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(16/01/2008 11:57:44)

Le W3C fait un grand pas en avant pour le Web sémantique

2008 pourrait bien être l'année du décollage du Web sémantique. Le W3C, consortium en charge des standards du Web, vient de publier trois recommandations SPARQL, langage de requête qui permet d'exploiter toute la puissance de l'approche sémantique des données RDF (Ressource Description Framework). Grande marotte de Tim Berners-Lee, pape du Web et patron du W3C, le Web sémantique vise à créer un environnement en ligne dans lequel toutes les données sont reliées entre elles de façon logique pour former une information ultra-pertinente. On ne retient plus alors que le sens des données, et non plus leur place dans un document texte. A l'instar de ce qu'on obtient avec les résultats d'une recherche Google. Place à l'information pure décloisonnée issue de sources multiples et hétérogènes, fi des formats et des méthodes de stockage. Pour l'heure, le Web sémantique n'a pas percé à cause de sa complexité à la mise en oeuvre, mais également par la pauvreté des outils de développement et de la faible implémentation des standards. Parmi les technologies qui encadrent le Web sémantique, on retient RDF - la base du concept -, OWL (Ontology Web Language) qui décrit les ontologies (les liaisons logiques entre les méta-données) et GRDDL (Gleaning Resources Description from Dialects of Languages) qui extrait les micro-formats XML d'un document vers le RDF. Aujourd'hui, le W3C ouvre en grand le requêtage sur RDF en publiant les recommendations SPARQL Query Language for RDF, SPARQL Protocol for RDF et SPARQL Query Results for XML Format, trois spécifications développées par le groupe de travail RDF Data Access Working Group du consortium. Cette publication devrait ainsi doper le nombre d'implémentations de SPARQL au sein de frameworks sémantiques. On en dénombre aujourd'hui 14, dont Jena développé par les laboratoires HP. (...)

(15/01/2008 17:38:28)

Les universités françaises appelées à faire des efforts pour passer au numérique

Le constat du rapport commandé par Valérie Pécresse à Henri Isaac à propos du bilan du numérique dans les universités françaises est sévère. « Les universités sont encore trop faiblement présentes sur Internet et dans les réseaux de partage et d'échange en ligne autour de la connaissance », explique Henri Isaac, en soulignant que ce retard risque de « marginaliser » la France au niveau international. Le maître de conférences attribue ce retard à quatre freins majeurs : stratégiques, peu d'universités perçoivent le fait que le développement des ressources numériques peut constituer une source de valeur ; organisationnels, puisque la mise en oeuvre d'une politique numérique nécessite des adaptations structurelles coûteuses ; pédagogiques, car cela implique un changement des mentalités ; juridiques (notamment pour toutes les problématiques de droits d'auteur et de plagiat). Le rapport rappelle également l'arrivée d'une génération « native du digital », à savoir tous ces futurs étudiants qui ont grandi dans un univers 100% numérique (Internet, réseaux sociaux, téléphonie mobile, messagerie instantanée, iPod ou encore consoles de jeu vidéo). « Les universités devront accueillir des étudiants pour lesquels l'usage du numérique est totalement naturel et intégré dans leur vie quotidienne », car cet usage est devenu « central dans leur communication, leur langage, leur culture ». Or les universités ne sont pas du tout adaptées aux besoins et aux habitudes de cette génération Internet. Henri Isaac identifie un double objectif de politique numérique, « améliorer la qualité de service aux étudiants pour faciliter leur réussite dans le parcours universitaire » et « mettre l'université française au niveau des meilleures universités étrangères ». Pour atteindre ces buts, le rapport liste une série de propositions, comme numériser l'ensemble des documents pédagogiques afin d'en faciliter l'accès où que se trouve l'étudiant, développer l'enseignement à distance, garantir l'égalité des chances, lutter contre le plagiat ou encore améliorer la formation des enseignants. Reste à savoir qui paiera la facture, et convaincre les présidents des universités à allouer les budgets nécessaires au développement du numérique. Le rapport propose un contrat quadriennal cofinancé par le ministère pour subventionner la numérisation des universités françaises. En savoir plus Le rapport complet (...)

(15/01/2008 10:28:23)

Le système de publicité de Facebook est toujours en service

Mark Zuckerberg, fondateur et PDG de Facebook, défend bec et ongles son bébé Beacon. Il a confirmé sur 60 Minutes, une émission télévisée de CBS, que son système de publicité était toujours en service, en dépit de l'amas de reproches récoltés ces dernières semaines (non respect de la vie privée, exploitation de données personnelles dans un but lucratif auprès des annonceurs), mais qu'il allait évoluer afin de devenir « un bon outil ». En termes d'améliorations à faire, le site Techcrunch souligne par exemple un effort côté visibilité : « Beacon serait parfait si l'internaute acheteur savait qu'il envoie une information à ses amis au moment de la transaction, et si ces amis acceptent de recevoir de tels messages ». Pour rappel, Beacon est une plateforme publicitaire qui offre aux annonceurs (moyennant finances) un accès direct vers les informations concernant les membres du site communautaire, afin de les aider à mieux cibler leurs campagnes publicitaires. Autre détail contesté, si l'utilisateur clique sur une bannière publicitaire, elle est automatiquement transmise à l'ensemble de son réseau. Mark Zuckerberg a justifié sa position en déclarant : « Facebook emploie 400 salariés, nous devons faire du bénéfice pour soutenir la société ». Il a par ailleurs affirmé que Facebook ne serait pas introduit en bourse en 2008. (...)

(15/01/2008 10:25:07)

Salesforce.com vise 1 milliard de dollars sur son prochain exercice

Marc Benioff, PDG de l'éditeur Salesforce.com, se plaît à souligner l'adoption croissante du mode SaaS (software as a service) qui conduit les entreprises à consommer les logiciels comme un service. Un modèle sur lequel il a exclusivement misé, dès la création de sa société en mars 1999, en proposant un logiciel de gestion de la relation client (GRC) à utiliser en ligne sur la base d'un abonnement. Fort du million d'abonnés qu'il vient de franchir en décembre dernier, Marc Benioff prévoit de réaliser un chiffre d'affaires de 1 Md$ sur son exercice 2009 qui débute en février 2008. Ce faisant, il rejoindrait le groupe restreint des éditeurs qui dépassent le milliard de dollars de chiffre d'affaires. Parmi ceux-ci figurent notamment Business Objects (1,254 Md$ en 2006), BEA Systems (1,4 Md$), Dassault Systèmes (1,157 Md€) et SAS (1,9 Md$), Cognos n'en étant également pas très loin (979 M$) sur son exercice 2006. Devant eux, Adobe (3,15 Md$), SAP (9,4 Md$), Oracle (18 Md$), Computer Associates, IBM, HP et Microsoft (51 Md$ au 30 juin 2007). La concurrence n'inquiète pas Salesforce.com En 2008, la société de Marc Benioff a lancé Force.com qui fournit aux entreprises et aux éditeurs tiers un cadre et des outils pour effectuer des développements d'applications, ces dernières ayant vocation à s'exécuter sur la plateforme de Salesforce. L'intérêt étant d'épargner aux entreprises de redévelopper des fondements que Salesforce.com a déjà mis en place. Le PDG rappelle que la consolidation du marché du logiciel se poursuit et il affirme que lui-même ne s'inquiète pas de la présence ou de l'arrivée sur le marché de la GRC en ligne d'acteurs aussi importants qu'Oracle (avec Siebel On Demand), Microsoft, avec Dynamics CRM Live, ou encore SAP. De façon assez présomptueuse, Marc Benioff estime qu'aucun de ces fournisseurs « n'a la capacité de fournir un service multi-instance (multi-tenant) qui puisse réellement concurrencer les solutions existantes ». (...)

(14/01/2008 17:27:14)

Le président Sarkozy veut taxer Internet

Lors de sa dernière conférence de presse, datée du 8 janvier dernier, le président de la République Nicolas Sarkozy a évoqué une possible suppression de la publicité sur les chaînes publiques afin de « libérer le service public de critères purement mercantiles » au profit de la qualité. Or la publicité rapporte à ces chaîne 800 M€ chaque année. Pour combler cet énorme manque à gagner (la redevance audiovisuelle ne serait pas suffisante), le président a proposé d'instaurer « une taxe infinitésimale sur le chiffre d'affaires des nouveaux moyens de communication comme la téléphonie mobile et l'accès à Internet ainsi qu'une taxe sur les recettes publicitaires accrues des chaînes privées ». Ce projet de loi reste encore très vague, nul ne sait comment cette taxe s'appliquerait, sur quelle base elle serait calculée, ni quelles répercussions elle aurait sur les abonnés. Pour rappel, un projet de « modernisation de la diffusion audiovisuelle et de la télévision du futur » avait déjà été étudié par l'Assemblée nationale l'année dernière. Ce projet envisageait de taxer les fournisseurs d'accès Internet (jusqu'à 4,5% de leur chiffre d'affaires) pour cofinancer le Cosip (compte de soutien de l'industrie des programmes audiovisuels). Cette proposition avait été très mal accueillie par les FAI, notamment Free qui craignait que cette mesure ait un impact économique sur les internautes. Le projet avait finalement été abandonné par le Sénat. Ni Free ni l'AFA (association des fournisseurs d'accès et de services Internet) n'ont souhaité commenter cette annonce, estimant « ne pas connaître les modalités exactes de cette mesure ». (...)

(14/01/2008 17:26:28)

Bruxelles ouvre deux enquêtes contre Microsoft

Les ennuis de Microsoft face à la Commission européenne sont loin d'être terminés : l'exécutif communautaire vient en effet d'ouvrir deux enquêtes sur de supposés agissements anti-concurrentiels de l'éditeur. Les récriminations sont classiques et ne surprendront pas les observateurs habitués des pérégrinations judiciaires de Microsoft. La première investigation fait suite à une plainte déposée le mois dernier auprès de la Commission par l'Ecis (European committee for interoperable systems). Le groupe bruxellois reproche à Microsoft le manque d'interopérabilité de Windows avec d'autres produits. La seconde enquête cherche à faire la lumière sur la stratégie de Microsoft consistant à inclure certains outils dans les OS Windows. Une initiative qui répond à la plainte déposée le mois dernier par Opera. L'éditeur norvégien du navigateur Internet éponyme reproche à Microsoft de livrer ses OS avec Internet Explorer préinstallé, profitant ainsi de son monopole sur les systèmes d'exploitation pour noyauter la concurrence sur le terrain des navigateurs. Quarterdeck puis Netscape s'y sont cassés les dents avant Opera. (...)

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