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(19/01/2007 17:19:13)

Les PME françaises ont moins investi dans les technologies en 2006

En 2006, 62% des PME françaises sondées pour l'enquête PME 2006-2007 de BNP Paribas Lease Group (BPLG) ont investi dans les technologies de l'information et de la communication (TIC). C'est moins qu'en 2005, année au cours de laquelle 66% des PME interrogées avaient déclaré avoir investi (contre 53% en 2004). Le pourcentage de ces dépenses par rapport au total des investissements reste assez stable : 27% en 2006 contre 28% l'année précédente. La part consacrée aux ordinateurs portables a progressé, représentant 64% des achats des PME en 2006 contre 52% en 2005). Pour 2007, les intentions d'investissement sont prudentes. 46% seulement des PME envisagent des dépenses informatiques, ce qui semble indiquer la volonté de faire une pause, même si, rappelle BPLG, les dirigeants de PME sous-évaluent généralement leurs intentions d'achats dans ce domaine. Cette fois encore, les ordinateurs portables font figure de favoris : 87% des achats d'ordinateurs prévus. 46% des PME n'ont pas de site Web Dans la sphère Internet, l'enquête montre que le nombre de PME possédant un site Web n'a augmenté l'an passé que de 2%, à 54%. Ce taux varie toutefois suivant la taille de l'entreprise : les plus petites (moins de 10 salariés) étant le moins souvent pourvues d'un site Web (53% d'entre elles n'en n'ont pas), alors que la proportion de PME dotées d'un site monte à 77% dans les entreprises de 100 à 200 salariés. Ce sont les PME de services qui sont le mieux équipées (66% d'entre elles ont un site Web), devant le secteur du commerce de gros (61%). Dans le secteur du transport, au contraire, les PME ne sont que 34% à disposer d'un site Web. Selon l'enquête, fin 2006, 59% des PME interrogées ne voyaient toujours dans le site Web qu'un moyen d'assurer leur notoriété et leur image (moins que les 67% de 2005 malgré tout) et, aussi, de procurer des services aux clients. Pour 42%, il doit servir à recueillir des commandes, des réservations et des demandes de devis. Mais il y a encore du chemin à faire pour que les PME l'ouvrent à leurs fournisseurs ou recueillent en ligne les règlements de leurs clients. Dans le premier cas, elles ne sont que 12% à juger que c'est l'un des rôles du site Web, et seulement 7% quand il s'agit de faire payer les clients en ligne. 8% du chiffre d'affaires réalisé sur Internet En 2006, 42% des PME ayant un site Internet l'ont utilisé comme canal de vente, selon BPLG. Cette proportion n'est pas plus importante qu'en 2005, mais dans 55% des cas, ces ventes ont progressé (sur ce point, voir aussi l'indicateur PowerBoutique). Si, en moyenne, les PME ne réalisent que 8% de leur chiffre d'affaires sur Internet, certains secteurs utilisent ce canal avec plus de profit. Pour les hôtels, cafés et restaurants, par exemple, cette proportion monte à 23%. Et dans les PME de services liés à l'immobilier, on estime que 22% du chiffre d'affaires vient du canal Web. Le site permet aussi de toucher une clientèle au-delà des frontières. C'est particulièrement remarquable pour les hôtels et restaurants. Dans ce secteur, les contacts noués hors du territoire français pèsent 64% des ventes réalisées sur Internet. Quant à la filière des déménageurs, elle évalue à 33% la part des ventes réalisées hors de France sur le Web. (...)

(19/01/2007 14:31:41)

BT choisit Nortel pour la refonte de ses réseaux

Les turbulences semblent s'éloigner pour Nortel. Au moment même où il s'apprêtait à dévoiler les premiers résultats de son alliance avec Microsoft, l'équipementier était enfin choisi par BT pour participer au programme 21CN (21st Century Network), qui consiste à fusionner les 16 réseaux de l'opérateur britannique en un seul. Nortel partagera avec Siemens la fourniture d'équipements destinés au futur backbone Ethernet de BT. Il livrera tout d'abord des switchs et des appliances Metro Ethernet puis, dans un second temps, des convertisseurs optiques. Le Canadien a réussi à convaincre l'opérateur qu'un réseau de type Provider Backbone Transport (PBT) était une solution plus avantageuse qu'un réseau VPLS (Virtual Private LAN Service), pour transporter de la vidéo et l'injecter dans un backbone de type MPLS (MultiProtocol Label Switching). Selon lui un tel réseau, respectant la norme IEEE Provider Backbone Bridging Traffic Engineering (PBB-TE), permettrait d'économiser entre 40 et 80% du coût de transport. BT rejoint ainsi Shanghai Telecom qui déploie en ce moment un réseau PBT. Chez Nortel on mise énormément sur ce dernier standard. L'opérateur a d'ailleurs renoncé à développer des équipements pour le marché VPLS, la technologie alternative préconisée par Alcatel. Ceci explique sans doute cela. Bien que le montant du contrat ne soit pas divulgué, il s'agit d'une belle revanche pour Nortel qui n'avait pas été retenu par BT lors du lancement du projet 21CN en 2005. (...)

(19/01/2007 09:57:34)

France Telecom R&D devient Orange Labs

France Télécom lance le label Orange Labs regroupant toutes les entités du groupe dédiées à l'innovation. Le réseau va ainsi unifier 15 laboratoires de R&D dans 7 pays (France, Chine, Japon, Corée du sud, Etats-Unis, Royaume-Uni et Pologne), auxquels vont s'ajouter le technocentre de Châtillon et l'explocentre de Paris. « L'industrie des télécommunications a évolué vers un environnement IP ouvert et la mise en place du réseau des Orange Labs concrétise notre ambition de mettre l'innovation au coeur de notre stratégie tournée résolument vers nos clients » a déclaré Didier Lombard, PDG de France Télécom, lors du lancement à San Francisco. Le laboratoire californien est justement en pointe dans le domaine du Web 2.0, autrement dit des interfaces riches et des technologies dites participatives (communautés virtuelles, réseaux sociaux...). Pour France Telecom, l'objectif est tout autant de se démarquer de la connotation française, en regroupant toutes ses entités sous l'appellation Orange (à l'instar des services aux entreprises, regroupés sous la bannière Orange Business Services), que de se positionner sur le créneau à la mode du Web 2.0. « Nous nous consacrons d'ores et déjà à la R&D 2.0, la prochaine génération en matière de recherche et développement qui s'appuie sur les technologies always-on [toujours connectées, NDLR] pour anticiper les besoins des utilisateurs », a expliqué Didier Lombard. De même, France Telecom se démarque de son métier d'origine : l'opérateur historique a lancé hier une offre d'accès Internet haut débit de type dégroupage total, donc sans abonnement à une ligne fixe France Telecom, pour 39,90 E par mois. (...)

(18/01/2007 14:23:27)

Réseaux télécoms : 15 marchés pour de nouveaux réseaux attribués en 2006

Les collectivités locales s'impliquent de plus en plus dans la couverture numérique de leur territoire. C'est ce qui ressort du bilan établi par l'Avicca (Association des Villes et Collectivités pour les Communications électroniques et l'Audiovisuel ) qui regroupe les deux tiers des villes câblées et les trois quarts des collectivités ayant lancé des réseaux ouverts aux opérateurs. Selon ce bilan, quinze marchés ont été attribués en 2006 pour de nouveaux réseaux contre onze en 2005. Cela représente un investissement de 448 M€, dont 126 M€ de financement public, notamment à travers la Caisse de Dépôts. Un investissement qui permettra d'améliorer la couverture en haut débit de sept départements (Charente-Maritime, Haut-Rhin, Haute-Garonne, Haute-Marne, Nièvre, Seine-et-Marne, Seine-Maritime), de cinq agglomérations (Angoulême, Clermont Communauté, Quimper, Toulouse sud-est, Valence), d'une partie de la ceinture parisienne (Sipperec) ainsi que de la Guyane. Ces projets visent à couvrir les dernières zones blanches - notamment à l'aide de technologies alternatives comme le CPL ou le Wimax -, à collecter du trafic avec une dimension très haut débit à destination des zones d'activité et des services publics, et à desservir les abonnés en fibre optique (FTTH). Toujours en 2006, treize réseaux sont entrés en exploitation grâce à l'initiative publique et quinze nouvelles procédures ont été lancées. Pour l'Avicca, les DSP permettent de rééquilibrer le territoire. « Sans cela, la concurrence renforcerait l'offre sur certaines zones au détriment des autres », affirment ses membres. (...)

(17/01/2007 16:22:44)

Les opérateurs européens traînent à assurer la transition vers la fourniture de services IT aux entreprises, selon Forrester

Les opérateurs européens ont commencé leur transition vers la fourniture de services IT aux entreprises, mais à un rythme plutôt lent, constate Forrester, dans son étude sur les contrats passés au premier semestre 2006. Le cabinet d'analystes a recensé 68 contrats de plus d'un million d'euros sur cette période, et y a vu « des preuves que certains des acteurs majeurs des télécoms, tels que BT Global Services, T-Systems et Orange Business Services, gagnent des affaires dans le domaine des services IT ». Toutefois, sur les 68 affaires en question, « seulement 28 avaient explicitement une composante IT ». La plupart des contrats portaient en effet sur la gestion d'infrastructures WAN (wide area network, réseaux étendus) pour la voix et/ou les données. Or, d'après une étude auprès des entreprises (301 responsables dans de grandes entreprises européennes), Forrester indique que ces dernières verraient d'un bon oeil (à 56%) les telcos leur offrir davantage de services liés à l'informatique, notamment des services hébergés. La raison principale : elles font confiance à ces fournisseurs. A noter d'ailleurs que cette confiance vaut surtout pour les telcos de même nationalité. L'étude des contrats révèle en effet qu'à l'exception de BT, tous les opérateurs ont conclu quasiment tous leurs contrats - généralement multinationaux - avec des sociétés basées dans le même pays qu'eux. Trois contrats en France, dont deux pour Orange Business Services La plupart des affaires concernaient des montants compris entre 1 et 5 millions d'euros, pour un ou deux services. « Seuls cinq contrats allaient au-delà de cinq ans », souligne Forrester. Le Royaume-Uni concentre le plus grand nombre de contrats d'externalisation (21), devant les Pays-Bas (18) et la Belgique et l'Allemagne (à égalité avec 8 contrats chacune). Forrester a dénombré seulement 3 contrats pour la France, ce qui en revanche la positionne en troisième place du classement en valeur, avec 164 M€. La deuxième marche du podium est occupée par le Royaume-Uni, avec 245 M€, et la première place par les Pays-Bas, avec 706 M€. Côté classement des opérateurs, le Hollandais KPN totalise le plus grand nombre de contrats (15 sur 68, pour un total de 309 M€), devançant de justesse BT Global Services (14 contrats), qui enregistre pour sa part la valeur la plus importante : 627 M€. Orange Business Services ne compte que deux affaires. La majorité des services ont une orientation typiquement télécoms : gestion des réseaux étendus voix et données, gestion de la sécurité, gestion du PBX IP... 28% des services concernent toutefois la gestion des réseaux locaux, 25% la gestion des infrastructures, ou encore 22% le help desk, soit des services plus colorés IT. Pour Forrester, cette tendance devrait s'accentuer, les telcos cherchant justement des moyens de compenser l'érosion de leur marge sur les services voix. Un bon moyen de le faire sans concurrencer frontalement les SSII consiste à nouer des partenariats avec des acteurs de l'informatique, à l'image de celui conclu entre BT et HP, avance Forrester, qui prévoit ainsi des contrats d'externalisation plus complets mais aussi plus complexes. (...)

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