Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 3611 à 3620.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(03/06/2011 15:55:28)

Computex 2011 : Microsoft montre Windows 8 à Taipei

A Taïpei, ce jeudi 2 juin, Microsoft a montré aux participants du salon Computex son prochain système d'exploitation, couramment appelé Windows 8. L'éditeur a dévoilé son interface à base de vignettes, les « tiles », que l'on trouve déjà sur Windows Phone 7. Il espère qu'elle sera mieux adaptée au marché des tablettes PC. Microsoft dit avoir « réinventé » Windows afin qu'il fonctionne sur tous types d'appareils, aussi bien ceux équipés de petits écrans tactiles que ceux avec de grands écrans classiques. De plus, la nouvelle interface peut être accessible avec ou sans clavier ni souris.

Armé de ces nouveautés, Windows 8 doit améliorer la position de Microsoft sur le marché des tablettes PC, où Windows 7 a du mal à rivaliser avec les systèmes d'exploitation Android de Google et iOS d'Apple. Surtout, la nouvelle interface doit fonctionner sur tous types de PC. Pendant la conférence, Microsoft a montré plusieurs prototypes exécutant son système, aussi bien des tablettes, des ordinateurs portables que des PC tout-en-un.

L'univers de l'utilisateur défini par les vignettes

La nouvelle interface s'éloigne de manière très significative du « bureau » traditionnel de Windows sur lequel s'est appuyé Microsoft pendant deux décennies. L'écran de démarrage affiche désormais plusieurs grosses icônes de couleur représentant les applications, à la manière, donc, du système mobile Windows Phone 7. En tapant sur une icône avec le doigt, l'application s'ouvre d'emblée en plein écran, sans afficher les menus habituels de Windows, ni la barre d'état du système et les barres de défilement sur les bords de l'écran. 

Sur Computex, c'est Michael Angiulo, vice-président, pour la planification, le matériel et l'écosystème de Windows chez Microsoft, qui était aux commandes de la démonstration. « L'interface des applications apparaît rapidement en même temps que l'interface Windows s'efface à l'arrière-plan », a-t-il expliqué. « Les vignettes sur l'écran de démarrage servent à définir l'univers utilisateur : ses amis, ses applications, ses contacts, les informations qui l'intéressent le plus », a t-il ajouté. « Il est possible de les regrouper, de les organiser et de les nommer comme bon lui semble, si bien que l'écran de démarrage constitue déjà quelque chose de très personnel », a t-il commenté.

Les applications s'appuient sur HTML5 et Javascript

Par ailleurs, « les vignettes des applications affichent des informations récupérées automatiquement depuis Internet, comme les messages Twitter et les e-mails, ou encore des informations provenant d'un lecteur de news » a poursuivi Michael Angiulo. Ces applications « web-friendly », que Microsoft désigne comme des applications sur mesure, sont construites sur la nouvelle plate-forme de développement de Windows 8 et s'appuient largement sur Internet Explorer 10, qui sera livré avec le nouveau système d'exploitation. Mais aussi sur HTML 5, Javascript et des feuilles de style CSS. « Ces langages sont à la base d'Internet, si bien que, le jour où nous livrerons Windows 8, des millions de développeurs sauront déjà comment créer des applications pour ce système d'exploitation, a déclaré l'orateur.

Sur des périphériques disposant d'écrans tactiles, certaines actions permettent de contrôler l'interface de Windows 8. Par exemple, dans une application, le glissement du doigt depuis la droite de l'écran fait apparaître un panneau de contrôle Windows, notamment le bouton Start qui permet de revenir à l'écran d'accueil où il est alors possible d'ouvrir de nouvelles applications. Par glissement du doigt depuis la gauche, l'utilisateur peut basculer entre les applications déjà ouvertes. Et en faisant glisser le doigt de bas en haut de l'écran, il peut ouvrir le menu de contrôle de l'application active. Les interfaces, montrées par Michael Angiulo à Taipei sur différents prototypes, semblaient fonctionner correctement, et le déplacement dans les applications et les menus semblait assez rapide.

Conférence Build en septembre, inscriptions limitées

Windows 8 franchit également un niveau dans le multi-tâche. Ainsi, lorsqu'une vidéo est en lecture et que l'utilisateur ouvre une autre application, l'audio de la vidéo continue à défiler à l'arrière-plan. Une autre fonction, appelée Snap, permet de diviser l'écran en deux, et d'éxécuter une application dans chaque espace.

Illustration : L'écran de démarrage du prochain Windows (nom de code : Windows 8)
James Niccolaï / IDG News Service

[[page]]Windows Explorer et le Desktop de Windows sont toujours accessibles, et Microsoft affirme que Windows 8 sera compatible avec les applications et les périphériques tournant avec Windows 7. Malgré tout, les développeurs auront sans doute beaucoup à apprendre, et Microsoft a annoncé pour septembre la tenue d'une nouvelle conférence, intitulée Build, à Anaheim, Californie, où elle invite les développeurs à venir se familiariser avec le nouvel OS. « Le nombre de place est limité. L'inscription est ouverte dès à présent, » a déclaré le vice-président. 

Des terminaux basés sur ARM, Intel et AMD

Microsoft a également indiqué que Windows 8  - appellation qu'il présente toujours comme un nom de code-  tournera sur des processeurs ARM, notamment ceux de Qualcomm et de Texas Instruments, ainsi que sur la plate-forme x86 d'Intel et d'AMD, comme c'est le cas aujourd'hui. On trouve des puces ARM dans la plupart des smartphones et des tablettes actuelles. Michael Angiulo a montré différents prototypes d'appareils avec processeur ARM tournant sous Windows 8, précisant que la compatibilité ne se limitera pas aux tablettes. « Cela concernera tous les ordinateurs ultra-portables et tous les formats », a t-il déclaré. Selon lui, Windows 8 a été conçu pour répondre aux besoins d'un secteur informatique en pleine mutation. « Nous sommes confrontés à de grands changements », a déclaré le vice-président. « Aujourd'hui, la tendance est à l'Internet immersif, aux appareils ultra-portables, et bien sûr aux écrans tactiles. Windows 8 réinvente Windows pour s'adapter à ces tendances. »

Le Wall Street Journal évoque des exigences de Microsoft

Plusieurs dirigeants de ARM, Qualcomm et d'autres fabricants de puces, ont participé à la conférence de presse donnée par Microsoft à Taipei. Mais le nouvel OS avaitdéjà été montré quelques heures plus tôt aux États-Unis, lors de la conférence D9 (All Things Digital) organisée par le Wall Street Journal. Celle-ci a été un peu perturbée par un article publié mercredi dans le journal économique, où l'on pouvait lire que Microsoft exigeait des cinq plus grands fabricants de puces que chacun travaille avec un fabriquant exclusif de PC, pour faire en sorte que des tablettes sous Windows sortent rapidement sur le marché. Selon le journal, certains fabricants de PC taïwanais ont été exclus du projet initial. Jim Jong, Président d'Acer, cité par le journal, y déclare que l'industrie du PC « n'appartient ni à Microsoft, ni à Intel. »

Steve Guggenheimer, paton de la division OEM de Microsoft, et le porte-parole de Microsoft, ont tous deux refusé de faire tout commentaire avant l'ouverture de la manifestation de jeudi. Microsoft a toutefois montré un prototype d'ordinateur portable du géant taïwanais Quanta tournant sous Windows 8, une preuve que l'éditeur travaille clairement avec de grands constructeurs taiwanais sur le nouveau système.

(...)

(03/06/2011 13:37:10)

Oracle remet le code d'OpenOffice.org à Apache

Mettant fin aux spéculations sur le sort dOpenOffice.org, Oracle a annoncé soudainement il y a deux jours qu'il transférait à la fondation Apache le code de la suite de productivité Open Source. En avril dernier, l'éditeur avait indiqué qu'il ne vendrait plus de version commerciale du logiciel, et décidé d'en refaire un projet communautaire.

Luke Kowalski, vice-président chez Oracle pour le groupe Corporate Architecture, estime qu'en « faisant don » d'OpenOffice.org à Apache, cela donne au logiciel une infrastructure mature, ouverte et bien établie pour poursuivre sa route. « Le modèle d'Apache Software Foundation [ASF] rend possible la collaboration entre des contributeurs individuels et professionnels autour du développement d'un produit Open Source », a-t-il précisé dans un communiqué.

IBM soutiendra le projet

La suite OpenOffice.org évoluera au sein du programme incubateur pour les logiciels Open Source de l'ASF. Cette transmission témoigne de la capacité de la fondation à incuber avec succès des projets particulièrement bien établis tels que Apache SpamAssassin et Apache Subversion, a déclaré de son côté Jim Jagielski, président de l'ASF. Ce dernier a été proposé comme mentor pour le projet.

IBM, dont la suite Symphony repose sur OpenOffice, a déclaré de son côté qu'il soutiendrait fortement ce processus d'incubation. Lorsqu'Oracle avait annoncé qu'il prévoyait de ne plus gérer OpenOffice.org de façon active et de transférer le projet à la communauté, il n'avait pas encore révélé à qui celui-ci reviendrait.

L'éditeur a acquis la suite bureautique avec le rachat de Sun Microsystèmes. Pendant une brève période, il en a vendu une version commerciale, sous le nom Oracle Open Office. Il avait également annoncé un produit associé, Oracle Cloud Office. Mais le groupe de Larry Ellison a finalement décidé d'en rester là, vraisemblablement en raison d'un manque d'intérêt de ses clients pour le produit.

LibreOffice est ouvert à un rapprochement

Au cours de l'année dernière, Oracle s'était brouillé avec les membres de la communauté OpenOffice.org, certains d'entre eux décidant alors de bifurquer et de mener leur propre projet, baptisé LibreOffice, en créant pour le faire la Document Foundation. Cette dernière a salué l'initiative d'Oracle dans un billet de blog ce mercredi, en y mettant tout de même quelques réserves. « C'est intéressant de voir certaines fonctions clés livrées sous une forme qui permet de les inclure dans LibreOffice. »

La Document Foundation serait favorable à une réunification des projets OpenOffice.org et LibreOffice dans une unique communauté, après le départ d'Oracle. « Mais ce processus ne sera pas automatique », prévient-elle. Oracle avance sans doute de bonne foi, poursuit-elle mais ne semble pas vouloir atteindre directement cet objectif. « La communauté Apache, que nous respectons énormément, a des attentes et des normes très différentes (licences, membres, etc.) de celles des projets OpenOffice.org et LibreOffice ».

Illustrations : logo Apache Software Foundation / OpenOffice.org (crédit : D.R.) (...)

(03/06/2011 12:08:18)

UFC-Que choisir pointe un projet de loi insuffisant sur Internet et la téléphonie

Trois ans et demi après la loi Chatel qui renforçait les droits des consommateurs en matière de relations commerciales, d'assurances et de téléphonie, le Gouvernement envisage de compléter le dispositif avec une série de mesures, qui concerne cette fois plusieurs aspects de la vie quotidienne dont la téléphonie, l'Internet, l'énergie, la dépendance, et les produits manufacturés.

En s'appuyant sur les réclamations reçues par la Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF), le texte proposé par Frédéric Lefebvre, secrétaire d'Etat à la Consommation, contient 25 mesures dont certaines sur la téléphonie et l'Internet, révèle Le Parisien/Aujourd'hui en France. Le texte pourrait entrer en vigueur dès le 1er janvier 2012.

Indiquer une fois par an une offre plus avantageuse

En matière de téléphonie mobile, Frédéric Lefebvre propose que les opérateurs présentent au moins une offre sans durée d'engagement. « Les opérateurs de téléphonie mobile devront indiquer au consommateur au moins une fois par an si une autre offre serait plus avantageuse pour lui compte tenu de sa consommation », ajoute le secrétaire d'Etat à la Consommation, interviewé par Le Parisien/Aujourd'hui en France. L'Association UFC-Que choisir critique cette mesure: elle ne stimule pas assez la concurrence, vitale dans ce secteur. L'UFC réclame en effet qu'un plafonnement à 12 mois des durées d'engagement soit inscrit dans le projet de loi.

Autre mesure proposée en matière en matière d'Internet : la présentation d'un tarif social pour les offres triple play (télphone fixe, télévision, Internet). Les deux millions de foyers vivant avec le RSA pourraient profiter d'un tarif à 20 euros par mois, au lieu de 32 euros en moyenne.

Une entrée en vigueur début 2012 ?

Ce projet de loi n'est « pas à la hauteur du contexte économique et juridique, défavorable aux consommateurs », déclare l'UFC-Que choisir. Le texte pourrait être publié, au Journal officiel avant la fin de l'année, pour une entrée en vigueur au 1er janvier 2012.

D'autres dispositions figurent dans le texte. En particulier, en matière d'immobilier, les locataires de logements sociaux devraient être mieux protégés. A propos de la restitution du dépôt de garantie, il s'agit d'appliquer le même principe que connaissent les locataires du parc privé. Ainsi, les bailleurs devront payer une pénalité équivalente à 10% du loyer par mois de retard au locataire.

Photo :
le secrétaire d'Etat à la Consommation, Frédéric Lefebvre (D.R). (...)

(03/06/2011 11:27:46)

520 000 abonnés au très haut débit en France, selon l'Arcep

En France, le nombre d'abonnements à l'Internet haut et très haut débit atteint les 21,78 millions au premier trimestre 2011. Selon les derniers chiffres de l'Observatoire trimestriel des marchés de détail des communications électroniques, publiés par l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep), cela représente 460 000 abonnements supplémentaires par rapport au dernier trimestre 2010 et 1,6 million de plus en un an.

Le haut débit représente le principal marché des abonnements à Internet avec 21,26 millions de Français qui ont choisi ce type de connexion. Le très haut débit, emmené notamment par la fibre optique, compte désormais 520 000 abonnements, soit 55 000 de plus par rapport au précédent trimestre. (...)

(03/06/2011 10:13:34)

Annuels Solucom : des indicateurs de rentabilité positifs

En réalisant un chiffre d'affaires annuel de 108 millions d'euros, sur son exercice fiscal clos fin mars 2011, Solucom a réalisé 4% de croissance organique par rapport à son précédent exercice. Les indicateurs de rentabilité sont positifs : un résultat net part du groupe de 6,9 M€, contre 3,3 l'an dernier, un résultat opérationnel de 12,6 M€, contre 7 M€ en 2009/10, et un résultat opérationnel courant de 12,6 M€, contre 10,1 il y a un an. La marge opérationnelle courante s'établit à 11,7% du chiffre d'affaires (9,7% en 2009/10).

La trésorerie nette se monte à 9,5 M€ au 31 mars dernier, contre 2 M€ un an auparavant. Les capitaux propres s'élèvent à 40 M€.

Solucom déploie également un plan de développement à l'horizon 2015. La société compte atteindre alors un chiffre d'affaires compris entre 170 et 200 M€. Sur l'exercice 2011/2012, la SSII vise entre 110 et 115 M€. (...)

(03/06/2011 10:21:21)

Annuels SII : Une bonne croissance organique

Le groupe SII a terminé son exercice annuel au 31 mars dernier, avec un chiffre d'affaires de 222,1 millions d'euros, en croissance organique de 14,6%. Une progression largement au dessus de la moyenne de la profession, souligne la société. En France, SII enregistre une progression de 11,8%. A l'international (qui représente 18% du CA), la hausse se monte à 46% avec des progressions fortes en Europe de l'Est et l'intégration réussie de Aida en Allemagne.

Côté rentabilité, SII affiche également le sourire. Le résultat net part du groupe se monte à 8,1 M€, en hausse de 93%. Le résultat opérationnel est de 13,5 M€ en croissance de 85%, avec une marge opérationnelle de 6,1%.  La trésorerie nette se monte à 18,9 M€, au 31 mars dernier, les fonds propres à 62 M€. 

Pour son nouvel exercice, 2011/2012, SII prévoit un CA de 250 M€, en croissance organique de 12,5%. Mais le groupe se dit attentif à toute possibilité de croissance externe, que ce soit en France ou à l'étranger, sur son métier du conseil en technologie. (...)

(03/06/2011 10:26:18)

La filière IT Bretonne retrouve des couleurs

Avec 36 ans d'existence, Granit est l'une des plus anciennes associations françaises dédiées aux acteurs de l'informatique et des télécoms. Née à Rennes, où son siège est toujours basé à la Chambre de Commerce et d'Industrie, Granit compte aujourd'hui plus de 70 entreprises adhérentes, dont 20% de donneurs d'ordre, auxquels l'association s'est ouverte voilà seulement deux ans.

Granit est actuellement présidée par François Ignaczak, par ailleurs Secrétaire Général de Somaintel, SSII et intégrateur filiale du Crédit Agricole qui emploie plus de 500 personnes au niveau national sur 35 sites.

Pour l'association Granit, la priorité reste de recruter de nouveaux adhérents, « ce qui passe notamment par la création de plusieurs collèges, dédiés aux donneurs d'ordres, à la recherche, ou au recrutement », analyse François Ignaczak.

Améliorations en 2011

« En Bretagne comme ailleurs, la filière IT a connu des moments difficiles après 2008. En association avec l'Afeit, une autre association IT de Bretagne, nous souhaitions mesurer la réalité des améliorations en déclinant au niveau régional l'enquête menée par Syntec Numérique à l'échelle nationale, explique François Ignaczak. Notre principale conclusion montre que les signes d'une sortie de crise sont bien réels.»

Parmi les principaux chiffres, on peut retenir que la filière numérique bretonne emploie 16 600 personnes et qu'entre 3 000 et 4 000 emplois devraient être créés en 2011 dans cette région (contre 20 000 au niveau national).

Au sein du panel d'entreprises interrogées par Granit, on note ainsi que 60% d'entre elles ont enregistré une hausse de leur carnet de commandes au 1er trimestre 2011. « Au-delà de ce signe, nous constatons que quasiment tous les segments du marché IT ont gagné en dynamique, analyse François Ignaczak. Dans l'ordre décroissant, les progressions les plus importantes sont enregistrées dans le domaine du conseil, chez les éditeurs de logiciels, dans le secteur de l'Internet et dans l'écosystème du cloud computing, ce qui comprend les datacenters et les acteurs du SaaS. » (...)

(03/06/2011 10:37:07)

CIO.PDF 38 : Le poste de travail virtuel répond à des besoins spécifiques

La virtualisation du poste de travail n'a pas bénéficié du raz-de-marée annoncé par certains experts. Elle répond cependant à des besoins spécifiques de sécurité, de facilité de gestion ou de rapidité de mise à disposition. Si on peut dire qu'elle a trois ans d'existence réelle dans les entreprises, elle est loin d'avoir tenu ses promesses initiales. Elle devait simplifier radicalement la vie des responsables de parc informatique. Or cette technologie s'ajoute à toutes celles existantes, comme la publication d'applications ou le PC lourd, sans en supprimer aucune.

A l'heure du Cloud computing et du SaaS (software as a service), du client web généralisé, un responsable informatique doit toujours cultiver son expertise technique. Et faire les bons choix pour les bons utilisateurs, en sachant mixer un ensemble de technologies.

Au-delà du dossier sur la virtualisation du poste de travail, CIO.PDF 38 est aussi l'occasion de suivre la carrière du DSI des Pompiers de Paris, de voir comment un groupe de mutuelles partage son SI et notamment ses outils de cartographie de processus dans le cadre d'un processus de mise en conformité Solvency II, et enfin, avec nos confrères américains de CIO.com, de s'attacher à optimiser le retour des investissements informatiques.

Lire CIO.PDF 38

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >