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(14/01/2008 14:37:19)
Un million de sites en .fr
L'ouverture aux particuliers profite au .fr. L'Afnic vient d'annoncer que l'extension, créée en 1986, a franchi l'emblématique barre du million d'enregistrements en janvier 2008, après avoir connu une progression de 40% en 2007. Le 'registrar' - instance d'enregistrement des noms de domaine - indique dans un communiqué que le succès du .fr est notamment dû à « l'assouplissement des conditions d'enregistrements, jusqu'à leur ouverture aux particuliers en juin 2006 ». Avant cette date, seules les entreprises pouvaient s'offrir le suffixe régional. L'Afnic explique également que les tarifs compétitifs et les procédures automatisées d'enregistrement ont contribué à la popularité du .fr. (...)
(11/01/2008 16:52:47)Les réseaux sociaux sont trop lents, selon WatchMouse
Les sites communautaires seraient-ils victimes de leur popularité ? D'après une étude de WatchMouse (une société qui vérifie le comportement et la disponibilité des sites Internet ou des applications), ils ne tiennent pas leurs promesses en termes de disponibilité et de rapidité d'ouverture des pages. WatchMouse a analysé les 104 sites communautaires répertoriés par l'encyclopédie en ligne Wikipedia. Pour mesurer les performances de ces réseaux sociaux, la société s'est basée sur un Indice de performance des sites (SPI), qu'elle a créé. Cet indice consiste à calculer les temps de chargement d'une page d'accueil dans sa version HTML. Pour être considérée comme disponible, cette dernière doit s'afficher en moins de huit secondes, et sans erreur d'affichage. Si une erreur est enregistrée, une pénalité de 10 secondes est attribuée. Les résultats sont décevants : sur les 104 sites analysés, 51 d'entre eux présentent un SPI supérieur ou égal à 1 000, ce qui correspond à un délai de chargement beaucoup trop long. Carton rouge pour Facebook, dont l'indice culmine à 6 629. Des sites comme Twitter, Last.fm, Windows Live Spaces, Friendster ou encore Del.icio.us sont également pointés du doigt par l'étude. Le site Faceparty affiche le meilleur SPI (303), mais son audience s'érode, ce qui signifie que popularité et baisse de performances d'affichage vont de pair. WatchMouse souligne également que la plupart des internautes sont très impatients : ils n'attendent pas plus de quatre secondes le chargement d'une page Web. Si Facebook et autres sites communautaires célèbres veulent rester sur le devant de la scène, ils ont donc encore beaucoup de travail technique pour améliorer la disponibilité de leur page d'accueil . (...)
(10/01/2008 17:42:35)Les mondes virtuels s'imposeront dans les entreprises d'ici cinq ans selon Forrester
Les espaces virtuels joueront un rôle important dans le monde des affaires, et devraient avoir autant d'importance que l'Internet d'aujourd'hui dans les entreprises dans cinq ans, c'est ce que prédit une étude du cabinet Forrester. Mieux encore, ces espaces (qui ressembleront au célèbre Second Life) devraient leur apporter de la valeur ajoutée : facilité de collaboration sur un projet, économies de locaux et transactions commerciales. D'après le cabinet américain, les outils collaboratifs actuellement disponibles en entreprise sont relativement limités. Forrester a alors comparé le Web tel qu'il est aujourd'hui et les mondes virtuels. Première différence, Internet est en 2 D, dans les mondes virtuels on passe à la 3 D. La représentation et la marge de manoeuvre de l'utilisateur est également différente. Dans le premier cas, si une personne consulte une page Internet, elle a rarement l'occasion de voir qui visionne cette même page, et interagir avec les autres connectés. Dans les mondes virtuels, l'internaute dispose d'un avatar (avec un nom, un titre, une fonction, un visage...) qui peut rencontrer d'autres personnes, discuter (via la voix sur IP), accéder aux équipements et aux locaux de l'entreprise, mais aussi exprimer des émotions ou manifester des comportements (sourire, acquiescer, serrer une main...). Avec un tel outil, tous les scénarios sont possibles : on peut par exemple imaginer une entreprise donnant rendez-vous sur son monde virtuel à l'ensemble de ses salariés, dispersés dans plusieurs filiales, pour participer à une réunion ou à un projet en direct et en images. Les avatars seront répertoriés dans un annuaire d'entreprise et contrôlés par un système sécurisé afin d'identifier clairement les personnes physiques (pour limiter les accès à certaines pièces ou à certains documents par exemple). Cet élément pose d'ailleurs problème, car pour le moment les avatars ne possèdent aucun statut juridique. Un potentiel collaboratif et économique à découvrir Le cabinet encourage donc vivement les entreprises à explorer ces environnements virtuels, afin d'en découvrir le potentiel collaboratif. Ce modèle est particulièrement intéressant pour des professionnels comme les chirurgiens, les architectes, les ingénieurs ou les créateurs qui utilisent des logiciels de conception assistée par ordinateur (CAO). Les entreprises disposant de plusieurs filiales ou d'une flotte de commerciaux mobiles utiliseront probablement les mondes virtuels pour communiquer avec leurs collaborateurs éloignés. Selon le cabinet, ce changement de modèle permettra aux entreprises de réaliser des économies, car elles investiront moins dans des bureaux, mais davantage dans la construction d'un univers virtuel. Pour l'instant, les mondes virtuels ne répondent pas tout à fait aux attentes des professionnels, notamment en termes de technologie. L'adoption de ces espaces rencontre également un frein culturel du côté des entreprises. Ces dernières sont encore réticentes, car beaucoup de personnes considèrent les mondes virtuels comme des endroits frivoles « où les personnes se rendent essentiellement pour se mettre en valeur ». D'après une autre étude de Forrester (publiée en juillet 2007), seules 14% des entreprises interrogées ont adopté les espaces virtuels, et 44% sont en cours de réflexion, voire de développement, ce qui reste très encourageant. On peut donc imaginer que demain ou après-demain, beaucoup de bureaux seront remplacés par des espaces virtuels. (...)
(10/01/2008 16:55:53)Yahoo teste Open ID
Le protocole Open Source de gestion des identités a-t-il séduit un nouveau grand compte ? C'est ce que peuvent laisser penser certaines lignes de codes de Flickr, le site de partages d'images de Yahoo, et la page d'accueil des futurs services Yahoo Live : me.yahoo.com. Sur les deux sites, Yahoo se définit comme un fournisseur d'identité OpenID 2.0. Ce qui serait cohérent avec la vision des services Yahoo Live telle que présentée par Jerry Yang, PDG de Yahoo. Il pense en effet intégrer dans ces services, des offres propres à Yahoo et d'autres provenant de réseaux tiers comme MySpace.com ou LinkedIn. En devenant fournisseur d'identité OpenID, Yahoo permettrait à ses utilisateurs de contrôler l'accès à ces services de façon centralisée. Même si d'autres grands acteurs du Web - comme Microsoft, AOL et Google (notamment pour son site Blogger.com) - ont rejoint Open ID, ils n'en ont pour l'instant que peu exploité les capacités. Cela devrait changer si Yahoo dépasse la simple phase de test. Toutefois, les porte-parole du groupe se refusent à l'heure actuelle à tout commentaire. Et, même si Yahoo se contente d'associer une Open ID à l'ensemble de ses comptes abonnés, cela fournira plusieurs millions d'utilisateurs potentiels à Open ID. En juillet 2007 (donc avant qu'Orange, Microsoft et Google rejoigne le projet), OpenID revendiquait 120 millions de comptes. (...)
(10/01/2008 15:10:51)Network Solutions soulève la polémique sur l'enregistrement de nom de domaines
Si vous allez sur le site de Network Solutions et que vous effectuez une recherche sur un nom de domaine que vous envisagez d'enregistrer, vous serez surpris de constater que, s'il n'est pas déjà utilisé par une autre entreprise, il est la propriété de Network Solutions. De fait, Network Solutions a mis en place un processus qui permet d'enregistrer instantanément et automatiquement tout nom de domaine saisi par un utilisateur dans son moteur de recherche, pour peu que celui-ci n'existe pas déjà. Résultat, si l'utilisateur veut son nom de domaine, il doit l'acheter auprès de Network Solutions. Très controversée, cette pratique est critiquée par les observateurs de l'industrie qui estiment que, outre le fait qu'elle oblige les utilisateurs à devenir des clients de Network Solutions, elle peut également conduire à des arnaques. Les noms saisis pourraient en effet être récupérés par des personnes peu scrupuleuses à des fins d'enregistrement. Pour toute réponse, Champ Mitchell, PDG de Network Solutions a annoncé mercredi qu'une mention serait ajoutée au site afin que les utilisateurs soient au courant de l'enregistrement systématique du nom de domaine saisi. Il entend également proposer de ne pas enregistrer la recherche en option. Le PDG rappelle toutefois que le processus a justement été mis en place pour éviter les vols de noms de domaine, certains spécialistes du secteur n'hésitant pas à enregistrer des noms de domaine en masse pour ne garder finalement que ceux qui suscitent du trafic. D'autres iraient même jusqu'à « espionner » les moteurs de recherche spécialisés et enregistreraient les noms pour ensuite les revendre. Des pratiques de plus en plus courantes, selon Champ Mitchell, qui campe sur ses positions malgré la polémique soulevée par son service. Il renvoie surtout la balle dans le camp de l'Icann (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers), estimant que si l'organisme faisait son travail en interdisant toutes ces pratiques frauduleuses, il ne serait pas obligé de protéger ses utilisateurs par ce processus d'enregistrement systématique. Et la solution, selon lui, tiendrait en une réduction du tarif d'enregistrement : porté à 0,25 $, le vol de nom de domaine ne représenterait plus une manne financière. Certes, mais à condition d'oublier tous les procès passés et probablement à venir, au cours desquels plaidants et attaquants se disputent un nom de domaine enregistré en milliers d'euros et même parfois plus. (...)
(09/01/2008 17:46:02)Un photographe dénonce des failles dans les licences Creative Commons
Décidément la photographie ne réussit pas à Créative Commons. Un mois à peine avoir échappé à des poursuites judiciaires pour une photo postée sur Flickr en Creative Commons et réexploitée commercialement par Virgin Mobile Australie, le consortium est à nouveau mis en cause. Cette fois-ci, le photographe californien, Dan Heller, dénonce dans une série de trois articles sur son blog les failles importantes qu'il détecte dans Creative Commons. Il s'inquiète notamment de la possibilité de re-licencier des images sous copyright au format Creative Commons en les prenant sur le Web (sur un site de photographe par exemple) et en les réinstallant sur Flickr. Ce qui expose les utilisateurs suivants à des poursuites de la part de l'auteur de l'image, même s'ils sont de bonne foi. Selon lui, cette manipulation s'avère d'autant plus facile que Creative Commons ne définit en fait aucun cadre légal pour l'exploitation des images et qu'elle peut être révoquée par le propriétaire de l'oeuvre à tout moment, sans prévenir les utilisateurs des images, qui se retrouvent encore une fois exposés à des poursuites. (...)
(09/01/2008 14:31:56)Facebook, Google et Plaxo optent pour l'interopérabilité
Google, Facebook et Plaxo ont annoncé rejoindre le Dataportability Group (groupe de travail sur la mobilité de données). Selon TechCrunch, Chris Saad, responsable du groupe mais aussi PDG de FaradayMedia, développeur d'outils d'analyses comportementales des internautes, a reçu les réponses officielles de Joseph Smarr (Plaxo), Brad Fitzpatrick (Google) et de Benjamin Ling (Facebook). L'effort vers plus d'interopérabilité est particulièrement louable chez Facebook, les deux autres candidats ayant déjà fait un pas dans ce sens avec OpenSocial (une initiative de Google). « Nous nous dirigeons immanquablement vers une standardisation de l'offre, car il s'agit d'un véritable besoin chez les internautes », explique Mary Beth Kemp, analyste senior chez le cabinet d'études Forrester. Créé en novembre dernier, le Dataportability Group se propose de définir un standard de description des données personnelles pour faciliter leur propagation dans les réseaux sociaux. Cette initiative a pour but de créer des passerelles entre des systèmes aujourd'hui encore beaucoup trop étanches, et faciliter ainsi la vie des internautes. Le groupe compte déjà parmi ses membres Yahoo, MySpace, Seesmic, Disney, BBC, NineMSN ou encore Dow Jones/Fox. (...)
(09/01/2008 09:41:59)Les outils du Web 2.0 utilisés par un cinquième des entreprises
Wikis, réseaux sociaux ou blogs, les instruments du Web 2.0 sont utilisés dans près d'un cinquième (24%) des entreprises américaines et 8% comptent les mettre en place cette année, rapporte une étude conduite par ChangeWave. L'institut, qui annonce l'explosion du recours à ce type d'outils, note que 39% des entreprises ayant participé à son enquête désirent les utiliser. Et parmi celles qui le font déjà, plus du tiers (35%) prévoient une hausse du budget afférent dans les trois prochains mois. Seules deux entreprises sur cent tablent sur un budget en régression. Les investissements porteront en premier lieu sur les wikis (36%), les blogs (15%), les réseaux sociaux (13%), les mashups (5%), les flux RSS (5%) et les outils collaboratifs (3%). Les avantages tirés ou attendus de ces outils différent selon qu'on les utilise déjà ou qu'on prévoit de le faire. Chez les utilisateurs actuels, c'est avant tout l'amélioration de la communication interne et du travail collaboratif qui est mis en valeur. Les futurs utilisateurs attendent plutôt des outils du Web 2.0 qu'ils leurs permettent d'assurer un meilleur service client, de mieux mettre en valeur leurs marques et d'accroître leurs ventes. (...)
(08/01/2008 17:38:44)A peine né, Wikia Search alimente la polémique
Présenté lors de son lancement comme le concurrent direct de Google, Wikia Search a officiellement vu le jour hier. Le moteur de recherche de Wikipedia fait déjà l'objet de nombreuses critiques. Certes, Wikia n'est disponible qu'en version alpha, donc en phase de test, mais il présente de nombreuses lacunes : pauvreté des résultats (une dizaine par requête en moyenne), manque de pertinence des réponses, aridité de l'interface graphique. Certains détracteurs voient même dans cette nouvelle plateforme un simple « site de socialisation supplémentaire », selon l'AFP. Sur les blogs, les avis sont partagés, les uns admettant être déçus, les autres conseillant de laisser une chance à Wikia Search de faire ses preuves. Un internaute note par exemple « on aurait pu dire la même chose de Wikipedia le jour de sa sortie. Aujourd'hui on voit le résultat. C'est la même chose avec tous les projets libres et ouverts. Les premières versions ne sont jamais suffisamment fonctionnelles et matures ». (...)
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