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(01/08/2011 17:36:46)

Facebook versera 500 dollars, ou plus, aux chasseurs de bugs

Facebook a décidé de rémunérer les hackers qui trouveraient des bugs pouvant affecter les services de son site, à condition que ces problèmes soient signalés en premier aux équipes techniques du réseau social. En lançant le programme web « Security Bug Bounty »,  Facebook emboîte ainsi le pas  à Google et Mozilla.

Pour les bugs liés à la sécurité - par exemple les failles XSS (cross site scripting) - la société proposera une prime de 500 dollars. Pour les failles plus importantes,  Facebook payera davantage, mais sans préciser cette fois de montant précis. A partir de vendredi, le site lancera White Hats (https://www.facebook.com/whitehat/), un portail où les chercheurs pourront s'enregistrer et signaler des bugs.

300 000 dollars de primes versés par Google

De son côté, Google offre entre 500 et 3 000 dollars de primes, selon la gravité de la faille. La firme de Mountain View a commencé à payer début 2010 pour les bugs trouvés sur son navigateur, puis a étendu son programme en novembre dernier à d'autres domaines.  Selon un porte-parole de Google, cette démarche a aidé la firme à découvrir un grand nombre d'erreurs de programmation au cours des huit derniers mois, dont la plupart dans des produits moins connus. « Nous sommes très heureux du succès de notre programme de récompense, a déclaré un représentant de la firme dans un e-mail. Nous avons déjà payé 300 000 dollars et nous avons pu voir un échantillon de bogues intéressantes ».

En attendant, les équipes de sécurité de Facebook sont déjà fortement engagées dans le dialogue avec des chercheurs en sécurité. La société est contactée par des hackers entre 30 à 50 fois par semaine. Les informations fournies par ces derniers ont permis de déclencher entre un à trois « bugs actions », par semaine, a indiqué Alex Rice, responsable des produits sécurité chez Facebook  « La plupart des attaques sont de type XSS (cross-site scripting) ou CSRF (cross-site request forgery) », a-t-il ajouté. « Ce sont deux erreurs très communes de programmation web pouvant être utilisées par des escrocs pour tromper des membres de Facebook. »

Facebook offre une récompense de 500 £ par bug de sécurité
Crédit photo : Arvind Balaraman - freedigitalphotos.net (...)

(01/08/2011 13:27:07)

Adobe montre Edge, l'outil HTML5 qui empiète sur Flash

Semant les graines de ce qui pourrait potentiellement venir perturber le succès et les revenus récurrents dont il bénéficie avec ses outils d'animation Flash, l'éditeur américain Adobe vient de livrer une pré-bêta du logiciel Edge, conçu pour assembler des contenus dynamiques sur le Web en s'appuyant sur HTML5 et les standards ouverts associés. « Il s'agit d'outils destinés aux designers qui veulent construire des contenus interactifs en recourant à des standards du web », a expliqué Devin Fernandez, responsable produit chez Adobe.

Traditionnellement, ces utilisateurs se servaient de Flash ou d'un produit concurrent tel que Silverlight, de Microsoft, pour ajouter des éléments interactifs aux pages web, sous la forme de « splash screen » (ces pages qui s'affichent pour faire patienter l'internaute pendant le chargement d'un logiciel), de graphiques dynamiques, de  vidéos courtes ou de bannières publicitaires. Adobe estime que 99% de tous les ordinateurs desktops disposent du logiciel qui permet d'exécuter ces fichiers Flash. 

Au cours des dernières années toutefois, le W3C (World Wide Web Consortium) et d'autres organisations équivalentes ont développé différentes spécifications pouvant être utilisées pour réaliser des contenus Internet riches de même nature. Et les fournisseurs de navigateurs web intègrent ces standards (comme HTML5, JavaScript, CSS et les Canvas tags) dans leurs logiciels, ce qui supprime la nécessité de faire appel à un plug-in séparé tel que le lecteur Flash.

Adobe n'a pas non plus été aidé par Apple dont le PDG, Steve Jobs, a critiqué Flash le jugeant trop bogué et conseillant aux développeurs de passer à HTML5.

Flash et HTML5 vont continuer à coexister

« Davantage de traitements qui étaient précédemment réservés à Flash sont maintenant effectués avec des standards web, reconnaît Devin Fernandez. Nous considérons qu'aider à tirer profit de HTML5 peut constituer une énorme opportunité pour notre société ».

Le nouvel outil utilise HTML5, CSS et JavaScript pour insérer des contenus web animés directement sur une page HTML. Dans une approche similaire à celle de l'outil de développement Flash, Edge permet à un développeur de modifier les attributs d'une image ou d'un élément HTML en fonction d'une durée préétablie, l'image web qui en résulte offrant alors l'impression d'être animée.

Interrogé par nos confrères d'IDG News Service, Al Hilwa, analyste chez IDC, spécialisé sur le développement d'applications, estime qu'Adobe a déjà montré qu'il pouvait facilement adopter de nouvelles tendances. « Cela montre qu'il peut rester le premier fournisseur d'outils quelle que soit la technologie utilisée », considère-t-il. « Il y a très peu d'acteurs qui soit autant qu'Adobe en phase avec les besoins et la sensibilité des designers. Il apporte le modèle historique familier à de nombreux développeurs Flash vers l'univers de HTML5 et de JavaScript, tout en conservant l'intégrité du code ».

Adobe ne s'attend pas à ce qu'Edge supplante totalement Flash, au moins pas dans un futur proche. « La technologie Flash restera un composant clé pour des usages spécifiques tels que la vidéo haut de gamme ou les jeux, précise Devin Fernandez. HTML5 et Flash vont sans aucun doute continuer à coexister. Chez Adobe, nous allons donc continuer à travailler sur des solutions portant sur ces deux axes. Les utilisateurs décideront sur quelle technologie ils veulent s'appuyer ».

La preview de Edge peut être téléchargée gratuitement. Adobe prévoit de livrer la version commerciale définitive en 2012, pour Windows et MacOS.

Crédit photo : Adobe

(...)

(29/07/2011 16:08:41)

Accord Google/Hachette sur la numérisation des livres épuisés

Les livres concernés représentent environ 70% du fonds de l'ensemble des maisons d'édition du groupe Hachette, soit entre 40 000 à 50 000 oeuvres "régies par le droit d'auteur français et qui ne sont plus commercialement disponibles". Il s'agit principalement de littérature générale et d'ouvrages de référence (encyclopédies Larousse et livres universitaires).

L'accord prévoit qu'Hachette aura le contrôle sur le choix des oeuvres exploitables en version numérique, et que l'éditeur pourra utiliser s'il le souhaite ces fichiers pour les exploiter en impression à la demande. La Bibliothèque nationale de France devrait quant à elle bénéficier de ces ouvrages numérisés.

Google indique avoir déjà numérisé en six ans plus de 15 millions d'ouvrages, sans avoir toujours obtenu au préalable l'autorisation de tous les éditeurs, mais espère "parvenir à des accords similaires avec d'autres éditeurs", selon le même communiqué.

Crédit photo : Robert Kneschke/shutterstock.com (...)

(29/07/2011 14:18:57)

Twitter intègre les tweets sponsorisés dans le flux d'actualités

Twitter teste différentes options pour mettre en avant les tweets sponsorisés, que d'aucun appelle de la publicité. Au printemps 2010, le site de microblogging avait introduit une fonction payante pour que les tweets des annonceurs apparaissent en premier dans les résultats de recherche de certains mots clés.

Twitter a annoncé sur son blog que les tweets sponsorisés des sociétés suivis par les utilisateurs iront directement dans la TimeLine (flux d'actualités). Ces messages seront estampillés d'une petite icône orange discrète pour mieux les discerner. Ils disparaîtront lorsque le fil d'actualités se mettra à jour.  
Twitter va essayer cette fonctionnalité dans les prochaines semaines avec un petit groupe d'entreprises, dont Best Western, Dell, Groupon, HBO et JetBlue.

Un modèle économique en bonne voie


« Dès le début, notre philosophie autour de la publicité a été simple: nous mettons les utilisateurs en premier et nous nous efforçons ensuite de créer des produits qui enrichissent l'expérience Twitter de chacun » explique le site de microblogging.

Ezra Gottheil, analyste chez Technology Business Research, a déclaré que Twitter est sur la bonne voie en termes d'augmentation de ses revenus publicitaires. « D'une façon ou d'une autre, ils doivent augmenter la visibilité et le taux de clic. S'ils le font, les sponsors paieront pour cela. Intégrer les tweets sponsorisés dans le haut de la TimeLine va certainement augmenter la probabilité que les utilisateurs les voient » précise le consultant. Il complète en proposant à Twitter de mettre en surbrillance les publicités ciblés et pronostique un intérêt réel de ces messages pour la vente (réduction, coupon, etc) et l'annonce d'évènements. (...)

(29/07/2011 11:55:14)

Les Français surfent de plus en plus avec leur mobile

La France comptait 17,7 millions de mobinautes fin juin, soit 10% de plus qu'en mars et 40% de plus qu'il y a un an. Ils sont 70,7% à se connecter à l'Internet mobile tous les jours ou presque, selon Médiamétrie, dans son baromètre trimestriel sur l'audience de l'Internet mobile en France.

D'avril à juin, 94,4% des mobinautes ont consulté au moins un site depuis le navigateur Internet installé sur leur smartphone. Les sites les plus visités sont dans l'ordre Google (11,3 millions de visiteurs uniques), Facebook (11,2), Orange (8,4), SFR (7) et YouTube (6,6).

Ils ne sont en revanche que 48,8% à être passés par une application mobile, en complément à la navigation directe sur les sites. Concernant les applications les plus utilisées, Google (7,6 millions de visiteurs uniques) demeure en tête, devant YouTube (6,6), iTunes (5,3), Facebook (4) et Orange (3,1). (...)

(28/07/2011 16:55:29)

Trimestriels Alcatel-Lucent : des bons résultats sanctionnés en bourse

L'équipementier télécoms a annoncé un chiffre d'affaires de 3,9 milliards d'euros au second trimestre 2011, en croissance de 2,4% sur un an (+10,4% à changes constants), pour une marge brute de 35,8%, à comparer aux 36,1% un an avant. Cependant les analystes s'attendaient à une croissance plus forte sur le chiffre d'affaires. Le résultat d'exploitation atteint 108 millions d'euros contre 28 millions d'euros au second trimestre 2010. Par ailleurs, le résultat net est bénéficiaire de 82 millions d'euros, après une perte de 139 millions d'euros au second trimestre 2010. Malgré ses lueurs d'espoir, l'action en bourse a été très chahutée  pour plonger de près de 15% en passant sous la barre des 3 euros.

Sur les prévisions, Ben Verwaayen, PDG d'Alcatel-Lucent, a indiqué « nous maintenons nos perspectives sur l'ensemble de l'année, à savoir de croître plus vite que notre marché adressable avec un résultat d'exploitation ajusté supérieur à 5% des ventes en 2011 »

Réseaux IP, wireless et optique en croissance


Dans le détail, le segment d'activité qui a eu la plus forte croissance est celui des réseaux IP, où les revenus pour ce trimestre ont augmenté de 27,7% à 406 millions d'euros. Le chiffre d'affaires de l'activité réseaux sans fil a progressé de 5,7% pour atteindre 1,08 milliard d'euros et celui sur les réseaux optiques a cru de 3,7% à 645 millions d'euros. Les revenus issus des réseaux filaires traditionnels subissent une lente érosion (2,5%) pour atteindre 357 millions d'euros.

La branche application reste stable en générant 486 millions d'euros de revenus avec un mix équilibré entre les logiciels entreprises (286 millions d'euros en baisse de 6,6%) et ceux relatifs aux réseaux (200 millions d'euros en hausse de 6,4%).Les activités services ont reculé de 1,4% pour atteindre 871 millions d'euros pour le second trimestre. Les contrats d'externalisation et les services managés progressent eux de 20%, compensant ainsi la chute des constructions de réseaux au cours du trimestre.

Illustration: Ben Verwaayen, PDG d'Alcatel-Lucent

Crédit Photo: D.R

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(28/07/2011 10:30:32)

L'Avicca se plaint du prix de la fibre et demande l'aide de l'Etat

Les collectivités locales ne sont pas contentes et le font savoir. L'Avicca (l'Association des villes et des collectivités pour les communications électroniques et l'audiovisuel) réagit aux précisions apportées  sur les règles d'éligibilité aux aides nationales pour la montée en débit et le Très haut débit. L'Avicca regrette que ses demandes pour organiser une réelle péréquation nationale n'aient pas été entendues.

Ce sont les territoires les moins denses, en particulier ruraux, qui sont pénalisés. Les collectivités concernées auront une charge réelle par habitant au moins trois fois supérieure à celle qui sont plus denses. L'Avicca s'insurge car selon elle, les collectivités qui voudraient organiser une péréquation locale entre les zones rentables et celles qui ne le sont pas, seront pénalisées : l'Etat ne les aidera pas du tout.

Pour la création d'un fonds d'aménagement numérique du territoire


L'association souligne, en outre, qu'il est demandé aux collectivités de s'engager sur l'ensemble du processus de transition vers le Très haut débit, via le vote des schémas directeurs territoriaux d'aménagement numérique, à horizon de 15 à 20 ans. Or, dans le même temps, l'Etat ne définit son aide qu'avec un fonds non pérennisé, le Fonds national pour la société numérique. La part du coût pour le secteur public est estimée entre 10 à 15 milliards d'euros, mais seulement 900 millions sont assurés par l'Etat.

L'Avicca estime que seule la création, et l'alimentation pérenne du Fonds d'Aménagement Numérique du Territoire (FANT)  donneront des gages aux collectivités que ce chantier sera mené jusqu'au bout, et avec une véritable solidarité nationale.

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