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(22/10/2009 09:58:35)

La crise accélère l'usage du web 2.0 en entreprise

Si les budgets en webmarketing BtoB sont relativement plus modestes en France qu'au-delà de ses frontières, les entreprises de l'Hexagone comme leurs voisines investissent davantage dans les techniques du marketing 2.0. La crise mondiale n'est qu'un catalyseur de ce phénomène, souligne une étude internationale menée par le Benchmark Group. Sur les 112 entreprises sondées dans sept pays, 23% avouent que la conjoncture ne fait qu'accélérer un processus déjà enclenché depuis plusieurs années, qui vise à modifier en profondeur les relations entre les marques et les consommateurs. Pour près d'un tiers des sociétés, les budgets se portent sur les vecteurs Internet offrant une visibilité précise sur le ROI. Blogs et sites interactifs plutot que micro-blogging Un tiers des services marketing BtoB ont ainsi déjà mis en place des sites en web 2.0 avec des plateformes de partage de contenus (Youtube, DailyMotion...) ou simplement des sites interactifs auprès de communautés (forums, blogs...). Et cette proportion devrait doubler en 2010. En revanche, le micro-blogging (type Twitter) semble avoir atteint un plafond en ce qui concerne les responsables marketing. Déjà utilisé par 20% des entreprises, ce type de services n'a attiré que 5% des sociétés qui ne l'avaient pas déjà adopté. Les mondes virtuels, eux, semblent devenus sans intérêt pour les services marketing interrogés : aucune ne prévoit d'investir dans les Second Life et autres métaverses peuplés d'avatars. Des réticences quant aux coûts Malgré cet engouement pour le webmarketing participatif, certaines sociétés s'interrogent encore sur l'usage de ces sites en raison du surcoût, selon elles, engendré par l'animation et la modération de ces environnements (pour 71% des entreprises françaises). Les technologies du web 2.0, vantées comme des instruments de dialogues entre entreprises et consommateurs, sont détournées de leur origine. Une grande majorité des sociétés interrogées avouent que ces environnements servent essentiellement à améliorer l'image de marque de l'entreprise et à drainer davantage de trafic. Cependant, 19% d'entre elles utilisent le web 2.0 pour intégrer le consommateur aux décisions. (...)

(20/10/2009 17:43:32)

NKM veut des élus 2.0 face aux citoyens 2.0

Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat à la Prospective et au Développement de l'économie numérique, a présenté ce matin 20 octobre le programme des "ateliers de l'élu 2.0". Elle souhaite ainsi inciter les parlementaires à blogger, twitter, poster, communiquer par ce biais. Les sessions serviront à présenter les outils de ce passage au 2.0, mais aussi et surtout, à expliquer aux parlementaires l'intérêt des blogs et des réseaux sociaux et à lever les freins qui font encore obstacle à la démarche. Nombre d'élus ont eu, par exemple, des expériences décevantes avec le Web 1.0, alors que d'autres ne voient dans le Web 2.0 qu'un jeu pour adolescents en mal d'occupation. Les parlementaires sont donc conviés à assister aux journées (*) organisées par le secrétariat d'Etat à la Prospective et au Développement de l'économie numérique, avec des spécialistes du domaine comme Daniel Kaplan, président de la FING (Fondation Internet nouvelle génération), observateur des usages d'Internet, ou encore Richard Descoings, directeur de Sciences Po Paris, conseiller d'Etat, à l'origine de la consultation nationale 'Lycée pour tous'. « Tous les parlementaires peuvent s'inscrire à un ou plusieurs ateliers, à condition d'être présents personnellement, indique Nathalie Kosciusko-Morizet, mis à part les présidents de groupe qui peuvent se faire représenter. » Michèle Delaunay (députée PS), Yannick Favennec (député UMP), Alain Lambert (sénateur UMP) et Pierre Moscovici (député PS), témoignent dans une vidéo de leur propre expérience du Web 2.0. Sur le Web 2.0, il y a une demande de spontané et de transparence « Internet chez les élus, on en parle beaucoup, mais on le pratique peu, reprend NKM. Et plutôt chacun de son côté, qui plus est. Sur le Web 2.0, il y a une demande de direct par les internautes, de spontané, de transparence. En un mot, d'authentique. » Connue aussi pour ses Twitts et sa page Facebook, la ministre a présenté quelques leçons tirées de sa propre expérience. « Les internautes ne supportent pas que l'élu ne communique pas en temps réel, explique-t-elle. Ils n'acceptent pas non plus que l'élu ne publie pas lui-même, mais fasse faire le travail par ses assistants. C'est véritablement un nouvel espace démocratique en construction. » La communication des élus via un blog ou des billets sur Twitter ou Facebook présente des intérêts évidents : échange direct avec le citoyen, démocratie interactive, etc. Mais elle soulève aussi des craintes vis-à-vis de populations peu connectées. On imagine principalement les difficultés des plus anciens, des ruraux ou encore des habitants de la banlieue, par manque d'accessibilité ou par crainte de la technologie. Dans la vidéo de témoignages qui sera présentée aux participants, Pierre Moscovici précisait : « j'ai 52 ans, il y a deux ans, je n'avais jamais touché un ordinateur. C'est vraiment très simple de s'y mettre ». Ce qui a permis à NKM de confirmer que parmi les inscrits (environ 20 parlementaires par module), tous les âges, toutes les régions, et tous les profils sont représentés. A noter qu'une 'hotline' sera assurée par le secrétariat d'Etat, afin d'accompagner les élus dans le Web 2.0 après leur passage dans les ateliers. Du coté des citoyens, des élus ruraux rassurent sur l'intérêt des habitants de province. La ministre, également maire de Longjumeau, affirme dialoguer régulièrement avec ses administrés sur Twitter. La secrétaire d'Etat évoque même en exemple ce qu'elle qualifie d'aspect positif d'Hadopi. La polémique soulevée par la loi ainsi dénommée a fait naître un intérêt, voire même une expertise, de certains internautes sur le fonctionnement du Parlement. (*) 21 octobre, 4 novembre, 18 novembre, 25 novembre 2009 (...)

(20/10/2009 11:50:09)

Un site personnalisable et huit experts pour simplifier l'administration par le numérique

Pour relancer l'e-administration et simplifier les procédures associées, le ministre du Budget, des Comptes publics, de la Fonction Publique et de la Réforme de l'Etat, Eric Woerth a présenté quinze mesures et une commission de huit « experts » en compagnie de Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique. « Il ne s'agit pas de remplacer un formulaire papier par son équivalent électronique mais de repenser l'enchaînement des procédures les plus utilisées par les Français pour les simplifier ou les rendre automatiques » a précisé la secrétaire d'Etat. La mise en place d'une commission de huit « experts », aux profils très différents les uns des autres, vise à prolonger l'effort via de nouvelles idées dans ce domaine. Depuis 2007, le site participatif ensemble-simplifions.fr vise, de la même manière, à remonter des idées. Une machine virtuelle entre le citoyen et l'administration Les mesures présentées restent centrées sur des usages, des circonstances de contacts avec les administrations. La logique demeure celle d'une sorte de « machine virtuelle » s'interfaçant entre le citoyen et la machine administrative dont la complexité réelle est ainsi masquée. « Il est compliqué de simplifier, reconnaît Eric Woerth, tant sont puissants les freins techniques, les freins juridiques - le droit est toujours plus protecteur mais, de ce fait, toujours plus complexe -, et, bien sûr, les freins de l'habitude. » Beaucoup des mesures déjà annoncées et de celles qui vont progressivement arriver dans les mois à venir s'appuient sur le portail Mon.Service-Public.fr. Encore embryonnaire, cette version personnalisable fr Service-Public.fr, lauréat d'un Trophée Entreprises et Société de l'Information en 2001, fonctionne depuis quelques mois et a déjà 150 000 comptes créés à son actif, selon les deux ministres. Le site concentre en un lieu virtuel unique, d'une part un coffre-fort pour des documents et des informations partageables avec chaque administration partenaire du portail, d'autre part un outil de déclenchement et de suivi de procédures administratives. La montée en charge du portail avec de nombreuses nouvelles procédures disponibles est prévue pour mi-2010. Un nombre de procédures limité par des questions de sécurité NKM a néanmoins admis que la sécurité du service était un des freins importants à l'extension du nombre de procédures. Relier le portail aux systèmes d'information des collectivités locales génère ainsi une certaine inquiétude sur d'éventuels points de fragilité. Et la plupart des procédures liées à la vie quotidienne supposeraient de nombreuses interconnexions : réservation d'une place en crèche ou en maison de retraire, demande de secours au CCAS (Centre communal d'action sociale), demande permis de construire... Face à un éventuel vol d'identifiant de citoyens, les administrations restent peu préparées. La mise en opposition d'un compte ne semble pas prévue à ce jour sur la page d'accueil du service. La seule réponse actuelle est préventive et passe par la sensibilisation des internautes aux bonnes pratiques de ce types de d'environnements par le biais de campagnes de communication. Deux autres avantages essentiels du développement de l'e-administration ont été évoqués plus timidement. Il s'agit d'une part de la lutte contre la fraude grâce au recoupement des informations, d'autre part des importantes économies réalisées par l'Etat sur le fonctionnement courant de l'administration. « Il est difficile de chiffrer ces économies et il s'agit donc avant tout de simplifier avant d'économiser » s'est justifié Eric Woerth. Il est vrai que les économies supposent aussi de nombreuses suppressions de postes au sein de l'administration. Enfin, pour éviter un élargissement de la fracture numérique - fossé entre ceux qui ont accès à Internet et à l'e-administration et ceux qui n'y ont pas accès -, les deux ministres ont rappelé la multiplication des EPN (espaces publics numériques), l'existence d'abonnements « sociaux » à Internet, etc. (...)

(16/10/2009 15:37:38)

7 opérateurs retenus pour poser de la fibre optique dans les immeubles

L'Arcep a publié la courte liste des opérateurs télécoms en France devant être tenus au courant de l'installation des lignes de communications en fibre optique dans les immeubles. Ceci afin que ces opérateurs puissent se greffer sur une infrastructure en cours de mise en place. On retrouve bien sûr Free, SFR, France Télécom, Numéricable ainsi que Sequalum (l'opérateur constitué pour le département des hauts de seine). Plus inattendu, il y a Covage qui est l'association de Vinci Networks, spécialiste de la conception, de l'exploitation et de la maintenance des réseaux de télécommunications et de AXIA, un opérateur d'opérateurs de réseau Très Haut Débit. (...)

(15/10/2009 16:13:12)

Modéliser les immeubles dans Google Earth avec Building Maker

La nouveauté Google de la semaine se nomme "Building Maker", ou, en français, "Modéliseur de bâtiments 3D". Concrètement, ce service permet aux internautes de modéliser en quelques clics des bâtiments en 3D qui seront par la suite visibles sur le logiciel de cartographie Google Earth. Actuellement, Google Earth propose essentiellement des vues en 2D, mais dans certaines grandes villes, il est possible de visualiser des monuments ou des bâtiments célèbres en 3D, comme la Tour Eiffel à Paris. Afin de remplir ses cartes virtuelles de représentations en relief, le géant du Web fait appel aux internautes. Grâce à Google Building Maker, les utilisateurs peuvent dès à présent modéliser leur immeuble ou leur école. Simple à utiliser, cet outil propose d'abord de choisir un lieu puis un bâtiment sur Google Maps. L'internaute doit ensuite dessiner les volumes correspondant à ce bâtiment à partir des photos disponibles pour ce bâtiment. La création est ensuite enregistrée et envoyée à l'équipe de Google qui la validera et, si besoin est, la perfectionnera, avant de la publier finalement sur Google Earth. Pour le moment en France, seules les villes de Lyon et Marseille sont disponibles dans ce nouveau service, mais Paris et d'autres agglomérations suivront prochainement. (...)

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