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Linux

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(30/03/2010 16:36:11)
Red Hat fait évoluer la virtualisation du poste de travail
La version beta 2.2 de RHEV intègre plusieurs évolutions qui permettront aux clients d'activer des architectures VDI (Virtualization Dekstop Infrastructure). « Elles faciliteront le déploiement d'un OS, Red Hat Linux, Windows XP ou 7 sur une plateforme sécurisée d'un hyperviseur haute performance » explique Andrew Cathrow, responsable senior du marketing produit chez Red Hat et d'ajouter « en utilisant un VDI, vous déplacez le système d'exploitation du terminal de l'utilisateur final au sein du datacenter, ce qui en facilite la gestion ». Les applications proposées par l'éditeur tournent avec une console de gestion de la virtualisation, un hyperviseur Bare Metal, basé sur KVM (Kernell-based Virtual Machine). Si ce dernier comprend l'OS Red Hat Entreprise Linux, RHEV peut également fonctionner avec d'autres OS hébergés Windows ou Linux.
Les évolutions intègrent SPICE (Simple Protocol for Independent Computing Environnements) pour le contrôle des postes de travail distants. L'éditeur a acquis cette compétence en rachetant en 2008 la société Qumranet. Le package inclut également un gestionnaire de connexions, un portail web, etc. L'objectif de la version 2.2 pour Andrew Cathrow est que « les clients disposent d'une plateforme commune et non plus d'un outil pour le poste de travail et d'un autre pour les serveurs ».
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De la conversion KVM à l'extension mémoire
Parmi les autres fonctionnalités, on retrouve la possibilité d'importer des machines virtuelles depuis la plateforme, comme celles proposées par VMware, Citrix et Microsoft. Pour ce faire, RHEV utilise OVF (Open Virtualization Format), un standard ouvert pour les images de VM. Il s'agit de la première intégration du logiciel de conversion, V2V, qui permet de transformer des machines sous VMware ou Xen, créées sous Red Hat Entreprise Linux en machine KVM. L'environnement Windows devrait aussi prochainement être concerné par cet outil de conversion. Les évolutions comprennent également une fonction d'entreposage des données pour surveiller les performances et les usages des machines virtuelles. Sur le plan des performances, Red Hat a fait évoluer la mémoire maximale supportée des machines virtuelles de 64 Go à 256 Go et de 8 à 16 processeurs virtuels. Il pourra donc prendre en compte les derniers processeurs Xeon Nehalem-EX d'Intel et Opteron d'AMD. Ces extensions doivent faciliter le déploiement d'un nombre plus large d'applications au sein des entreprises, comme les progiciels SAP, sur une seule machine.
Si le responsable n'a pas donné les prix de la version 2.2, la précédente était à 499 dollars par socket pour l'édition Standard et 799 dollars par socket pour l'édition Premium. Les clients ayant déjà souscrits à la version 2.1 migreront vers la nouvelle version sans coût supplémentaire.
(...)(09/02/2010 17:41:53)Le Power7 d'IBM relance la bataille des puces pour systèmes Unix (MAJ prix)
« Cadencé de 3 à 4,14 GHz, le processeur Power7 sera livré avec 4, 6 ou 8 coeurs » a expliqué, lors d'une conférence de presse à New York le lundi 8 février, Ross Mauri, directeur de la division Power Systems d'IBM. Chaque coeur est en mesure d'exécuter quatre threads. Une puce Power7 huit coeurs est donc en mesure de mener 32 tâches simultanément, ce qui fait quatre fois plus que la génération précédentes Power6. Cette nouvelle génération de puces fait appel à un procédé de fabrication reposant sur la technologie 45 nm. IBM indique également que des améliorations ont également été réalisées au niveau de la mémoire pour permettre au processeur d'exécuter des tâches plus rapidement. Comme chez Intel, la puce d'IBM possède également une technologie baptisée TurboCore, qui permet d'augmenter temporairement la fréquence des coeurs actifs (quatre sur huit) pour gagner en performances. Cette technologie concentre également la mémoire et la bande passante sur quatre coeurs actifs pour suivre le rendement supérieur. Selon Ross Mauri, « les systèmes Power7 fourniront deux fois plus de performances que les anciens Power6 tout en consommant quatre fois moins d'énergie ». Une technologie pompeusement baptisée «Unique Intelligent Energy » permet d'éteindre les composants inactifs d'un serveur afin de réduire la consommation électrique. Cette fonction réduit également la vitesse d'horloge des processeurs d'une machine ou d'un ensemble de serveurs afin de diminuer la puissance consommée. Des machines disponibles très rapidement Suite à cette annonce, Big Blue a également lancé quatre serveurs Power7. Haut de gamme, les IBM Power 780 et Power 770 reposent sur une conception modulaire et sont livrés avec un maximum de 64 puces Power7. Le Power 755, destiné au marché des HPC, supportera quant à lui jusqu'à 32 Power7. La firme d'Armonk propose aussi la série 750 Server Express, un modèle rack 4U milieu de gamme. Les 750 Power Express et 755 seront disponibles le 19 février, tandis que les Power 770 et 780 seront à partir du 16 mars. 200 machines ont déjà été déployées chez des clients pour des premiers tests. Les prix de ces serveurs n'est pas encore connu, mais les représentants d'IBM France nous ont indiqué que leurs tarifs seraient compétitifs (voir mise à jour prix dans l'encadré). « Les serveurs Power7 offriront de meilleures performances et rentabilisent l'investissement réalisé par nos clients sur les systèmes Power6 existants », a déclaré Rod Adkins, vice-président des grands systèmes chez IBM. Si Big Blue a bien sûr qualifié sa puce Power7 « comme le processeur le plus rapide du monde », l'argumentaire marketing tournait également autour de la capacité à délivrer des performances « intelligentes », c'est-à-dire adapté aux besoins à un instant T. «Comme nous avons conçu ce système (...) Power7 pour les performances brutes mais vous verrez également une grande préoccupation autour ( ...) des performances intelligentes" souligne Rod Adkins. [[page]] Comme auparavant, ces serveurs pourront être animés par les systèmes d'exploitation AIX, i/OS (OS/400) et Linux, notamment les solutions entreprises proposées par Red Hat et Suse. En plus d'optimiser le parallélisme des applications maison telles que Websphere et Lotus Domino, IBM a également travaillé de concert avec SAP pour améliorer les demandes d'exécution multithread sur les coeurs Power7. EMeter, un éditeur qui propose des applications pour les compteurs intelligents connectés aux réseaux, a indiqué les serveur Power7 sont extensibles et capables d'analyser des données plus rapides que leurs prédécesseurs. Ces grands systèmes permettront à l'entreprise de relever les compteurs intelligents plus rapidement et introduire ainsi plus de souplesse dans la facturation des clients notamment avec les différences de tarifs horaires. Toujours grâce aux Power7, l'université de Rice a amélioré les rendements des calculs liés à l'analyse des données liées à ses recherches sur le cancer, a déclaré Kamran Khan, vice-président de l'université. Les 128 noyaux des systèmes Power7 sont en mesure de traiter les données plus rapidement, ce qui est essentiel dans certains domaines de recherche, comme le séquençage des génomes et la dynamique moléculaire (simuler par le calcul informatique l'évolution d'un système de particules au cours du temps), a déclaré Kamran Khan. En France, Thierry Meynlé de Divalto, travaille à l'optimisation des ses ERP pour PME-PMI pour la plate-forme Power7. Le middleware a été réécrit à90% pour tirer profit du multithread et améliorer la gestion de la mémoire. Avec Aix 6.1, les Power7 sont capables de traiter jusqu'à 128 threads, avec Aix 7 on passera à 1024. En attendant, Aix 6.1 est capable de dispatcher les threads pour équilibrer la charge de travail. Power7 contre Itanium 9300, les annonces se télescopent Le lancement de ces puces Power7 pourrait déclencher une nouvelle bataille sur le marché des processeurs haut de gamme où IBM retrouve ses challengers habituels, Intel avec son Itanium et Sun Microsystems avec son Sparc. Intel vient d'ailleurs de lancer son Itanium 9300 Tukwila qui équipera les serveurs haut de gamme Hewlett-Packard Integrity. Au cours du troisième trimestre2009, IBM était le leader sur le segment des grands systèmes : 31,8 % de parts de marché (en valeur), suivi par HP avec 30,9 %. Le marché des Unix - y compris le matériel et les applications - est considérée comme étal ou en baisse avec la progression des serveurs x86. Au cours du troisième trimestre 2009, le marché des systèmes Unix a diminué de 23,4 % (en valeur) par rapport au troisième trimestre de 2008 selon IDC. Mais selon Rod Adkins avec l'augmentation de la demande en matière de traitement des données, le besoin de serveurs Unix rapides et fiables va croître. «Le marché des Unix reste un marché très important et en bonne santé», souligne Rod Adkins. « Le marché va croitre de plusieurs milliards de dollars, et les systèmes Power continueront à dominer ce secteur. IBM fournit aujourd'hui des options de tarification plus agressives pour les serveurs Unix, ce qui pourrait mettre les systèmes Power7 en concurrence avec les serveurs de domaines «traditionnels», conclut-il. (...)
(24/12/2009 14:32:11)Trimestriels Red Hat : le revenu des abonnements croît de 21%
L'éditeur de logiciels Open Source Red Hat a enregistré une hausse de 18% sur ses ventes, à 194,3 M$, sur son troisième trimestre fiscal, clos le 30 novembre, par rapport à la même période, l'an dernier. Ce sont les revenus issus des abonnements, notamment au système d'exploitation Red Hat Entreprise Linux 5 et au serveur d'application JBoss, qui tirent l'activité. Ils représentent 85% du chiffre d'affaires total et ont progressé de 21% sur le trimestre. Les revenus provenant des services et de la formation sont restés stables, à 29,914 M$ (contre 29,881 M$ l'an dernier). Pour le septième trimestre consécutif, l'éditeur a non seulement renouvelé ses vingt plus gros contrats sur le point arrivé à échéance, mais il l'a réalisé à 120% de leur valeur l'année précédente, a indiqué Jim Whitehurst, le PDG de Red Hat, lors de la présentation des résultats. Le bénéfice net de la société en revanche, a baissé de 32,5%. Il s'établit à 16,4 M$ contre 24,3 M$ sur le troisième trimestre fiscal de l'éditeur, l'an dernier. Un contrat de plus de 5 M$ Le Top 30 des contrats de Red Hat comporte quatorze contrats de plus de 1 M$ et un de plus de 5 M$, a précisé Charlie Peters, le vice-président exécutif et directeur financier de la société. Vingt-trois contrats concerne Red Hat Enterprise Linux (RHEL) 5 Advanced Platform et les huit autres JBoss. L'un de ces contrats avait été signé au départ pour le déploiement d'un environnement virtualisé. 59% des ventes de Red Hat sont réalisées sur le continent américain, tandis que 29% se font en Europe et 15% sur la région Asie-Pacifique. La durée moyenne d'un contrat est de vingt-deux mois, selon l'éditeur. Le cloud computing progresse [[page]] Le cloud computing progresse Au cours du dernier trimestre, Red Hat a gagné un certain nombre de contrats sur des projets liés au cloud computing, a reconnu le PDG Jim Whitehurst. Selon lui, un éditeur aurait signé un contrat à 6 chiffres pour utiliser RHEL comme système d'exploitation pour mettre à disposition son logiciel sous la forme d'un service sur le cloud d'Amazon (EC2, Elastic Computing Cloud). Pour son quatrième trimestre fiscal, Red Hat prévoit de réaliser un chiffre d'affaires compris entre 191 M$ et 193 M$. Les performances du troisième trimestre l'ont amené à relever ses estimations annuelles de 10 M$. L'éditeur pense que le chiffre d'affaires de son exercice fiscal 2010 se situera entre 743 M$ et 745 M$. Jim Whitehurst décèle un potentiel important de revenus pour le future avec ses solutions de virtualisation, à la fois du nouvel hyperviseur KVM, de la dernière version de RHEL, et des outils d'administration Red Hat Enterprise Virtualization. Il considère que sa suite d'administration est bien moins chère que celle de ses concurrents. Il pense toutefois que le nombre d'abonnements sera limité sur le trimestre entamé, les clients potentiels étant en phase de test du nouveau logiciel. La contribution de ces produits au chiffre d'affaires ne démarrera vraiment qu'avec le prochain trimestre fiscal. (...)
(21/12/2009 19:27:27)Red Hat cessera de supporter l'Itanium dans Enterprise Linux 6
Red Hat a annoncé hier, 20 décembre, qu'il cesserait de supporter le processeur Itanium d'Intel dans la prochaine version majeure de son système d'exploitation, Enterprise Linux 6. Le nombre de serveurs basés sur des Itanium qui ont été vendus ne constitue sans doute pas une base suffisamment importante qui justifie que Red Hat consacre des ressources à son support dans une version de l'OS destiné à cet environnement. Cette équation économique explique la décision de l'éditeur, selon Chris Ingle, directeur de recherche chez IDC. Red Hat pourra ainsi se consacrer au support des serveurs x86. Actuellement, pour sa version 5 d'Enterprise Linux, Red Hat assure aussi le support des environnements Power, System z et S/390 d'IBM. Pour l'Itanium, il continuera à le faire dans cette version 5 jusqu'en mars 2014 à laquelle il ajoutera de nouvelles fonctions pour cet environnement. Il supportera aussi de nouveaux matériels conformément à sa politique standard de cycle de vie des produits, a précisé l'éditeur. Les fournisseurs OEM pourraient assurer le suivi Plusieurs fournisseurs OEM offriront aussi un support étendu pour RHEL 5 sur serveur Itanium jusqu'en mars 2017, toujours selon Red Hat. Chris Ingle, du cabinet IDC, considère que l'abandon de cet abandon ne devait pas changer grand-chose parce que beaucoup d'utilisateurs reçoivent déjà leur support des OEM. Ces derniers pourraient choisir de continuer à le faire pour la version 6 de RHEL. Unix domine le marché des serveurs Itanium. En Europe, 61% des serveurs Itanium livrés en 2009 utilisent Unix, 29% Linux et 5% Windows, selon les estimations d'IDC. Selon Chris Ingle, cet environnement se maintiendra comme voie de migration pour les systèmes Risc et comme une alternative lors de la consolidation de bases de données. (...)
(18/12/2009 16:19:53)Mark Shuttleworth abandonne la direction de Canonical, mais pas le développement d'Ubuntu
Canonical change de braquet. La société fondée par Mark Shuttleworth pour délivrer une distribution Linux, Ubuntu, au plus grand monde, aborde une nouvelle étape de sa croissance, et le millionnaire sud-africain a décidé de laisser les rênes de son entreprise à son actuelle directrice opérationnelle, Jane Silber. « En tant qu'ancienne vice-présidente chez General Dynamics, écrit Mark Shuttleworth sur son blog, Jane a plus d'expérience des grands clients et de la direction de grandes organisations, ce que je juge essentiel pour Canonical durant les cinq prochaines années. Des entreprises de plus en plus grandes nous font confiance en tant que partenaire ou fournisseur, et je veux être sûr que nous puissions être une réponse robuste à leurs besoins. » Mark Shuttleworth n'abandonne pas Ubuntu pour autant. Il explique qu'il restera actif au niveau de la direction du développement, et qu'il disposera aussi de davantage de temps pour aller voir des partenaires et des clients. « Ce sont les domaines où je prends le plus de plaisir, mais aussi ceux où je peux avoir le plus d'impact sur le marché et sur l'Open Source. » (...)
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