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Linux

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(01/10/2009 17:09:05)

Open World Forum : la communauté Open Source se voit comme acteur de la relance numérique

Est-il encore nécessaire de convaincre les décideurs informatiques que l'Open Source s'est largement diffusé et représente une alternative à la fois fiable et économique ? Les organisateurs de la deuxième édition de l'Open World Forum (OWF) s'y sont en tout cas encore employé aujourd'hui, jeudi 1er octobre, en y ajoutant une dimension économico-sociétale : la façon dont les logiciels libres peuvent contribuer à la relance numérique. Jean-Noël de Galzain, patron de Wallix et président de cet OWF 2009, définit ainsi ces deux jours de rencontre, à vocation internationale, comme "le Davos des logiciels libres et de l'innovation ouverte". La séance d'introduction, qui a réuni environ 300 personnes dans l'auditorium du complexe Eurosites à deux pas des Champs-Elysées, a vu défiler sur scène des figures très diverses : représentants de Paris et de la région Ile de France, analyste britannique, consultant américain, patrons d'industrie, représentants des pôles de compétitivité... Les visiteurs les plus sceptiques auront ainsi pu avoir une synthèse de l'évolution du marché de l'Open Source et de ses perspectives d'avenir. Logiciels libres, composantes reconnues de l'informatique d'entreprise Premier constat : les logiciels Open Source sont partout. Plus tard dans la journée, Sylvie Chauvin, présidente du cabinet d'études Markess International, a présenté à des DSI les résultats d'une enquête auprès de 160 interlocuteurs (moitié entreprises du secteur privé, moitié organisations du secteur public). Il en ressort que 92% déclarent utiliser déjà de l'Open Source, et 4% supplémentaires prévoient de le faire d'ici à 2011. "Les logiciels libres et Open Source sont devenus des composantes reconnues de l'informatique d'entreprise", a indiqué sur scène Matthew Aslett, analyste de 451 Group. Néanmoins, la bataille n'est pas gagnée pour autant, a-t-il ajouté. Il reste beaucoup de domaines où il faut rester vigilant et encourager une attitude volontariste, favorisant l'ouverture : les politiques publiques, l'interopérabilité des données dans le cloud, les brevets logiciels... De même, le consultant Andrew Aitken, d'Olliance Group, a mis en garde les représentants des communautés Open Source contre les risques de fragmentation, quand chacun - organisme public, éditeur classique, association, etc. - établit sa propre forge. Cette multiplication des sources complique non seulement le travail des gens souhaitant utiliser du code Open Source, mais risque aussi de décourager les plus méritants de contribuer. Le Libre reste le meilleur moyen de lancer une entreprise dans le logiciel [[page]] Quoi qu'il en soit, à écouter les intervenants, le Libre reste le meilleur moyen de lancer une entreprise dans le logiciel - à condition de bien démontrer la valeur apportée au métier par le fait d'être Open Source, "comme BonitaSoft a su le faire", a commenté Andrew Aitken - et de réaliser des économies, ou du moins d'optimiser son budget. Michael Timan, vice-président de Red Hat et président de l'OSI (Open Source Initiative), a enfourché ce cheval, rappelant qu'une étude a démontré que les logiciels Open Source comptent en moyenne moins d'un défaut pour 1 000 lignes de code, contre 20 à 30 défauts dans les logiciels propriétaires. Pour lui, le mode de création du logiciel Open Source permettrait, s'il était étendu, de réduire la gabegie des dépenses informatiques. "Sur 3 400 Md$ de dépenses annuelles dans les NTIC, 1 000 Md$ sont gâchés à cause d'une mauvaise qualité". Témoignant dans la session Open CIO Summit, qui a réuni toute la journée des DSI pour des ateliers de réflexion sur les avantages et les risques liés à l'Open Source, Justin Ziegler, DSI de PriceMinister, a fait écho à ces propos. Il a raconté comment il a choisi le serveur d'applications Open Source JBoss, "belle alternative à WebLogic qui coûtait les yeux de la tête", ou mis en oeuvre des fonctions avancées ou des modules d'extension d'Apache (comme le cache de données ou la compression des pages Web) afin "d'éviter l'achat de serveurs spécialisés très coûteux". (...)

(25/08/2009 12:05:08)

Une version 64 bits de Chrome sous Linux en préparation

Google a officiellement annoncé le développement d'une version 64 bits pour Linux de son navigateur Chrome. Cette version repose sur la V8 du moteur JavaScript. Cette annonce a une portée d'autant plus limitée qu'il faudra aussi attendre les versions 64 bits des principaux plug-ins. Pour l'instant, Flash est la seule à être disponible en 64 bits pour Linux. Google a, par ailleurs, indiqué que le portage sur Chrome de l'outil de synchronisation de marque-page Xmarks (ex Formarks) était en phase alpha. (...)

(21/08/2009 17:54:59)

Depuis 2008, le rythme des évolutions s'est accéléré sur le noyau Linux

Dans son deuxième rapport sur le développement du noyau 2.6, la Linux Foundation établit un bilan très positif du dynamisme de son évolution. Sa conclusion est claire : "Le noyau de Linux est devenu une ressource commune développée à grande échelle par des entreprises qui se livrent une intense compétition dans d'autres domaines." Depuis 2005, plus de 5 000 développeurs, soit indépendants, soit travaillant pour des entreprises dont le nombre dépasse 500, ont participé à l'évolution de Linux. Le noyau a augmenté de 2,7 millions de lignes de code pour aboutir à une version 2.6.30 avec 11,6 millions de lignes et 17 090 fichiers. Depuis avril 2008, date de parution du premier rapport de la Linux Foundation, le nombre de développeurs a augmenté de 10% environ, tandis que le rythme des évolutions s'est accéléré. Depuis le printemps 2008, le nombre de lignes de code ajouté au noyau chaque jour a été multiplié par trois. C'est grâce à cet effort que le noyau de Linux a pu progresser dans des domaines clés comme la sécurité et la virtualisation. 1 150 développeurs pour le noyau 2.6.30 Malgré cette augmentation de la production, le rythme de parution des versions reste établi sur la fréquence d'une toutes les douze semaines. 1 150 développeurs ont contribué au développement du noyau 2.6.30 proprement dit, soutenus par 240 entreprises. Il y a quatre ans et demi (noyau 2.6.11), ils étaient moins de 400, soutenus par moins de soixante-dix entreprises. Il n'empêche que la contribution des trente premiers développeurs représente à elle seule 25% du code. Si l'emblématique Linus Torvald ne figure pas parmi eux, c'est qu'il joue un rôle important de coordination. Lorsque l'on s'intéresse aux entreprises qui participent, la liste surprend peu. Red Hat arrive en tête avec 12 % des changements, suivi par IBM (6,3 %), Novell (6,1 %), Intel (6%) et Oracle (6,1%). (...)

(20/08/2009 15:13:42)

Red Hat domine le marché Linux, seul Novell lui résiste

D'après ce qui filtre de la dernière étude d'IDC sur le marché Linux*, Red Hat s'est accaparé 64,7% des 567 M$ (+23,4%) de chiffre d'affaires généré autour de Linux en 2008, autrement dit, le support. Si l'on ajoute les 29% attribués à Novell, il ne reste pas grand-chose pour les autres distributions. Red Hat et Novell se tailleraient aussi la part du lion de la base installée gratuite (c'est-à-dire sans support). La base installée totale de RHEL (Red Hat Enterprise Linux) représenterait 47,6% du marché. Si l'on ajoute à ce chiffre celui du clone CentOS et celui de la distribution gratuite Fedora, on dépasse les 57%. En 2008, Red Hat a enregistré une croissance de près de 15% de son activité de support, à 367 M$, tandis que Novell, qui bénéficie de la vente de "bons" de support accordés par Microsoft, a connu une croissance de 50,3% à 169 M$. Les autres distributions ont enregistré une croissance moyenne de 13,1% de leur activité de support à 31 M$. Les distributions commerciales sans support progressent Avec une croissance annuelle moyenne estimée à 16,9%, IDC prévoit que le marché du support des distributions Linux atteindra 1,2 Md$ en 2013, soit 4% du marché total du logiciel, contre 2,2% en 2008. Le cabinet souligne que les installations sans support des distributions commerciales seraient en plus forte croissance que celles associées à un support payant. Ce phénomène pourrait aboutir à un parc installé en entreprise à parité entre les distributions d'entreprise payantes et celles "gratuites". Selon IDC, ce serait la plus grave menace pour l'avenir de Linux : plus les entreprises s'en servent, moins elles payent le support. * Worldwide Linux Operating Environment 2009-2013 Forecast: Can Linux Prove Resilience in an Economic Slump (étude payante). (...)

(18/08/2009 16:02:53)

Linux comble des failles déjà exploitées dans les noyaux 2.4 et 2.6

Deux versions du noyau de Linux, qui comblent des failles critiques, sont mises à disposition. Ces noyaux 2.6.27.31 et 2.6.30.5 réparent des bugs qui se trouvent dans le noyau des versions 2.4 et 2.6. Autrement dit, tous les noyaux depuis 2001 sont exposés. Déjà exploitées, ces failles permettent à un utilisateur aux droits limités d'obtenir des droits au niveau racine. Le monde Debian a déjà intégré ces nouvelles versions dans Debian 5.0 et 4.0. Fedora a fait de même pour les versions 10 et 11. Ubuntu et OpenSuse devraient suivre. (...)

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