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(05/10/2011 16:57:51)
Samsung veut interdire la vente de l'iPhone 4S en France et en Italie
Samsung a décidé de contre-attaquer après l'annonce du lancement de l'iPhone 4S prévu le 14 octobre. Le groupe sud-coréen prévoit de en effet de déposer une demande d'injonction à Milan et à Paris pour obtenir l'interdiction, par le tribunal, de la vente du dernier-né d'Apple. Samsung envisage de faire de même dans d'autres pays « après un examen supplémentaire ».
Dans un communiqué publié aujourd'hui, le géant de l'électronique accuse la firme de Cupertino de violer ses droits de propriété intellectuelle et d'utiliser gratuitement sa technologie. Les documents déposés auprès des tribunaux en France et en Italie citent deux violations de brevets liés à la technologie de télécommunications sans fil WCDMA (Wideband Code Division Multiple Access), norme utilisée dans les téléphones mobiles 3G,
Cette plainte constitue le dernier épisode de la bataille judiciaire qui oppose les deux firmes. Apple et Samsung sont actuellement en proie à une lutte juridique mondiale en Asie, en Europe et aux Etats-Unis. La semaine dernière, les deux protagonistes se sont rencontrés devant un tribunal des Pays-Bas, où ils se sont affrontés au sujet de quatre brevets revendiqués par Samsung.
(...)
OpenWorld 2011 : Enterprise Manager 12c installe le cloud et le gère
Parmi les solutions dévoilées sur OpenWorld 2011, Oracle a particulièrement mis l'accent sur sa solution d'administration Enterprise Manager, annoncée dans sa version 12c. C'est le premier produit du catalogue à voir son nom suffixé de la lettre « c » pour « cloud ». Cette offre permet d'administrer l'ensemble des solutions matérielles et logicielles d'Oracle, notamment les systèmes optimisés Exadata et Exalogic. Mais elle est également conçue pour gérer le cycle de vie d'une infrastructure de cloud, a souligné lundi Thomas Kurian (ci-dessus), vice-président exécutif, responsable du développement des produits.
Il est prévu cette année de clôturer OpenWorld, jeudi, par une conférence intitulée « Oracle powers the cloud ». Les responsables produits d'Oracle doivent y dérouler leur feuille de route dans ce domaine. Le groupe californien rappelle que sa stratégie inclut à la fois les clouds privés et publics, en s'étendant à toutes les couches du modèle : software as a service (SaaS), platform as a service (PaaS), and infrastructure as a service (IaaS).
Larry Ellison devrait lui aussi aborder ce sujet lors de son keynote prévu mercredi. On s'attend à ce que celui-ci soit consacré aux applications Fusion et le PDG d'Oracle devrait y parler de cloud public. Au cours des sessions de questions/réponses avec les journalistes, certaines explications ont été différées, dans l'attente de cette présentation.
En attendant, Enterprise Manager 12c a été détaillé par le menu par Richard Sarwal, vice-président senior, chargé du développement produit. Il a décrit lundi comment cette solution permettait de gérer toutes les phases du cycle de vie d'un cloud, à partir d'une seule console, en disposant d'une vision intégrée et détaillée de l'ensemble des couches et des infrastructures mises en oeuvre. « Le logiciel permet de descendre au coeur d'une machine Exadata Database », a-t-il donné en exemple en précisant qu'Oracle préparait cette version 12c depuis trois ans.
Une meilleure automatisation du provisioning
Lors de la mise en place de l'environnement de cloud, Enterprise Manager permet d'identifier les ressources IT dont on dispose, d'évaluer les ressources matérielles et logicielles dont on aura besoin, de définir le type de service que l'on veut proposer, d'installer les services cloud, de tester les applications de bout en bout, puis d'établir les règles d'accès et les contrôles. Le logiciel permet de « comprendre les relations qui existent entre les différents composants », a rappelé Richard Sarwal. 
Richard Sarwal, vice-président senior, chargé du développement produit, présente Enterprise Manager 12c (crédit : M.G.)
La phase de déploiement peut ensuite intervenir offrant un accès en self-service aux ressources suivant leur nature : IaaS (utilisation de processeurs x86 ou Sparc), PaaS (base de données, environnements virtuels ou physiques), ou bien ressources applicatives ou API via un portail. « Le cloud est construit, il faut maintenant gérer et surveiller les opérations ». Qu'est-ce qui est utilisé, de quelle façon, à quel niveau se situent les éventuels problèmes ?
Enterprise Manager 12c a amélioré l'automatisation du provisioning (mise à disposition des ressources), ce qui, insiste Oracle, contribue à réduire le coût total de possession. « Le cloud computing doit permettre aux entreprises d'accroître leur agilité informatique tout en réduisant leurs coûts », estime Richard Sarwal. « Il doit fournir un accès en self-service aux composants de l'infrastructure, aux applications et aux services, offrir des outils de mesure précis et de refacturation et permettre une gestion efficace de l'environnement de cloud. » Aujourd'hui, déplore-t-il, la plupart des entreprises doivent recourir à différents outils développés par différents éditeurs pour le faire, ce qui accroit le coût et la complexité d'administration.
Illustration principale : Thomas Kurian, vice-président exécutif d'Oracle, responsable du développement des produits (crédit : M.G.)
Un réseau social suisse pour les différents acteurs de l'IT
Le réseau social professionnel ICT Synergies a pour but de faciliter les interactions entre les différents acteurs du secteur IT. Il vise notamment à renforcer le dialogue entre fournisseurs et utilisateurs. Cette plateforme se différencie d'autres réseaux professionnels en cela qu'elle s'adresse uniquement au milieu IT, et qu'elle se place au niveau de l'entreprise et non de la personne. En effet, chaque nouvel utilisateur est relié à son employeur principal au moment de son inscription. Accessible à ce jour en allemand uniquement, elle sera disponible en versions française et anglaise ces toutes prochaines semaines.
Echanger des informations
Selon le communiqué de ICT Synergies.com, le site doit notamment permettre aux entreprises IT, petites ou grandes, d'obtenir du feedback de la part de communautés d'utilisateurs. Pour ces derniers, il peut en effet être plus facile de donner des retours via une plateforme neutre et indépendante plutôt que directement sur le site du fournisseur ou fabricant. Le réseau permet également de publier des nouveautés concernant des technologies, produits ou services qu'un fournisseur ou fabricant souhaite promouvoir.
Les membres inscrits peuvent sélectionner les domaines qui les intéressent et au sujet desquels ils souhaitent recevoir des informations. Cela leur permet de recevoir des informations directement de la part des fabricants. Il est également possible d'effectuer des recherches ciblées pour identifier un fournisseur, ou encore d'échanger des connaissances avec d'autres personnes du milieu via l'espace forum.
Besoin de nouveaux canaux de communication
Fondateur et CEO de la plateforme, Jean-Pierre Jamet a souligné: «Après avoir passé 20 ans à aider des entreprises IT à effectuer des mailings ou des campagnes d'emails, ou à organiser des campagnes d'information téléphoniques, la nécessité d'offrir une structure nouvelle et différente pour favoriser les échanges entre les différents acteurs du marché IT est pour moi devenue une évidence».
ICT Synergies a été fondée par Jean-Pierre Jamet. L'entreprise Nextron s'est chargée du design et du développement du site.
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Red Hat rachète le vendeur de stockage cloud Gluster
Afin de renforcer son offre cloud, Red Hat a acheté cash - 136 millions de dollars environ - l'entreprise Gluster qui vend de l'espace de stockage en cloud. Le cloud computing, combiné à l'explosion des données non structurées, oblige les entreprises à trouver de nouvelles solutions pour répondre à la demande grandissante de stockage. « Avec Gluster, Red Hat sera en mesure de relever ces défis, » a indiqué l'éditeur.
Toujours selon Red Hat, « le système de stockage purement logiciel de Gluster permet aux entreprises de mettre en relation un grand nombre de matériels standard avec des ressources informatiques stockées dans un pool accessible partout et géré de manière centralisée. » D'après le site web du vendeur, son logiciel permet également aux entreprises de déplacer leurs données vers un cloud public ou privé, ou un mélange des deux pour constituer un environnement de cloud hybride. Comme l'explique le site de la communauté Gluster, le système Open Source GlusterFS, au coeur des produits proposés par Gluster, est modulable et capable de traiter jusqu'à plusieurs pétaoctets de données. Il repose sur un modèle client-serveur et peut supporter plusieurs milliers de clients. « Typiquement, les serveurs sont déployés comme des «briques de stockage», chaque serveur exécutant un agent glusterfsd qui exporte un système de fichier local comme un «volume». Le processus client glusterfs, qui se connecte aux serveurs avec un protocole spécifique (implémenté au-dessus de TCP/IP, InfiniBand ou SDP), regroupe les volumes distants en un volume unique. Le volume résultant est alors monté par l'hôte client par un mécanisme Fuse, » indique l'article de Wikipédia consacré au système de fichier distribué.
Dans les prochains mois, Red Hat prévoit d'intégrer les produits de Gluster dans ses propres produits et de les proposer sous forme d'abonnement. « Le message de Red Hat à la communauté Gluster, c'est que la société s'engage à continuer le développement du système, » a déclaré le CTO de Red Hat, Brian Stevens. Basée à Sunnyvale, en Californie, Gluster a été fondée en 2005. Parmi ses clients, elle compte la Deutsche Bank, Samsung, Autodesk, BAE Systems et Barnes & Noble. L'opération de rachat devrait être finalisée en octobre.
(...)(05/10/2011 11:16:42)Oracle déplace la keynote de Marc Benioff et provoque sa colère
Le CEO de Salesforce.com, Marc Benioff a décidé de quand même prendre la parole ce mercredi suite à la décision d'Oracle de déplacer sa keynote à jeudi. « Larry [Ellison] a simplement annulé mon discours de demain ! » a indiqué l'énergique dirigeant dans un message Twitter, invitant les clients d'Oracle à le rejoindre dans un restaurant près du centre de conférences Moscone. «Méfiez-vous des faux clouds », a-t-il ajouté toujours aussi provocateur. Dans un autre message sur Twitter, Marc Benioff a poursuivi en déclarant : « Le spectacle doit continuer ! Désolé Larry ! ».
Le dirigeant a également envoyé un message à Michael Dell, CEO de Dell, en disant qu'il avait hâte de le voir et de l'entendre parler à Dell World 2011, les 13 et 14 octobre à Austin. « OK, s'il vous plaît ne me quittez pas comme # oow11. Marc Benioff fait partie des intervenants attendus à cet évènement au coté de Steve Ballmer, Paul Maritz ou encore Paul Otellini.
Un conflit feutré entre deux personnages de la Silicon Valley
« En raison de la densité des annonces à l'OpenWorld d'Oracle, nous avons dû opérer plusieurs changements de session a déclaré une porte-parole de l'éditeur. La session Salesforce.com a été déplacée au jeudi 6 octobre 8h au théâtre Novellus, près du Moscone Convention Center à San Francisco. Selon le planning initial, Marc Benioff devait intervenir sur le thème « Bienvenu à l'entreprise sociale" à 10h15 le mercredi 5 octobre, toujours au théâtre Novellus. Il va maintenant prendre la parole à 10h30 au restaurant Ame de l'hôtel St Regis, à San Francisco.
Marc Benioff, qui a occupé un poste de vice-président chez Oracle avant de fonder SalesForce, avait déjà tweeté un certain nombre de commentaires très critiques à l'égard d'Oracle et du discours prononcé dimanche par son CEO, Larry Ellison. Il soutient également que Salesforce est une vraie compagnie « cloud » alors qu'Oracle ne l'est pas du tout.
La mise à jour Mango avance, mais certains mobiles Samsung doivent attendre
« Dès les premières heures de sa mise à disposition, Microsoft a pu constater que les mises à jour s'effectuaient sans problèmes dans tous les pays, chez tous les opérateurs, et pour presque tous les modèles de mobile éligibles tournant sous Windows Phone, » a expliqué Eric Hautala, directeur général Customer Experience Engineering chez Microsoft. Les utilisateurs peuvent suivre les progrès réalisés par Microsoft et les opérateurs partenaires sur la page web de Microsoft intitulée « Où en est la mise à jour de mon mobile ? »
Mais tous les utilisateurs de Windows Phone ne sont pas encore éligibles pour cette mise à jour vers Mango. Ainsi, les possesseurs de mobiles HTC Surround et HTC HD7S, ceux qui ont le modèle Quantum de LG, le Focus de Samsung ou le Venue Pro de Dell chez l'opérateur AT&T aux États-Unis, devront attendre. De même, les propriétaires du Samsung Omnia 7, abonnés à l'opérateur SFR en France, ou à l'opérateur T-Mobile, ailleurs en Europe, devront aussi patienter. « Samsung cherche encore à résoudre quelques problèmes posés par la mise à jour vers Mango sur l'Omnia 7, » a déclaré une porte-parole de T-Mobile. « Celle-ci sera distribuée dès que possible, peut-être fin octobre, » a-t-elle ajouté. Les propriétaires de téléphones Samsung avaient déjà souffert lors de la première mise à jour de Windows Phone, Microsoft ayant temporairement suspendu l'update pour ces téléphones. Samsung n'a pas expliqué pourquoi les personnes utilisant ses mobiles devaient à nouveau attendre.
Mise à jour sélective et aléatoire
Tous les utilisateurs éligibles ne seront pas non plus en mesure d'effectuer une mise à jour immédiatement. Les téléphones sous Windows sélectionnés pour recevoir la mise à jour ont été choisis selon un ordre aléatoire, « sans préférence pour un opérateur, un modèle, ou un pays, » a précisé Eric Hautala. « L'échantillonnage aléatoire est une technique d'ingénierie importante : elle permet de mesurer avec précision la qualité des mises à jour et de localiser les problèmes rapidement, » a-t-il expliqué. « Dans certains cas, cela peut avoir des conséquences amusantes : par exemple, dans une même famille où tous les membres possèdent le même téléphone, il est possible que seul un téléphone reçoive une notification de mise à jour, » écrit encore le dirigeant de Microsoft. Lorsqu'un utilisateur reçoit cette notification, il peut connecter son téléphone à un PC ou à un Mac pour télécharger et installer Windows 7.5.
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