Flux RSS

Linux

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

522 documents trouvés, affichage des résultats 141 à 150.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(04/06/2009 11:08:50)

Semestriels : La progression de Linux SUSE ne compense pas le déclin de Novell

Le deuxième trimestre de Novell a été sauvé par le chiffre d'affaires généré par la maintenance et les abonnements. Les ventes de licences ont chuté de près de 32% à 30,3 M$. Une chute similaire (33 %) à celle de l'activité services à 27 M$. C'est la hausse de 4,9%, à 158 M$, de la maintenance et des abonnements qui a permis à Novell de n'afficher qu'une baisse de 8,5% de son CA total. C'est au prix d'une réduction drastique de ses dépenses marketing et vente (-12%) que l'éditeur, malgré une marge brute en baisse de 3%, parvient à afficher un résultat opérationnel multiplié par dix, à 17,6 M$. Ce qui lui permet d'annoncer un bénéfice net en hausse de 169%, à 31,2 M$. L'analyse des résultats par ligne de produits montre que seule la division Open platform solutions (Linux, etc.) progresse sur un an (+17,6% à 44 M$). Plus petite division il y a douze mois, elle se hisse à la troisième place. Elle doit sa performance à la hausse de 23% du chiffre d'affaires Maintenance et abonnement, à 38,8 M$ (Linux SUSE). Elle arrive derrière la division Systems and ressource management, qui, malgré le rachat de PlateSpin en février 2008, affiche une baisse de CA de 3%, à 45,3 M$. Ces derniers mois, cette division a vu partir un nombre conséquent de cadres supérieurs originaires de PlateSpin. La division Identity et security management enregistre une baisse de son CA de 16%, à 38,8 M$. Surtout, la division Workgroup (Netware et GroupWise) voit son CA chuter de près de 17%, à 87 M$. (...)

(22/05/2009 12:57:59)

Soutenue par Intel, la bêta 2.0 de Moblin séduit

Intel craindrait-il que Microsoft tarde trop à mettre au point un système d'exploitation performant sur netbooks pour succéder à un XP obsolète ? S'inquiète-t-il des promesses d'Android, l'OS de Google ? Cherche-t-il par tous les moyens à éviter qu'ARM le distance sur la prochaine génération de netbooks et qu'il l'exclut définitivement des téléphones mobiles ? Se demande-t-il si les projets d'Apple en matière de processeur graphique embarqué porteront les prochains iPhone et autre iPod aux nues ? Bref, prend-il ombrage du cruel manque d'un OS digne de sa ligne de processeurs Atom qu'il destine à tous les équipements mobiles ? Aucune réponse à ces questions n'a filtré de chez Intel. En revanche, la présentation de la bêta de Moblin 2.0, système d'exploitation optimisé pour Atom et auréolé d'une superbe et conviviale interface graphique ne laisse aucun doute. Même si en avril, il a confié à la Linux Foundation l'avenir du Mobile Linux qu'il couvait en son sein depuis 2007, le fondeur travaille d'arrache-pied à doter ses Atom de la meilleure couche logicielle possible pour lui donner le droit de cité sur les équipements numériques mobiles, seul créneau à être en croissance en cette douloureuse période de crise. Moblin 2.0, résultat du mariage entre un noyau Fedora et l'interface Clutter, issue du savoir-faire ergonomique d'Opened Hand, acheté par Intel en janvier 2008, se fait tisser des louanges par tous ses premiers utilisateurs. Il le trouve à la fois très rapide, ergonomique et bien adapté à la fois à la communication et au "social networking" sans fil. Deux activités vieilles comme le monde et qui justifient bien d'acheter un nouvel équipement. (...)

(04/05/2009 12:11:54)

Les ventes de netbooks septuplent au premier trimestre

Apple a eu beau peindre un portrait sombre des netbooks en leur reprochant leur clavier exigu et leur équipement minimaliste, ces PC ultra-portables et bon marché n'en connaissent pas moins un succès commercial d'ampleur. Selon IDC, leurs ventes au 1er trimestre 2009 auraient ainsi atteint 4,5 millions d'unités, soit sept fois plus qu'un an auparavant. Et sur cent PC écoulés au cours de la période, huit étaient des netbooks. Une performance d'autant plus remarquable que sur le même laps de temps, les livraisons totales, tous types de machines confondus, reculaient de 7%. A quelque chose malheur est bon : la crise, qui a contribué à éloigner les consommateurs du marché des PC, les a parallèlement incités à se tourner vers les netbooks, qui tirent ainsi largement leur épingle du jeu grâce à leurs prix plancher. Cette vitalité des ventes de netbooks illustre également, explique IDC, un usage des PC en mutation : depuis les étudiants qui n'ont besoin que d'une machine pour prendre des notes jusqu'aux professionnels nomades ne souhaitant pas se lester d'un ordinateur poids lourd, la course à la puissance devient un schéma éculé. « Les vendeurs prennent en considération la demande des consommateurs pour une informatique adaptée à leurs besoins réels. Tous ne nécessitent en effet pas la puissance d'un Core 2 Duo. La plupart du temps, l'utilisation d'un processeur ne dépasse pas 5% », précise l'analyste Jay Lou. Vers 50 millions d'unités en 2010 La vague sur laquelle surfe le marché des netbooks ne devraient pas se dégonfler cette année : IDC estime que le volume des ventes devrait doubler par rapport à 2008, pour atteindre 22 millions d'unités, avec des pics saisonniers sur les périodes de rentrée des classes et de fêtes de fin d'année. Aux yeux d'Acer, ces prévisions sont trop prudentes : le constructeur taiwanais, qui a su se hisser en tête des ventes avec son Aspire en dépit d'une entrée tardive sur le marché, table sur des ventes de 25 à 30 millions de netbooks en 2009, puis 50 millions en 2010. Rapportée aux projections des cabinets d'analyse, cette prédiction suppose qu'un PC sur quatre vendu l'année prochaine sera un netbooks. Si cette vaticination était avérée, le marché de la micro-informatique s'en trouverait certes dopé. Mais cela traduirait également un ralentissement important des revenus des grands constructeurs, dont le quart de l'activité PC serait alors constituée de machines peu dispendieuses et génératrices de faibles marges. Des marges d'autant faibles que les netbooks embarquent très majoritairement Windows : si, dans les premiers temps, les OS libres pouvaient permettre aux constructeurs de tirer leur épingle du jeu, l'inclusion presque systématique de Windows les oblige désormais à rogner sur leur bénéfice pour conserver des prix de vente attractifs. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >