Flux RSS
Internet
5069 documents trouvés, affichage des résultats 1771 à 1780.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(24/12/2009 12:48:36)
Twitter acquiert Mixer Labs et ses outils de géolocalisation
Afin d'améliorer les capacités de géolocalisation de son site de micro-blogging, Twitter vient d'annoncer l'acquisition de la société Mixer Labs et de son service GeoAPI. Cette interface de programmation va permettre aux développeurs de bâtir pour Twitter des applications qui préciseront le lieu où les messages ont été écrits. Ce type de service pourra être utilisé, notamment, pour recevoir les messages en fonction de leur provenance, pour rechercher des amis ou des entreprises, ou encore pour retrouver l'endroit où se déroule un événement. En août déjà, Twitter avait montré en avant-première des fonctions supplémentaires de localisation. Et le mois dernier, il a livré une API de 'geotagging' reprenant les indications fournies par les expéditeurs de tweets (désactivée par défaut, la fonction doit être mise en route par l'utilisateur). (...)
(22/12/2009 15:33:02)Twitter peut-être dans le vert grâce à ses accords avec Google et Microsoft
Twitter a été bien inspiré, cet automne, en scellant des accords avec Google et Microsoft pour indexer ses messages courts («tweets») dans leur moteur respectif de recherche sur le Web. Ces deux partenariats vont lui générer des revenus de plusieurs millions de dollars par mois, ce qui devrait conduire le site de micro-blogging à dégager un petit bénéfice cette année. Selon Bloomberg News, le contrat avec Google rapporterait 15 M$, tandis que celui signé avec Microsoft pour l'indexation dans Bing, permettrait au site de récupérer quelque 10 M$. De fait, la nouvelle fonction du moteur de Google permettant d'obtenir des réponses en temps réel remonte principalement des résultats venant de Twitter. En septembre dernier, Twitter a levé 100 M$ auprès de fonds d'investissement, ce qui a conduit à porter à 1 milliard de dollars la valorisation de la société californienne fondée en 2006. Le site compte désormais plus de 58 millions d'utilisateurs mensuels dans le monde, selon les évaluations de ComScore. (...)
(22/12/2009 14:10:20)Adobe diffère son correctif pour Acrobat et s'en explique
Adobe a décidé d'attendre la mi-Janvier pour diffuser son patch corrigeant le bug critique découvert sur ses logiciels Acrobat et Reader pour ne pas perturber son planning trimestriel de mise à jour de sécurité. Brad Arkin, directeur de la sécurité et de la confidentialité des produits chez Adobe, a expliqué que : «Nous avions deux options, soit réaliser une mise à jour spécifique pour corriger d'urgence cette vulnérabilité, soit essayez d'inclure le patch dans le correctif de janvier. Mobiliser nos ingénieurs pendant deux à trois semaines pour réaliser ce patch nous aurait obligé à retarder la mise à jour programmée au mois de février, voire plus tard. En travaillant d'arrache pied, nous avons estimé que nous pourrions réaliser le correctif pour l'inclure dans la mise à jour prévue en janvier." Pour prendre sa décision, Adobe a également consulté ses clients. Il est ressorti que "deux mises à jour auraient été beaucoup plus coûteuses pour les entreprises," a déclaré Brad Arkin. Le calendrier a également joué dans la décision d'Adobe de retarder le patch. En effet, à cause des vacances de fin d'année, les entreprises craignaient de ne pouvoir tester et installer le correctif avant le retour des salariés le 4 janvier. Une parade possible en verrouillant les API vulnérables Adobe maintient ses conseils aux utilisateurs pour contourner la faille et se protéger d'une éventuelle attaque jusqu'au 12 janvier. Selon l'éditeur, les versions actuelles contiennent une parade possible depuis qu'il a inclus un JavaScript Blacklist Framework pour ses logiciels Reader et Acrobat au sein son correctif de sécurité d'octobre. Cette nouvelle fonctionnalité permet aux utilisateurs et aux administrateurs réseaux de verrouiller certaines fonctions JavaScript spécifiques ou des API (interfaces de programmation) pour protéger les ordinateurs contre des attaques connues sans désactiver toutes les fonctionnalités JavaScript. « C'est la première fois que nous utilisons le JavaScript Blacklist Framework comme parade », a déclaré Brad Arkin. Des tests internes ont confirmé que le verrouillage d'API vulnérables protégeait les utilisateurs d'intrusions sauvages. Selon certains experts, la faille découverte lundi dernier par Adobe a été exploitée par les criminels depuis le 20 novembre. (...)
(21/12/2009 18:38:55)« Il faut développer la prise de risque vis-à-vis de l'innovation » (Interview de la députée Laure de la Raudière)
A l'initiative de l'éditeur de Blu-Age Netfective, une quinzaine de DSI et de dirigeants d'entreprises ont déjeuné avec Jacques Attali et Laure de la Raudière, Députée d'Eure-et-Loir, Vice-Présidente de la commission des affaires économiques à l'Assemblée Nationale, autour du sujet du financement des entreprises innovantes en général et des éditeurs de logiciels en particulier.
Cette ingénieur télécoms et ancienne chef d'entreprise s'est récemment lancée en politique. Si elle constate la fracture entre le monde politique et celui des chefs d'entreprises, elle veut le combattre afin, notamment, de permettre aux entreprises françaises innovantes de réussir sur le marché national et international.
Co-présidente du groupe d'étude UMP du Grand Emprunt, elle s'est réjouie que le Grand Emprunt apportera 4,5 milliards d'euros pour le numérique (dont deux milliards pour les infrastructures et 700 millions pour la numérisation du patrimoine culturel) et 6 milliards d'euros pour les PME innovantes, dont les PME du numérique.
Elle nous a accordé une interview exclusive en vidéo.
L'interview de Laure de la Raudière en vidéo
La députée concède qu'il y a un risque à financer sur fonds publics des PME qui pourront, demain, être rachetées par des grands groupes internationaux mais précise qu'il y a des possibilités de contrôle. Surtout, il est aussi possible que des entreprises françaises rachètent des firmes étrangères, à condition qu'elles disposent des fonds propres nécessaires.
L'un des problèmes majeurs rencontrés par les entreprises françaises, c'est de ne pas pouvoir se battre à armes égales avec les entreprises américaines. L'exemple le plus criant est celui des éditeurs de distributions Linux, comme Mandriva, qui se heurte à la vente liée PC-Microsoft Windows. Laure de la Raudière considère que le parlement est désormais davantage sensibilisé à ce genre de problèmes mais que ce n'est pas là le plus grave problème. Pour elle, le premier coupable est l'absence de la culture du risque en France : choisir une entreprise innovante française est rarement envisagé face à un mastodonte américain, même si les innovations sont porteuses de valeur ajoutée ou de moindre coût.
L'Etat peut bien sûr jouer son rôle dans le soutien aux entreprises innovantes, comme cela a été dit lors du déjeuner Netfective. Même si les élus ne peuvent pas intervenir dans l'attribution de marchés publics, ils doivent agir pour que certaines mauvaises habitudes changent, par exemple le fait d'exiger les bilans de trois exercices comptables pour admettre un candidat à un marché public, ce qui est évidemment impossible pour une jeune entreprise innovante. Cette réflexion est très lente et l'Etat devrait montrer l'exemple aux collectivités locales, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui.
L'interview de Laure de la Raudière en vidéo (...)
Numérisation de livres : La Martinière souhaite que Google négocie avec les éditeurs français
Le PDG du groupe d'édition français La Martinière aimerait trouver un terrain d'entente avec Google dans le dossier qui l'oppose à la société américaine sur la numérisation de livres sous droit d'auteur et leur diffusion sur Internet [sur son service Google Books]. Il y a trois jours, Google a été condamné par le Tribunal de grande instance de Paris à verser 300 000 euros de dommages et intérêts à La Martinière (groupe qui chapeaute notamment les éditions du Seuil) pour contrefaçon de droits d'auteur. Le TGI interdit à l'Américain de continuer à numériser et à afficher sans autorisation les ouvrages du groupe français. Google dispose d'un mois pour se conformer à ce jugement, avec une astreinte de 10 000 euros par jour de retard. « Je préfère ne rien toucher sur ces 10 000 euros et que l'on trouve un accord avec Google, a reconnu Hervé de la Martinière, PDG du groupe français, ce matin, lundi 21 décembre, lors d'un point presse, rapporte l'AFP. Google, lui, a prévu de faire appel du jugement du TGI. Pour le responsable juridique de Google France, l'interdiction de numériser qui lui a été faite s'applique uniquement aux ouvrages de La Martinière. Au contraire, rapporte l'AFP, pour l'avocat de La Martinière, « le jugement fait très clairement une interdiction générale », sans distinction « entre ce qui relève du Seuil et des autres éditeurs français ». L'emprunt national prévoit 750 M€ pour numériser le patrimoine culturel Au cours des derniers mois, de nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer les conditions dans lesquelles le projet Google Books (Google Livres) se mettait en place. Plusieurs pays européens se sont notamment opposés à « l'accord de règlement » que la société de Sergey Brin et Larry Page cherchait à passer avec les auteurs de livres et éditeurs dans le cadre de son service Google Book Search (Google Recherche de Livres). Ce projet d'accord définit notamment le mode de rémunération des livres publiés sur Google Livres. L'an dernier, la Ville de Lyon a confié à Google la numérisation de 500 000 documents du fonds ancien de sa Bibliothèque municipale. Cet été, c'est la Bibliothèque nationale de France qui avait reconnu être en discussion avec Google pour la numérisation d'ouvrages. Dans les priorités de l'emprunt national, communiquées lundi dernier 14 décembre par le président de la République Nicolas Sarkozy, figurent 2,5 Md€ pour les contenus et usages innovants. Dans ce montant, il est prévu 750 M€ pour numériser le patrimoine culturel. (...)
(17/12/2009 14:10:05)Une faille dans Acrobat et son Reader exploitée par les hackers
Adobe met en garde contre de nouvelles attaques de pirates qui utilisent un bug jusque-là inconnu dans la dernière version de son logiciel Acrobat et de son Reader. L'éditeur a fait savoir dans un communiqué qu'il avait reçu des rapports de vulnérabilité sur Adobe Reader et Adobe Acrobat 9.2 et versions antérieures qui pouvaient être exploitées de manière sauvage. Adobe, qui a pour l'instant peu de détails sur le bug en cause, enquête en même temps qu'il cherche à évaluer les risques pour ses clients. «Dès que nous aurons des éléments supplémentaires, nous mettrons à jour le Security Response Team (PSIRT) publié dès lundi sur notre blog," a indiqué un porte-parole. "Nous avons été informé de l'attaque lundi," a déclaré Brad Arkin, le directeur chargé de la sécurité et de la confidentialité des produits chez Adobe. Ajoutant que "deux autres partenaires chargés des questions de sécurité ont subi une attaque identique, et ont reçu le même échantillon à quelques minutes d'intervalle." Une attaque très inquiétante Selon Shadowserver, qui assure bénévolement la veille des programmes malveillants. "l'attaque, qui consiste à envoyer un fichier PDF infecté, est très méchante." Les pirates exploitent une faille dans la manière dont Reader utilise JavaScript, une technique de hacking très en vogue cette année, selon des experts en sécurité. Le groupe recommande aux utilisateurs concernés de désactiver JavaScript dans Adobe pour contourner le problème (il faut décocher la case "Activer Acrobat JavaScript" dans le menu Edition -> Préférences -> JavaScript). Shadowserver, qui a effectué plusieurs tests, confirme qu'il s'agit d'une vulnérabilité affectant les récentes versions (8.x et 9.x) d'Acrobat [Reader] et pense que la version 7.x, non testée, serait également vulnérable." Attention aux semaines qui viennent Pour l'instant, l'attaque des cyber-criminels, en cours depuis vendredi, ne s'est pas généralisé, mais Shadowserver met en garde. "Il faut s'attendre à une diffusion beaucoup plus large dans les prochaines semaines." L'attaque de type "zero-day", laisse peu de temps à l'éditeur pour disséminer son patch de sécurité. Et les antivirus actuels ne sont pas en mesure de détecter une telle attaque. Installé sur la plupart des PC du monde, Acrobat et son Reader sont devenus une cible de choix pour les pirates informatiques à l'affût de failles leur permettant d'exécuter des programmes non autorisés sur les ordinateurs de leurs victimes. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |