qu'il ait provoqué une ruée des développeurs mais Google espère qu'il profitera tôt ou tard du pouvoir d'attraction croissant qu'exercera sur eux, le Cloud Computing en général et ses services en particulier. (...)
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