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(04/07/2011 13:43:58)
Les entreprises prennent conscience de l'importance de la e-réputation selon IDC
La notion d'e-réputation est désormais bien ancrée dans l'esprit des services communication des grandes entreprises, à savoir la perception qu'ont les internautes d'une entreprise, notamment via les contributions sur les médias sociaux au sens large (réseaux sociaux, blogs, commentaires sur le site institutionnel, etc.). Or si une majorité d'internautes donnent leur avis et tiennent compte des autres avis exprimés, les directions marketing se sentent bien démunis face à ce qui constitue leur terra incognita moderne.
Selon une étude du cabinet IDC, seulement 4% des internautes donnent très régulièrement leur avis mais 9% le donnent tout de même régulièrement, 30% de temps en temps et 24% rarement, soit les deux tiers en tout. De la même façon, 30% des internautes tiennent compte des avis diffusés par leurs pairs très fréquemment et 38% de temps en temps, 16% rarement. Seulement 17% n'en tiennent jamais compte. Evidemment, la confiance augmente avec la proximité : 66% pour des « amis » sur des réseaux sociaux genre Facebook, 56% pour les blogs d'experts ou de citoyens. Notons enfin que, contrairement à une idée courante, toutes les tranches d'âges sont concernées, y compris des grands-parents.
L'e-réputation : priorité sans moyens
De ce fait, si les directions marketing et communication ont comme première priorité la fidélisation des clients (94% de priorité moyenne ou forte), la sécurisation de la e-réputation arrive juste derrière (91% de priorité moyenne ou forte), avant la croissance du ROI des actions de marketing ou l'approfondissement de la connaissance client. La e-réputation a en effet des impacts directs sur les ventes (34% des entreprises) ou indirect (attractivité de la marque... 78% des entreprises).
Mais l'approche de la réputation reste très artisanale ou traditionnelle (enquêtes d'opinions...). Seules 23% des entreprises tentent d'ailleurs un peu sérieusement de suivre ce qui se dit d'elles sur les médias sociaux. 48% essayent de suivre ce qui se dit d'elles sur Internet et 45% ce qui est dit sur leurs concurrents mais essentiellement via une simple veille. La majorité d'entre elles (70%) sont conscientes que l'on ne peut pas contrôler ce qui se dit sur les médias sociaux mais, par contre, 74% estiment possible de canaliser ou de nuancer les échanges néfastes. La présence constante sur les médias sociaux permet à une marque de bâtir un historique qui servira en cas de crise. Globalement, cependant, on voit bien que la position reste défensive, même lorsqu'il s'agit de préparer en amont la défense.
La principale action en la matière reste la page Facebook : 84% des entreprises l'ont fait. Par contre, l'identification des communautés influentes reste encore faible (moins d'un quart des entreprises le tentent). Et seules 10% tentent d'analyser sémantiquement les discours circulant. Il est vrai que, de toutes façons, seuls les échanges « publics » sont analysables. Les conversations « privées » (via les murs Facebook par exemple) sont inaccessibles par définition. (...)
VoIP et très haut débit, vedettes des services de télécoms selon l'ARCEP
Au terme du premier trimestre 2011, la France compte encore 40,2 millions d'abonnements à un service de téléphonie fixe (-1,1% sur un an). Si le dégroupage total connaît un fort développement (8,2 millions de lignes), le dégroupage partiel ne cesse de baisser. Le trafic de téléphonie a atteint un volume total de 56,8 milliards de minutes (dont 30,2 milliards pour le fixe et 26,6 milliards pour le mobile), soit une faible progression de 0,8% sur un an. De janvier à mars, quelques 33,7 milliards de SMS ont été émis, soit 11,4 milliards de messages de plus qu'au cours du premier trimestre 2010.
Une tendance se confirme : le volume de trafic sur IP bondit de 69% sur un an et la proportion de minutes émises en IP vers les mobiles atteint désormais les 40%, bien aidé en cela par les nouvelles offres incluant les appels illimités vers les téléphones portables. Ce trafic de voix sur IP représente désormais 81% de l'ensemble des minutes des communications internationales et 63% des minutes des communications nationales vers les postes fixes.
Le très haut débit en phase de décollage
Le nombre de clients sur les réseaux mobiles (nombre de cartes SIM en service) s'élève à 65,5 millions (+6,4% en un an). Si le revenu provenant des communications téléphoniques est en constante baisse, l'ARCEP note que celui des SMS et de l'accès à l'Internet mobile ne cesse de progresser.
En ce qui concerne les abonnements à Internet, le nombre d'accès au haut et au très haut débit (ADSL, câble, fibre...) atteint le score de 21,8 millions en mars (+7,6% en un an). Les accès DSL (20,3 millions) représentent 95% du marché à haut débit et près de six accès sur dix (11,4 millions) sont couplés avec un service de diffusion de télévision par DSL. De son côté, le nombre d'accès au très haut débit décolle pour atteindre les 516.000 abonnements en mars (+53,1% sur un an).
Air France Cargo explique les avantages de son réseau social d'entreprise
A l'occasion d'une présentation organisée à l'atelier BNP Paribas le jeudi 30 Juin, Stéphane Bourgault, directeur du service client Europe de Air France KLM Cargo a souligné les atouts du réseau social d'entreprise (RSE) tel qu'il peut le déployer dans son organisation. Air France KLM Cargo a débuté l'expérimentation en interne auprès des 350 vendeurs de cette filiale du groupe éponyme. L'objectif affiché était que les vendeurs puissent plus facilement diffuser et recevoir des informations en temps réel. « Au lieu d'envoyer plusieurs emails dans des langues différentes pour avoir des retours, le vendeur poste sa demande [sur le réseau social, ndlr] et tout le monde peut répondre » illustre Stéphane Bourgault. Au lieu de préparer des emails spécifiques dans chacune des langues employées par les collaborateurs de l'entreprise, un seul 'post' est réalisé, en anglais en l'occurrence pour que tout le monde puisse comprendre et y répondre.
Cette expérimentation a été un succès au sein du groupe, à tel point que les autres collaborateurs en relation avec les vendeurs de Air France KLM Cargo ont également souhaité disposer d'un réseau social d'entreprise. La solution implémentée progressivement est l'outil Chatter, proposé par Salesforce.com. Son usage est en train d'être étendu pour toutes les activités de la filiale.
Des échanges autorégulés
Interrogé sur la régulation des discussions, Stéphane Bourgault précise « nous avons choisi de laisser l'outil ouvert. Nous ne voulons pas brider l'utilisation de cet outil.» Air France KLM Cargo compte sur une auto régulation de la part des salariés de l'entreprise, « chaque personne qui voit un propos non-approprié doit le déclarer ».
Malgré une organisation commerciale de Air France KLM Cargo que Stéphane Bourgault décrit comme complexe, « les discussions sur le réseau social se sont structurées naturellement en fonction des sujets en cours, et naturellement les bonnes personnes se sont retrouvées dans les bons groupes de discussion. » Les salariés peuvent créer des groupes de discussion autour de sujets spécifiques. Par exemple, Air France KLM Cargo compte 60 escales dans le monde, Stéphane Bourgault a donc créé un groupe de discussion qui permet aux 60 responsables de ces escales d'échanger beaucoup plus simplement.
Est-ce qu'un tel outil n'engendre pas un sentiment de perte de pouvoir chez les managers? A ce sujet, Stéphane Bourgault, pense qu'il s'agit d' « un contrôle différent qui pousse l'entreprise à devenir plus matricielle. La manière de communiquer est également très différente ». Il n'a pas peur que l'information se diffuse au sein de l'entreprise, cette transparence est voulue, « on se bat contre la rétention d'information » conclut-il.
Google+, un réseau plus social que Facebook ?
Après des tentatives peu réussies (Buzz, Latitude, etc.) pour développer un réseau social, Google récidive en proposant son offre Google +. Une vidéo de démonstration montre les capacités de cette solution qui tente de se démarquer de Facebook, omniprésent et surtout concurrent direct de la firme de Moutain View, ainsi que Twitter.
Pour se différencier, Google + joue la carte de l'intégration autour de plusieurs axes :
- Circle, il s'agit d'un gestionnaire de contacts en ligne, à travers lequel l'utilisateur peut regrouper ses contacts dans des « cercles », via un simple glisser-déposer selon leurs affinités, permettant de communiquer plus facilement en bandes. Sur le blog de l'éditeur, on peut lire « les gens partagent sélectivement, ils disent différentes choses à leurs différents cercles d'amis. »
- Déclics est un système de préférences qui permet de sélectionner des articles ou des vidéos pour pouvoir les mettre de côté ou les partager avec ses amis ultérieurement;
- Bulles est une solution de vidéoconférence permettant d'organiser des tête-à-tête en HD avec un ou plusieurs correspondants connectés (jusqu'à 10 personnes)
A cela s'ajoutent des solutions mobiles de partage de photos (« Instant upload » avec mise en ligne instantanée) et de tchat (via le service « clique »)
Pour l'instant Google+ est accessible uniquement sur invitation, mais les titulaires d'un compte Google peuvent déjà se connecter pour commencer à utiliser ces nouvelles fonctionnalités. Quant à l'application Google+, elle est d'ores et déjà disponible sur Android et le sera très prochainement sur l'App Store.
Les experts comptables adoptent la signature électronique
Les experts comptables, qui assurent aussi les fonctions de commissaires aux comptes, sont présents dans l'immense majorité des entreprises françaises. Le Conseil Supérieur de l'Ordre des Experts-Comptables (CSOEC), leur organisation ordinale, s'est associé au prestataire Keynectis et à l'éditeur Lex Persona pour doter les experts-comptables d'une signature électronique dédiée à leur profession, Signexpert.
Les professionnels seront ainsi en mesure de signer des documents dématérialisés au titre de leur métier. Si le CSOEC s'est engagé très tôt dans la dématérialisation avec, par exemple, le portail Jedeclare.com dès 2001, son engagement dans la signature électronique intervient trois ans après celle des notaires.
De plus, là où les notaires avaient dû construire une infrastructure totalement autonome, le CSOEC a opté pour un partenariat avec des acteurs établis du marché.
Le trafic Internet se joue de certaines solutions de sécurité
Selon le fournisseur de solutions de sécurité Palo Alto Networks, 36% du trafic réseau des entreprises dans le monde utilise des techniques qui contournent d'une manière ou d'une autre les solutions traditionnelles de sécurité. Ce trafic est issu de nombreuses applications, légitimes ou non, qui emploie des techniques répandues comme la connexion web cryptée par SSL ou le « port hopping » (c'est à dire l'utilisation d'un port réseau disponible quelconque et non plus un port fixe lié au protocole employé).
Le SSL est ainsi promu pour sécuriser le web mais, de ce fait, les connexions avec des services grand public comme Facebook, Twitter ou Gmail utilisent ce genre de connexions. Du coup, les employés peuvent, sciemment ou non, faire « sortir » des données confidentielles de l'entreprise sans surveillance réelle dans beaucoup de cas. Palo Alto Networks indique que la part du trafic constaté lié aux messageries instantanées a doublé depuis l'an dernier tandis que celui lié aux réseaux sociaux et au webmail a été multiplié par cinq. Facebook représente 64% de la bande passante consommée pour des médias sociaux, ses plugins atteignant 13% en France et 5% au niveau mondial.
De plus, les échanges de fichiers s'effectuent de plus en plus en mode P2P voire via partage de dossiers dont l'accès est géré au travers de simples navigateurs. Dans le monde, le FTP reste utilisé dans 92% (96% en France) des entreprises mais le P2P est à 82% (77% en France) et 91% (96% en France) pour le partage de dossiers via navigateurs !
iCloud: ce qui va changer pour les utilisateurs de MobileMe
Début juin, Apple a annoncé qu'il débrancherait MobileMe en 2012, soit plusieurs mois après avoir mis en route iCloud. Mais jusqu'à la semaine dernière, Apple a laissé les utilisateurs de MobileMe dans le noir, ne sachant pas ce qui serait conservé et transféré vers iCloud et ce qui disparaîtrait. La FAQ d'Apple intitulée « Passage de MobileMe à iCloud » donne quelques réponses.
Sera-t-il encore possible d'accéder à sa messagerie, à son agenda et à ses contacts sur le web ?
La réponse est Oui. A l'automne, quand iCloud sera opérationnel, les utilisateurs pourront continuer d'accéder à leur mail, à leurs agendas et à leurs contacts, trois des applications actuellement disponibles sur MobileMe. Apple a indiqué qu'il donnerait plus de détails sur la manière de migrer le mail, l'agenda et les contacts de MobileMe vers iCloud lorsque ce service sera effectivement en ligne.
Que se passe-t-il avec iDisk et les fichiers stockés sur cet espace ?
iDisk ne migrera pas vers iCloud. Mais Apple ne déconnectera pas le service MobileMe avant le 30 juin 2012. Ce qui laisse aux abonnés un peu plus d'un an de répit : pendant ce temps, ils pourront continuer à télécharger des fichiers depuis et vers l'espace iDisk de 20Go. Avant que MobileMe ne disparaisse, les utilisateurs devront récupérer les fichiers stockés dans iDisk sur leur Mac ou leur PC. Les instructions pour réaliser cette sauvegarde seront disponibles sur le site d'Apple. (...)
1plusV assigne Google et réclame 295 millions d'euros de dommages
1plusV n'est pas inconnu dans le monde judiciaire, car l'éditeur français de plusieurs moteurs de recherche thématique, comme le site ejustice.com a déjà saisi par deux fois la Commission européenne sur les comportements anticoncurrentiels de Google. Aujourd'hui, c'est au tour de la justice française et plus exactement du tribunal de commerce de Paris d'être saisi pour réparation du préjudice. « C'est la suite logique de nos précédentes plaintes auprès de la Direction générale de la concurrence de la Commission » explique Brunon Guillard, PDG et fondateur de 1plusV.
L'éditeur explique ensuite les motifs incriminés « entre 2007 et 2010, pas moins de 30 moteurs de recherche verticaux créés par 1plusV, dont certains avaient un potentiel économique significatif, ont été « déréférencés ». Quelques-uns de ces moteurs de recherche verticaux ont été récemment réindexés par les robots de Google et, ce, sans aucun changement de leur contenu et sans aucune explication. » et d'ajouter que « si le jeu de la concurrence avait pu fonctionner normalement, les 30 moteurs de recherche créés par 1plusV génèreraient aujourd'hui, selon les estimations, plus de 30 millions d'euros de revenus par an ».
La société française évalue donc son préjudice à 295 millions d'euros.
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