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(16/12/2009 16:32:06)

Google lance Goo.gl, un (autre) raccourcisseur d'adresses web

Comme si nous n'en avions pas déjà assez... Google a décidé de livrer au monde un autre raccourcisseur d'adresses web. Goo.gl, c'est son nom, se retrouve de fait en concurrence immédiate avec des services équivalents comme TinyURL, Bit.ly et une bonne centaine d'autres. Chacun est capable de générer une URL raccourcie unique à partir d'une adresse web à rallonge. Comme l'explique la page d'accueil, goo.gl raccourci les longues adresses URL pour générer un lien plus facile à partager." C'est notamment utile pour les terminaux mobiles et les membres de sites de microblogging comme Twitter. En effet, les Tweets sont limités en nombre de caractères. La forme courte pour publier et échanger des adresses et des liens, permet aux utilsateurs de dire plus de choses dans leur message. Des "googlers" confirment que "les gens partagent beaucoup de liens en ligne». Pour l'instant, le service fonctionne uniquement avec les applications de Google, notamment FeedBurner, le gestionnaire de flux RSS de Google, ou la barre d'outil du moteur de recherche. Le service ne peut être consulté directement par les utilisateurs depuis un navigateur. L'arrivée de Google, déjà introduit sur le marché du DNS, dans le secteur du raccourcisseur d'adresses web n'est pas une bizarrerie. Au contraire, les utilisateurs du moteur de recherche et de ses nombreux services ne pourront que se réjouir de voir que l'entreprise continue à leur offrir des "goodies" et qu'elle est aussi capable de leur proposer ce type de service dans un domaine en pleine croissance et en phase avec leurs besoins. Au fait, au cas où vous vous interrogiez sur le .gl, il correspond au code utilisé pour désigner le domaine internet géographique (country code top-level domain ou ccTLD) du... Groenland. (...)

(16/12/2009 15:03:38)

Mise en place d'une Charte de lutte contre la contrefaçon sur Internet

Pour la première fois en Europe, une Charte de la lutte contre la contrefaçon sur Internet a été signée ce mercredi 16 décembre, sous la présidence de Christine Lagarde, ministre de l'Economie, et Christian Estrosi, ministre chargé de l'Industrie. "Les titulaires de droit de propriété intellectuelle et des plateformes d'e-commerce s'engagent à mettre en place des moyens concrets pour lutter contre la vente de produits de contrefaçon sur Internet" indique un communiqué. Concrètement, les sites Internet signataires s'engagent "à renforcer l'information et la sensibilisation des consommateurs et à mettre en oeuvre des mesures permettant de détecter le plus en amont possible les produits à problème", explique le site Internet d'achat-vente PriceMinister, signataire de la Charte. Le baromètre du CtoC PriceMinister/La Poste/OpinionWay révélait en novembre dernier que 26% des internautes qui font des achats sur la Toile attendaient une meilleure protection contre la contrefaçon sur Internet (soit une hausse de 9% par rapport à 2008). Un phénomène croissant Au début du mois d'octobre dernier, l'Institut national de la consommation et la Direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI) ont lancé une campagne d'information consacrée à la lutte contre la contrefaçon, à destination du grand public. En début d'année, la DGDDI indiquait que le nombre de produits contrefaits saisis en 2008 avait progressé de 45%, pour un total de 5.254.821 articles. Les produits les plus contrefaits étant le textile, les chaussures et la maroquinerie. De son côté, PriceMinister annonçait que le nombre de marques victimes de la contrefaçon avait augmenté de 69% en 2008, avec une "montée en puissance" du secteur de la high-tech (+170%). (...)

(14/12/2009 17:12:37)

Grand emprunt : 4,5 Mds d'euros pour le numérique

Le rapport Rocard/Juppé avait suggéré 4 milliards d'euros pour le numérique. Ce sont 4,5 milliards qui lui seront finalement consacrés. La rallonge de 500 M€ est attribuée au développement des usages et des contenus innovants qui récolte 2,5 Md€. Deux autres milliards contribueront à équiper la France en infrastructures propres à déployer le très haut débit (correspondant à des débits d'environ 100 Mb/s avec un minimum de 50 Mb/s), soit un investissement équivalent à ce que proposaient les deux anciens premiers ministres.

Ces sommes vont être investies dans un fonds national pour la société numérique, établissement public qui relèvera du Premier ministre, via le secrétariat d'Etat chargé de l'Economie numérique. Plusieurs autres ministères seront associés à la gouvernance de ce fonds, parmi lesquels, en particulier, l'Industrie, l'Aménagement du territoire, la Culture et la Santé.

750 M€ pour numériser le patrimoine culturel

Comme à son habitude, Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'état chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique, a très vite propagé ces informations sur Twitter ce matin, dans le sillage de la conférence sur l'emprunt national donnée par Nicolas Sarkozy, président de la République. NKM a précisé un peu plus tard, par communiqué, que l'essor des usages et des contenus passerait, notamment, par la numérisation du patrimoine culturel, à laquelle 750 M€ seront dévolus, et par la réalisation d'infrastructures numériques 'en nuage', plus couramment nommées 'cloud computing'. Il est prévu que ces initiatives s'appuient sur des partenariats public-privé comme le réclamaient notamment les opérateurs. Le fonds servira aussi à financer, sous formes d'avances remboursables, des projets de recherche (associant là aussi public et privé) portant sur l'e-santé et sur les réseaux intelligents pour le transport et l'énergie.

Dans le cadre du déploiement du très haut débit, une partie des 2 Md€ sera réservée à des prêts ou garanties d'emprunt aux opérateurs, ainsi qu'à des subventions aux projets de couverture dans les zones peu denses (prenant appui sur les collectivités locales). Il est également prévu de bâtir un partenariat public/privé pour déployer un satellite qui doit apporter ce service d'ici 5 ans à 750 000 foyers en zone rurale.

19 Md€ pour l'enseignement supérieur, la formation et la recherche

Le numérique arrive en cinquième place derrière les quatre autres priorités de l'emprunt national : l'enseignement supérieur et la formation, qui se voient attribuer une enveloppe de 11 Md€, la recherche (8 Md€), les filières industrielles et les PME (6,5 Md€) et le développement durable (5 Md€). Au total, le montant de l'emprunt atteint 35 Md€, ce qui correspondrait à 1,8% du PIB estimé pour 2010 dans le projet de loi de finances.
Pour le financer, l'Etat fera appel au marché à hauteur de 22 Md€ par l'intermédiaire de l'Agence France Trésor. Les 13 Md€ restants viendront du remboursement des fonds propres prêtés par l'Etat aux banques lors de la crise financière, montant 'sanctuarisé' à la Banque de France.

Une dotation de 5 Md€ répartie entre 10 campus

Le financement attribué à l'enseignement supérieur doit doter 5 à 10 campus d'excellence. L'opération Campus bénéficiera de 5 Md€ répartis entre dix projets de remise aux normes à Aix/Marseille, Bordeaux, Condorcet (Paris Aubervilliers), Grenoble, Lyon, Montpellier, Paris, Saclay, Strasbourg et Toulouse. Les signatures de contrats de partenariats public-privé devraient intervenir d'ici un an, précise l'Elysée. Les premiers travaux devraient commencer dans la foulée. Saclay, qualifié de plus important campus scientifique et technologique européen, est particulièrement mis en avant. Le réseau de recherche Digiteo qui s'y est installé, a récemment fait un bilan. Il regroupe 1 300 chercheurs permanents et 500 doctorants et a co-financé 50 projets depuis sa création, en 2006.

Entre 2001 et 2005, l'investissement dans les technologies numériques aurait contribué à 60% de la croissance française, selon le dossier publié ce matin par l'Elysée sur les priorités de l'emprunt national. L'effort est resté cependant bien en deça des investissements réalisés dans les pays « les plus avancés de l'OCDE », et aurait conduit à un manque à gagner de 300 000 emplois sur les 800 000 recensés dans le secteur. (...)

(14/12/2009 15:51:13)

Les caractères accentués entrent dans .eu

Depuis le 10 décembre 2009, l'Eurid (European Registry of Internet Domain Names), l'organisme chargé de gérer les noms de domaine en Europe, accepte d'enregistrer des noms de domaines internationalisés ou IDNs (Internationalised Domain Names). Comme l'indique le site de l'Eurid (www.eurid.eu), "les IDNs sont des noms de domaine contenant des caractères non ASCII. On y trouve par exemple le å suédois, le ü allemand, le ș roumain, ainsi que l'ensemble des caractères des alphabets utilisés pour le Grec et le Bulgare. Cette adaptation est particulièrement importante pour le .eu car, nombre des 23 langues officielles de l'Union Européenne "utilisent des alphabets contenant des caractères non définis par la norme ASCII." Cette transformation était donc, attendue car elle permet aussi à ces Européens d'utiliser le web dans leur propre langue. Une nouvelle ruée vers les noms de domaine Du coup, en quelques heures, l'Eurid a procédé à près de 40.000 enregistrements. Selon le principe du "premier arrivé, premier servi," les Allemands ont été les plus rapides, devant les Tchèques, les Français, les Luxembourgeois, les Polonais, les Belges, les Anglais - dont la langue n'est pourtant pas la plus riche en accents - les Grecs et les Suédois. La règle des 63 caractères maximum reste de mise. Cette restriction est importante à vérifier. En effet, les accents, convertis en chaîne Ace, la même technologie que celle utilisée par le DNS pour identifier l'adresse IP cachée derrière le nom de domaine, occupent plusieurs caractères. Le site de l'Eurid dresse un tableau de l'ensemble des caractères autorisés avec leurs équivalents Unicode (utile pour le décompte de caractères). Il dispose aussi d'un WhoIs, un moteur de recherche qui vérifie la disponibilité du nom souhaité. (...)

(14/12/2009 14:12:58)

Les réseaux sociaux Twitter, Facebook et MySpace attirent moins d'internautes

La fréquentation des réseaux sociaux montre des signes d'essoufflement. Selon le site Compete.com, spécialiste de la mesure du trafic sur le Web, le nombre d'internautes aux Etats-Unis se connectant aux sites Twitter, Facebook et MySpace a diminué en novembre par rapport aux mois précédents. Selon les chiffres de Compete.com, qui ne prend en compte que le trafic Web aux Etats-Unis, le nombre de visiteurs uniques sur Twitter a diminué de 2,43% en novembre par rapport à octobre. Il s'agit de la troisième baisse mensuelle consécutive pour le site de micro-blogging. Les visites totales (nombre de connexions) sur Twitter ont même baissé de 7,24% le mois dernier. Même constat pour MySpace, dont la fréquentation a reculé de 2,64% en novembre 2009 par rapport au mois précédent. En un an, le nombre de visiteurs uniques sur ce site a plongé de 13,88% aux Etats-Unis (56,41 millions en novembre 2008 contre 48,58 millions en novembre 2009). Pour Facebook, le plus populaire du trio des réseaux sociaux, la baisse est moins importante. Le nombre de visiteurs uniques a reculé de 0,47% entre octobre et novembre à 128,33 millions, tandis que le nombre de connexions a augmenté de 3,51% dans le même temps. Sur un an, la fréquentation du nombre de visiteurs de Facebook et Twitter aux Etats-Unis reste en très forte augmentation : +546% pour Twitter, et +159% pour Facebook. (...)

(14/12/2009 12:02:53)

Google s'intéresse-t-il trop à la vie privée ? La réponse d'Eric Schmidt, le pdg de la société

A la question : «Les gens considèrent Google comme leur meilleur ami... Ont-ils raison de lui faire confiance ?" , Eric Schmidt a donné la réponse suivante : "Si vous avez vraiment quelque chose à cacher, peut-être devriez-vous être plus prudent." Le patron du moteur de recherche le plus utilisé au monde est allé encore plus loin en ajoutant : "Si vous souhaitez ce niveau de confidentialité, il faut savoir que les moteurs de recherche, dont Google, conservent vos informations pendant un certain temps. D'autant que, aux États-Unis la loi Patriot Act peut nous obliger à mettre ces éléments à la disposition de l'Etat." Asa Dotzler a pris l'intervention de Schmidt sur la confidentialité très au sérieux. "Le PDG de Google, Eric Schmidt en personne, vous a dit exactement ce qu'il pensait de votre vie privée," a t-il écrit sur son blog. "Ici, il n'y a pas d'ambiguïté, pas de propos hors contexte." En réaction, Dotzler a mis en ligne un lien pour modifier les préférences du navigateur et désigner Bing comme moteur de recherche par défaut à la place de Google dans Firefox: "Voici comment basculer facilement de Google à Bing,» a t-il indiqué. Estimant que la politique de confidentialité de Bing est meilleure que celle de Google, Firefox met ainsi fin à un partenariat vieux de 10 ans qui devait s'achever en 2011... En effet, depuis une dizaine d'années, Mozilla configure Google comme moteur de recherche par défaut de son navigateur Firefox. Un accord qui génère à Mozilla l'essentiel de ses revenus puisque chaque clic d'utilisateur de Firefox sur une publicité lui rapporte une quote-part. Dans le dernier rapport financier publié par Mozilla, 97% de ses revenus proviennent des sites de recherche comme Google, Yahoo, Amazon, eBay et autres. Et Google arrive largement en tête pour les revenus versés à Mozilla. Si bien que l'on s'interroge sur l'opportunité de cette action. (...)

(11/12/2009 14:30:40)

LeWeb'09 : les start-up françaises à l'honneur

Le concours de start-up de la conférence LeWeb de Loïc et Géraldine Le Meur peut aisément voler chaque année la vedette à la conférence plénière. C'est l'un des grands mérites de cette manifestation hivernale que de proposer en effet un grand espace à ces jeunes entrepreneurs, qui ont ainsi l'occasion de séduire partenaires, investisseurs, journalistes... Et ce cru 2009 mérite un cocorico, puisque la compétition, coorganisée par TechCrunch Europe, a distingué deux start-up françaises, Stribe et TigerLily, devant une start-up américaine, CloudSplit. Numéro un du podium, Stribe donne la capacité aux sites Web de se parer d'un volet social, conservant son propre code couleur, pour inciter les internautes à communiquer entre eux, et bien sûr au sujet des produits présentés sur le site. En outre, l'application de Stribe permet au propriétaire du site de visualiser sur un tableau de bord l'ensemble des statistiques liées aux échanges sociaux. Tariq Krim fait son come-back avec JoliCloud TigerLily, numéro deux, propose de son côté des outils de personnalisation de Facebook, destinés aux grandes sociétés. Il s'agit de contrôler les pages Facebook de façon beaucoup plus fine que ce que permet normalement le site de réseau social, et d'y ajouter des outils de marketing pour inciter les gens à revenir. Troisième du podium, CloudSplit a développé un tableau de bord analytique pour « garder le coût du cloud sous contrôle ». L'outil propose un suivi en temps réel, des mécanismes d'alertes, voire de suspension de l'utilisation de ressources non utilisées. Invité à s'exprimer sur la scène principale, Tariq Krim, l'inventeur de Netvibes, a présenté lui aussi sa dernière start-up, Jolicloud, dont l'ambition est de fournir « le meilleur OS pour les netbooks ». Désormais en bêta publique, le système, qui mêle noyau Linux et services en ligne, est téléchargeable (600 Mo), et compatible avec un grand nombre de netbooks du marché. Lokad, la start-up exemplaire pour Windows Azure En sous-sol, d'autres start-up françaises présentaient leurs produits, notamment au sein de l'espace BizSpark (programme d'aide aux start-up conçu par Microsoft). Calinda Software offrait ainsi une démonstration de MindUp, son outil de cartographie d'échanges de courriels s'appuyant sur Sharepoint. Les principes de regroupement des conversations et d'échanges privés ressemble fort au système des « waves » de Google Wave, mais l'application de Calinda est, elle, en production, et compatible avec les messageries des différents utilisateurs (Outlook, Notes, Gmail...). Le créateur de Lokad était lui aussi de la partie. Cet ingénieur a développé une application en ligne donnant aux entreprises la possibilité de recevoir des prévisions statistiques à partir de leurs historiques de données. Originalité : l'offre est proposée en mode Saas, Lokad s'appuyant de son côté sur Azure, le cloud de Microsoft, pour réaliser les calculs et absorber les éventuels pics de charge. Distinguée par Microsoft, l'application de Lokad sert aujourd'hui de référence lorsqu'il s'agit de donner des idées sur la façon d'utiliser Azure. (...)

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