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(29/04/2008 12:47:07)

Bercy lance une consultation pour stimuler le .fr

D'ici le 24 juin, le ministère de l'Economie, de l'industrie et de l'emploi aura clos la consultation publique qu'il initie aujourd'hui sur les domaines internet .fr et ceux des domaines d'outre-mer. Après avoir recueilli les avis, Bercy réalisera une synthèse avant de lancer un appel à candidature. L'Afnic, association dominée par l'Etat français qui a en charge la gestion du domaine .fr, est candidate à sa propre succession. Il s'agit de la troisième étape de l'évolution de la politique de gestion du .fr. Jusqu'en 2004, l'Afnic posait des conditions très contraignantes pour octroyer un domaine en .fr. Après 2004, même les particuliers ont eu la possibilité d'acquérir un nom de domaine. L'air du temps poussait alors à une certaine forme de laxisme. Aujourd'hui, avec son petit million de domaines enregistrés, le .fr est un nain au milieu des 58 millions de domaines enregistrés sous un ccTLD (country code Top level domain) -source Verisign. Consolation, il n'est pas le seul puisque trois ccTLD, ceux de l'Allemagne, de la Chine et du Royaume-Uni, concentrent sur leur extension 46% des domaines enregistrés en ccTLD. (...)

(28/04/2008 16:13:01)

Et de deux satellites en orbite pour Galileo, sur trente prévus.

Il faut sans nul doute savourer le lancement réussi dimanche du deuxième satellite du projet européen de géolocalisation Galileo, appelé Giove B. Censé faire face au déjà tout puissant GPS américain (avec qui il a néanmoins passé un accord sur l'exploitation d'un signal de géolocalisation commun), le projet européen s'est longtemps perdu en d'interminables querelles de clocher. Conséquence : jusqu'à ce week-end, Galileo n'avait mis en orbite qu'un seul satellite sur la trentaine prévue. Le deuxième est enfin parti, lui-aussi, poussé par les indispensables décisions budgétaires et industrielles finalement prises par les vingt-sept en novembre dernier. Comme l'indique le communiqué de l'ESA (Agence spatiale européenne), Giove-B a pris son envol le 27 avril à 4h16 du matin (heure locale) à bord d'un lanceur Soyouz depuis le cosmodrome historique de Baïkonour au Kazakhstan. A peine 4 heures plus tard, il était confortablement installé dans son orbite à environ 23 200 km au dessus de nos têtes. Giove B prendra le relai de son prédécesseur Giove-A pour sécuriser les fréquences attribuées à Galileo. Puis, quatre de leurs petits frères, encore en construction à l'heure actuelle, viendront clore d'ici 2010, selon l'ESA, la phase de démonstration. Il n'en manquera plus que vingt-cinq. Il se trouve que Giove B est équipé de l'horloge atomique la plus précise en orbite à ce jour. Un bon moyen de décompter les heures et les jours dans une course contre la montre déjà bien mal engagée. (...)

(28/04/2008 12:03:51)

Yahoo/Microsoft : l'ultimatum expire sans accord trouvé

L'offre de rachat de Yahoo par Microsoft a expiré ce week-end sans qu'une issue au dossier soit trouvée. Le groupe de Redmond avait en effet donné jusqu'au 26 avril au moteur de recherche pour accepter les 44,6 Md$ offerts, répétant à l'envi que cette somme constituait un montant juste et raisonnable. Des paroles auxquelles répondait en écho l'assourdissant silence de Yahoo, qui n'a cessé de faire la sourde oreille au chant des sirènes orchestré par Microsoft. Il reste maintenant deux directions possibles : la poursuite de l'offensive avec une OPA hostile et une bataille de mandats menée par Redmond, ou l'abandon pur et simple du processus. Alors que Microsoft a longtemps répété que la première éventualité était largement envisageable, Steve Ballmer et son directeur financier Chris Liddell ont relativisé cette assertion la semaine dernière, expliquant que l'acquisition de Yahoo n'était en rien vitale. Dimanche, Yahoo a refusé de commenter le dossier et Microsoft s'est contenté de renvoyer sur les déclarations récentes de Ballmer et Liddell. Le même jour, le Wall Street Journal indiquait que les deux groupes ont mené des négociations au cours des semaines passées mais se sont montrés incapables de s'entendre. (...)

(25/04/2008 10:03:29)

La justice américaine se penche sur l'accord Yahoo-Google

Le ministère américain de la Justice (DoJ, Department of Justice) s'intéresse à l'accord passé entre Google et Yahoo visant à l'affichage des publicités du premier dans les pages de résultats générées par le second. Selon Reuters, l'objectif du DoJ est de déterminer si ce partenariat, présenté par les protagonistes comme un test devant s'étaler sur deux semaines, viole ou non les dispositions anti-trust américaines. L'enquête ouverte par le ministère s'intéressera notamment à une conversation téléphonique entre Eric Schmidt et Jerry Yang, les patrons respectifs de Google et Yahoo, dont l'objet portait sur une association pour contrer Microsoft. Le groupe de Redmond entend mettre la main sur Yahoo et est prêt à débourser 44,6 Md$ pour cela. Une offre jusqu'alors fermement rejetée par Yahoo et vue d'un mauvais oeil par Google, qui n'entend pas laisser naître un géant susceptible de lui faire de l'ombre sur le marché de la publicité en ligne. Les investigations du DoJ le conduiront par ailleurs à s'interroger sur l'éventuelle volonté de Google et Yahoo de prolonger leur accord sur le long terme. La semaine dernière, le Wall Street Journal révélait ainsi que les deux acteurs étaient satisfaits des résultats obtenus par l'affichage des publicités contextuelles de Google dans 3% des pages de résultats générées par Yahoo aux Etats-Unis. Sans tarder, les mis en cause ont plaidé la bonne foi. « Yahoo a pris l'initiative d'informer le DoJ de son intention de mener un test d'une durée limitée avec Google et a fourni des informations sur la nature de ce test », explique-t-on du côté de Yahoo. Même son de cloche chez Google : « Nous avons informé le DoJ avant le démarrage de ce test et avons répondu à ses questions à ce propos. » Le ministère n'a pas confirmé le lancement d'une enquête mais se dit au courant de la collaboration entre les deux groupes. Si l'existence d'une enquête était avérée, elle pourrait avoir de sérieuses conséquences. Selon Keith Hylton, professeur de droit à l'Université de Boston, « le raisonnement de la cour pourrait fort bien la conduire à estimer que l'entreprise dominante - Google - cherche à établir un partenariat présentant des effets empêchant de façon significative la concurrence. » (...)

(24/04/2008 16:31:51)

Le marché professionnel du Web 2.0 pèsera 4,6 Md$ en 2013 selon Forrester

Les outils liés au Web 2.0 sont entrés en phase de professionnalisation, selon le cabinet d'études Forrester Research, et devraient représenter un chiffre d'affaires de 4,6 Md$ en 2013, soit dix fois plus qu'en 2007 (455 M$). Cela correspond à une progression annuelle de 43%. Le cabinet a identifié sept catégories d'applications : les réseaux sociaux, les flux RSS, les blogs, les wikis (encyclopédies interactives), les mashups (applications hybrides), les podcasts et les widgets. Les réseaux sociaux se taillent la part du lion dans les intentions de dépenses des entreprises, avec 1,997 Md$ à l'horizon de 2013. Les autres technologies sont loin derrière. Elles entraîneront des investissements compris entre 273 M$ (pour les podcasts) et 682 M$ (pour les mashups). Le cabinet Forrester considère que les applications Web 2.0 représentent une nouvelles manière de communiquer, tant en interne (entre les salariés, pour travailler sur un projet de R&D ou de marketing, par exemple) qu'en externe (avec les fournisseurs, les clients et les prospects). Les investissements devraient d'ailleurs basculer en faveur des échanges externes, qui passeront de 224 M$ à 2,784 Md$, contre 231 M$ à 1,862 Md$ en interne. L'arrivée des « Digital Natives » rend la tendance inéluctable La taille de l'entreprise joue un rôle sur le taux d'adoption de ces outils. Dans les très grandes entreprises (plus de 20 000 salariés), il atteint les 51% mais dans les petites sociétés (mois de 100 personnes) il chute à 20%. Certaines DSI restent encore frileuses à l'idée d'adopter des outils Web 2.0, notamment pour des raisons de sécurité du système d'information et de productivité des salariés. Forrester estime toutefois que la tendance devrait s'inverser, et que le Web 2.0 finira par s'imposer dans les entreprises. Le phénomène semble d'ailleurs inéluctable, puisque ces sociétés devront faire face à l'arrivée des Digital Natives, cette génération qui a baigné dans le monde d'Internet et du numérique, et qui voudra retrouver des outils familiers dans un cadre professionnel. (...)

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