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(12/07/2007 12:14:00)
Gestion et sécurisation de l'informatique et du document. 3 juillet 2007
Les applications de la dématérialisation : à chacun son secteur (...)
(12/07/2007 12:16:00)Gestion et sécurisation de l'informatique et du document. 3 juillet 2007
Moteurs de recherche : où et comment offrir une interface unifiée pour l'accès aux données structurées et non structurées de l'entreprise ? (...)
(11/07/2007 17:34:26)L'Europe impose le label "Energy Star" à ses Etats membres
Le Parlement européen vient de trancher. Désormais, tous les organismes publics de l'Union Européenne devront s'approvisionner en matériels de bureau au logo Energy Star. Pour Nikolaos Vakalis, le député européen qui a mené les débats : « Cette régulation nous donne l'occasion parfaite pour introduire une nouveauté : pour la première fois dans l'histoire de l'Union Européenne, des spécifications communes pour des économies d'énergie vont s'appliquer à tous les Etats membres et à toutes les institutions Européennes. » Un résultat qui n'avait effectivement pas été obtenu malgré deux chocs pétroliers et une Communauté européenne beaucoup plus étroite. Au delà du simple exploit de normalisation, cette nouvelle loi formalise un engagement signé entre l'Europe et les Etats-Unis en décembre dernier pour renouveler le label Energy Star pour les cinq années à venir et en accroître encore les préconisations. Le but étant d'économiser en trois ans en Europe jusqu'à 30 terawatts-heures d'électricité, soit l'équivalent de la consommation électrique annuelle de la Hongrie. Cette norme de qualité environnementale a en effet été créée en 1992 par l'agence fédérale américaine pour l'environnement (EPA) pour faire baisser la consommation énergétique des appareils électriques. Elle a ensuite été adoptée conjointement par l'Union européenne et les Etats-Unis en 2003 et s'est étendue au monde du travail. Une base de données d'entreprises a été créée au fur et à mesure que les entreprises adoptaient ce logo. Elle comprend aujourd'hui 17 fabricants de portables, 18 fabricants de postes de travails, 15 fabricants d'imprimantes et quatre fabricants de scanners. Alors que la version 4.0 de cette norme devra s'appliquer dès la fin juillet aux ordinateurs de bureau, l'EPA réfléchit actuellement à une nouvelle déclinaison pour les salles de serveurs. (...)
(11/07/2007 17:05:36)L'UFC-Que Choisir dénonce le peu de concurrence dans les mobiles
L'association UFC-Que choisir a présenté hier une analyse critique du marché de la téléphonie mobile en France. Cette étude contredit le rapport présenté il y a quatre mois par l'Afom, une association regroupant les opérateurs mobiles. « L'Afom n'offre qu'une vision partielle, voire déformée de la réalité économique », affirme l'association de consommateurs. Avant de pointer du doigt l'entente tacite (mais reconnue par la justice) qui existe entre les trois plus grands opérateurs en France : « le secteur souffre encore manifestement d'une absence de concurrence, ce qui limite son développement et pénalise fortement les consommateurs ». Dans son étude, l'Afom se félicite pourtant de l'arrivée de douze nouveaux opérateurs virtuels (MVNO), qui dynamiseraient la concurrence. Mais comme le souligne l'UFC-Que Choisir, ces opérateurs ne représentent que 2,8% du marché. Ils doivent en outre louer les réseaux des trois acteurs principaux pour proposer leurs services au client final. Des bilans très différents Les points de divergence entre les deux études sont nombreux. L'Afom affirme par exemple que le chiffre d'affaires de la mobilité a été décuplé en l'espace de dix ans. Certes, le marché est encore dynamique, réplique l'UFC-Que Choisir. Il n'empêche qu'avec 82% des personnes équipées d'un téléphone mobile, la France continue à présenter un taux de pénétration en dessous de la moyenne européenne. Autre sujet de désaccord : les prix (notamment au niveau des forfaits et des SMS). Les opérateurs indiquent que les tarifs pratiqués en France se situent dans la fourchette basse de l'Europe, avec une diminution des coûts de 26% depuis 2002. Pour l'UFC-Que Choisir, la baisse des prix s'échelonne entre 21 et 28% depuis 2000, ce qui est « largement inférieur à d'autres pays européens ». Toujours d'après l'association, ce maintien des prix à la hausse explique en partie pourquoi les Français n'investissent pas davantage dans les services mobiles. Un couple d'employés avec deux enfants ne peut, par exemple, pas se permettre de dépenser plus de 1% de ses revenus dans la téléphonie mobile, alors que l'Afom avançait un plafond de 5%. L'association de consommateurs reproche également aux opérateurs de se concentrer sur leurs réseaux GSM déjà existants, donc plus rentables, au détriment de la 3G. Deux ans après la décision du Conseil de la Concurrence, le marché de la mobilité semble donc toujours verrouillé. L'UFC-Que Choisir en appelle donc aux pouvoirs publics et à l'Arcep (organisme régulateur des télécommunications), afin de restaurer une concurrence « durable, pleine et entière ». (...)
(11/07/2007 16:22:21)IBM virtualise et encrypte ses bandes pour grands systèmes
IBM annonce des systèmes de stockage à bande pour ses grands systèmes à un moment où les affaires sont florissantes pour ces derniers. Ces systèmes à bandes intègrent deux caractéristiques techniques très en vogue : la virtualisation et le cryptage des données enregistrées. La fonctionnalité de virtualisation permet en particulier de répartir l'enregistrement des données sur trois sites distants en anticipation d'un dommage. Quant au cryptage, il devient quasi obligatoire après la médiatisation d'affaires de bandes égarées alors qu'elles contenaient des millions d'enregistrements sensibles. (...)
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