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Linux

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(18/08/2009 14:03:57)

Les distributions Linux pour mobiles s'ignorent superbement entre elles

Les distributions Linux se bousculent sur le marché, mais ne se ressemblent pas. Moblin (soutenu par Intel sur son processeur Atom), Android (conçu par Google), Maemo (Motorola), WebOS (de Palm pour son Pre); LiMo (Linux Mobile, sponsorisé par Motorola, NEC, NTT DoCoMo, Panasonic, Samsung et Vodafone), sans oublier Mobilinux (MontaVista sur ARM) et, enfin, Openmoko Linux, le plus libre et de tous, ont en commun d'utiliser du code ouvert Linux. Mais le point commun s'arrête là. Chaque plateforme travaille au développement de sa logithèque en prenant soin de ne pas s'intéresser à ceux qui travaillent pourtant à partir du même noyau. Pendant ce temps, Apple, champion des architectures propriétaires, fait un malheur avec son iPhone sur le marché des smartphones. (...)

(17/07/2009 17:05:29)

WPC 09: Steve Ballmer noie Google Chrome OS dans les bayous

Steve Ballmer aurait déçu tout le monde s'il avait clos la WPC (conférence pour les partenaires de Microsoft qui se tenait cette semaine à La Nouvelle Orléans) sans adresser un petit mot doux à son nouvel archennemi, Google. Le tonitruant patron de Microsoft s'est gaussé des prétentions de Google, qui annonce un système d'exploitation un an et demi avant sa sortie, expliquant que pour lui, cela s'apparentait à du vaporware (comme on le faisait remarquer il y a quelques jours). Disant au public, tout acquis à sa cause, qu'il serait « respectueux », Steve Ballmer a comparé Google Chrome OS à... « une chose très intéressante ». D'abord parce que pour lui, la moitié encore des usages d'un PC concerne des activités déconnectées d'Internet. Avec son Chrome OS, au contraire, Google place le navigateur Web au centre. Ensuite, le CEO de Microsoft a fait valoir que Google avait déjà sorti un OS, Android, et qu'il ne voyait pas la raison d'en faire un autre. Bill Gates ne voit pas la nouveauté dans Chrome OS Il est vrai qu'avec Android, destiné uniquement à des téléphones et à des mini-ordinateurs, Google ne menaçait guère Microsoft sur le terrain des OS. Chrome OS, en revanche, vise explicitement le marché des netbooks et des PC, où Microsoft dispose de plus de 90% de parts de marché. Parallèlement, dans une interview accordée à CNet, Bill Gates a lui aussi raillé la stratégie de Google, arguant d'une part qu'il y avait déjà pléthore de systèmes basés sur Linux, et d'autre part que la notion de navigateur aujourd'hui - et donc de système centré sur le navigateur - est extrêmement galvaudée et donc très floue. « Dans une grande mesure, il s'agit davantage d'un abus de terminologie que d'un réel changement. » (...)

(10/07/2009 12:50:20)

Commentaires et questions en pagaille sur Google Chrome OS

Est-ce de la précipitation - pour faire de l'ombre à Microsoft (dont Windows 7 doit sortir en version RTM dans quelques jours) - ou une nouvelle démonstration brillante d'orchestration du buzz ? Toujours est-il que l'annonce extrêmement prématurée d'un système d'exploitation pour PC signé Google soulève bien plus de questions que l'éditeur n'est prêt à y répondre. Pour Forrester, l'avènement du " personal cloud " Dans le billet de blog introduisant Google Chrome OS, il est dit que ce dernier sera disponible au public dans des netbooks fin 2010. Un défenseur de Microsoft dirait que si ce dernier avait annoncé un tout nouveau produit autant de temps à l'avance, il aurait rapidement été accusé de donner dans le 'vaporware', le logiciel fumeux. Malgré cette anticipation, l'offre de Google est attendue comme le Messie. De fait, comme l'explique Franck Gillett, analyste chez Forrester, l'industrie se dirige vers l'avènement du « personal cloud », une ère de l'informatique centrée non plus sur le PC, mais sur l'accès à de l'information et des services en ligne. Là où Annette Jump, analyste chez Gartner, voit Google grappiller ne serait-ce que quelques pour cent de parts de marché à Microsoft - « sur un milliard de PC en usage dans le monde, en facturant quelques dollars par machine, cela fait du chiffre d'affaires ! » - Franck Gillett estime que Google n'a aucune intention de déclencher une guerre sur le vieux front des OS pour PC. Car celle-ci, dit-il, « Microsoft l'a clairement gagnée ». D'autant, comme le souligne l'analyste de Gartner, s'il veut jouer à ce jeu-là, « Google devra faire en sorte que son OS supporte simplement tous les appareils qu'on peut connecter à un Netbook et les applications qu'on peut y installer, or c'est justement à cause de cela que XP a pris le pas sur Linux dans les netbooks. » Conquérir les postes clients après avoir déployé les services en ligne Il s'agit donc plutôt, pour l'analyste de Forrester, des premiers signes d'une nouvelle bataille, « pour les plateformes de cloud personnel, que les éditeurs bâtiront à l'aide de services en ligne et de diverses combinaisons de navigateur Web, de systèmes d'exploitation ou d'environnements d'exécution de logiciels ». Avec ses Google Apps (la bureautique), AppEngine (le serveur d'applications) et maintenant Wave (le collaboratif connecté en permanence), Google a multiplié les services en ligne. Restait à s'implanter sur le client. Ce rôle était dévolu jusqu'à présent à Chrome, son navigateur, et Android, qui équipe déjà quelques téléphones. Quelle est la part de Native Client dans Chrome OS ? [[page]] Mais une nouvelle bataille se gagne avec de nouvelles technologies. De ce point de vue, Google n'a fourni aucune explication, se bornant à dire que Chrome OS serait distinct d'Android. Les concepteurs de Chrome OS expliquent en effet qu'Android a été conçu pour s'adapter à différents types d'appareils légers, de type téléphone ou boîtier, alors que des PC, voire des mini-PC, méritent un OS digne de ce nom. Le rôle de NaCL : exécuter du code x86 dans le navigateur Fin observateur des technologies Google, Sami Jaber, consultant et fondateur de DNG Consulting, remarque que la plateforme Native Client de Google (NaCL) constituerait une bonne base pour ce Chrome OS. « Surtout, dit-il, que Google a récemment demandé à la communauté d'essayer de trouver des failles. » Google, suppose-t-il, a dû être rassuré par les résultats de ce concours, et encouragé à faire cette annonce. Mais tout cela n'est que supputation. « C'est un peu comme si Google donnait tous les éléments d'un puzzle, qu'on trouve une solution, mais qu'il ne veuille pas la commenter. » NaCL est présenté comme une technologie permettant d'exécuter du code x86 (pour l'instant, sachant que Chrome OS vise aussi les plateformes ARM) au sein même du navigateur. L'idée est donc exactement la même que celle de Chrome OS : centrer l'OS sur le navigateur, pour exécuter des applications aussi bien que pour parcourir des pages. Le développement de NaCL a probablement été guidé par les limites de l'interface riche actuellement proposée par Google, à base de Javascript, GWT. « Nous pensons que la technologie Native Client aidera un jour les développeurs Web à créer des applications Web plus riches et plus dynamiques », est-il écrit dans la page de présentation de NaCL. Intel, Freescale et TI partenaires technologiques de Google pour Chrome OS Brad Chen, responsable du développement de NaCL, se refuse pour l'instant à confirmer ou infirmer l'inclusion de cette technologie dans Chrome OS. Il se borne à indiquer : « Nous travaillons à intégrer Native Client dans Chrome. Google Chrome OS est juste une autre plateforme qui fera tourner Chrome. Ceci mis à part, il n'y a rien concernant Chrome OS qui implique des changements de plans ou de stratégie pour Native Client. » Pour Sami Jaber, vouloir recréer une technologie d'exécution de code natif au sein d'un navigateur serait « réinventer la roue ». En tout cas, Google recrute activement des développeurs pour Chrome OS dans ses différents centres de développement (mais pas à Paris), et il dit pouvoir d'ores et déjà compter sur le soutien de nombreux partenaires, fabricants de PC comme Acer, Asus, HP, Lenovo ou Toshiba. Toutefois, lorsqu'on interroge ces derniers, le soutien est plus mesuré : ils disent « évaluer » la technologie, aucun ne s'engageant sur une future machine. Google liste aussi des spécialistes des processeurs, comme Freescale et Texas Instruments. Plus Intel, dont un porte-parole vient de révéler « avoir été dans la confidence depuis un certain temps ». Mise à jour : dans sa réponse à Sami Jaber sur le forum, Brad Chen explique qu'un OS peut se diviser en trois grandes catégories : abstraction matérielle, gestion des ressources et environnement applicatif. Pour lui, NaCL se consacre uniquement à la dernière catégorie. Et il ajoute que cela lui convient parfaitement que « des systèmes d'exploitation existants, ou éventuellement Google Chrome OS, s'occupent de la fonction abstraction matérielle ». Brad Chen ne veut pas se prononcer à la place des managers de Chrome OS, mais cela commence à devenir plus clair. Surtout lorsqu'il ajoute que finalement, la gestion des ressources, dans un monde constitué d'applications Web, pourrait très bien être dévolue au navigateur Web. Chrome, par exemple. (...)

(09/07/2009 15:45:53)

L'usage de C# dans Linux libéré par Microsoft

Ceux qui utilisent ou distribuent du code C# et son environnement d'exécution (la CLI) dans des programmes couverts par des licences libres n'ont désormais plus rien à craindre : Microsoft a indiqué que les spécifications de ses technologies, respectivement ECMA 334 et ECMA 335, sont maintenant couvertes par le programme « Community Promise ». Selon les termes de cette promesse, Microsoft s'engage à ne rien demander et à ne pas poursuivre ceux qui « conçoivent, utilisent, vendent, importent ou distribuent toute implémentation » basée sur les technologies couvertes par cette licence très particulière. Cette décision a été prise à la demande de Miguel de Icaza, le créateur de Mono, implémentation de la CLI et de C# pour Linux. Désormais employé de Novell, Miguel de Icaza voulait clarifier la situation pour les développeurs utilisant Mono. Récemment, le grand avocat du Libre Richard Stallman avait critiqué la décision des auteurs de Debian, qui proposait d'installer des applications conçues pour Gnome grâce à Mono (une des applications étant écrites en C#). Pour lui, « le logiciel libre ne doit pas dépendre de Mono ou de C# », ce serait prendre un trop gros risque, en s'exposant à des décisions arbitraires de la part de Microsoft, écrivait-il fin juin dans un billet de blog. La promesse faite par Microsoft élimine le danger autour de C#. Pour Mono, la situation est plus complexe, comme le reconnaît Miguel de Icaza, car cette implémentation de la technologie .Net de Microsoft va bien au-delà de C#. Le vice-président de Novell explique que les prochains mois seront consacrés à la scission du code source de Mono en deux distributions, l'une reprenant exclusivement les spécifications ECMA, l'autre incluant les implémentations diverses, comme celles d'ASP.Net ou d'ADO.Net. (...)

(22/06/2009 12:39:31)

Des rumeurs de vente de Novell font bondir l'action de 10%

L'hebdomadaire Barron's rapporte des rumeurs de cession totale ou partielle de Novell. Ce média du groupe Dow Jones, tout comme le Wall Street journal, s'est fait l'écho des impressions de John DiFucci, analyste à la banque d'investissement JP Morgan. Selon ce dernier, la direction de Novell trouve sa société sous-évaluée en bourse et pourrait céder tout ou partie des activités pour valoriser des actifs à leur juste valeur. Si l'objectif était d'accroître la valeur en bourse du groupe, il a été atteint. L'action de Novell a bondi de plus de 10% pour atteindre une capitalisation totale de 1,62 Md$. La direction de Novell s'est aussi fendue d'un document officiel auprès de la SEC (la commission américaine des opérations en bourse) pour démentir tout projet de vente. Fin avril, Novell a clos son premier semestre 2009 sur des résultats mitigés. Le CA du groupe a baissé de plus de 8%, la progression de la division Open Platform Solution (Linux, etc.) ne parvenant pas à compenser la baisse des autres activités. Quant à la rentabilité, elle ne s'est maintenue qu'en raison de coupes sombres dans les dépenses consacrées au marketing et à la vente. (...)

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