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(16/01/2007 10:22:20)

FTTH : Neuf Cegetel rachète Mediafibre

Neuf Cegetel acquiert Mediafibre « pour un montant non significatif »... Aussi peu significatif que le nombre d'abonnés de l'opérateur Palois (2 800) ! Pur produit de Pau Broadband Country Mediafibre est un fournisseur de services triple play (téléphonie, télévision et Internet à 100 Mbps) qui s'appuie sur le réseau fibre optique construit par la communauté d'agglomération de Pau (dans le cadre du projet Pau Broadband Country). Bien que disposant d'un potentiel de 38 000 foyers, Médiafibre est encore loin d'avoir atteint son objectifs de 4 000 client raccordés. En 2005, il a réalisé un chiffre d'affaires de 121 000 euros et vise le million en 2006 (Source Les Echos). Neuf Cegetel met donc la main sur un acteur emblématique (Pau fut un précurseur hautement médiatique sur la fibre optique) mais vraiment peu éclatant. Mediafibre est tout de même un laboratoire intéressant. La course à la fibre Ce rachat n'est que la conséquence logique d'une course poursuite entamée par Free sur le FTTH (Fiber To The Home). Le FAI a pris tous ses concurrents de vitesse en annonçant vouloir investir 1 milliards d'euros sur 6 ans dans la fibre. Il a ainsi poussé France Télécom, mollement impliqué sur le FFTH, à réagir . Neuf Cegetel entre donc à son tour dans la partie. Et ce n'est qu'un début dans la course au débit. Cette euphorie sur la fibre est tout de même étonnante. La pensée unique écarte toute autre alternative (comme le FFTC par exemple). Rappelons tout de même, qu'à part quelques expérimentations ou initiatives des collectivités locales, le coeur de cible des opérateurs FFTH reste les grandes agglomérations (notamment dotées d'égouts visitables). Ensuite, il faudra creuser, ou faire du micro-génie civil, et ce n'est plus du tout le même coût. Une France aux multiples vitesses Nous connaissions la France à deux vitesses, entre RTC et adsl. Nous allons passer aux multiples vitesses : les oubliés en RTC, les mal lotis en adsl dégradé, les partageurs en Wimax à 10Mbps partagé, les heureux en full adsl à 28 Mbps et les nantis en fibre à 50Mbps ou 100 Mbps. La Fracture numérique n'a pas fini de se creuser... (...)

(11/01/2007 16:00:01)

iPhone : des mises au point s'imposent

Quelques heures seulement après la présentation, par Steve Jobs, de l'iPhone, deux clarifications importantes - concernant le nom donné au produit et le processeur qui l'équipe - doivent être apportées. Le nom iPhone n'appartient pas à Apple. C'est Cisco, via sa filiale Linksys, qui en est propriétaire, et l'équipementier n'entend pas en faire profiter la marque à la pomme. Dans la foulée de la présentation faite par Steve Jobs à Macworld, Cisco indiquait mener des négociations avec Apple depuis deux ans. Des négociations qui ont toutefois échoué, comme en témoignent les poursuites lancées par l'équipementier à l'encontre de la firme de Steve Jobs pour l'empêcher d'utiliser le nom tant convoité. « Parce qu'ils négocient avec nous sur l'utilisation de la marque depuis tout ce temps, Apple doit bien reconnaître que nous détenons le nom », assène ainsi John Noh, le porte-parole de Cisco. Et Mark Chandler d'enfoncer le clou en expliquant que « l'iPhone d'aujourd'hui n'est pas l'iPhone de demain ». Du côté d'Apple, comme l'a indiqué un responsable au magazine PC World (groupe IDG), la violation de la marque iPhone n'est pas caractérisée dans la mesure où le produit éponyme de Cisco est un téléphone VoIP alors que celui de Steve Jobs est un combiné mobile. Pour Allonn Levy, juriste spécialiste du droit des marques, ce serait une initiative dangereuse de la part d'Apple que de commencer à utiliser le nom iPhone. Le groupe pourrait alors se voir reprocher la commission d'une « infraction intentionnelle ». Cisco pourrait enfin, toujours selon Allonn Levy, avoir initié les poursuites en cours pour contraindre Apple à signer l'accord que les deux sociétés ont négocié. Pas d'Intel dans l'iPhone Autre information démentie après la présentation de l'iPhone : il n'est pas équipé d'un processeur Intel. C'est pourtant l'information qui a circulé dans les heures ayant suivi la conférence de Steve Jobs, reprise notamment par Reuteurs qui citait un représentant allemand d'Apple. Le porte-parole du fondeur s'est donc fendu d'une déclaration officielle pour mettre fin à la rumeur : « nous ne fournissons pas la puce à l'intérieur de l'iPhone ». Intel équipe en revanche l'Apple TV. On notera aussi que les commentaires négatifs commencent à fleurir. Certains observateurs reprochent ainsi à l'appareil d'être équipé d'une batterie inamovible, de n'offrir le mode push que pour les utilisateurs du webmail Yahoo, de ne pouvoir se connecter qu'aux seuls réseaux Edge (et pas 3G), ou encore d'être réservé aux utilisateurs d'un unique opérateur choisi par Apple (Cingular aux Etats-Unis). Ces critiques n'ont toutefois pas affecté l'accueil qu'a réservé le marché à l'iPhone. Le titre Apple a en effet atteint un niveau historiquement haut en signant deux séances de hausse consécutives, flirtant même avec la barre symbolique des cent dollars. De leur côté, les constructeurs de Smartphones voyaient le cours de leurs actions évoluer à la baisse : Blackberry perdait ainsi près de 8% et Palm plus de 5%. (...)

(10/01/2007 17:26:43)

Macworld : Apple confirme son appétit pour l'électronique grand public

Apple Computer n'existe plus. Steve Jobs, le charismatique patron de la marque à la pomme, a en effet profité de la très attendue présentation de l'iPhone - lors du salon Macworld de San Francisco - pour annoncer le changement de nom de son groupe. Il faudra désormais parler d'Apple Inc. Ce changement de dénomination symbolise l'évolution stratégique d'Apple. L'ablation du terme Computer est symptomatique de la volonté du groupe de se focaliser sur l'électronique grand public : les postes de travail ne constituent plus le coeur de métier d'Apple. Pour autant, Apple n'abandonne pas le terrain de l'informatique. C'est plutôt l'informatique qui ne réside plus simplement dans les seuls ordinateurs. En témoigne l'accent mis par Steve Jobs lors de sa conférence sur l'idée de convergence : « nous présentons trois produits révolutionnaires. Le premier est un iPod avec un large écran tactile. Le deuxième est un téléphone mobile. Le troisième est un périphérique de communications Internet. Ce ne sont pas trois appareils, mais un seul. Et nous l'appelons iPhone. Aujourd'hui, Apple réinvente le téléphone ». Après avoir bouleversé le monde de la micro-informatique en 1984 avec le Macintosh, après avoir chamboulé l'univers des baladeurs en 2001 en sortant l'iPod, Apple envisage donc désormais un nouvel exploit : celui de changer la donne dans la sphère de la téléphonie. Si les ambitions en termes technologiques sont immenses, les prévisions de ventes restent plutôt modestes. Le groupe table sur dix millions d'exemplaires vendus d'ici à la fin 2008. Mais à 599$ pour la version la plus chère (8 Go de stockage), les revenus pourraient être juteux. Tout comme le sont déjà ceux réalisés avec iTunes Store, la plateforme de vente en ligne de fichiers multimédia, autre illustration de l'accent mis sur l'électronique grand public. « Un article disait récemment que les ventes sur iTunes avaient brutalement chuté, explique un Steve Jobs goguenard. Je ne sais pas quelles données ils ont observées. Ce que nous voyons, c'est que (...) nous avons doublé le nombre de morceaux vendus en 2006. On vend plus de 5 millions de chansons par jour. N'est-ce pas incroyable. 58 chansons par seconde ». Apple a ainsi dépassé le cap des deux milliards de morceaux écoulés sur iTunes. Et à un euro le titre, l'activité génère un confortable revenu pour la marque. Autre signe de l'appétit d'Apple pour les divertissements numériques : Steve Jobs n'a pas consacré une seconde de son allocution à la prochaine version du système d'exploitation Leopard, prévu pour la mi 2007. Les questions sur Mac OS X 10.5 attendront donc. Tout comme une éventuelle annonce sur l'arrivée des quadri-coeurs dans les Mac Intel. Le gourou d'Apple s'est tout juste fendu d'un commentaire sur le succès du passage des postes de travail Apple aux processeurs Intel. « J'avais dit que nous le ferions dans les douze mois. Nous l'avons fait en sept mois. C'est la transition la plus douce et la mieux réussie que notre industrie ait connue ». De fait, un Mac sur deux vendu aux Etats-Unis à un primo-arrivant dans le monde Apple, est équipé d'une puce Intel. (...)

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