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(25/04/2008 14:50:00)

Bernard Charlès, directeur général de Dassault Systèmes, répond sur les difficultés du logiciel français.

Propos recueillis par Emmanuelle Delsol (...)

(24/04/2008 18:30:43)

Les résultats d'Apple boostés par les ventes de portables

Une fois n'est pas coutume, ce sont les ordinateurs qui ont propulsé les résultats d'Apple vers des sommets. Certes, la vente de 10,6 millions d'iPod a généré un CA de 1,8 Md$, mais les volumes n'ont progressé que de 1% et le CA a fléchi de 2%. A l'inverse, le CA ordinateurs progresse de 54% à 3,49 Md$. Une forte hausse principalement due à la vente de 1,4 million de portables (+61%) qui ont, à eux seuls, généré un CA de 2,1 Md$, en hausse de 54%. En volume, les ventes de machines de bureau n'augmentent que de 37% à 856 000 exemplaires pour un CA de 1,3 Md$ (+48%). Les portables d'Apple se vendent si bien que, fait remarquable, il s'en est vendu plus ce trimestre, habituellement morose, qu'au trimestre précédent, en principe le plus actif de l'année en raison de la période des fêtes. Grâce peut-être au lancement du Macbook Air en janvier dernier, aussi sexy qu'il est limité. Quant aux 1,7 million d'iPhone, ils ont généré un CA de 378 M$. Si la comparaison avec l'an passé est impossible, il est intéressant de noter qu'Apple a nettement augmenté le revenu unitaire de ses iPhones par rapport au trimestre précédent. Alors que le volume des ventes chute de 26%, le CA augmente de 57%. Ce paradoxe pourrait s'expliquer par une pénurie d'iPhones aux Etats-Unis. Selon Apple, nombre de ses combinés seraient achetés par des étrangers de passage qui profitent de la faiblesse du dollar plutôt que de payer le prix fort dans leur pays d'origine. (...)

(24/04/2008 18:18:33)

Apple achète P.A. Semi, concepteur de processeurs basse consommation

Apple a confirmé l'acquisition de P.A. Semi, société de 150 personnes qui conçoit des processeurs basse consommation. En revanche, le constructeur s'est refusé à indiquer le montant de la transaction, estimée à 278 M$ par le magazine Forbes. P.A. Semi à été fondé en 2003 par Dan Dobberpuhl qui fut à l'origine du StrongARM, processeur développé par Digital dans les années 90 avant d'être cédé à Intel. Lequel vient de vendre cette ligne de produits à Marvell. Cette société compte aussi nombre d'ingénieurs recrutés chez Intel, AMD et Sun. P.A. Semi a dans ses cartons le PA6T-1682M, un bi-coeur 64 bits doté d'un jeu d'instructions dérivé de celui des PowerPC. Il est décrit comme 300% plus performant que ses concurrents et ne consommerait que 5 à 13 watts à une fréquence de 2 GHz. Apple davantage intéressé par l'expertise de P.A. Semi que par ses processeurs Faute d'informations complémentaires de la part d'Apple, les commentateurs se perdent en conjecture. Pour certains observateurs, Apple pourrait utiliser le savoir-faire de P.A. Semi pour concevoir les prochaines générations d'iPhone et d'iPod. [[page]] D'autres considèrent que le rachat de P.A. Semi ne signifie pas qu'Apple va utiliser ses processeurs, mais qu'il s'intéresse à l'expertise de cette entreprise, en particulier celle concernant l'architecture ARM. Les designs de processeurs de la société anglaise dominent actuellement le créneau des composants basse consommation. L'iPhone est d'ailleurs animé par un processeur Samsung fondé sur un design ARM. Les réponses à toutes ces suppositions devraient arriver dans un an. D'ici là, tout le monde s'accorde à dire que ce rachat est un camouflet à Intel et son processeur Atom, variante basse consommation de son architecture x86 qu'il peine encore à imposer. (...)

(24/04/2008 18:00:28)

Le plan 2008-2012 de l'Inria vise l'interaction avec d'autres disciplines

L'Inria (Institut national de la recherche en informatique et automatique) a présenté aujourd'hui son quatrième plan quinquennal stratégique. Ce plan 2008-2012 sert à la fois à présenter la vision que l'Institut porte sur le développement de sa discipline mais aussi sa feuille de route. « Attention, prévient Michel Cosnard, président du conseil d'administration de l'Inria, c'est en toute humilité que nous nous prêtons à cet exercice. Nous ne prétendons pas lire l'avenir des TIC dans une boule de cristal. En revanche, la préparation du plan est un travail sérieux, de longue haleine, mené sur toute la durée de 2006 et 2007. » Plus une seule expérimentation dans aucune discipline (sécurité, environnement, médecine, etc.) n'est réalisée sans expérimentation par la modélisation ou la simulation. « Les TIC sont devenues un instrument universel de la recherche, confirme Malik Ghallab, délégué général à la recherche et au transfert pour l'innovation. Pour cette raison, notre plan stratégique se décline autour des mathématiques appliquées aux TIC mais aussi d'autres disciplines. » Le plan préconise ainsi une implication plus forte de la recherche dans les phénomènes liés à la santé ou à la biologie par exemple. Il vise également une approche plus systémique de la recherche permettant d'étudier des phénomènes qui s'étendent du nanométrique au kilométrique, voire au-delà. Modéliser, programmer, communiquer et interagir Le plan 2008-2012 se donne sept priorités. Elles se déclinent d'abord en quatre axes liés au coeur de métier de l'Inria : - la modélisation (géométrie, phénomènes aléatoires, etc.) ; - la programmation (méthodes formelles) ; - la communication (programmation distribuée sur un grand nombre de processeurs), et - l'interaction (avec l'utilisateur, le citoyen, le scientifique, l'ingénieur, etc.). A ces quatre axes s'ajoutent trois défis que sont l'ingénierie numérique, la science numérique et la médecine numérique. A l'occasion de cette présentation des objectifs de l'Inria, trois responsables scientifiques de projets de recherche ont raconté leur travaux. [[page]] Olivier Temam a ainsi décrit Alchemy (Architecture languages and compilers to harness the end of Moore's law). Ce dernier étudie entre autre les questions de parallélisation du code dans les programmes qui s'exécutent sur des puces multi-coeurs. Ils sont le moyen le plus efficace que les fondeurs aient trouvé pour contourner la loi de Moore (doublement du nombre de transistors sur un processeur tous les dix huit à vingt-quatre mois) et ses conséquences (augmentation de la puissance, mais aussi des problèmes de surchauffe et de court-circuit). Mais pour qu'une application tire parti complètement d'un multi-coeur, elle doit être parallélisée. De la parallélisation des logiciels jusqu'à la modélisation du cerveau Serge Abiteboul s'occupe, lui, de l'intégration de données et de connaissances distribuées sur le Web. Ses travaux cherchent à décrire de nouveaux outils pour mieux se retrouver dans la masse d'informations non structurées qui envahit la Toile. Il développe des logiciels qui permettront de passer d'un Web HTML à un environnement plus structuré avec des métadonnées par exemple. Le système saura extraire les connaissances du texte. Enfin, avec son projet Odyssée, Olivier Faugeras s'attaque à un morceau de taille : le cerveau. Pour commencer, il démythifie : « Non, le cerveau ne fonctionne pas comme un ordinateur ! » Il est bien plus complexe. Et la plus grande difficulté à laquelle se heurtent les travaux pour le modéliser et le simuler est justement la collecte des données le concernant. « C'est une 'terra incognita' dont nous connaissons à peine 1% du fonctionnement », rappelle Olivier Faugeras. La modélisation d'un seul neurone isolé reste un casse-tête. « Encore aujourd'hui, nous utilisons des modèles de fonctionnement de l'axone de calamar géant décrit dans les années 70. » Pour ces travaux, l'Inria se rapproche ainsi forcément de laboratoires de médecine, de biologie, etc. Odyssée illustre parfaitement l'importance actuelle de l'interdisciplinarité dans la recherche en TIC. (...)

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