Flux RSS
Internet

5069 documents trouvés, affichage des résultats 4511 à 4520.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(12/07/2006 08:24:29)
L'Oseo Anvar soutient un acteur du Centrex IP
Certains considéreront que les offres aux entreprises d'externalisation du service téléphonique sont déjà trop nombreuses. Des opérateurs de Centrex IP (pour centralisation - externalisation) apparaissent chaque mois ! L'Oséo Anvar semble ne pas être de cet avis. L'agence française de l'innovation vient de s'engager à soutenir un nouvel entrant sur le marché : le Français Ipex Telecom. L'opérateur a séduit par son modèle économique et sa technologie. Contrairement à plusieurs spécialistes du Centrex qui ne font que revendre sous leur nom d'autres offres, Ipex dispose d'un réseau de collecte redondant. Il exploite une plate-forme développée autour du protocole de communication SIP, l'un des standards dans le domaine de la voix sur IP. Outre son offre de téléphonie sur IP, Ipex Telecom propose une assistance à la maîtrise d'ouvrage sur les projets de convergence entre voix et données. Comme un véritable prestataire, il dispose enfin de services externalisés de sécurité, de sauvegarde ou de messagerie. La société est implantée à Paris, Marseille et Reims. (...)
(11/07/2006 18:25:39)Offensive de Huawei en Europe
Selon notre confrère Les Echos, Huawei envisage de doubler ses ventes en Europe en 2006 pour atteindre les 850 millions de dollars. L'équipementier Chinois compte déjà Vodafone, KPN, BT, Tiscali, Télé 2... comme clients Européens. En France, les perspectives sont identiques. Le constructeur commercialise des équipements dsl chez Neuf Cegetel, Completel ou Axione, ou des équipements optiques notamment chez Free. Il est de plus fournisseur potentiel certifié chez France Télécom pour les équipements optiques et Ethernet. Si Huawei équipera prochainement SFR en mobiles 3G (les U 526), il souhaite rapidement monter en puissance sur le mobile et décrocher une commande d'un réseau 3G chez un opérateur national. L'effectif Français actuellement de 110 personnes devrait atteindre 140 d'ici la fin de l'année. Huawei réalise dorénavant 60% de son chiffre d'affaires à l'international et y emploie le quart de son effectif total (40 000 salariés). Son chiffre d'affaire total ne devrait progresser « que » de 34% pour atteindre 7,8 milliards de dollars cette année. (...)
(11/07/2006 17:19:55)France Télécom : amende record confirmée en appel
L'amende de 80 M€ à laquelle France Télécom a été condamné en novembre 2002 par le Conseil de la concurrence n'est pas démesurée. C'est ce que vient d'indiquer la Cour d'appel de Paris, confirmant ainsi les juges de première instance qui avaient condamné l'opérateur historique à payer ce montant record pour abus de position dominante sur le marché de gros du haut débit. L'affaire commence en 1999, avec une plainte déposée par Neuf Télécom. L'opérateur, entre autres doléances, reproche à FT "de ne pas permettre le libre exercice de la concurrence par des opérateurs tiers et d'abuser de sa position dominante sur le marché des services d'accès à haut débit via des technologies xDSL". En clair, France Télécom dispose d'un bon filon avec le haut débit. Tellement bon, qu'il serait dommage de le partager. De fait, selon les plaignants - Neuf Télécom a été rejoint par une cohorte d'opérateurs dans son action -, FT traîne des pieds notamment pour autoriser le dégroupage et l'interconnexion en mode ATM. Et pratique en outre des tarifs suffisamment élevés pour placer ses concurrents en position de dépendance économique. Le 7 novembre 2005, le Conseil de la concurrence sanctionne ces pratiques et inflige à France Télécom une lourde amende de 80 M€. Il considère que le comportement de l'opérateur historique "a eu pour effet de maintenir artificiellement son quasi-monopole sur le marché du haut débit par l'ADSL". Selon FT, "la décision du Conseil de la concurrence sanctionne des comportements et des tarifs pratiqués dans un cadre régulé par l'autorité sectorielle". Décryptage : c'est l'Arcep (ex-ART) qui aurait fixé les règles que France Télécom se serait contenté d'appliquer. Fort de cette ligne de défense, et dénonçant le montant inique de l'amende, FT interjette appel. La Cour d'appel de Paris a toutefois suivi les décisions des juges de première instance et considère que l'amende n'est ni démesurée ni disproportionnée "eu égard à la gravité des faits". (...)
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |