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(27/07/2011 14:29:28)
Le trafic mobile mondial explose au 1er semestre
Le trafic mobile mondial a progressé de 77% selon une étude d'Allot Communications. La progression la plus spectaculaire concerne la vidéo, avec un bond de 93%. Ce service occupe aujourd'hui 39% de la bande passante mobile. Mais le chiffre le plus impressionnant concerne YouTube, qui à lui-seul génère 22% du trafic des données mobiles dans le monde. De son côté, les services de messagerie instantanée et de VoIP (téléphonie via les réseaux Internet) ont doublé leur trafic en l'espace de six mois. Dans ce domaine, Skype reste le leader incontesté et monopolise 82% de la bande passante consacrée à la VoIP.
Croissance exponentielle pour les réseaux sociaux
Les réseaux sociaux ne sont pas en reste avec une progression de 166% pour le trafic de Facebook et de 297% pour Twitter. Enfin, l'App Store génère 84% du total des téléchargements d'applications contre 13% à l'Android Market.
Cette étude a été réalisée par Allot Communications, auprès d'opérateurs du monde entier combinant 250 millions d'abonnés, entre le 1er janvier et le 30 juin 2011.
Google + justifie et affine sa politique de gestion de profils
Contrairement à Facebook, Google+ n'accepte que les profils avec un prénom et un nom réel, sans ajout de suffixe et sans surnom. Tout profil suspect est suspendu voire même supprimé, ce qui a provoqué la colère de nombreux internautes. Suite à de nombreuses plaintes, Google s'engage désormais à envoyer une notification avant la suspension éventuelle d'un compte, afin que l'internaute ait le temps de modifier son profil.
Dans un échange rendu public sur Google+ avec le célèbre blogueur américain Robert Scoble, Vic Gundotra (vice-président en charge du social chez Google) explique qu'il s'agit de suspendre du réseau toutes les personnes qui écrivent leurs noms d'une manière étrange, en y ajoutant un pseudo et des caractères spéciaux, ou qui utilisent un faux nom.
Une gestion plus affinée mise en place
Bradley Horowitz, vice-président chargé du développement de Google+, a également réagi à la polémique en affirmant que dans certains cas, ces violations étaient effectuées de manière involontaire, et que les personnes concernées seraient recontactées afin de pouvoir restaurer leurs comptes utilisateur.
Google+ compte déjà plus de 20 millions d'inscrits, alors que le réseau est toujours accessible uniquement sur invitation.
Selon Gartner, le m-commerce n'est pas encore prêt pour le NFC
Le paiement par mobile décolle moins vite que prévu selon l'institut Gartner. Une percée de ce mode de paiement était attendue dans les pays émergents. En effet, le taux d'équipement en terminaux mobiles y est élevé et les banques sont peu présentes. Il s'agit de conditions très favorables pour le développement des paiements par mobile.
Cependant la croissance de ce mode de règlement dans ces pays n'a pas été au rendez-vous, selon Gartner. « Les acteurs du secteur doivent encore adapter leurs stratégies aux spécificités et aux besoins locaux. Il est improbable que l'on puisse transposer les modèles qui ont réussi au Kenya et aux Philippines à d'autres pays » précise Sandy Shen, Research Director chez Gartner.
Concernant les pays développés, Gartner reste réaliste quant à la percée du NFC (Near Field Communication), la technologie de communication à très courte portée. Sandy Shen estime que les usages doivent encore se développer et que l'écosystème reste encore complexe : « les entreprises vantent les mérites de la technologie NFC sans réaliser la complexité de l'écosystème. Le plus gros défi est de changer le comportement des consommateurs afin qu'ils payent avec leurs mobiles et non pas en carte ou en espèces ». Elle ajoute qu'il faudra encore au moins 4 ans avant que l'on constate une adoption massive du paiement par NFC.
Le WAP pour payer avec les smartphones
Les SMS ou les services USSD (Unstructured Supplementary Service Data) devraient rester les principales technologies dans les pays en voie de développement, selon Gartner, à cause des contraintes liées aux téléphones mobiles employés dans ces pays. Quant aux pays développés, c'est le protocole WAP (Wireless Application Protocol) qui restera le plus employé pour les accès mobiles car l'Internet mobile y est démocratisé et activé sur les smartphones.
Les téléchargements d'applications mobiles du type iPhone et le commerce mobile sont les principaux vecteurs de développement des paiements via WAP. Ce dernier va représenter 90% des transactions mobiles en Amérique du Nord et 70% en Europe, en 2011.
Transferts d'argent et achats en ligne dominent le m-commerce
Les transferts d'argent à des proches et l'achat de recharges prépayées vont mener la croissance des transactions mobiles dans les marchés en développement. Ces deux services se développent en Europe de l'Est, au Moyen-Orient et en Afrique. Ces tendances sont la « Killer App » estime Gartner. Dans ces régions du globe, l'institut estime que l'envoi d'argent et la recharge de compte mobile vont représenter respectivement 54% et 32% des transactions en 2011.
Dans les marchés plus développés, le succès du magasin d'applications d'Apple (l'App Store) et les efforts de revendeurs comme Amazon ou eBay pour favoriser l'accès à leurs services directement sur mobile dépassent de loin les autres usages. Sandy Shen prévoit « que l'achat de biens en 2011 représentera 90% et 77 % des transactions aux États-Unis et en Europe Occidentale ».
Au final, Gartner prévoit que le nombre d'utilisateurs du paiement par mobile atteindre 141 millions de personnes en 2011. Ce qui reste un chiffre très modeste comparé aux 5 milliards de connexions mobiles dans le monde. Le nombre d'utilisateurs du paiement par mobile est cependant en forte croissance, de 38%. Le montant réglé par ce biais devrait atteindre 86 milliards de dollars, en croissance de 76% par rapport à 2010.Crédit photo : D.R.
(...)(26/07/2011 09:36:42)
La Fevad satisfaite de la progression de l'e-commerce durant les soldes
Un jour avant la fin des soldes d'été, la Fédération e-commerce et vente à distance (Fevad) a publié son premier bilan des ventes sur Internet. Un constat très positif pour la vente en ligne française, qui fait état d'une hausse de 19% sur les quatre premières semaines de la période, comparée à 2010.
Dès le premier jour des soldes d'été, démarrées le 22 juin, les internautes se sont rués sur les bonnes affaires, faisant progresser les ventes des sites d'e-commerce de 37%. Les acheteurs n'ont toutefois pas fait progresser le montant de leur panier, par rapport à l'année dernière, évalué en moyenne à 100€.
Prisées par les fashionistas pour les promotions sur les vêtements, accessoires et chaussures, les ventes en mode et habillement ont logiquement progressé de 27%, avec un montant moyen des commandes à 78€.
Crédit photo : Payless Images/shutterstock.com (...)(25/07/2011 13:31:32)Les entreprises impatientes d'utiliser Google+
Google + est actuellement conçu pour accueillir que des profils personnels, sauf dans le cas des entreprises sélectionnées pour participer à un programme test pour l'élaboration de profils professionnels (Ford par exemple et bien sur Google). Fidèle à sa politique de lancement, la firme de Mountain View a supprimé les comptes non autorisés de type entreprise ou anonyme/peudo, provoquant une levée de boucliers sur les forums selon Danny Sullivan, expert et responsable du blog Search Engine Terre, dont l'activité a été bannie du réseau social de Google. Il lui reste son compte Google+ personnel.
Dans un commentaire à l'un des messages de Dan Sullivan, Vic Gundotra écrit que Google aurait du anticiper la frustration de tous ceux qui désirent utiliser Google+ dans un cadre professionnel. « C'est de ma faute. J'avais d'autres priorités en tête de liste. Ainsi, lorsque Danny dit que Google a foiré, il a raison », a écrit Vic Gundotra, vice-président chez Google en charge du développement logiciel.
Un usage tout d'abord personnel
« Nous avons tout d'abord mis en avant l'usage personnel pour les utilisateurs. Aucun de nos modèles internes n'avait montré ce niveau de croissance. Nous avons été pris au dépourvu. Cette croissance est très alléchante pour les personnes et les marques qui désirent utiliser cette audience. Nous faisons tout notre possible pour accélérer les travaux pour traiter correctement ce point. S'il vous plaît, donnez-nous juste un peu plus de temps », a ajouté le cadre de Google.
Dans un message posté jeudi soir, Christian Oestlien, directeur produit Google+, a écrit que des dizaines de milliers d'organisations ont demandé à être dans le programme d'essais professionnels Google+, et que Google espère permettre la création de profils d'entreprise dans les mois à venir, tôt que prévu initialement. «Votre enthousiasme nous oblige à faire plus pour aider les entreprises impliquées dans Google+, et nous devons le faire rapidement », a écrit Christian Oestlien.
« En attendant, nous vous demandons de ne pas créer de profil d'entreprise en utilisant les profils réguliers de Google+. La plate-forme actuelle n'a pas été conçue pour un usage professionnel, et nous voulons vous aider à construire des relations durables avec vos clients. Il est juste nécessaire de patienter un peu », écrit-il. Google continuera à désactiver les profils d'entreprise, précise-t-il, ajoutant qu'une alternative aujourd'hui consiste à « trouver une personne réelle qui est prête à représenter votre organisation sur Google + en utilisant un profil réel ».
Une croissante très rapide pour rattrapper Facebook
Google + est la réponse de la firme de Mountain View à Facebook. Actuellement en bêta test limité et disponible uniquement sur invitation, Google + est soupçonné de déjà avoir entre 15 et 20 millions de membres, et ça grimpe aussi vite que Google lui permet.
Bien que Facebook est de loin la plate-forme la plus populaire dans le monde des réseaux sociaux avec 750 millions de membres qui passent de plus en plus de temps sur le site, Google fait le pari que Google + offre des améliorations suffisantes pour encourager une migration massive des utilisateurs.
En particulier, l'éditeur estime que Google+ a plus de paramètres de confidentialité et un mécanisme de partage de contenu plus facile et plus efficace que sur Facebook, et que les gens se sentent plus à l'aise et interagissant plus leur média social.
Apple lorgne sur Hulu.com
Apple envisage de faire une offre pour le service de vidéo en ligne Hulu.com (avec et sans abonnement HuluPlus), inaccessible en Europe pour une question de droits d'auteurs sur les séries TV. Deux personnes bien introduites dans cette industrie ont eu connaissance de l'offre a déclaré Bloomberg alors que les négociations entre les deux sociétés étaient déjà bien entamées. Cependant, les sources n'ont accepté de parler à Bloomberg à la seule condition que leur anonymat soit garanti. Ni Apple, ni Hulu n'ont accepté de faire le moindre commentaire sur cette affaire.
Hulu, qui est détenue par Walt Disney, NewsCorp, Comcast et le fonds d'investissement Providence Equity Partners, a été mise en vente le mois dernier. D'autres parties sont intéressées : Yahoo, Microsoft et Google, selon les analystes. Ces derniers indiquent également qu'Apple envisageait de renforcer sur le marché de la vidéo et que le rachat de Hulu n'était donc point surprenant.
Un choix intéressant pour concurrent NetFlix
En effet, Hulu devrait atteindre le cap du million d'abonnés le mois prochain et le PDG de la compagnie, Jason Kilar, a estimait que son entreprise pourrait générer plus de 500 millions de dollars de revenus en 2011. Un service vidéo sur abonnement pourrait ajouter une autre corde à l'arc d'iTunes, qui permet actuellement aux clients de simplement louer ou acheter du contenu vidéo. HuluPlus est d'ailleurs déjà disponible sur iPhone, iPad et iPod Touch
Ceci mettrait Apple dans une position forte pour rivaliser avec NetFlix, qui domine actuellement le marché de la vidéo à la demande aux États-Unis avec plus de 23 millions d'abonnés.
Google achète la société de reconnaissance faciale PittPatt
Après la start-up Fridge pour étoffer Google+, la firme de Mountain View Google a acquis la société PittPatt, spécialisée dans la reconnaissance des formes. Basée à Pittsburgh, cette entreprise conçoit des technologies pour la reconnaissance des visages dans les images et la vidéo, selon le site de PittPatt. Ses fondateurs ont commencé à développer la technologie à l'Université Carnegie Mellon Robotics Institute dans les années 1990 et ont fondé PittPatt en 2004 en tant que spin-off de l'université, indique encore le site.
« Chez Google, la technologie d'analyse des images par ordinateur est déjà au coeur de nombreux produits existants (tels que Image Search, YouTube, Picasa, et lunettes), c'est donc un choix naturel de rejoindre Google et d'apporter les avantages de notre recherche et de note technologie à un plus large public », a déclaré PittPatt. « Nous allons continuer à exploiter le potentiel de l'analyse d'image informatique dans les applications qui vont de l'organisation simple de photos aux vidéos complexes et aux usages mobiles», a indiqué la compagnie.
La technologie développée par PittPatt assure différents types de reconnaissance faciale, notamment le suivi des visages dans des vidéos, le tri des images en fonction de la façon dont les visages apparaissent dans chaque photo, ou encore le classement des sites web trouvés dans le cache de Google. PitttPatt propose également un kit de développement logiciel pour intégrer sa technologie dans d'autres applications. Signalons également que FaceBook dispose également de cette technologie pour tagger automatiquement les photos et l'a lancée officiellement depuis quelques semaines. Les conditions de ce rachat n'ont pas été dévoilées par Google. (...)
Pour étoffer Google+, Google rachète la start-up Fridge
Avec l'acquisition de Fridge, Google entend dynamiser son tout nouveau média social. Spécialisée dans le partage de contenus, la start-up qui a notamment développé un outil basé sur des cercles, à l'image de ce que propose aujourd'hui Google+, est à l'origine d'outils de messagerie instantanée et de partage de contenus. L'arrivée des équipes de Fridge devrait permettre l'ajout rapide de nouvelles fonctionnalités afin de concurrencer encore davantage Facebook.
Le site Frid.ge va être fermé le 20 août et ses utilisateurs sont donc invités à rejoindre Google+, toujours accessible sur invitation mais qui compte déjà près de 20 millions de membres.
(...)(22/07/2011 10:17:06)Free et France Telecom mutualisent les investissements dans la fibre
Le trublion d'internet décrit un schéma de cofinancement qui permet à Free de n'investir qu'à hauteur des lignes nécessaires pour servir ses abonnés à la différence des zones très denses où chaque opérateur déploie un réseau jusqu'aux immeubles et pour la totalité des lignes. Une offre de collecte complète le dispositif. Free stipule que cet accord s'appuie sur l'offre de cofinancement de France Télécom-Orange. Cette dernière est accessible à tous les opérateurs et prévoit des décaissements progressifs, suivant le déploiement effectif du réseau. Les investissements FTTH de Free en 2011 et 2012 ne seront pas modifiés. Free sera candidat au Grand Emprunt pour contribuer à financer ces réseaux déclarés lors de l'AMII (Appel à manifestation d'intentions d'investissement) organisé début 2011 par le Commissariat Général à l'Investissement.
Cette mise en commun des moyens permet de déployer un réseau unique et mutualisé entre les répartiteurs optiques et les abonnés, et de desservir ainsi une population plus large.
Le régulateur se félicite et communication distincte pour les opérateurs
Au passage, on peut noter la différence dans la manière de présenter cet accord entre Free et Orange. En effet, dans sa communication, France Télécom pour sa part parle de Free comme d'un client sur son offre de gros qu'il a publié le 19 juillet 2011. L'offre permet la mutualisation des réseaux hors des zones très denses en laissant le choix à l'utilisateur final de son fournisseur de services. France Télécom déclare que « Free a décidé de souscrire à cette offre » pour la soixantaine d'agglomérations dans lesquelles Orange a l'intention de démarrer les déploiements de la fibre en 2011 et 2012. Cela représente 60 agglomérations des zones moins denses, soit 1300 communes et 5 millions de logements couverts en fibre optique jusqu'à l'abonné à l'horizon 2020.
L'Arcep pour sa part, se félicite de l'accord conclu entre France Télécom et Free, ainsi que de la publication par France Télécom de son offre d'accès aux lignes FTTH en dehors de la zone très dense.
L'autorité de régulation des télécoms souligne que « cette offre détermine les conditions d'accès et notamment les modalités de co-investissement des opérateurs tiers dans ces nouvelles boucles locales optiques ». L'Arcep salue l'annonce conjointe de France Télécom et de Free qui ont affiché leur intention de mettre en oeuvre cette offre sur un total d'environ 1300 communes en dehors des zones très denses, soit 5 millions de logements, et d'engager les travaux avant la fin de l'année. L'Arcep espère que d'autres opérateurs contribueront à ces investissements que ce soit en tant que co-financeur de l'offre de France Télécom ou comme opérateurs déployant leurs propres réseaux et publiant leur propre offre d'accès.
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