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(28/02/2008 17:21:47)

Google rajoute du wiki à ses applications en ligne

Avec Google Sites, le moteur de recherche prétend permettre aux professionnels de créer un site Web très simplement afin d'y partager toutes sortes de documents, y compris multimédia. La simplicité affichée permettrait à tout le personnel d'une entreprise d'utiliser Google Sites "sans avoir à solliciter l'assistance du service informatique". Présentée ainsi, la démarche de pouvoir créer des intranets, voire des sites sauvages risque de susciter d'entrée de jeu des interdits irrévocables prétextant, entre autres, les dangers que feraient courir de telles initiatives pour la sécurité des données de l'entreprise. Concrètement, Google Sites est l'intégration à la galaxie des applications en ligne de Google de la plateforme wiki JotSpot achetée en octobre 2006. Google, dont aucune des nombreuses diversifications n'atteint le dixième du succès de son moteur, communique quelques chiffres sur ses Google Apps. Elles seraient utilisées dans 500 000 "organisations". Autrement dit dans très peu d'entreprises à l'échelle mondiale. De plus, parmi les sociétés citées, aucune n'a encore abandonné ses outils bureautiques traditionnels, et nombre d'entre elles se cantonnent à évaluer Google Apps. (...)

(28/02/2008 17:15:18)

Le cybersquatting de marques en hausse de 33%, selon MarkMonitor

Le cybersquatting a enregistré une augmentation de 33% en 2007, d'après la quatrième édition du Brandjacking Index publié par MarkMonitor, une société spécialisée dans la protection des noms d'entreprise. Le cybersquatting est la pratique la plus courante d'abus de marque. Elle consiste à enregistrer un nom de domaine proche, voire quasi similaire, d'une marque dont la notoriété n'est plus à faire, afin d'en détourner le trafic. « Ce type de parasite représente un réel danger à la fois pour les entreprises qui en sont victimes (perte de revenus, atteinte à leur image) mais aussi pour le consommateur, car ces sites vendent souvent des produits de contrefaçon », prévient Jérôme Sicard, responsable Europe du Sud de MarkMonitor. Un exemple concret : certains sites « clones » proposent des plaquettes de frein moins chères, mais déjà utilisées, ou fabriquées dans une usine non accréditée. Tous les secteurs sont touchés : l'industrie du luxe, les banques, l'automobile (+83%), les vêtements, l'industrie pharmaceutique et même l'agroalimentaire (+63%). L'étude s'est également penchée sur le phénomène du « phishing », encore appelé « hameçonage ». Cette technique de fraude a pour objectif de glaner des renseignements personnels (nom, adresse, numéro de téléphone, date de naissance, voire numéro de carte de crédit pour les plus rusés) en usurpant l'identité d'un site (comme celui d'une banque ou le très populaire eBay). Le phishing se fait traditionnellement par e-mail mais aussi par sms et via les réseaux sociaux, qui regorgent d'informations privées. Au quatrième trimestre de l'année, 412 sociétés ont été victimes de phishing, soit 38% de plus que l'année dernière. Plus inquiétant d'après MarkMonitor, 122 sociétés ont été attaquées pour la première fois, ce qui signifie que les pirates diversifient leurs cibles, alors que leur domaine de prédilection était la finance. 21% des sites pirates sont hébergés aux Etats-Unis, suivis de la Chine et de l'Equateur. « Il est toutefois extrêmement difficile de les localiser avec précision, car les données volées transitent par des serveurs dans le monde entier avant d'atteindre leur cible... qui se charge ensuite de monnayer ou d'exploiter les informations recueillies », explique encore Jérôme Sicard. « Nous avons affaire à une véritable mafia ». Jérôme Sicard entrevoit tout de même une « lueur d'espoir » pour endiguer progressivement le phénomène. Cette année, les actions en justice par les propriétaires de marques se sont en effet multipliées à l'encontre des bureaux d'enregistrement de noms de domaine, avec le soutien de l'Icann (l'autorité de régulation d'Internet). Une société a même obtenu 1 M$ de dommages et intérêts. « Ces organismes d'enregistrement, parfois peu scrupuleux, s'engagent de plus en plus à davantage de vigilance », souligne Jérôme Sicard. MarkMonitor étudie environ 134 millions enregistrements publics quotidiens, afin de repérer les abus de marques dans les noms de domaines. La société affirme également traiter chaque jour 16 millions de courriers électroniques soupçonnés de phishing. Elle travaille en partenariat avec des fournisseurs d'accès Internet. En cas d'abus détecté, elle avertit le FAI afin que le site soit fermé. (...)

(28/02/2008 13:01:38)

Bill Gates quitte Facebook pour LinkedIn

Quelques jours à peine après avoir supprimé sa fiche Facebook, Bill Gates, fondateur de Microsoft, s'est inscrit sur LinkedIn, le célèbre réseau social pour les professionnels. Et cette fois, c'est vraiment lui : des dizaines de faux profils ont jusqu'alors été effacés. L'anecdote peut faire sourire quand on sait que Microsoft n'a pas hésité à débourser 240 M$ l'an dernier pour acquérir 1,6% de... Facebook, justement. Bill Gates se serait désinscrit de Facebook car il était envahi d'invitations d'internautes désireux de devenir son « ami » (8000 requêtes par jour, d'après le Sun). Sur son profil LinkedIn très épuré, Bill Gates se définit comme « technologue philanthrope ». Il décrit brièvement la fondation qu'il a créé il y a huit ans avec sa femme Melinda, et dont le but est de « réduire les inégalités à travers le monde ». On apprend également qu'il est fan de tennis, de bridge et de lecture. Bill Gates serait la personne la plus recherchée sur le site par les internautes, devant Barack Obama et Hillary Clinton. Bill Gates fera par ailleurs aujourd'hui une apparition sur LinkedIn, pour interpeller les 19 millions de membres que compte le site avec une question : « de quelle manière la technologie peut-elle mieux servir les causes caritatives ? » (...)

(27/02/2008 16:22:03)

Investissements publicitaires sur Internet :+ 32,4% en 2007 selon l'Idate

Doucement mais sûrement, la publicité change de bord. Selon le centre d'études et de conseil européen Idate, les investissements dans la publicité en ligne ont enregistré une croissance exceptionnelle de 32,4% en 2007. Cette hausse se fait au détriment de la télévision, de la radio et de la presse papier - des médias traditionnels qui restent toutefois majoritaires pour le moment, mais affichent des croissances atones (+0,8% pour les journaux en 2007). Dans sa totalité, le marché publicitaire des médias a généré un chiffre d'affaires de 450 Md$ en 2007. L'étude souligne en outre qu'Internet compte désormais 750 millions d'utilisateurs passant plus de 11 heures par semaine en ligne. Et l'engouement des annonceurs pour le Web n'est pas près de s'effriter : l'Idate table sur une progression des investissements publicitaires de 76% entre 2006 et 2009 (contre une hausse de 16% pour la télévision et de 9,5% pour la presse). Internet deviendrait ainsi le troisième support média pour la publicité. Un phénomène qui n'a pas manqué d'attirer l'attention et la convoitise des géants d'Internet. Microsoft, Google, Yahoo et consorts se ruent sur le phénomène, n'hésitant plus à débourser des sommes folles pour se doter d'outils publicitaires plus performants les uns que les autres. L'Idate a également analysé les dépenses publicitaires sur les mobiles. Verdict : le potentiel est très élevé (avec 3,25 milliards d'utilisateurs dans le monde), mais il est largement sous exploité. Il draine moins de 1% des investissements des annonceurs. D'après le centre d'études, ce retard est dû à plusieurs facteurs, comme l'absence de services réellement adaptés au mobile, ainsi que la frilosité des annonceurs, qui restent dans l'attente d'une pénétration plus marquée des terminaux 3G/3G+. (...)

(27/02/2008 13:09:22)

L'Arcep autorise Orange et SFR à utiliser leurs fréquences GSM pour la 3G

L'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) vient de faire part de sa décision d'ouvrir les fréquences de la bande des 900 MHz à l'utilisation de l'UMTS. Dans un communiqué publié aujourd'hui sur son site, l'organisme a en effet annoncé modifier les autorisations des opérateurs mobiles Orange et SFR, « afin qu'ils puissent déployer en métropole la technologie UMTS dans la bande 900 MHz, aujourd'hui utilisée pour le GSM ». Le troisième opérateur mobile du marché français, Bouygues Telecom, s'est vu proposer la même modification de son autorisation mais n'a pas souhaité en bénéficier dans l'immédiat. « L'opérateur a indiqué qu'il déploiera également l'UMTS dans la bande 900 MHz d'ici la fin 2009 et qu'il demandera la modification de son autorisation en temps utile », précise l'Arcep. L'autorité de régulation met ainsi en oeuvre les orientations qu'elle avait retenues le 5 juillet 2007 en vue de la réutilisation des bandes 900 et 1800 MHz pour la 3G. La réutilisation de la bande 900 MHz permettra à l'UMTS d'atteindre une couverture analogue à celle du GSM et d'offrir aux consommateurs un accès en mobilité à des débits de plusieurs centaines de kbit/s. C'est la perspective de cette réutilisation, dont le principe était prévu depuis 2000 dans les appels à candidatures 3G, qui avait permis aux opérateurs de prendre des engagements de déploiement élevés La troisième échéance de couverture de SFR et Orange, qui interviendra le 21 août 2009, prévoit une couverture de respectivement 99,3% et 98% de la population. L'Arcep exercera un contrôle vigilant sur le respect de ces obligations de couverture. (...)

(26/02/2008 16:47:51)

Yahoo ouvre son moteur de recherche à la personnalisation

Yahoo lancera bientôt SearchMonkey, une boîte à outils qui autorisera des parties tierces (les éditeurs de sites mais aussi tous les internautes possédant un site ou un blog) à enrichir leur fiche de renseignements référencée sur Yahoo. Techniquement parlant, les tierces parties auront à leur disposition une série d'API (interface de programmation d'applications) leur permettant d'enrichir leur « fiche type » sur Yahoo, et d'offrir aux internautes un accès direct à des informations normalement enfouies dans leur site. Au lieu de voir apparaître un simple titre, un bref résumé et un lien URL, l'utilisateur visionnera par exemple des images, des contacts mail, des commentaires d'autres internautes, des liens internes, des résultats financiers, des prix, des délais de livraison... Yahoo précise par ailleurs que les utilisateurs pourront choisir de ne pas afficher ces informations supplémentaires. Le classement des sites proposés par Yahoo restera inchangé. Yahoo a déjà noué des partenariats avec le New York Times et Yelp, un site d'avis de consommateurs. Même si Yahoo parle sur son blog officiel d'enrichir le Web par du contenu sémantique, le but de cette initiative est évidemment de générer plus de trafic et d'inciter l'internaute à cliquer sur l'un des nombreux liens mis à sa disposition. Mais l'effet pourrait être à double tranchant : l'utilisateur ayant directement trouvé ce qu'il cherchait sur Yahoo (un numéro de téléphone par exemple), il n'est pas certain qu'il aille plus loin. [[page]] Si le lancement de SearchMonkey s'avère un succès, les webmestres seront toutefois obligés de jouer le jeu s'ils ne veulent pas perdre de leur visibilité sur Yahoo. « C'est un pari un peu pervers pour Yahoo, qui a décidé à travers cette plateforme de privilégier une démarche proche du commercial, afin de gagner des parts de marché, au détriment de la recherche 'pure', commente Teodor Dachev, responsable du pôle acquisition de trafic chez Adthink Media (actionnaire majoritaire d'IT News Info). Les webmestres seront amenés à revoir l'optimisation de leur site, et à se pencher sérieusement sur les informations qu'ils souhaitent voir apparaître dans leurs fiches ou pas, afin d'inciter l'internaute à cliquer. » Pour lui, seul le temps dira si cette stratégie se révèle être efficace, les internautes étant « de moins en moins dupes ». D'autres moteurs de recherche ont déjà tenté de personnaliser leur outil, mais la performance reste bien en dessous de ce que promet Yahoo avec SearchMonkey. Google propose par exemple de modifier la page d'accueil afin de l'égayer... ce qui reste bien maigre en termes de services. (...)

(26/02/2008 15:37:34)

Microsoft mesure l'impact de la publicité en ligne avec Engagement ROI

Brian McAndrews, ancien d'aQuantive désormais vice-président de la division APS (Advertiser & Publisher Solutions) de Microsoft, a annoncé hier le lancement d'un nouvel outil de mesure de l'impact de la publicité en ligne. Cette présentation a eu lieu à Phoenix, à l'occasion de la rencontre annuelle de l'IAB (Interactive advertising bureau, un organisme chargé de promouvoir et d'optimiser la publicité en ligne). Cet outil, baptisé Engagement ROI (retour sur investissement) est intégré dans Atlas Media Console, un logiciel de gestion des campagnes publicitaires. Il a été développé par Atlas, une société de régie publicitaire appartenant à aQuantive, elle-même rachetée en mai 2007 par Microsoft, afin de contrer le rapprochement de Google et DoubleClick sur le marché de la publicité en ligne. Selon l'éditeur de Redmond, ce logiciel est censé offrir aux annonceurs et aux éditeurs une vision plus complète du comportement de l'internaute, et définir quels sont les éléments qui le poussent à passer à l'action de commander. [[page]]Cet outil de reporting ne se contente pas de mesurer le succès d'une campagne publicitaire au nombre de clics. Il s'appuie sur une « corrélation des interactions » comme le définit Microsoft : il mesure en temps réel la navigation de l'internaute, tout en prenant en compte d'autres paramètres, comme le caractère plus ou moins récent de cette navigation, la fréquence des visites, le format de la publicité sur laquelle l'internaute a cliqué... En fait, rien de très nouveau, Google et Facebook ayant eux-mêmes déjà développé des outils de mesure dans le secteur de la publicité comportementale. Engagement ROI sera disponible en version bêta le 1er mars prochain. Il fera l'objet de tests auprès de diverses agences de publicité comme McKinney, Mindshare Interaction, World Vision et Neo @ Ogilvy. Les résultats de ses premiers pas seront connus au mois de juin. (...)

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