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Linux
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(08/10/2008 14:57:47)
Red Hat veut cibler l'ensemble des entreprises
Lors de la réunion annuelle de sa société avec les analystes financiers, Jim Whitehurst, PDG de Red Had, a annoncé son intention de cibler un ensemble plus large d'entreprises. Aujourd'hui, l'éditeur séduit plutôt certains marchés verticaux qui voient dans la technologie un levier de compétitivité. Ainsi est-il très apprécié dans le secteur financier, en crise actuellement. « Au New York Stock Exchange, Red Hat est aussi répandu que l'eau, plaisante Jim Whitehurst. Mais dans la plupart des entreprises classiques, nous n'avons qu'une faible part de marché. Nous devons être sur d'avoir la meilleur offre commerciale pour élargir notre cible au plus grand nombre. » Red Hat incitera les firmes à s'abonner au support technique de RHEL Et pour cela, Jim Withehurst veut s'appuyer sur deux « outils » déjà présents chez Red Hat, son modèle d'abonnement au support technique, et la version gratuite (sans support dédié) issue de la communauté. Tout en convainquant les entreprises qu'il sera moins cher pour eux de finalement prendre un abonnement pour utiliser RHEL (Red Hat Enterprise Linux) plutôt que de laisser leurs services informatiques se débrouiller seuls. (...)
(03/10/2008 15:44:26)Après Microsoft, Red Hat se lance aussi dans le calcul haute performance
Red Hat annonce la disponibilité mondiale de Red Hat HPC Solution, un package complet pré-configuré pour déployer des configurations cluster HPC (High Performance Computing) basée sur RHEL 5.2 et Open Cluster Stack 5 (OCS). Cette pile d'outils d'administration spécialisés open source de Platform Computing utilise en particulier l'outil de gestion de cluster Kusu. Les deux éditeurs collaborent déjà depuis un an, mais le fruit de leur travail était réservé aux Etats-Unis. Platform Computing est un spécialiste du grid computing et de la répartition de charge. « Ce qui importe aujourd'hui, déclare Franz Meyer, directeur Europe du Sud, Afrique et Moyen-Orient chez Red Hat, c'est que nous proposons une configuration qui intègre tous les éléments pour faciliter le déploiement (pilotes, configurateur, répartition de charge...) De plus, nous prenons directement en charge le support ». Red Hat bien moins cher que Microsoft [[page]]L'annonce de la disponibilité mondiale Red Hat HPC Solution s'accompagne d'une liste de prix officielle. A 250$ par noeud et par an, Red Hat est, sur le papier, nettement moins cher que les 475$ annoncés par Microsoft. Celui-ci vient tout juste de lancer lui-aussiune configuration destinée au HPC. Les deux éditeurs voient dans le marché du supercalcul entre autres une intéressante source de revenus générés par les frais d'installation et de support. Ils partagent aussi le fait d'être à la fois numéro un sur leur marché respectif et d'être sous représentés sur ce créneau du HPC. Pour Franz Meyer, les packages prêts au déploiement arrivent à point nommé dans un secteur fortement stimulé par la montée en puissance des serveurs standards : « Aujourd'hui, un cluster de quatre serveurs intégrant quatre quadri coeurs, ce sont déjà 64 processeurs ». Le HPC vise les applications qui demandent beaucoup de calcul comme la simulation dans le monde industriel. (...)
(26/09/2008 12:27:01)Steve Ballmer se donne 5 ans pour concurrencer Google
Microsoft est peut-être la seule société capable de représenter une vraie concurrence pour Google, a expliqué Steve Ballmer, CEO de Microsoft, lors d'un dîner du Churchill Club, dans la Silicon Valley. Mais l'éditeur devra d'abord trouver un moyen d'y parvenir. « Nous devons travailler afin de réinventer de fond en comble le modèle économique de la recherche sur Internet. On ne peut pas s'imposer de force sur un marché. On n'a des grandes avancées que si on parvient à redéfinir le domaine aux yeux des utilisateurs. » En tout cas, Microsoft entend se donner le temps et les moyens de son ambition. Steve Ballmer a expliqué que cette tâche prendrait quelque cinq années. Et l'éditeur a déjà prévenu ses actionnaires qu'il était prêt à perdre 5 à 10% de son revenu opérationnel pendant plusieurs années pour financer ses tentatives dans le domaine de la recherche sur Internet. Le projet de 'cloud computing' Red Dog sera dévoilé à la PDC Steve Ballmer n'a fait qu'effleurer les autres sujets. Il veut notamment laisser aux développeurs qui assisteront à la conférence PDC de Los Angeles, fin octobre, la primeur de découvrir ce que recèle le projet Red Dog, une offre de 'cloud computing' apparemment proche de ce que propose Amazon avec son EC2. Concernant la virtualisation, le patron de Microsoft a répété que son ambition était de démocratiser la technologie - une pique habituelle à destination de VMWare. Steve Ballmer a par ailleurs prédit des lendemains difficiles aux fabricants de smartphones comme Nokia, RIM ou Apple, qui proposent des plateformes matérielles et logicielles étroitement liées. A terme, s'affronteront Windows Mobile, Symbian et Linux [[page]] Commentant les 30% de parts de marché de Nokia, Steve Ballmer a expliqué que « si vous voulez aller au-delà, il faut découpler le matériel du logiciel ». De façon bien sûr à ce que davantage de mobiles puissent tourner sous Windows Mobile... A terme, a-t-il dit, la compétition pour ce marché devrait voir s'affronter Windows Mobile, Symbian et Linux. Pour la même raison, Steve Ballmer estime qu'Apple ne constituera pas une grande menace dans le domaine professionnel. « Apple est une belle société », a-t-il dit, mais sa stratégie exclut les partenaires. Or, a continué Steve Ballmer, c'est la symbiose entre Microsoft et les fabricants de PC qui a assuré le succès de Windows en entreprise. Retard avoué sur Linux et PHP dans les serveurs Web En ce qui concerne les relations avec les développeurs, Steve Ballmer décerne plutôt un bon point à Microsoft, mais relève deux faiblesses : le domaine du calcul scientifique (Windows HPC vient juste de sortir) et celui des serveurs Web, où les technologies Microsoft sont devancées par Linux et PHP. « 40% des serveurs sont sous Windows, 60% sous Linux. [...] Cela ne me plaît pas, nous avons du travail à faire. » Interrogé sur la façon dont les entreprises du secteur IT voient la crise financière aux Etats-Unis, Steve Ballmer s'est voulu plutôt rassurant. « Au moins pour le moment, les gens à qui je parle dans le secteur son plutôt... je ne dirais pas optimistes, mais au moins plus sereins que ce qu'on pourrait penser en regardant [la chaîne d'informations américaine] CNBC toute la journée. » (...)
(25/09/2008 09:32:57)OpenWorld : Oracle s'attaque à Teradata avec une solution matérielle
(crédit photo : wicho / licence Creative Commons) Larry Ellison, fondateur d'Oracle, apprécie le spectacle et la démesure. Et il n'a jamais rechigné à ménager ses effets. Sur la scène du Moscone Center de San Francisco, après avoir fait défiler les images de son yacht engagé dans l'America's cup, l'emblématique patron a littéralement fait surgir sous ses pieds la « HP Oracle Database Machine », promise, selon ses voeux, à révolutionner l'univers des entrepôts de données. Autrement dit à faire vaciller Teradata, l'acteur dominant du secteur. Cette armoire rack, conçue avec HP, contient le serveur de stockage Exadata, « première solution matérielle » de l'histoire d'Oracle, a plaisanté Larry Ellison. Une judicieuse combinaison de logiciel et de matériel, spécialisée dans le stockage et le traitement de l'information. Améliorer les performances en réduisant la distance entre le stockage et le moteur du SGBD « Les grandes bases de données triplent de taille tous les deux ans. Or, les performances des datawarehouses faiblissent dès qu'ils atteignent le téraoctet, et même le plus véloce tombe complètement autour de 10 To », assène Larry Ellison en pointant du doigt le goulet d'étranglement entre bases de données et serveurs de stockage. « Pour résoudre le problème, il faut réduire le volume des flux entre la base de données et le système de stockage, ou bien élargir les tuyaux. » Et de conclure : Oracle a fait les deux, en permettant aux requêtes de s'exécuter au plus près des données. SGBD et stockage en grille [[page]] La « HP Oracle Database Machine » combine donc des serveurs de bases de données Oracle, reliés en grille, avec les tout nouveaux serveurs de stockage Exadata, également reliés en grille. L'ensemble est packagé dans la même armoire rack, et commercialisé par Oracle. Le support du matériel est assuré par HP. 1 400 fois la capacité du plus gros iPod La configuration est musclée. A lui seul, le serveur de stockage Exadata, muni du logiciel Oracle Parallel Query Database sous Oracle Enterprise Linux, est équipé de deux processeurs Intel (huit coeurs) et de douze disques durs apportant jusqu'à 12 To. Quant à la « machine HP Oracle », aujourd'hui disponible sous Enterprise Linux (d'autres environnements suivront, promet Larry Ellison), elle réunit huit serveurs de base de données Oracle (64 coeurs Intel), le logiciel de clustering RAC (Real application clusters) et 14 serveurs de stockage Exadata (soit 112 coeurs Intel) qui offrent une bande passante de 14 Go de données par seconde et jusqu'à 168 To. « Sa capacité est 1 400 plus importante que celle de l'iPod le plus musclé », ironise Larry Ellison. Sans cacher sa jubilation, le dirigeant a aussi comparé (à son profit) sa configuration aux solutions avancées par Teradata et Netezza, ses principaux concurrents sur ce terrain, avec les fournisseurs de systèmes de stockage, EMC, IBM et NetApp en tête. Trois ans de R&D pour cette première machine Oracle Cette nouvelle offre, sur laquelle rien n'a rien filtré, ou si peu (d'immenses banderoles annonçant un mystérieux « X » ont été déroulées hier dans le Moscone Center), est pourtant le fruit d'un développement de trois ans. Un projet qui s'inscrit dans le cadre d'un programme de recherche de plus longue haleine sur les architectures massivement parallèles. Des performances multipliées par 30 chez certains clients [[page]] En toute discrétion, la solution est testée depuis octobre dernier chez une poignée de clients. Sur le papier, les résultats obtenus retiennent l'attention. Avec une demi-configuration de la « machine HP Oracle », l'opérateur bulgare de téléphonie mobile M-Tel annonce des performances multipliées par 28, en moyenne, sur 4,5 To, par comparaison avec sa précédente configuration (2 serveurs IBM p570 couplés à un système de stockage EMC). Chez LGR, investi sur trois continents dans l'infogérance de datawarehouses, on avance des performances multipliées par 30. Moins édifiant, le distributeur américain Giant Eagle annonce tout de même un facteur x16 sur 5 To de données. Larry laisse la vedette à sa machine Cette année, contrairement à son habitude, Larry Ellison a quitté discrètement la scène, pendant la vidéo déroulant les commentaires des premiers clients. D'ordinaire, il se fait un plaisir, non dissimulé, de répondre au vol aux nombreuses questions de la salle, pourtant archi-pleine cette fois-ci encore : 11 000 places, nombre de personnes debout ou assises par terre et bien plus à l'extérieur de la salle, face aux écrans géants. Mais, une fois n'est pas coutume, il a préféré laisser la vedette à sa « machine », sur laquelle le public s'est précipité, le flash crépitant, dès la fin du show. A l'étage, les machines étaient déjà installées sur le stand d'Oracle. (...)
(22/09/2008 12:39:42)Une version d'AIX 6.1 à prix réduit
Lancé en novembre 2007, le système d'exploitation AIX 6.1 d'IBM dispose désormais d'une nouvelle mouture plus complète, baptisée Entreprise Edition. Au système classique, celle-ci ajoutera des produits vendus jusqu'ici séparément, comme les partitions par charge de travail (WPAR) et le Workload Partition Manager pour les administrer et les transférer d'un serveur physique à l'autre. Trois produits de la gamme Tivoli seront également intégrés : Tivoli Application Dependency Discovery Manager (pour savoir quelle application utilise quelle ressource et à quel taux), Tivoli Monitoring, et IBM Usage and Accounting Manager Virtualization Edition for Power Systems. Le tout pour un prix allant de 595 dollars à 3 999 dollars par coeur, soit le prix normal d'Aix 6.1 Standard Edition et de Workload Partition Manager, les trois logiciels de Tivoli. (...)
(19/09/2008 15:05:42)Wyse adopte une version adaptée de Suse pour ses clients légers Linux
Wyse abandonne sa version maison pour ses clients légers sous Linux pour y installer une version de Suse portée avec le soutien actif de Novell : Wyse Enhanced Suse Linux Enterprise. Avec 30% de parts de marché, Wyse est considéré comme le numéro un mondial par IDC. Il est talonné par HP depuis qu'il a racheté Neoware, spécialiste des clients légers sous Linux qui était troisième acteur du marché. Les clients légers sous Linux permettent d'accueillir des applications qui ne tournent pas sous Windows Terminal Services, le protocole pour client léger de Microsoft. La virtualisation, qui contribue à l'émancipation des couches systèmes, explique que leur part du marché des clients légers devrait passer d'une vingtaine de pour cent actuellement à plus de 30% en 2011, d'après IDC. Soit plus de 550 000 unités par an. Toujours selon IDC, entre aujourd'hui et 2011, le marché total des clients légers passera de 1 à 1,8 million d'unités sous l'impulsion de la virtualisation des SI. Rappelons que Suse est le seul Linux soutenu par Microsoft (l'intégration avec l'annuaire Active Directory, notamment, est garantie) et qu'il est aussi reconnu par SAP. Les premiers appareils de classe X (la gamme des clients légers mobiles de Wyse) devraient sortir avant la fin de l'année. (...)
(17/09/2008 09:15:00)Sun accueille les communautés Open Source sur son site Kenai
Sun met à disposition des développeurs Open Source son projet Kenai, site concurrent de ceux de Source Forge, de Google et de Github pour n'en citer que quelques-uns. Sun se défend toutefois de positionner Kenai directement face à ces sites. Le groupe explique avoir besoin d'un espace pour tester et faire la démonstration de son potentiel et de celui de ses technologies (open source ou propriétaires) pour bâtir les applications Web du futur. En tous cas, il s'agit d'une approche originale et utile pour se promouvoir auprès des communautés de développeurs. Kenai utilise Ruby on Rails et les gestionnaires de version Subversion et Mercurial. (...)
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